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Une douceur de Miel

Chapitre 14

Les aveux.

Inceste
Après le départ de Chloé je me suis remis nu avant d’aller retrouver ma maman, qui était dans la cuisine en train de préparer notre repas du soir, toujours habillée mais ayant enfilé sa tenue d’intérieur d’avant, plus confortable que son tailleur. Elle avait également changé de coiffure, étant donné que ses cheveux étaient à présent retenus par une queue de cheval haute, et en arrivant je lui ai annoncé :
 ― Elle est partie… 
 Alors qu’elle me tournait le dos elle m’a fait face pour me regarder avec tendresse, puis elle m’a demandé :
 ― Et tu es triste, mon Biquet ? ― Pas tant que ça, puisque je sais que je vais la revoir.  ― Et pour moi, elle est courant ? ― On n’en en a pas vraiment parlé, mais quand elle a su qu’on est nudistes elle m’a dit qu’elle était idiote de ne pas y avoir pensé. Alors sauf si elle s’imagine que tous les gens de la classe moyenne vivent à poil, ça implique que pour toi elle sait. 
 Ma dernière phrase l’a faite sourire, et elle a répliqué tandis qu’elle recommençait à cuisiner :
 ― C’est une fille intelligente, alors je doute fort qu’elle établisse des généralités sur ceux qui ne sont pas comme elle. Donc nous pouvons partir du principe qu’elle accepte ce que nous sommes, ou en tout cas en partie. Ce qui t’amène à la croisée des chemins, mon Amour.  ― Comment ça ? ― À partir de maintenant tu as deux options. Soit toi et moi on arrête notre relation incestueuse et tu te consacres à Chloé. Soit on continue et parce que tu es un garçon honnête, tu lui avoues la vérité. Mais dans le deuxième cas tu vas devoir jouer à quitte ou double, car elle peut accepter la situation tout comme la rejeter. Autrement dit, tu risques de perdre tout ce que tu as déjà gagné.  ― Mais… et toi ? Je ne veux pas non plus te mettre de côté, comme si j’étais un enfant gâté qui range au fond d’un placard un jouet dont il ne veut plus, parce qu’il en a reçu un autre qui lui plaît mieux parce qu’il est neuf.  ― Je te fais pitié à ce point, que tu t’imagines que personne d’autre ne voudra me sortir de ce placard ? ― Non c’est pas ça, tu es magnifique. Sauf que j’ai remarqué que depuis qu’on fait des cochonneries ensemble, tu es plus heureuse qu’avant. ― C’est vrai que j’y prends énormément de plaisir, autant mental que physique, mais tu te trompes sur la raison de ma gaieté. Car elle vient tout simplement du fait que je ne suis plus obligée de te mentir, et que surtout tu as accepté, sans même remettre en question un seul instant l’amour que tu as pour moi, le fait que je ne suis qu’une salope qui accepte de baiser avec des hommes devant des caméras. 
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 Vue comme ça la situation était légèrement différente ce qui m’enlevait un poids des épaules, mais il en restait encore et c’est la raison pour laquelle j’ai continué à argumenter :  
 ― Il y a quand même un problème car si je veux être honnête jusqu’au bout, je devrai avouer à Chloé ce qui s’est passé entre toi et moi.  ― Tu pourrais également lui mentir par omission, ce qui serait moins grave. Car je te rappelle que ce qui est arrivé avant qu’elle entre dans ta vie, ne peut pas être considéré comme étant de la tromperie. ― Sauf que je n’en ai pas envie, car je veux qu’elle sache qui je suis vraiment.  ― Dans ce cas c’est à toi d’évaluer les conséquences que ça pourrait avoir, et d’être prêt à les assumer. Car il ne faut surtout pas compter sur moi, pour t’influencer que ce soit dans un sens ou dans l’autre. Tu es à présent un homme, donc tu vas devoir commencer à prendre seul tes décisions. Sauf celles qui auront un rapport direct avec ta vie de couple, car dans ce cas ta partenaire quel que soit votre statut civil, sera partie prenante.  ― Je vais donc en discuter avec Chloé, car elle doit m’appeler ce soir à neuf heures et demi. En attendant, vu que notre relation n’a pas encore commencé et que peut-être elle ne le sera jamais, je peux considérer que tu es toujours ma Maman de baise ? ― Ça c’est à toi de le décider Fils de Pute, car si comme je te l’ai déjà dit je ne te pousserai dans aucune direction, je ne vais pas non plus te rembarrer. 
 Suite à cette affirmation je me suis approché d’elle alors qu’elle était toujours de dos, car nous avions discuté pendant qu’elle continuait à préparer notre repas, et sans aucune hésitation j’ai posé une main sur son ventre moelleux, le caressant à travers le tissu de son sweat-shirt XXL. Ne provoquant pas de réaction négative j’ai passé l’autre dessous, pour la placer en haut de son bas de jogging lui aussi en coton, sentant son sexe chaud à travers.  
 Elle m’a alors fait remarquer, sur un ton ironique :
 ― Ça va te faire beaucoup de choses à confesser à ta Chérie, mon Biquet.  ― En même temps, je ne serai pas non plus obligé de lui raconter tous les détails…
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 Cette répartie a fait glousser ma maman de rire et pour bien me montrer qu’elle était complice de ma duplicité, car j’avais conscience qu’il s’agissait de cela, elle s’est cambrée dans le but de coller ses fesses contre mes hanches. Sauf que chaussée de ses mules à talons plat que je pensais ne plus jamais revoir, elle mesurait quinze centimètres de moins que moi, si bien que son postérieur est venu en contact avec le haut de mes cuisses, et pas mon bassin. 
 Quand elle s’en ai rendue compte cela l’a amusée encore plus, elle a posé le couteau qui lui avait servi à émincer des tomates, essuyé ses mains avec un torchon, puis elle a retiré son haut sous lequel elle ne portait rien en levant les bras avant de le jeter par terre, pour ensuite faire glisser son bas le long de ses jambes, et tout en se déchaussant se retrouvant comme au jour de sa naissance, elle m’a demandé :
 ― Tu as besoin que je te stimule, mon Biquet ?
 Je n’ai pas eu besoin d’ouvrir la bouche pour répondre me contentant d’afficher un air légèrement ironique, étant donné que mon sexe en voyant son corps superbe, avait commencé à prendre du volume pour se dresser lentement. Une fois qu’il a été bien raide elle l’a décalotté, puis un petit sourire satisfait aux lèvres elle a contourné le comptoir américain, en annonçant : 
 ― Il faut parfois savoir se hisser, à la hauteur de ses ambitions.
 Lu emboîtant le pas je n’ai pas tardé à comprendre ce qu’elle avait voulu dire, car après avoir reculé un des tabourets hauts elle a grimpé dessus, mais d’une manière inhabituelle vu qu’elle a placé ses pieds nus de chaque côté sur les barreaux qui servaient à renforcer sa solidité, les orteils vers l’intérieur. Ensuite elle s’est penchée en avant pour poser ses coudes bien écartés sur le bar, ses mains se rejoignant pour que ses doigts s’entrecroisent, puis elle appuyé son menton dessus et a attendu tranquillement. 
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 Cette position n’était pas sans me faire penser à un batracien, étant donné que ses jambes étaient pliées et qu’elle était ramassée sur elle même, mais une grenouille mutante qui aurait également été mammifère. Son buste a l’horizontale se trouvant entre l’espace séparant son siège du comptoir, ses gros seins que j’aimais tant pendaient librement dans le vide. Son sexe par contre m’était difficilement accessible parce que face à l’assise du tabouret, contrairement à son anus parfaitement visible ses fesses s’étant écartées l’une de l’autre, qui plus est dans la position idéale, car comme j’étais venu me placer derrière elle il me faisait face. 
 Je n’avais donc pas besoin de me renseigner ni de faire preuve d’imagination, pour savoir ce que ma partenaire incestueuse attendait de moi, je me suis par conséquent approché d’elle jusqu’à ce que mon gland vienne se poser contre son œillet fripé, puis l’ayant prise par la taille j’ai demandé afin de n’avoir aucun remord par la suite :
 ― Toujours sans lubrifiant, Maman de baise ? ― Oui Fils de Pute. Seuls les grands cul classés se dégustent à petites gorgées, avec les cochonnes dans mon genre c’est cul-sec.
 J’ai donc sans hésiter donné un coup de reins pour m’enfoncer en elle, et pendant tout le temps de la pénétration alors que sa rondelle avait été écartelée, elle a poussé une plainte qui ne m’a pas ému plus que ça, puisque je savais que c’était ce qu’elle attendait de moi. Quand mon bassin est venu au contact de son postérieur rebondi j’ai marqué un temps d’arrêt, afin de prendre le temps de lui poser une autre question :
 ― Bon, tu veux quoi au juste ? Que je te défonce le cul comme la dernière des salopes, ou que j’y aille plus doucement et que je prenne le temps de m’occuper de tes gros nichons ? ― Défonce-moi le cul Fils de Pute, mes nichons tu auras bien d’autres occasions de t’en occuper. 
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 Comme un bon fils doit toujours écouter ce que lui dit sa maman j’ai obéi, entreprenant de la sodomiser sans ménagement alors qu’elle restait quasiment immobile, étant donné que dans la position qu’elle avait adoptée elle ne pouvait rien faire d’autre. Au début j’ai gardé une allure modérée car je devais forcer, elle couinait en rythme et je pouvais voir de chaque côté de son buste menu, ses seins eux par contre de belles proportions et libres de toute entrave, se balancer comme des métronomes. 
 Puis au fur et à mesure que son anus qui me baguait divinement s’est adapté à la situation, afin de compenser j’ai accéléré le mouvement, et pour mon plus grand plaisir ses geignements ont changé d’intonations. Car même si je savais qu’elle aimait ça j’avais tout de même du mal à lui provoquer de la douleur, et pendant ce temps sa poitrine a pris de l’amplitude mais également de la vitesse. 
 J’avais commencé à m’essouffler quand elle a poussé un véritable râle de jouissance, comme d’habitude ses contractions m’ont stimulé au point de provoquer mon éjaculation, et je n’ai pas été étonné mais tout de même satisfait, d’avoir pu aller jusqu’au bout de cette course qui pour moi était devenue effrénée. Car ma maman était tout du long restée passive, comme soumise à mes assauts, ce qui en plus du reste avait été très jouissif étant donné que pour la toute première fois, j’avais eu le sentiment d’avoir entièrement le contrôle de la situation. 
 Je suis resté planté en elle le temps de reprendre ma respiration tandis que Maman attendait patiemment, et elle en a profité pour me dire :
 ― Tu fais d’énormes progrès mon Biquet, et au risque que tu croies que je commence à radoter, je suis très fière de toi. 
 J’ai répondu alors que je venais de reculer afin que mon sexe ressorte d’elle, et que je regardais amusé son anus se replisser lentement pour refermer l’entrée de sa caverne sombre :
 ― En même temps ma prof c’est une pro de la baise, alors je n’ai pas trop de mérite. 
 Sans que j’en sois vraiment surpris, Maman s’est mise à glousser de rire. 
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 Après cette sodomie on est allés tous les deux prendre une douche ensemble, juste pour nous laver, puis tandis que ma maman une fois ses mules à talons aiguille chaussées retournait dans la cuisine, afin de continuer à préparer notre repas du soir, comme elle avait refusé mon aide j’en ai profité pour me pencher sur mes devoirs. 
 Nos estomacs calés nous avons regardé un petit moment la télévision, ensuite je l’ai prise une nouvelle fois en levrette sur son lit, ce que je ne vous raconterai pas car ce serait la répétition d’une scène ayant déjà eu lieu, puis je suis allé dans ma chambre et à neuf heures trente précises quand mon téléphone a sonné, j’étais allongé sur mon plume. 
 Cette fois j’ai su immédiatement qu’il s’agissait de Chloé, vu que j’avais pris soin d’enregistrer son numéro dans mes contacts, et de toute façon il aurait fallu un hasard énorme pour que quelqu’un d’autre m’appelle à ce moment-là, d’autant que pas grand monde jusqu’à présent ne s’était inquiété de ce qui m’était arrivé, quelques jours plus tôt. C’est par conséquent éprouvant une légère anxiété que j’ai décroché, car par souci d’honnêteté j’avais décidé de ne pas laisser traîner les choses :
 ― Allo ? ― Bonsoir Monsieur Volpetta, je vous ai manqué. ― Énormément, Mademoiselle Rougon.  ― Là je suis nue sur mon lit, et toi ? ― Moi aussi. Mais avant que les choses prennent une tournure coquine, il faut que nous parlions toi et moi.  ― Si c’est à propos du métier de ta maman, enfin le deuxième car je crois savoir qu’elle en a un autre plus officiel, je suis déjà au courant. ― Et ça ne te dérange pas ? ― Pourquoi ça le devrait ? On est au vingt-et-unième siècle et c’est devenu une activité honorable, même d’utilité publique pour reprendre les mots de mon père.  ― Parce que… il est aussi au courant ?!? ― Eh oui. Je n’avais pas prévu de leur en parler si tôt, pas avant en tout cas de savoir si tu étais d’accord pour qu’on sorte ensemble. Mais cet abruti d’Alexis Martin m’a mâché le travail. Vu que quand samedi on s’est retrouvés assis au restaurant dans un salon privatif, avec ses parents et les miens, comme il avait compris pourquoi je m’étais attardée il a lâché sa bombe. Sauf qu’elle n’a pas du tout eu le résultat qu’il espérait, le pauvre.  ― Tu le plains ? ― C’est juste une expression. Il leur a expliqué que je m’étais arrêtée pour discuter avec toi, alors que tu lui avais cassé le nez, et que ta maman plus connue sous le pseudonyme de Miel, pose nue sur des photos.  ― Mais pas que des photos… ― Attends, laisse-moi finir. Mon père profitant qu’on était entre nous lui a coupé son effet, en avouant qu’il avait acheté plusieurs de ses films, et qu’avec ma mère ils les matent pour booster leur libido. Car Miel est je cite une très belle personne, qui a tout ce qu’il faut là où il faut pour hausser les hommes au mieux de leur forme. 
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 Alors que j’avais la chique coupée, Chloé a continué :
 ― C’est là qu’il a ajouté que son activité loin d’être infamante est d’utilité publique, car pendant que certains regardent de la pornographie en se masturbant, ils ne pensent pas à aller violer d’autres personnes pour expulser leur frustration. Les parents d’Alexis n’étaient ni choqués ni surpris, ils ont même abondé dans son sens et le père a demandé à son fils : C’est pour cette raison que ce garçon t’a agressé, parce que tu as manqué de respect à sa mère ? L’autre abruti a avoué et il s’est pris un savon. Même que le censeur de notre lycée va en prendre lui aussi pour son grade, car il a caché la vérité à Monsieur Martin. Du point de vue de ce dernier tu es la victime, et le vrai coupable Alexis qui n’a écopé que d’une peine de principe.  ― Mais tes parents, ils sont au courant que tu t’intéresses au fils de Miel ? ― Oui, de ça on en a parlé plus tard dans la journée, quand on s’est retrouvés entre nous à la maison. Et tu sais, enfin non tu ne sais pas, mes parents ont beau être des notables ils sont quand-même ouverts d’esprit, mais je te raconterai les détails plus tard. Pour l’instant ce que tu dois comprendre, c’est que le plus important pour eux c’est que leurs filles soient heureuses. Ma sœur sort avec un artiste peintre carrément bohème qui se prend pour Cézanne, et ils parlent de se marier. Quand il l’a appris mon père a dit : Au mieux il serareconnu après sa mort, au pire leurs enfants pourront alimenter leur cheminée en hiver avec ses croûtes. 
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 J’étais complètement bluffé par ces révélations, cependant pour moi le plus dur restait à faire vu que j’étais toujours décidé à me confesser, c’est la raison pour laquelle j’ai annoncé à Chloé d’une traite :
 ― Je suis bien content que tes parents soient aussi cool, sauf qu’il n’y a pas que le nudisme que je pratique avec ma maman. 
 Il y a eu un silence que j’ai trouvé interminable, pendant lequel j’ai senti que je venais de tout perdre, ce qui n’a pas été démenti quand elle m’a demandé sur un ton neutre :
 ― Est-ce que je dois comprendre, qu’elle s’occupe de ton éducation sexuelle d’un point de vue pratique ? ― C’est assez bien résumé.
 Un nouveau blanc tout aussi angoissant est survenu, puis elle m’a posé une nouvelle question :
 ― Bon tu vas me raconter, ou pas ? Parce que j’ai commencé à me toucher quand j’ai appuyé sur la touche de mon téléphone pour t’appeler, et jusqu’à présent on ne s’est rien dit de bien excitant.   ― Tu es sérieuse, là ?!? ― Ah, je vois. Tu es flippé parce que tu avais peur que je le prenne mal, que je te fasse une crise de jalousie. Sauf que toi et moi on n’a encore rien commencé, alors ce n’est pas comme si tu m’avais cocufiée. ― Mais… c’est quand même de l’inceste…  ― Ah oui tiens, je n’y avais pas pensé. Non je déconne, j’avais parfaitement compris que c’est le genre de trucs, qu’on ne va pas crier sur les toits. Alors déjà je te remercie pour ta franchise mais aussi la confiance que tu me portes, et après je te parlerai de ce qui s’est passé avec mon oncle, quand on est allés skier lui et moi à Pra Loup pendant les vacances de février, alors que je venais tout juste d’avoir 18 ans. Même si tu risques de trouver ça bien fade en comparaison de tes aventures, car lui contrairement à ta maman ce n’est pas un pro, mais en plus je ne l’ai pas laissé aller jusqu’au bout de ses envies. Pour la bonne raison que je voulais rester vierge, dans l’espoir que tu serais mon premier homme et pourquoi pas le seul. 
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 Le moment du choc passé, alors que c’était elle qui aurait dû en toute logique être ébranlée par mes révélations, j’étais sur un petit nuage. Car non seulement la femme de mes rêves acceptait tout, que je sois le fils d’une actrice de films pornographiques mais aussi ce que nous avions fait ensemble, mais en plus elle voulait que je le lui raconte pour pouvoir se caresser en m’écoutant. 
 J’étais tellement soulagé que j’ai senti mon corps se détendre, alors que je ne m’étais même pas rendu compte de mon stress, et paradoxalement il y a eu un afflux de sang dans mon sexe qui s’est mis à gonfler, comme si par un système de vases communiquant la pression était passée de l’un à l’autre. 
 C’est donc le cœur beaucoup plus léger que j’ai pris ma queue dans une main, l’autre tenant toujours le téléphone, et j’ai demandé à Chloé :
 ― Tu veux vraiment que je te raconte, les cochonneries qu’on a faites ensemble ma maman et moi ? ― Un peu que je veux, car Miel à travers toi elle est un peu devenue mon idole. Une maman vivant sa sexualité en toute liberté et sans aucun complexe, qui se fiche de ce que les autres en pensent, c’est un exemple que j’aimerais pouvoir suivre. Sauf que moi je n’ai trouvé que des extraits de ses films, car non seulement je ne savais pas que mes parents en avaient qui sont complets, mais en plus je n’aurais jamais osé aller fouiller dans leur vidéothèque privée. Mais maintenant j’envisage de leur en demander l’autorisation, à moins que tu me proposes de me les filer. Enfin, si tu les as. ― Oui elle me les a donnés. Mais il faudra avant que je lui demande sa permission à elle, car il s’agit de son image et je pars du principe qu’elle ne m’appartient pas, même si en acceptant d’être mise en scène, elle est devenue un personnage public.  ― Ce qui est tout à ton honneur. En plus d’être un dur qui ne se laisse pas insulter sans réagir, tu es un bon garçon qui respecte sa maman. En attendant raconte-moi tout, car là j’ai commencé à mouiller.
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 Ma queue pour sa part était devenue bien raide, si bien qu’en me masturbant lentement je lui ai tout dit dans les détails :
 ― Pour commencer il faut que tu saches qu’avant samedi, le jour de mon anniversaire… ― Mince, j’avais oublié ! Bon anniversaire mon Amoureux !! ― Merci, mais si tu ne me laisses pas finir mes phrases, on va y passer la nuit. ― Pardon. Je ne dis plus rien et je t’écoute, en me caressant. ― Donc avant d’avoir 18 ans je n’avais jamais vu ma maman toute nue, car elle se cachait de moi à cause de son tatouage et de ses piercings. Parce que je ne savais pas qu’elle est actrice de films de boules, vu que c’est l’autre enculé ou l’autre abruti comme toi tu l’appelles, qui me l’a appris.  ― Je comprends mieux, pourquoi tu lui as cassé le nez. ― Sauf que je n’en suis pas fier, et quand j’ai expliqué à Maman pourquoi j’avais pété les plombs elle m’a avoué qu’il avait dit la vérité, et elle m’a raconté comment elle en était arrivée là. Elle m’a ensuite filé les photos qu’elle avait faites, et dans mon lit je me suis branlé un paquet de fois en les matant. Le lendemain matin, elle est venue me réveiller en me souhaitant un bon anniversaire. Sauf qu’elle n’était pas dans une de ses tenues habituelles qui cachaient tout, mais portait un kimono très sexy, qu’elle a fait glisser pour que je découvre son corps pour de vrai, et comme je me suis mis à bander en la voyant elle m’a masturbé. Pendant ce temps, elle m’a appris à embrasser correctement.  ― Tu étais encore capable de bander ? ― Ça m’a surpris mais oui, et quand j’ai éjaculé elle a léché mon jus directement sur mon ventre. C’est à partir de ce moment-là qu’on est devenus des nudistes, puisque ensuite elle ne s’est pas rhabillée et moi je suis resté comme j’étais, car je dors sans pyjama. Après le petit déjeuner on a pris notre première douche ensemble, et là carrément elle m’a sucé.  ― Hum… continues… 
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 Bien entendu c’est ce que j’ai fait, Chloé après avoir poussé des soupirs de contentement a commencé à geindre doucement, et je lui ai raconté la suite de mes aventures incestueuses jusqu’à ce qu’elle pousse un petit gémissement mélodieux, annonciateur de l’orgasme que je lui avais indirectement procuré. Ce qui m’a fait éjaculer, dans le mouchoir en papier que j’avais préparé à cette intention. On en était arrivés au moment de mon dépucelage, autrement dit le samedi-soir, et une fois remise de ses émotions elle m’a proposé :
 ― Tu me raconteras la suite demain, mon Amoureux ? ― Si tu veux. ― En attendant, même si je suis d’accord pour faire du nudisme quand je viens chez toi, j’aimerais qu’on attende les vacances pour te donner ma virginité. Pour qu’on prenne notre temps tu vois, genre on se met au lit un après-midi, et on fait tendrement l’amour sans se presser. Pour en garder un super souvenir, même si je sais que je vais jouir de douleur avant de pouvoir le faire de plaisir.  ― Je suis d’accord, sauf qu’en te voyant toute nue je vais certainement avoir des érections.  ― Je pourrai alors te branler la queue, et même par la suite te sucer pour te faire patienter.  ― Sauf que comme tu l’as remarqué aujourd’hui, ma maman va rentrer de son travail. ― Sauf qu’on n’est pas non plus obligés de faire ça dans votre salon. Car même si je suis convaincue qu’elle ne serait pas choquée, on pourra aller s’isoler dans ta chambre. Non ? ― Si. ― Bon, c’est super comme plan. En attendant, il faut que tu saches que je n’ai rien contre le fait qu’elle poursuive ton éducation. Car non seulement je pars du principe qu’à partir du moment-où je suis au courant, ce n’est pas de la tromperie, mais en plus comme c’est une pro elle peut t’apprendre des trucs, qui pourront nous servir par la suite. ― Tu as l’esprit très ouvert, dis-moi. ― Eh oui, les bourges ne sont pas tous aussi coincés qu’ils en ont l’air. Après tout, on est des femmes et des hommes comme les autres.  ― Moi c’est surtout les femmes qui m’intéressent, et toi en particulier.  ― J’adore entendre ça sortir de ta bouche. Fais de beaux rêves, mon Amoureux. ― Toi aussi, mon Amoureuse. 
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 Nous avons raccroché, je me suis relevé et à l’aide d’une feuille ainsi que d’un stylo tirés de ma biasse, j’ai écrit un message qui disait ceci :
 ― Bonjour Man, j’espère que tu as bien dormi et pas trop ronflé lol. J’ai tout avoué à Chloé, elle a tout accepté mais je te raconterai les détails plus tard. Pour l’instant, c’est juste important que tu saches qu’elle est d’accord pour faire du nudisme, quand elle vient chez nous. Elle l’est aussi pour que tu continues à faire mon éducation, car elle pense que ça peut nous profiter à elle et moi. En résumé je n’ai pas joué à quitte ou double mais carrément remporté le jack-pot, puisque je suis maintenant pour de vrai le plus veinard des fils de putes MDR. Ton Biquet qui t’adore, et ne cessera jamais de t’aimer. 
 Ensuite je suis allé poser la feuille bien en évidence sur le comptoir américain, je suis retourné me recoucher et je me suis endormi le sourire aux lèvres, convaincu que la vie était magnifique. 
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