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Une douceur de Miel

Chapitre 5

Ma petite renarde.

Inceste
Lorsque je me suis levé Maman était dans la cuisine, toujours aussi nue et perchée sur ses mules à talons-aiguilles de dix centimètres de haut, ce que j’ai trouvé terriblement sexy. Elle m’avait préparé un thé comme elle le faisait tous les matins, mais sans les tartines beurrées qui l’accompagnaient habituellement, et j’en ai compris la raison quand elle m’a dit en me tendant un mug fumant :
 ― Je te rappelle que comme tous les ans pour ton anniversaire, j’ai réservé une table au Petit Bistrot. Vu que tu as traîné au lit il est déjà dix heures et demi, donc c’est trop tard pour que tu prennes ton petit-déjeuner. Et même si nous ne sommes pas vraiment à la bourre, il ne nous faudra tout de même pas trop lambiner, si nous voulons y être pour midi.
 Je ne lui ai pas fait remarquer qu’elle m’avait retardé encore plus avec la manière très agréable dont elle m’avait réveillé, parce que j’étais tout simplement heureux de la nouvelle tournure qu’avait prise notre mode de vie. Fort de cette constatation j’ai eu l’audace de caresser le pied de vigne tatoué sur ses reins, tout en prenant ma chope de thé.   Ma maman a paru apprécier ce contact physique puisqu’elle s’est cambrée, avant de me faire un sourire chargé de tendresse, alors que dans notre vie d’avant depuis que j’étais devenu adolescent et à plus forte raison adulte, sauf pour nous faire des bisous nous ne nous touchions que rarement. À présent j’avais le droit de le faire et même plus, c’est pourquoi afin de tester les limites de ce qui m’était nouvellement permis, je lui ai suggéré :
 ―On pourrait prendre notre douche ensemble, comme ça on gagnerait du temps…
 J’ai eu droit à un nouveau sourire de sa part mais cette fois nettement ironique, ce qui ne l’a pas empêchée de me répondre sérieusement :
 ― Étant donné que tu vas devenir mon fils de baise, même si cela ne doit pas se voir ni se savoir en dehors d’ici, où chez ceux de nos amis qui seront mis au courant de l’évolution de la situation, aller nous laver ensemble afin d’être prêts à partir plus rapidement, me semble être une bonne idée. Mais je te préviens que ce matin tu n’auras droit à rien d’autre. Vu que même si j’adore me faire enfiler sous la douche, car avoir la peau glissante dans ces moments-là je trouve que c’est fun, ça produirait l’effet inverse de celui qu’on recherche.
 Malgré cette restriction clairement énoncée ses paroles m’ont mis au comble du bonheur, sauf que je n’étais pas beaucoup plus avancé au sujet des bornes à ne pas dépasser, étant donné que je ne savais toujours pas où elles se trouvaient. Je n’étais pas inquiet pour autant me disant que je serais averti quand ça se produirait, et qu’au pire j’aurais droit à un cours pédagogique sur ce qui m’était permis, ou pas. Car ça c’était toujours passé de cette manière dans notre foyer, celle qui m’avait mis au monde puis élevé en mère célibataire, préférant expliquer les choses plutôt que sévir. Ce qui en définitive, ne me rendait pas meilleur ni pire que les autres.    
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 Une fois que j’ai eu fini mon thé nous sommes allés tous les deux dans la salle de bain, et après avoir retiré ses chaussures avec dix centimètres de moins en hauteur, ses gros seins mis à part ma maman m’est à nouveau apparue comme la petite femme menue que j’avais envie de protéger. Même si le fait d’être à poils la rendait sexy en diable. 
Notre salle d’eau assez spacieuse est équipée d’une baignoire, que pour ma part je n’utilise que très rarement, mais également d’une douche italienne avec un grand pommeau fixé au plafond, ainsi qu’un autre plus petit raccordé par un flexible, d’un bidet et d’un lavabo double que nous n’avions encore jamais utilisé en même temps. Alors que nous avions chacun notre côté depuis toujours, ce dernier étant clairement signalé par nos ustensiles de toilette personnels, tels que nos brosses à dents qui étaient disposées sur la tablette juste au dessus.
 L’aménagement de la pièce était complété par un meuble de rangement pour les serviettes et les gants, ainsi qu’une corbeille à linge sale, même si la machine à laver se trouvait dans la buanderie juste à côté de la chaufferie. 
 Maman est allée sans hésiter sous la douche et je l’ai rejointe nettement plus hésitant, car bien qu’heureux que nous nous lavions ensemble, j’étais à présent intimidé par la nouveauté de la situation. C’est elle qui a ouvert l’arrivée d’eau pré-réglée à une température chaude mais sans plus, ce qui a fait que nous n’avons pas tardé à être complètement mouillés par l’aspersion. 

 Lorsque j’ai vu ses cheveux ruisselants et qui tombaient jusqu’à ses reins, sa toison bien fournie dont les poils se sont mis eux aussi à pendre, mais surtout ses tétons déjà dardés qui ont pointé encore plus fièrement, je l’ai trouvée plus magnifique que jamais. Et bien que j’aurais pensé que c’était impossible quelques instants auparavant, à cause de mes nombreuses éjaculations depuis une douzaine d’heures, un peu honteux j’ai senti mon sexe se mettre à gonfler sous l’effet de l’admiration que je lui portais. 
 Si j’étais confus c’était certainement parce qu’il me restait à ce moment là un fond de morale, et que j’étais en compagnie de la femme qui m’avait porté pendant neuf mois dans son ventre, plutôt qu’à cause d’un regain de timidité.
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 En se rendant compte de la manière dont mon corps réagissait à sa présence Maman a souri, mais sans aucune moquerie, et ensuite elle m’a dit :
 ―Tu n’as pas à être gêné parce que c’est tout à fait normal, à cause du fait que tu n’es pas encore habitué à me voir nue, mais tu finiras par trouver ça complètement naturel mon Biquet. Bientôt c’est ton cerveau qui commandera tes érections, et cela ne se produira qu’en fonction de ton état d’esprit. De toute manière bander pour elle, est le plus belle hommage qu’un homme en bonne santé puisse rendre à une femme qu’il trouve belle. Car si son sexe reste à pendouiller entre ses jambes, c’est qu’il y a un problème. 
 Bien évidemment que je la trouvait belle ma maman, et même encore plus que ça. Le fait qu’elle en ait conscience et qu’elle l’accepte m’a fait me sentir beaucoup mieux, j’étais même aux anges lorsqu’elle a attrapé le savon liquide et un gant de toilette, pour commencer à passer ce dernier sur mon corps comme quand j’étais enfant. 
 Elle n’est pas restée longtemps sur mon visage mais a frotté plus longuement mon dos, puis une fois qu’elle a changé de côté mes tétons se sont eux aussi dardés, sous la caresse de sa main à travers le tissu éponge. Elle a ensuite insisté sur mes fesses allant même s’insinuer entre elles, dans le but de nettoyer mon anus en le massant doucement. Mon membre tendu était bien raide quand elle s’est mise lui aussi à le laver, et elle n’a pas manqué de décalotter mon gland afin de ne pas le négliger. 
 Après ça Maman s’est mise accroupie et sur la pointe des pieds, sans que cela semble lui demander le moindre effort pour conserver son équilibre, ni la déranger à cause de son poids reporté sur ses seuls orteils. Dans son changement de position ses cuisses se sont largement écartées, mais la surplombant de toute ma hauteur j’étais mal placé pour voir son abricot, à présent caché par ses gros nichons. Elle s’est mise à frotter mes jambes, descendant lentement pour arriver à mes pieds, en allant jusqu’à passer la lavette entre mes orteils. 
 Après que je l’ait aidée à se relever elle m’a souri, puis elle m’a donné le gant de toilette et elle m’a déclaré :
 ―À mon tour, mon Biquet.
 Je n’ai pas eu besoin qu’elle me le répète et j’ai respecté le même ordre qu’elle, commençant par le haut de son corps pour aller peu à peu vers le bas. Tout comme elle l’avait fait pour moi j’ai évité soigneusement de mettre du savon sur et autour de ses beaux yeux vert-ambré, je lui ai frictionné le dos puis je me suis attardé sur ses seins magnifiques, prenant le soin d’aller dessous là où ils sont appuyés contre buste. Nettoyant ensuite ses fesses j’ai caressé avec grand plaisir sa rondelle, qui m’a semblé être beaucoup plus souple que la mienne, mais j’ai hésité quand est venu le tour de son sexe. C’est la raison pour laquelle elle m’a dit :
 ―Tu n’as aucune inquiétude à avoir, car ce savon est assez doux pour ne pas m’irriter.
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 J’ai alors repris confiance en moi, et j’ai commencé par passer doucement un doigt entre le sommet de ses cuisses et ses grandes lèvres, puis entre ces dernières et leurs petites sœurs, pour m’attarder dans les recoins de ses nymphes en m’arrêtant à l’entrée de son vagin. Alors que je procédais avec délicatesse Maman a poussé plusieurs soupirs de satisfaction, surtout quand je me suis aventuré ensuite sur le capuchon de son clitoris, et j’ai senti ce dernier devenir plus dur à travers la peau protectrice qui le recouvrait. 
 Malheureusement je savais que nous n’avions pas trop de temps devant nous, c’est pourquoi je n’ai pas insisté et elle a semblé aussi déçue que moi, quand je me suis résigné à arrêter. Toutefois je n’étais pas triste car je savais que la porte qu’elle m’avait ouverte ne se refermerait pas, et que par conséquent j’aurais le droit de recommencer et d’approfondir mon exploration, mais plus tard. 
 C’est la raison pour laquelle j’étais serein lorsque j’ai ensuite savonné ses jambes, pour finir pas ses petits pieds que je trouvais depuis déjà quelques temps très mignons. Tant il est vrai que c’était une des rares parties de son corps, à l’exception bien évidemment de son visage et de ses mains elles aussi gracieuses, que j’avais pu admirer avant le jour de mon dix-huitième anniversaire.
 Quand je me suis redressé j’ai eu droit à un de ses magnifiques sourires de la part de ma maman, qui a valu pour moi tous les remerciements du monde. Mon sexe était encore raide lorsqu’elle a rouvert la vanne dans le but de nous rincer, ce qui ne me posait aucun problème parce que j’étais convaincu qu’il reprendrait sa place entre mes jambes, au moment-où je m’habillerais pour aller au restaurant. 
 Bien que nous ne nous touchions pas, nous étions assez proches l’un de l’autre pour qu’elle soit obligée de lever la tête afin de me regarder dans les yeux, ce qu’elle n’a pas manqué de faire. Je me suis alors dit non sans ironie que cela rétablissait l’équilibre, par rapport à l’autorité naturelle qu’elle avait sur moi en tant que mère nourricière. 
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 Après que toute présence de savon a disparue, Maman a arrêté l’arrivée d’eau. Nous nous sommes encore regardés quelques instants ruisselants, puis elle m’a fait un sourire malicieux avant de me dire, tout en prenant mon sexe raide dans une de ses petites mains :
 ―Quelle sorte de mère je serais, si je te laissais dans cet état mon Biquet ?
 Je n’ai pas répondu sous l’effet de la surprise, et elle en a profité pour ajouter :
 ―Mais je te préviens, ce sera une pipe express car nous sommes pris par le temps. Aussi, il ne faudra pas t’imaginer que je suce toujours de cette manière.
 Sans me laisser le temps de réagir elle s’est remise accroupie, cette fois encore sur la pointe des pieds et les cuisses largement écartées, comme si c’était pour elle une position complètement naturelle. Puis elle a ouvert la bouche en grand, afin de mettre le bout de ma queue à l’intérieur. À ce moment là un frisson électrisant a parcouru ma colonne vertébrale de haut en bas, naissant au niveau de ma nuque pour aller se loger dans le creux de mes reins. 
 Le plaisir que j’éprouvais ne s’est pas atténué, bien au contraire, quand j’ai senti la langue maternelle s’enrouler autour de mon gland. Jamais je n’aurais imaginé que cela puisse être un tel délice, de sentir ses picots râpeux et mouillés de salive venir caresser ma peau si sensible à cet endroit. Au point que je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un petit gémissement, qui n’avait absolument rien de viril. 
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 Lorsque j’ai baissé la tête afin de regarder celle qui après m’avoir donné tant d’amour pendant des années, me faisait à présent le cadeau d’un plaisir impossible à décrire avec des mots, j’ai constaté qu’elle était elle aussi en train de me fixer. Dans ses yeux vert-ambré j’ai lu de la malice, la même que quand enfant j’avais droit à une surprise de sa part, et qu’elle était convaincue de faire mon bonheur. Ce qui bien entendu était le cas. 
 Bien que je sois à présent adulte elle continuait de remplir son devoir de maman, me rendant le plus heureux des fils mais également l’un des plus chanceux. Car si elle n’y était pour rien dans le fait que la nature l’avait pourvue d’autant de charmes, son dévouement pour moi l’avait tout de même menée sur le chemin de l’inceste. Ce que peu de mères dans ce monde, sont capables de faire. 
 Alors que mes bras étaient jusqu’à présent restés sagement le long de mon corps, j’ai posé doucement mes mains sur l’arrière de sa tête, dans le but de caresser ses cheveux blond-vénitien encore mouillés. Bien que sa langue soit toujours en train de s’activer autour de mon gland, je l’ai vue sourire. Ses dents blanches aux canines pointues et saillantes, qui avaient bien pris garde de ne pas me toucher sont alors apparues. Ce qui lui a donné un air carnassier qui n’avait rien de féroce, mais au contraire la faisait apparaître à mes yeux encore plus attendrissante. 
 J’ai alors pensé non sans ironie qu’elle portait bien son nom, puisque j’avais appris en cours d’italien que volpe se traduit par renard(e), et que par extension una volpetta est un jeune spécimen de cette espèce. Ce qui lui allait à merveille, c’est pourquoi je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire :
 ―Hum, tu suces bien ma Petite Renarde.
 Son sourire s’est accentué et elle a reculé sa tête, que je ne tenais que d’une manière symbolique, pour me répondre :
 ― Merci, mais tu n’as encore rien vu car ce n’est qu’un avant-goût.
 Puis elle ajouté sur un ton ironique :
 ―Et méfie-toi, car les renardes comme moi ne font qu’une bouchée des biquets dans ton genre. Même s’ils mesurent quinze centimètres de plus qu’elles.
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 Joignant le geste à la parole elle a remis mon gland dans sa bouche, tandis qu’elle posait ses mains sur mes fesses. Par réflexe je me suis crispé car elle ne m’avait jamais touché à cet endroit, cependant je n’ai pas tardé à me détendre sous la douceur de la caresse de ses paumes, et de ses doigts encore humides.  
 Mais une nouvelle surprise m’attendait, vu que tandis qu’elle me regardait toujours j’ai senti le bout de ma queue s’enfoncer de plus en plus profondément, jusqu’à pénétrer dans sa gorge tandis que mes miches s’écartaient lentement. Là encore les sensations que j’ai ressenties sont indescriptibles, si ce n’est que j’étais au bord de l’explosion. 
 Quand bien même j’aurais voulu me retenir cela m’aurait été impossible, car ma maman a dégluti augmentant encore ma volupté, alors que je n’aurais jamais cru que ce soit possible. Mais en plus elle a enfoncé le clou matérialisé par l’un de ses doigts, qui a pénétré sans que je m’y attende dans mon anus, augmentant encore les sensations délicieuses que j’étais en train de ressentir.
 J’ai immédiatement éjaculé directement dans son gosier en poussant un deuxième gémissement, mes mains crispées sur son crâne, tandis qu’elle me branlait lentement par derrière. J’aurais voulu que cela ne se termine jamais, mais cette fois encore mes longues masturbations de la veille que je ne regrettais pourtant pas, ont abrégé ce moment de pure extase. 
 Lorsque Maman a ressorti mon sexe encore raide de sa bouche, elle s’est mise à le lécher sur toute sa surface d’un air gourmand pour y enlever sa salive, pendant que je me remettais de mes émotions. Ensuite elle a sucé sans façon le doigt qui m’avait sodomisé, avant de me dire alors que je l’aidais à se relever :
 ―Je t’avais prévenu. J’ai été obligée d’abréger parce qu’on est à la bourre, mais je me rattraperai la prochaine fois. 
 Puis elle ajouté, après m’avoir fait un de ses sourires ravageurs :
 ―Et celle d’après puis la suivante, ainsi que toutes les autres.
 Je me suis bien gardé de lui faire remarquer que même sans son doigt enfoncé dans ma rondelle, je n’aurais pas pu résister à ce qu’elle venait de me faire. Et je me suis bien évidemment douté qu’en maman attentionnée envers son fils, elle s’était comportée de cette manière pour ménager ma susceptibilité de puceau.
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