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Une douceur de Miel

Chapitre 8

Une suite logique.

Inceste
Nous n’étions encore qu’au milieu de l’après-midi, si bien qu’avec Maman nous avons décidé de nous amuser d’une toute autre manière, ce qui contrairement à ce qui venait de se passer était une de nos vieilles habitudes. Car non seulement il lui arrivait de prendre en mains une des manettes de ma console, et nous nous mesurions alors sur l’écran de notre télévision que ce soit au cours de combats ou d’épreuves sportives, mais nous aimions également les jeux de plateaux.
 Après tout elle était encore une jeune femme et il lui arrivait même de me mettre la pâtée, l’un d’entre eux un des grands classiques du genre et notre préféré étant le Monopoly. C’est donc celui-là que nous avons choisi pour disputer deux parties d’affilée, jusqu’à ce qu’il soit l’heure de préparer à manger. 
 Bien entendu à ce moment je lui ai proposé mon aide mais elle l’a refusée, arguant que comme c’était mon anniversaire je devais me laisser chouchouter. N’insistant pas je me suis installé sur un des tabourets du comptoir américain, pour la voir s’activer nue, étant donné qu’elle ne portait toujours que ses mules à talons aiguille de dix centimètres de haut. Ce qui était devenu sa nouvelle tenue d’intérieur, la mienne beaucoup moins sexy se résumant à une paire d’espadrilles.  Le voyeurisme étant un nouveau plaisir que je découvrais, même si ça n’en était pas vraiment vu qu’il s’agissait de la femme qui m’avait mis au monde, et qu’en plus nous nous trouvions chez nous en toute intimité. Mon contentement semblait d’ailleurs partagé, étant donné que ma maman tournait de temps à autres la tête vers moi pour me regarder, me lançant des regards parfois amusés mais la plupart du temps chargés de tendresse. 
 Car malgré notre nouveau mode de vie nous restions une mère et son fils, et l’amour que nous nous portions était avant tout celui destiné à ceux qui sont chers à notre cœur. Le chemin déviant que nous avions emprunté d’un commun accord, puisque nous étions tous les deux des adultes consentants, ne pouvant rien y changer.  
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 C’est après avoir terminé notre repas et tout rangé dans la cuisine, que Maman m’a demandé :
 ― Malgré le nombre de fois impressionnant où tu as giclé depuis vingt-quatre heures, il te reste de la réserve mon Biquet ? ― Je n’en sais rien, mais le meilleur moyen d’en être sûrs c’est d’essayer. 
 Cette répartie l’a faite sourire, puis elle m’a annoncé :
 ― Parce que je me suis dit que ce serait très symbolique, que tu perdes ton pucelage le jour de tes 18 ans. Car même si tu as enfoncé ta queue dans mon gosier à plusieurs reprises, de mon point de vue ça ne compte pas vraiment. 
 Je me suis bien gardé de lui faire remarquer que c’était elle qui me l’avait avalée, et à la place j’ai répondu légèrement ironique :
 ― Effectivement, ce serait dommage de remettre ça à demain. 
 Puis j’ai ajouté plus sérieusement :
 ― Et tu vois ça comment ? ― Je pense que pour ta première fois, le mieux ce serait de se la jouer classique.
 Cette fois, je n’ai pas pu m’empêcher de devenir railleur :
 ― Tu voudrais qu’on fasse l’amour tendrement, et plus que nous soyons une maman et son fils de baise ? ― Dis-moi, ça fait combien de temps que je t’ai pas mis de fessée, petit impertinent ?
 J’ai répliqué sans me démonter :
 ― Je ne me souviens pas, d’en avoir jamais reçu une. 
 Et elle a rétorqué mi-figue mi-raisin :
 ― Mais il y a un début à tout, pas vrai ? Alors prends garde que ne m’en vienne pas l’envie. En plus, après avoir fait rougir ton beau petit cul bien musclé, je pourrais te sodomiser à sec avec un gode-ceinture, histoire de t’apprendre ce qu’est le respect. Car de toute évidence, j’ai oublié certaines choses au niveau de l’éducation que je t’ai donnée. 
 J’ai aussitôt piqué un fard incapable de déterminer si elle parlait sérieusement, et ce que je savais par contre était que si elle mettait sa menace à exécution, jamais je n’oserais me rebiffer. Car bien que le plus grand et en tout logique le plus fort de nous deux depuis déjà pas mal de temps, elle restait la femme qui m’avait guidé dans la vie depuis mes premiers pas et même avant, par conséquent je considérais qu’elle avait toute autorité sur moi. 
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 Je suis carrément devenu écarlate mais pour une toute autre raison, quand elle s’est mise à se bidonner et qu’elle a réussi à lâcher entre deux accès de fou rire, en ayant posé une de ses mains à plat contre un mur pour assurer son équilibre :
 ― Franchement… tu verrais ta tête… mon Biquet… 
 J’étais légèrement vexé de m’être laissé avoir, et elle m’a expliqué une fois qu’elle a réussi à se calmer :
 ― Si on part du principe que les sentiments sont indissociables de l’amour, je ne pourrai jamais être ta maman ni toi mon fils de baise. Car je t’aime depuis le jour de ta naissance et ce sera encore le cas au moment de ma mort. C’est le plus important à mes yeux et dans mon cœur, alors tout le reste si on y réfléchit un peu, ce n’est jamais que des mots qui n’ont pas vraiment importance.
 Je n’avais absolument pas envie de la contredire étant donné que j’en pensais autant à son sujet, et j’ai été légèrement ému quand elle s’est approchée de moi, et qu’elle a été obligée de s’étirer bien qu’elle soit rehaussée, pour arriver à poser un tendre baiser sur ma joue. Et j’ai ensuite été plus amusé qu’autre chose lorsqu’elle m’a pris par la main, pour m’entraîner jusqu’à sa chambre dans laquelle je n’entrais que rarement. Non pas qu’il y ait un interdit à ce sujet ou que je la considérais comme étant un sanctuaire, même si en ce qui concernait ce dernier point ça avait été le cas quand j’étais encore enfant, mais tout simplement parce que je n’avais rien à y faire. 
 L’antre de ma maman est d’un style très classique, que je pense ne renierait pas une bourgeoise ce qu’elle n’est absolument pas, car elle a en elle un naturel ainsi qu’une franchise sans égaux, et elle se moque des convenances quand elle estime qu’elles ne sont pas nécessaires. 
 Malgré sa sophistication l’endroit est indubitablement beau, avec un lit à baldaquins dont les voilages sont toujours ouverts retenus par des cordons, et la tapisserie posée sur les murs est assortie au couvre-lit. Au pied de la couche se trouve un coffre lui aussi probablement en chêne teinté, et les placards qui encadrent sa tête et servent à ranger la garde-robe maternelle sont coordonnés. Ce mobilier étant complété par un divan toujours dans les mêmes teintes, d’un grand miroir sur pied faisant face au bas du lit, et pour terminer d’une coiffeuse avec son tabouret, lui servant en théorie à se faire belle alors qu’elle n’en a nul besoin. Autrement ce petit meuble n’est que purement décoratif. 
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 L’ensemble donne un air d’homogénéité pleine de pureté, qui correspond parfaitement à l’ange qu’elle est toujours à mes yeux même après tout ce qui s’est passé entre nous, et qui y a fait son nid. Ce qui est très éloigné de son métier d’actrice de films pornographiques, mais en même temps, porter des tailleurs stricts et chics ainsi que des escarpins à talons aiguille pour effectuer sa deuxième activité, ou la première selon le point de vue ne lui ressemble pas non plus.  
 C’est probablement la raison pour laquelle, pris du doute de savoir laquelle de ces trois femmes elle était en définitive, je me suis arrêté sur le pas de la porte la stoppant elle aussi car nous nous tenions toujours, et se méprenant au sujet de ma réaction elle s’est tournée vers moi et m’a proposé :
 ― Si ma chambre t’intimide mon Biquet, on peut aller dans la tienne.  ― Non, ce n’est pas ça… c’est juste que… tu as plusieurs facettes, alors… 
 Mon hésitation n’a pas eu l’air de la choquer ni de la décevoir, pas plus que de lui faire de la peine, mais au contraire il y avait une grande tendresse au fond de ses yeux, quand elle a caressé doucement mon épaule de sa main libre tout en m’expliquant :
 ― Je comprends qu’après tout ce qui t’est arrivé depuis hier tu sois déboussolé, mon Amour, car c’est peut-être allé trop vite pour toi. Mais la vraie Alessandra Volpetta c’est celle que tu as toujours connue, qui t’a aimé d’un amour inconditionnel dès ta venue au monde, et qui se tient devant toi en ce moment. Mes tenues de hardeuse mais aussi celles que je mets pour me rendre au bureau, ce ne sont que des panoplies que je retire quand j’ai terminé. 
 Puis elle a continué, tandis que je l’écoutais sans bouger :
 ― Maintenant et comme je te l’ai déjà proposé, si tu préfères que tout redevienne comme avant pour que tu puisses te consacrer entièrement à Chloé, il faut que tu me le dises franchement et je ne serai ni triste ni en colère, car la seule chose qui m’importe c’est ton bonheur. Si c’est ce que tu désires, nous ferons en sorte que ce qui s’est passé aujourd’hui devienne une parenthèse, uniquement destinée à marquer ton entrée dans le monde des adultes.  
 Tout a coup je me suis senti ridicule, j’ai lâché sa main pour poser les miennes sur ses deux joues, et je lui ai dit en la regardant droit dans les yeux :
 ― Non Man. J’aime la nouvelle façon qu’on a de s’aimer, et contrairement à ce que tu as l’air de penser moi aussi je l’assume. C’est juste que comme je te l’ai déjà, dit il me faudra un peu de temps pour m’y habituer, ce qui n’empêche pas que j’aie envie qu’on continue comme ça. 
 J’ai alors eu droit à un de ses sourires ravageurs, qui me montrait son soulagement même si elle avait parfaitement masqué ses émotions, et elle m’a répondu sur un ton légèrement ironique :
 ― OK, alors on va continuer puisque c’est ce que tu veux. Mais il faudra que dans ta tête je reste ta Maman de Baise, car moi ce qui m’importe avant tout, c’est que tu réussisses à avoir ta propre vie que ce soit avec ou sans cette petite blondinette, et que par la suite tu t’épanouisses en voyant grandir tes enfants. Même si bien entendu, je ne suis pas particulièrement pressée de devenir une grand-mère. 
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 Une nouvelle mise au point nécessaire à cause de mon manque de maturité venait d’être faite, et nous nous sommes séparés pour reprendre là où nous en étions restés, puisque Maman après un nouveau sourire est allée s’allonger tranquillement le dos sur sa couche. Elle a calé sa tête avec ses deux oreillers l’un sur l’autre pour que cette dernière se retrouve en hauteur, puis a écarté largement les jambes, sans se soucier que les talons aiguille de ses mules qu’elle avait toujours aux pieds fassent des dégâts. Que ce soit au niveau de la propreté car ils avaient martelé le sol une bonne partie de la journée, ou qu’ils abîment la literie parce qu’ils étaient relativement fins. 
 Sa vulve exposée ce qui était une invitation on ne peut plus explicite, elle a ensuite attendu patiemment que je me décide un air neutre affiché sur son visage magnifique. Il ne m’a pas fallu bien longtemps pour le faire, et j’ai grimpé à mon tour sur la couche qui n’a pas émis un seul bruit, bien qu’elle n’ait jamais été habituée à supporter le poids de deux personnes adultes en même temps. La différence étant que j’y suis monté par le pied en me mettant à quatre pattes, alors que ma maman l’avait abordée par le côté. 
 Me déplaçant comme un animal en la fixant jusqu’à ce que ma tête se retrouve à l’aplomb de son bassin, je lui ai demandé après m’être immobilisé :
 ― Tu veux que je te chauffe un peu avant, Man ?   
 J’ai eu droit à un petit sourire amusé, puis elle m’a répondu : 
 ― Ce n’est pas vraiment nécessaire, mais en même temps c’est une bonne habitude à prendre. Car il faut que tu saches, que toutes les femmes n’ont pas la même prédisposition à l’acte sexuel. Il y en a qui s’excitent dans leur tête et sont par conséquent prêtes à se faire prendre immédiatement, mais d’autres ont besoin d’être stimulées de manière physique, pour pouvoir arriver au même résultat. 
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 J’en ai déduit qu’appartenant à la première catégorie elle me laissait le choix, et c’est la raison pour laquelle j’ai abaissé le haut de mon corps en posant mes coudes sur le lit, plaçant dans le même mouvement mes mains sur ses cuisses à la peau douce. Puis sans attendre, ne la quittant cette fois pas des yeux j’ai donné un premier coup de langue sur sa vulve. 
 J’ai retrouvé avec grand plaisir son goût légèrement alcalin, et tandis que mon sexe prenait du volume je me suis appliqué à lécher toujours en la fixant, récoltant au passage la mouille qu’elle avait commencé à produire. Jusqu’à ce que Maman m’annonce, juste après un des geignements qu’elle s’était mise à émettre : 
 ― J’aime énormément ce que tu es en train de me faire, mon Biquet, mais je pense que le moment est venu de m’enfiler. 
 Elle n’a pas eu besoin de me le dire deux fois, et après m’être redressé je me suis à nouveau déplacé à quatre pattes, afin que ma tête se retrouve au dessus de la sienne. Elle a alors attrapé mon membre à présent bien raide sans aucune brusquerie mais fermement, en décalottant le gland elle l’a guidé en direction de l’entrée de sa grotte d’amour. Cette fois encore, il m’est impossible de décrire ce que j’ai ressenti en m’enfonçant lentement en elle, par manque de moyens de comparaisons, car c’était en même temps pareil et différend de quand j’avais pénétré dans son gosier, mais tout autant délicieux. 
 Quand nos deux bassins se sont touchés elle a changé de position, pour aller poser ses talons nus bien qu’ils soient toujours chaussés de ses mules sur mes fesses, et sentir leur contact sur mes muscles a encore augmenté mon contentement.
 Car indépendamment du fait que nous avions gagné un peu plus de profondeur, alors que nous n’en avions nul besoin car je n’ai pas à rougir de la longueur de mon sexe, même si elle n’a rien d’exceptionnelle, j’ai tout simplement eu le sentiment qu’elle voulait me retenir en elle, ce qui était dans ma tête un signe de pleine et entière acceptation de sa part. Tout comme le fait que dans le même mouvement elle avait posé ses mains sur ma nuque, alors que nos yeux ne s’étaient toujours pas quittés. 
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 Nous sommes restés quelques instants immobiles tandis que j’étais solidement planté en elle, et avant que je commence à bouger elle m’a fait remarquer :
 ― Tu lui ressembles tellement, que tu pourrais être son clone. 
 Comprenant immédiatement de qui elle parlait j’ai rapidement tourné la tête, afin de regarder la photo de mon père posée dans son cadre sur une des tables de nuit, pour constater que bien qu’elle soit en noir et blanc et lui en tenue de légionnaire Maman avait raison, et elle a ajouté :
 ― Mais ne vas surtout pas t’imaginer que je fais un transfert, car si vous êtes semblables physiquement vos caractères sont très différents, et j’aime ce que tu es autant que ce qu’il a été. 
 Je ne m’étais absolument pas posé la question, de savoir si la raison qui avait poussé la femme qui m’avait mis au monde à me proposer de devenir incestueux, était qu’elle voyait en moi le reflet de mon géniteur. Par conséquent avant même de m’en inquiéter j’étais pleinement rassuré, car elle venait de m’avouer que si j’étais son type d’homme, par rapport à ma physionomie et peut-être aussi mon côté athlétique, elle m’aimait également pour ma personnalité. Mais bon, bien que mon sexe soit enfoncé dans son corps jusqu’à la garde, elle restait tout de même ma maman et par conséquent elle ne pouvait pas être entièrement objective. Voire pas du tout... 
 Bien que j’avais le sentiment d’être à ma place il y avait toutefois une chose qui me gênait, c’est pourquoi j’ai tendu le bras dans le but de poser doucement l’image de mon père contre le plateau du petit meuble sur lequel elle était posée, en lui parlant très certainement pour la première fois :
 ― Il vaut mieux que tu ne voies pas ça, Papa. Car sinon, après tu risques de venir me tirer les oreilles pendant mon sommeil.  
 Cette remarque à fait glousser la mère de son fils, ce qui ne l’a pas empêchée de me dire ensuite très sérieusement et en changeant de sujet :
 ― Je sais que pour ta première fois tu vas être tenté de me pilonner la chatte, mais ça ne serait pas bon pour ton endurance car tu risquerais de t’emballer et de finir trop tôt. Alors efforce-toi de garder un rythme lent et régulier. 
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 Je me suis contenté de hocher la tête pour lui faire comprendre que j’avais pris bonne note de ce conseil, conscient que c’était dans notre intérêt à tous les deux, et à la force des bras je me suis soulevé pour faire revenir mon sexe en arrière, m’arrêtant avant que mon gland ne ressorte de son fourreau chaud et humide. 
 Alors que j’avais marqué un temps d’arrêt, j’ai eu droit à une nouvelle recommandation :
 ― Essaies de ne bouger que le bas de ton corps, mon Biquet. 
 Je me suis efforcé de faire comme elle me l’avait demandé, sentant bouger en moi des muscles dont je n’avais même pas avant conscience de l’existence, et tandis que je m’activais en elle, m’appliquant à garder une cadence mesurée bien que comme annoncé j’avais envie de me déchaîner, Maman en a profité pour rapprocher ma tête de la sienne grâce à ses mains toujours posées sur ma nuque. Après que nos lèvres soient entrées en contact elle a écarté les miennes avec sa langue, pour que cette dernière pénètre dans ma bouche.
 Nous avons commencé à nous embrasser langoureusement, moi avec un peu plus d’assurance qu’au matin, tandis que je faisais de lents allers et retour dans son vagin une volupté complétant l’autre, puis ma maman est entrée en action d’une autre manière, puisque j’ai senti son bassin se mettre à bouger. Elle ne le soulevait pas vraiment ce qui dans la position dans laquelle elle se trouvait lui aurait demandé trop d’efforts, mais il a plutôt commencé à avoir une sorte d’ondulation ce qui a décuplé le plaisir que je ressentais.   
 Pendant un court moment j’ai même craint que ce soit un bien pour un mal, car étant plus fortement stimulé je risquais de lâcher la purée avant l’heure, jusqu’à ce que je me dise pour me rasséréner que ça fonctionnait dans les deux sens. Car si pour moi l’instant de la jouissance s’en trouvait rapproché, ce devait être également le cas en ce qui concernait ma partenaire incestueuse. Ce qui n’était pas démenti par le fait que bien qu’ils soient étouffés par le bâillon que je lui faisais avec ma bouche, elle avait commencé à pousser des petits geignements qui augmentaient lentement et régulièrement en intensité, autant de signes de la montée de son plaisir. 
 Quant au mien il n’était pas en reste néanmoins j’étais très satisfait de constater qu’il restait gérable, mes nombreuses éjaculations depuis vingt-quatre heures plus le fait que je m’étais fait sucer trois fois, n’étant très certainement pas étrangers à mon endurance. J’ai par conséquent été fier de moi quand le vagin duquel j’étais sorti dix-huit ans plus tôt a été pris de convulsions, sous l’effet de l’orgasme que j’avais procuré à ma maman et alors que j’étais toujours en course. Ce qui m’a massé si délicieusement, que j’ai éjaculé pour la toute première fois dans sa grotte d’amour. 
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 Une fois vidé et repus je me suis affalé sur Maman, aidé par ses talons qui n’avaient pas quitté mes fesses exerçant à présent dessus une pression bien plus grande, et nous sommes restés immobiles toujours emboîtes l’un dans l’autre, avant qu’elle se décide à me lâcher au bout d’un moment que j’ai été incapable d’évaluer. Pendant ce temps j’avais senti mon sexe toujours en elle se dégonfler, quand je me suis redressé à la force des bras il est ressorti dans un bruit de succion, et je me suis fait rouler sur le côté afin de me retrouver allongé moi aussi sur le dos . 
 La première chose qu’elle m’a dite a été :
 ― J’étais certaine que tu serais un bon amant, mon Biquet. Et vue la manière dont tu t’es comporté pour ton dépucelage, quand tu auras de l’expérience, tu seras capable de faire grimper dans les tours même les femmes les moins motivées. 
 Je suis devenu écarlate en entendant cet énorme compliment, ce qui ne m’a pas empêché de garder la tête froide et c’est pourquoi j’ai demandé :
 ― Mais il paraît quand même que vous les actrices vous simulez le plaisir, et que d’autres le font également pour flatter l’ego de leur partenaire.  ― Sauf que là je ne suis pas au boulot mais avec mon Fils de baise. Alors si je n’avais pas joui, au lieu de te le faire croire je t’aurais expliqué que ce n’était pas grave, surtout pour un novice, et nous aurions cherché un moyen d’améliorer tes performances. Mais je peux t’assurer que tu as été à la hauteur de mes attentes, et qu’en tant que mère je suis très fière de toi.  ― Merci Man. ― Et pour ce qui est de mon deuxième métier, il ne faut pas croire que nous les actrices sommes des machines, incapables de ressentir quoi que ce soit, à force de nous être faites trop souvent enfiler. Bien entendu que nous avons du plaisir, surtout que les hommes ne sont pas sélectionnés contrairement à ce que beaucoup pensent, par rapport à la taille de leur sexe mais en fonction de leur endurance. Même si les dimensions de leurs membres comptent au niveau de l’esthétique, et permettent de filmer des positions improbables dans la vraie vie. Le problème, c’est que nous les femmes jouissons rarement au bon moment du point de vue du réalisateur, alors oui nous simulons, mais c’est juste pour faire croire que le timing est idéal. 
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 Je n’avais pas de commentaire à faire, même si j’étais heureux d’avoir procuré à ma maman un orgasme de cette manière, et elle a abordé un autre sujet en hésitant légèrement :
 ― J’aimerais que tu me donnes ton avis… sur la manière dont ça doit se passer à présent.  ― Pourquoi, maintenant que tu m’as dépucelé, tu n’as plus envie d’être ma Maman de baise ? ― Bien sûr que si, et autant que tu le voudras. Mais justement puisque toi et moi on n’est que ça, je voulais parler de la façon dont nous devons passer nos nuits.  
 Comprenant où elle voulait en venir et pourquoi elle tournait autour du pot, je lui ai répondu en prenant un air nettement ironique :
 ― Ah je vois, maintenant que tu as pris ton pied et que tu n’as plus besoin de moi, tu as envie que je me casse pour te laisser tranquille. Sauf que tu ne sais pas comment me l’avouer, de peur de me froisser. 
 J’ai immédiatement reçu une tape sur l’épaule destinée à me faire comprendre que j’avais dépassé les bornes, sauf qu’elle n’était pas assez appuyée pour être convaincante, alors prenant mon élan je me suis retourné tout en me déplaçant pour me retrouver au dessus d’elle, et l’attrapant par les poignets afin de l’empêcher de me frapper à nouveau, je lui ai annoncé :
 ― Bon OK, je vais m’en aller pour te prouver que je suis un garçon obéissant. D’autant plus que je n’ai pas envie, d’être dérangé par tes ronflements.
 Elle s’est débattue mollement, avant de faire semblant d’être en colère :
 ― Espèce de Fils de Pute, je ne ronfle même pas !  ― Comment tu peux le savoir, puisque dans ces moments-là tu dors ? ― Ne me dis pas que tu m’as entendue ?!  ― Non, je ne te le dirai pas. En attendant, avant de partir je veux que ma cochonne de maman me donne un dernier baiser bien baveux, pour me souhaiter de passer une bonne nuit. 
 Plus que consentante elle a redressé sa tête pour l’approcher de la mienne, nos langues ont tourné l’une autour de l’autre pendant une bonne minute, puis je l’ai relâchée, je me suis levé et je suis allé me coucher dans mon lit. 
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