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Une douceur de Miel

Chapitre 11

Pile face au miroir.

Inceste
Après nous être dit bonjour et que Maximilien soit venu nous rejoindre, nous nous sommes installés pour prendre l’apéritif dans le salon des Vernier, obligeamment servi par les deux cadets de la famille Emma et Alexis. Tandis que je m’habituais à leurs nudités assez fier de moi, puisque mon sexe n’avait pas réagi aux présences féminines, une petite chamaillerie a éclaté ce qui a fini de me détendre. En tout cas momentanément, car si tous étaient d’accord pour dire que mettre une musique d’ambiance serait une bonne idée, par contre au niveau du choix il y avait des divergences d’opinions. 
 La mienne m’a alors été demandée pour les départager, et devant décider entre Evanescence proposé par la plus jeune des filles, Coldplay suggéré par sa sœur aînée et Bob Marley prôné par Lucas, le quatrième enfant et les parents n’ayant pas d’avis sur la question, j’ai embrassé la cause de Léa. Ce qui m’a valu des soupirs entendus ainsi que des sourires légèrement ironiques, si bien que je suis immédiatement devenu écarlate et sans voix, ce qui a obligé ma maman à venir à mon secours :
 ― C’est son groupe préféré, alors si vous ne vouliez pas qu’il tranche il ne fallait pas lui demander son avis.  Elle s’était exprimée de sa voix douce pourtant personne n’a mis sa parole en doute, ce qui était une bonne chose car elle venait de dire la stricte vérité, et bien que nous soyons entre amis je ne sais pas comment elle aurait réagi, si quelqu’un avait ne serait-ce que laissé entendre qu’elle puisse mentir afin de me couvrir. Vu que même si d’aussi loin que je me souvienne ça n’était arrivé qu’une fois devant moi, je savais à présent qu’elle était capable de se mettre en colère, alors que Max et les autres eux par contre semblaient l’ignorer. 
 L’incident étant clos et tandis que l’album A Head Full of Dreams se faisait entendre en sourdine, nous avons bu tranquillement nos verres, tout en discutant de choses qui n’avaient rien à voir avec le métier que la majorité d’entre nous exerçaient, ni même plus simplement le sexe. Ce qui a eu pour résultat que je n’ai pas tardé à retrouver toute ma sérénité, alors que j’étais assis à côté de celle que j’avais mentalement surnomméeLa Féline
 Cependant je dois préciser au sujet de Léa qu’elle se comportait plus avec moi comme une grande sœur, qu’une panthère guettant un biquet égaré dans la savane. Si étant enfant unique je n’avais pas l’habitude de ce genre d’attentions, cela a toutefois eu le don de me mettre en confiance, et cette attitude de sa part a très certainement contribué à ce quePopaul reste sagement à sa place. 
 Bien entendu ce petit manège avait lieu sous l’œil attentif de ma maman, car bien qu’étant très discrète et ne nous regardant pas plus souvent que les autres, j’étais convaincu qu’elle nous observait afin de s’assurer que tout se passait au mieux pour moi. 
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 Nous sommes ensuite passés à table dans leur salle à manger et Margaux qui s’était absentée plusieurs fois, dans le but d’aller à la cuisine afin de s’assurer que son plat principal mijotait normalement, nous a servi en entrée du melon au porto avec son jambon cru, puis une blanquette de veau accompagné de riz blanc, et après un plateau de fromage bien garni.
 Personne pendant ce très bon repas familial que nous avons dévoré avec appétit, complimentant au passage la cuisinière, n’a fait la moindre allusion à mon exclusion temporaire du lycée. Alors qu’ils étaient probablement tous au courant, car Emma je le savais avait assisté de loin à mon coup d’éclat. J’ignorais si Maman avait annoncé a son amie la première fois qu’elles s’étaient parlées au téléphone le matin, que la nature de notre relation avait changé. Tous se comportaient comme de parfaits nudistes, du moins d’après l’idée que j’en avais, et j’ai fini par me sentir comme un poisson dans l’eau. 
 Ce n’est qu’au moment du dessert que j’ai à nouveau piqué un fard, puisque la maîtresse de maison et la plus jeune de ses filles se sont levées pour aller chercher le dessert, et quand elles sont revenues sur une des deux tartes étaient plantées des petites bougies allumées. Une fois qu’elles ont été posées sur la table, tout le monde à commencé à chanter en cœur Joyeux Anniversaire, si bien que je ne savais plus où me mettre.
 Car étant enfant puis adolescent, je n’avais jamais pour ces occasions émis le souhait d’organiser des fêtes afin d’inviter mes copains, ce que ma maman avait parfaitement accepté et respecté, étant donné que j’avais hérité de son penchant pour l’intimité de notre foyer. Ce qui ne faisait pas pour autant de moi un ours car j’avais des camarades d’école et des amis, mais nous nous voyions principalement en dehors de la maison. En résumé la femme de ma vie et moi nous nous suffisions à nous-mêmes, car l’affection que nous nous portions mutuellement faisait tout simplement notre bonheur. 
 Alors que là nous étions au milieu d’un autre genre de famille, beaucoup plus conviviale, ce qui sans vraiment me déranger m’intimidait un peu, et réussissant tout de même à maîtriser mes émotions c’est toujours les joues légèrement rouges, que j’ai soufflé les dix-huit petites flammes. Ensuite je me suis levé pour que tout le monde, y compris les deux qui m’avaient serré la main à mon arrivée, vienne me faire la bise. Puis Maximilien s’est fait le porte-parole des siens :

 ―Comme c’était pas prévu que vous veniez on a pas acheté de cadeau, mais le cœur y est. 
 J’étais soulagé de l’apprendre car je dois préciser que je déteste les surprises, sauf quand elles me viennent de ma maman qui me connaît par cœur, et sait par conséquent quels sont mes envies et mes besoins. Ce n’est pas que je n’aime pas qu’on me fasse un cadeau, mais quand ce dernier ne me plaît pas ou me déçoit, cela m’oblige à faire semblant que c’est le contraire, or je n’aime pas mentir. C’est par conséquent le cœur léger que j’ai répondu : 
 ― C’est l’intention qui compte.
 Puis j’ai ajouté, avant de me rasseoir :
 ― En plus ne comptez pas sur moi pour vous faire un discours, parler en public c’est pas trop mon truc... 
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 Après que nous ayons bu le café dans le salon et que je sortais des toilettes, dans lesquelles je venais de faire la petite commission, Maman qui m’attendait devant la porte m’a demandé à l’abri des oreilles de nos hôtes : 
 ― Tu préfères rester encore un peu, ou qu’on rentre mon Biquet ? ― Tu sais, à partir du moment-où c’est avec toi je suis bien partout. Alors c’est comme tu veux. 
 J’ai eu droit à un de ses magnifiques sourires qui me font fondre le cœur, puis elle a tranché en caressant doucement mes fesses nues :
 ― Dans ce cas on va y aller, car j’ai envie de profiter encore un peu de toi avant de reprendre le boulot demain. 
 Cette annonce était une promesse alors indépendamment de la proximité de la superbe Léa, qui bien que j’avais réussi à n’en rien laisser paraître me fascinait non seulement à cause de sa beauté, mais également par rapport à ses penchants sexuels, pour la première fois depuis que j’étais arrivé j’ai senti qu’il se passait quelque chose au niveau de mon sexe. 
 En prenant conscience probablement à cause de la tête que je devais faire, la femme de ma vie m’a annoncé sur un ton légèrement ironique :
 ― J’espère que tu vas arriver à te retenir au moins jusqu’à ce qu’on se soit rhabillés, mon Amour. Car tu as eu une attitude exemplaire, bien que la situation était toute nouvelle pour toi, et ce serait dommage de craquer au dernier moment. 
 Elle a cajolé à nouveau mon postérieur ce qui n’était pas fait pour me calmer, si bien que ne la connaissant pas par cœur et la sachant incapable de me mettre volontairement dans l’embarras, je me serais demandé si elle n’était pas en train de me provoquer par malice, afin que je me donne en spectacle, et elle a ajouté :
 ― En même temps ça ne serait pas un drame, car se mettre à bander à un moment inopiné, peut arriver à n’importe quel homme en bonne santé. 
 J’ai réussi à chasser de ma tête les idées qui m’étaient venues, au sujet de la manière dont notre après-midi allait se passer, et c’est la raison pour laquelle je suis resté digne selon ma propre conception de la chose, quand nous avons pris congé de nos hôtes qui n’ont pas semblé surpris que nous partions si tôt, sans même boire un digestif. 
 C’est Margaux qui nous a raccompagnés dans l’entrée de leur maison, et une fois que nous avons été rhabillés à ma grande surprise ma maman lui a annoncé :
 ― La prochaine fois c’est moi qui vous inviterai. Notre salon est plus petit que le vôtre, mais on se serrera. ― De toute façon, on ne sera pas obligés de tous venir… ― Ça sera à chacun de vous de décider s’il en a envie ou pas, car de mon point de vue, il n’est pas question de mettre un seul membre de votre famille de côté. 
 Nous nous sommes ensuite fait la bise, puis on est rentrés chez nous. 
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 Une fois arrivés sur place nous nous sommes remis nus et avons changé de chaussures, Maman a enfilé ses mules et moi mes espadrilles, ensuite elle m’a demandé :
 ― Qu’est-ce que tu dirais d’une bonne petite levrette, mon Biquet.  ― Je dirais tout simplement, que je suis le plus veinard des Fils de Putes. ― C’est plutôt moi qui ai de la chance, d’être ta Maman de Baise ― Justement puisqu’on parle comme ça, j’ai un léger problème.  ― Ah bon, et lequel ? ― Eh bien je trouve ça fun qu’on se traite dans ces moments-là, surtout si ça t’excite et qu’après tu jouis plus fort. Mais ce qui me fait un peu peur, c’est que ça m’échappe dans une autre situation.  ― C’est vrai que ça pourrait être gênant, mais il ne faut pas non plus que tu te tourmentes, car ça n’aurait rien de dramatique.  ― C’est tout ? ― Oui c’est tout. Tu es à présent adulte alors si tu commets un écart de comportement, je ne te gronderai pas comme quand tu avais 10 ans. Il te suffira d’assumer, et de t’excuser auprès des personnes présentes.  ― Et il n’y aura pas de représailles ? ― Quelle sorte de mère je serais, si je te punissais après t’avoir incité à la faute mon Biquet ? Maintenant si tu as envie de recevoir une fessée adresse-toi à Léa, car j’ai cru remarquer que le courant passait bien entre vous.  ― C’est vrai qu’après ce que tu m’as raconté à son sujet, je m’attendais à me retrouver en face d’une mangeuse d’hommes. Alors que là si au début elle m’a impressionné, elle s’est plutôt comportée comme une grande-sœur avec moi, alors ça m’a mis en confiance.  ― Une grande Sœur de Baise ? ― Tu es jalouse Man ?  ― Bien sûr que non, qu’est-ce que tu vas t’imaginer ? ― Non parce que c’est vrai qu’elle est canon, sauf que moi je n’ai rien remarqué d’équivoque dans son attitude. Toi si ? ― Non, tu as raison. Et à plus d’un titre, car j’ai constaté que quand elle te regardait, il y avait de la tendresse au fond de ses yeux. Ce qui était assez étonnant de sa part.   ― Mais puisque tu as parlé de Sœur de Baise, est-ce que les Vernier pratiquent eux aussi l’inceste ? ― Oui, et c’est en partie ce qui m’a incitée à te le proposer, car du coup ça m’a semblé naturel.  ― Et ils sont au courant, pour nous ? ― Aussi, car j’ai trouvé normal que si je savais pour eux, ils sachent également pour nous. J’ai fait mon coming-out ce matin auprès de Margaux, quand on a discuté au téléphone la première fois, et je lui ai donné pour consigne d’attendre qu’on soit repartis, avant de l’annoncer aux autres. Je voulais que ton premier repas nudiste se passe le plus normalement possible, et qu’aucune allusion au sexe ne soit faite. Ce qui risque d’arriver par la suite, même s’il ne sera pas question qu’on se mélange dans ces occasions, vu que nous avons décidé elle et moi, que nous resterons deux familles qui s’invitent dans le but de passer ensemble des moments conviviaux. 
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 Tandis que je l’écoutais sagement comme un bon fils car j’avais le sentiment qu’elle n’avait pas terminé, Maman a ajouté après une courte pause :
 ― Bien entendu s’il y a des affinités entre toi et une de leurs filles, pour ne pas citer Léa en particulier, rien ne vous empêchera de vous voir en parallèle. Comme tu me l’as affirmé hier Chloé pourrait sortir de ta vie, ou plutôt ne pas y entrer, si elle réagit mal en apprenant ce que je suis. Et si c’est ce qui arrive même si je souhaite le contraire, car je reste convaincue que vous formeriez un très beau couple, il faudra bien que tu fasses ton deuil d’elle d’une manière ou d’une autre.  ― Franchement et sans vouloir t’offenser, je ne sais pas si je pourrais me mettre en couple avec une actrice de films de boules. En plus même si Léa me plaît, elle a quand-même trois ans de plus que moi.  ― L’âge n’a aucune importance, à partir du moment-où vous êtes adultes tous les deux. Quant à son métier, si tu veux mon avis elle y a juste vu un moyen de gagner rapidement de l’argent, tout en s’éclatant. Par conséquent rien ne dit qu’elle serait incapable d’y renoncer, et se consacrer par la suite à faire le bonheur d’un seul homme, serait une belle preuve d’amour à lui donner. Qu’il s’agisse de toi ou d’un autre.  ― Toi, tu en serais capable Man ? ― Bien entendu, et étant donné que je ne rajeunis pas, ça serait plus facile pour moi que pour elle. Mais ce serait à la condition de tomber sur la bonne personne, une en qui je pourrais placer totalement ma confiance, et qui ne viendrait pas me balancer mon passé à la figure, dès que les choses n’iraient plus aussi bien qu’au début de notre relation.  
 Indépendamment de ce qui lui était arrivé avant de devenir actrice, c’était je pense tout le drame de la vie affective de ma maman, car elle avait le sentiment en entamant cette carrière d’avoir mis le doigt dans un engrenage, et de ne pas pouvoir le retirer. C’était j’en étais convaincu la raison pour laquelle, elle avait reporté tout l’amour qu’elle était capable de donner sur moi, mais en prenant bien garde de ne pas m’étouffer avec, de manière à ce que je puisse grandir en m’épanouissant. 
 Pour cela je ne l’en aimais que davantage, alors afin de le lui montrer je l’ai prise dans mes bras et je l’ai cajolée, comme l’aurait fait un fils tout à fait ordinaire, allant jusqu’à oublier la proposition qu’elle m’avait faite un peu plus tôt.  
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 C’est pourtant Maman qui me l’a rappelée, étant donné qu’au bout d’un petit moment et toujours blottie contre moi, elle m’a demandé en prenant une voix de petite fille plaintive, qui m’a mis sourire le sourire aux lèvres :
 ― Et ma levrette, alors ?
 Je lui ai cependant répondu très sérieusement :
 ― Tu ne préférerais pas que je te bouffe le cul, comme tu me l’as fait ce matin ? ― C’est une bonne idée Fils de Pute. En plus après y avoir mis ta langue, tu pourrais y enfoncer ta bite. 
 J’étais assez enthousiaste à cette idée, comme la veille elle m’a pris par la main pour m’entraîner jusque dans sa chambre, et arrivés sur place je n’ai eu cette fois aucune hésitation, si bien qu’elle m’a lâché pour aller se mettre à quatre pattes sur son lit. Quand j’y ai grimpé à mon tour dans le but de m’installer derrière elle, elle a redressé son buste pour attraper les colonnes à chaque coin de la couche, qui n’ont pas bronché témoignant ainsi de leur robustesse. 
 Dans le même mouvement elle avait écarté largement les cuisses tout en les repliant, ce qui a eu pour effet que le bas de ses fesses est resté suspendu dans le vide, entre ses talons nus, le reste de ses pieds étant toujours chaussé de ses mules à talons aiguille. Autre conséquence ses miches se sont séparées l’une de l’autre, dévoilant ainsi le fond de sa raie avec en son milieu son œillet fripé. 
 Évitant de penser à quoi il servait le me suis allongé en prenant appui sur mes coudes, et j’ai donné un premier coup de langue de bas en haut, étonné quand elle est passée sur sa rondelle de trouver à cette dernière un goût, qui s’il était légèrement âcre n’avait rien pour autant de dégouttant. De plus elle était bien plus souple que la mienne, car cette simple caresse qui ne s’était pourtant pas attardée avait suffi pour la faire réagir. Un trou minuscule et sombre de la taille d’une tête d’épingle étant apparu en son centre, comme pour m’inviter à aller plus loin, dans mon inspection de la caverne bien plus grande qu’elle obstruait encore. 
 Je me suis donc appliqué à la lécher sans relâche, trouvant sa flaveur de plus en plus suave au fur et à mesure que je m’y habituais, et j’étais épaté qu’elle s’ouvre si rapidement tout en se défroissant, pour former une bague de chair de plus en plus lisse. Ma maman qui appréciait que je m’occupe d’elle de cette façon, s’étant mise à pousser des petits geignements qui s’ils avaient des intonations plaintives, n’en étaient pas moins provoqués par le plaisir qu’elle était en train de ressentir.
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 J’ignorais s’il m’était possible de la faire jouir ainsi, et alors que dans le doute j’étais prêt à envoyer une de mes mains sur sa vulve, afin de la caresser pour la stimuler de deux manières différentes comme ça s’était passé pour moi, je l’ai entendue me dire :  
 ― Il est temps que tu encules ta salope de mère. 
 Sans attendre que je réagisse elle s’est redressée pour se retrouver à genoux, ajustant la hauteur de ses mains sur les colonnes tout en se cambrant, si bien que j’ai été obligé de faire comme elle, libérant mon sexe qui n’avait pas manqué de se tendre sous moi, car j’avais pris beaucoup de plaisir à lui en donner. Je me suis ensuite rapproché d’elle décalottant mon gland, et le posant contre sa rondelle qui ne s’était pas complètement refermée, j’ai demandé :
 ― Je ne suis pas sensé te lubrifier un peu avant pour que tu aies pas mal, Maman de Baise ? ― T’inquiète Fils de Pute, avoir les yeux qui piquent me convient parfaitement. J’espère d’ailleurs que tu n’oublieras pas de me triturer les tétons, afin d’augmenter mes sensations. 
 C’est à ce moment-là que je me suis rendu compte que son reflet était en train de me fixer, car on se trouvait juste en face du miroir sur pied, et le fait que je sois plus grand ajouté à celui que contrairement à elle mon dos était droit, je la dépassais d’une tête. Bien qu’elle m’ait demandé de m’occuper de ses gros seins je l’ai en premier attrapée par la taille, et reculant mon bassin tout en ajustant la position de mes genoux, je me suis ensuite remis d’aplomb m’enfonçant en elle avec délectation.
 Tout au long de la pénétration Maman a poussé un gémissement, très certainement provoqué par la douleur de l’écartèlement, et cette fois mes sensations étaient très différentes. Car si mon membre était enserré par sa bague de chair qui essayait de le comprimer, cette dernière franchie il n’était plus tenu mais semblait au contraire flotter, ce qui me procurait un plaisir inédit et délicieux. 
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 Quand mon bassin est venu au contact de ses fesses rebondies je me suis immobilisé, puis renseigné :
 ― Ça va ma Salope ? Tu la sens bien la queue de ton Fils de Baise ? ― Oh que oui petit Saligaud. Ta grosse bite est en train de me déchirer le cul, mais j’adore ça. 
 Puis elle a ajouté, tandis que je la regardais dans le miroir avec le sourire aux lèvres :
 ― Je ne vais pas me tirer avant la fin, alors lâche mes poignées d’amour et occupes toi plutôt de mes nichons. 
 Bien entendu comme un bon garçon doit toujours le faire avec sa maman je lui ai obéi, empaumant ses gros seins, puis j’ai reculé lentement mon bassin tandis qu’elle faisait avancer le sien, nous arrêtant juste avant que mon gland ne ressorte pour repartir en sens contraire. Au début nous sommes allés doucement car nous étions obligés de forcer un peu, les petits geignements qu’elle poussait en étant le témoignage, cependant cela m’a permis de prendre mes marques et en même temps de l’assurance. 
 Comme elle me l’avait demandé je n’ai pas manqué de peloter ses mamelles, autant pour le plaisir que m’éviter d’avoir des reproches, et alors que mon membre coulissait plus librement ce qui nous permettait de nous emboîter l’un dans l’autre moins lentement, je me suis dit que le plaisir ayant probablement remplacé la douleur à cet endroit, il était temps que le martyrise un peu ses tétons. Je n’avais aucun remord à ce sujet puisque je savais que c’était ce que ma maman attendait de moi, et tandis que je faisais pivoter ses piercings entre mes doigts ce qui lui provoquait des petits couinements, je la sodomisais avec délectation.  
 Bien que tout cela soit entièrement nouveau pour moi, me comporter de cette manière me semblait assez naturel, et la seule chose qui m’étonnait tandis que nous nous fixions toujours grâce au miroir, c’est qu’en plus du fait de pouvoir lire la montée de son plaisir sur son superbe visage, j’avais la très nette impression de voir au fond de ses yeux non moins magnifiques un débordement de tendresse. Ce qui me donnait le sentiment que j’étais parfaitement à ma place, comme si me retrouver dans cette situation à présent que j’étais devenu un homme, était l’aboutissement de l’éducation que j’avais reçue depuis le jour de ma naissance. 
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 Ayant perdu toute notion de durée, l’accroissement de mon plaisir étant lent et régulier si bien que je n’avais aucun point de repère, j’ignore pendant combien de temps j’ai sodomisé ma maman. La seule chose qui m’importait d’ailleurs était d’arriver à tenir la distance, cependant même si j’avais la chance de faire coulisser la queue dans l’anus d’une des plus belles femmes que je connaissais, justement notre complicité faisait que je restais serein. 
 J’ai tout de même été heureux quand ses contractions surlignées par un gémissement clair et mélodieux, ont annoncé l’arrivée de son orgasme, et le fait d’en être grandement stimulé a provoqué mon éjaculation. J’ai grogné mon plaisir au rythme des jets de sperme qui jaillissaient dans le fondement maternel, alors que nous nous étions immobilisés nos bassins collés l’un à l’autre, et comme la fois précédente j’ai éprouvé le besoin de cajoler les gros seins de ma maman, afin qu’ils me pardonnent ce que je leur avais fait subir. 
 Quand nous avons été remis de nos émotions nous sommes restés quelques instants sans bouger, ma queue toujours plantée en elle se dégonflant lentement, et j’en ai profité pour lui faire remarquer avec humour :
 ― Ça serait encore plus fun si je t’attachais aux poteaux, hein ma Salope ?  
 Je m’attendais à une protestation de sa part, c’est pourquoi j’ai été surpris de l’entendre répliquer :
 ― Figure-toi que j’ai des paires de menottes, mais pas des vraies car elles sont en cuir pour ne pas laisser de trace. Sauf que je ne te les ai pas proposées, parce que je ne savais pas si tu étais prêt pour ça.  ― Et le miroir comme les piliers aux quatre coins de ton lit, ils sont là depuis le départ pour que tu te fasses prendre de cette manière ? ― Disons que jusqu’à présent ils l’étaient au cas où l’occasion se présenterait. Même si jamais je n’aurais imaginé jusqu’à très récemment, que ce serait avec toi qu’ils serviraient pour la première fois de cette façon. Car tu es bien placé pour savoir que je n’ai jamais ramené d’homme à la maison, alors leur unique utilité avant que tu deviennes mon Fils de Baise, a été d’embellir ma chambre. 
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