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Une douceur de Miel

Chapitre 15

Ce qui est tatoué...

Inceste
Quand je me suis réveillé le lendemain j’étais pris d’une érection matinale, mais ayant à présent deux femmes dans ma vie j’ai décidé de laisser tomber ma queue. Je n’ai pas tardé à remarquer que ma feuille de papier avait changé de place, puisqu’elle se trouvait à présent sur ma table de nuit, et au dos avait été rajouté :
 ― Bonjour fils de pute, j’espère que mes ronflements ne t’ont pas empêché de dormir lol. Je suis bien contente que tu sois tombé sur une jeune femme si compréhensive. Ta prise de risque a été payante, tant mieux, mais en tant que maman je ne peux que te déconseiller d’en faire une habitude. Car à foncer tête baissée on peut parfois se prendre un mur, et là, attention les dégâts. Un homme avisé se doit avant tout d’être réfléchi, et ne pas compter uniquement sur la chance, même si cette dernière n’est pas négligeable. Ta Maman Salope qui ne cessera jamais de t’aimer. Ps : Si tu veux venir manger avec moi à midi, envoie-moi un SMS dans la matinée. 
 Je me suis levé le sourire aux lèvres, je suis allé prendre mon petit déjeuner puis une douche, et quand j’ai été lavé j’ai terminé mes devoirs. Ensuite ne sachant pas quoi faire de ma peau car il était encore tôt, j’ai décidé de retourner en ville sur mon scooter après avoir transmis un message à la DRH, qui lui annonçait que j’irais l’attendre devant son entreprise comme la veille.
 Une fois dans le centre d’Aix je déambulais à pieds n’ayant pas de but précis, quand je suis tombé en arrêt devant la vitrine d’un magasin de chaussures, car s’y trouvaient une paire de mules à talons aiguille aussi hauts que celles de Miel, dont les bandes de cuir ayant pour but de retenir les pieds étaient d’un bleu tirant sur le gris. Et même si je n’en n’étais pas certain, il me semblait qu’elles étaient de la même teinte que les beaux yeux de Chloé. 
 J’ai légèrement hésité leur prix étant conséquent, cependant j’en avais les moyens pour la bonne raison que mon argent de poche était viré sur un compte toutes les semaines, et je ne dépensais presque rien vu que j’étais habillé, nourri, blanchi et je ne traînais pas dans les bars ni ailleurs.  
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 Restait également la démarche car je n’avais jamais de ma vie acheté des chaussures de femme, et c’est pourquoi prenant mon courage à deux mains j’ai ouvert la porte de cette boutique pour y entrer. Je n’ai pas eu le temps d’hésiter, car une vendeuse ayant dans les 25 ans très jolie mais bien trop maquillée à mon goût, est venue immédiatement vers moi avec un sourire commercial aux lèvres. Sans attendre que je prenne la parole, elle m’a abordé :
 ― Bonjour Monsieur, je peux vous être utile ?
 J’ai répondu me sentant rougir :
 ― Bonjour Mademoiselle. Je… j’ai vu des chaussures en vitrine… ― Mais certainement, pouvez-vous m’indiquer lesquelles ?
 Je lui ai désigné celles qui m’avaient tapé dans l’œil, et cette fois je suis devenu carrément écarlate quand elle m’a posé une autre question :
 ― Et vous les voudriez en quelle pointure ? ― Euh… vous avez un instant, s’il vous plaît ?

 Tandis qu’elle me regardait mi-amusée mi-surprise j’ai attrapé mon téléphone dans ma poche, et j’ai aussitôt envoyé un SMS qui disait : Tu chausses du combien ? En priant pour que Chloé ait mis son portable en mode silencieux mais pas avion, et aussi qu’elle me réponde rapidement. Car je ne savais plus où me mettre, d’autant que le magasin étant quasiment vide à cette heure de la matinée, la jeune femme n’avait rien de mieux à faire que de rester près de moi. 
 Au bout d’un temps qui m’a paru interminable alors que n’ont pas dû s’écouler plus de cinq minutes, mon téléphone a bipé et j’ai pu lire : Bonjour mon Amoureux. Ahahah, celle-là on me l’avait jamais faite. Sinon je chausse du trente-cinq, et toi ? Soulagé mais pas vraiment fier de moi, j’ai demandé à la vendeuse :
 ― Vous les avez en trente-cinq ? ― Un instant, je vérifie. 
 Elle n’a pas eu besoin d’aller jusqu’à la réserve vu qu’elle s’est saisie d’un petit appareil électronique, rangé dans une housse attachée à sa ceinture, elle a tapé quelques instructions puis elle m’a annoncé très contente d’elle :
 ― Vous avez de la chance, car nous en avons une paire. J’ai même douté pendant un instant, car ce n’est pas une taille très courante.   ― Elles sont de la même couleur ? ― C’est important ? ― Oui, très.  ― Dans ce cas, nous allons vérifier.
 Cette fois elle a été obligée de se déplacer, j’ai aussi bougé pour aller me mettre devant un comptoir, et quand elle est revenue en tenant une boîte à chaussures, elle m’a précisé :
 ― Vous allez être ravi, car mis à part la pointure elles sont identiques à celles qui se trouvent en vitrine. 
 Elle a tout de même soulevé le couvercle afin que je puisse vérifier, et si je n’étais plus vraiment certain que ce soit la même teinte que les yeux de Chloé, c’était bien celles que je voulais. 
 Je suis ressorti du magasin après avoir réglé mon achat, que je ne regrettais pas même si à cause de mon impatience j’avais gâché l’effet de surprise, et me souvenant que mon Amoureuse encore platonique m’avait elle aussi posé une question, je lui ai envoyé un nouveau message disant : Moi aussi j’ai des petits pieds, car je chausse du 42. La réponse est cette fois arrivée beaucoup plus rapidement : J’adore ton humour mon Amour, mais là je suis en cours. Je n’ai donc pas insisté, la dernière chose dont j’avais envie étant qu’elle se fasse coller à cause de moi, et j’ai recommencé à déambuler en attendant que midi approche.  
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 Quand ma maman est sortie de son entreprise, en me voyant son visage magnifique au lieu de s’éclairer a montré de la perplexité, et comprenant que c’était parce qu’elle avait remarqué que je tenais a là main ma boîte pourtant enfilée dans un sac en plastique, le mien est devenu légèrement ironique. Mais contrairement à ce que j’ai pensé elle n’a pas cru que c’était un cadeau pour elle, puisque après que nous nous soyons fait la bise elle m’a déclaré une pointe de reproche dans la voix :
 ― Tu aurais dû me dire que tu avais besoin de nouvelles chaussures mon Biquet, et je t’en aurais acheté. 
 Et avant que je réplique, elle a ajouté :
 ― Bien entendu, je vais te les rembourser. ― Sauf que, elles sont pour Chloé Man. ― Oulala, si tu dépenses déjà ton argent pour elle, alors que vous n’avez même pas couché ensemble sauf peut-être au téléphone, tu es mal barré mon Amour.
 Elle avait parlé avec son calme habituel si bien que je ne savais pas si elle était sérieuse, ce qui ne m’a pas empêché de me défendre :
 ― Tu as vu sa voiture, donc tu sais qu’elle n’a pas besoin de se faire entretenir. J’ai juste flashé en les voyant, alors j’ai pensé que c’était une bonne idée de lui faire un cadeau, pour fêter le début de notre relation.  ― Expliqué comme ça c’est légèrement différent, mais j’espère quand même que ça ne deviendra pas une habitude. Car tu sais, les femmes adorent qu’on les chouchoute même celles qui ont de l’argent. En attendant on va casser la graine ? Car contrairement à toi je ne suis pas en vacances, et il va falloir que cette après-midi je retourne travailler. 
 Je n’ai pas été vraiment surpris qu’on ne se dirige pas vers le même restaurant que la veille, nous sommes entrés dans un autre qui était légèrement plus classe, et un serveur sans se priver de manger ma maman des yeux alors que c’était nous qui étions là pour ça, nous a guidés vers une table assez isolée. Ce qui impliquait que nous pourrions discuter tranquillement, d’autant plus qu’aucun des collègues de la DRH ne semblait présent.
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 Une fois que nous avons été assis, Maman m’a demandé :
 ― Alors, tu me les montres ? 
 Je m’étais débarrassé de mon paquet sans même y penser, le posant aux pieds de ma chaise, et il m’a fallu quelques instants pour comprendre ce qui l’a faite sourire. J’ai ensuite sorti la boîte de son sac, la lui ai tendue et une fois le couvercle soulevé, elle a eu une réaction à laquelle je ne m’attendais pas étant donné qu’elle a froncé légèrement ses jolis sourcils, comme si elle réfléchissait. 
 À mon tour perplexe, je lui ai demandé :
 ― Il y a un problème, Man ? ― Eh bien, elles sont très belles même qu’elles ont dû te coûter un bras, mais ça c’est toi que ça regarde. Par contre, est-ce que tu as pensé au fait que ta Chérie, n’a probablement jamais porté ce genre de chaussures ? ― À te voir quand tu as les tiennes aux pieds, ça n’a pas l’air si difficile de se déplacer avec. Même si j’ai remarqué que tes talons ne sont pas tenus, et que les montrer est très certainement le but recherché, vu que ça te rend encore plus sexy.  ― Merci pour le compliment, mais détrompe-toi mon Biquet. C’est facile quand on en a l’habitude, mais comme beaucoup d’autres choses cela nécessite un apprentissage. Alors pour commencer, tu aurais peut-être dû en prendre qui soient moins hautes. 
 J’étais à présent désappointé convaincu que ma maman avait raison, car en plus de son expérience de la vie elle possédait également de la sagesse, et la dernière chose dont j’avais envie était que Chloé se torde une cheville, ou pire. C’est la raison pour laquelle, j’ai à mon tour posé une question d’une voix piteuse :
 ― Tu crois qu’ils vont me les reprendre, au magasin ?  ― Ce n’est pas ce que je ferais, si j’étais toi. Déjà il est possible que je me trompe, et qu’elle en ait qui soient du même genre chez elle. Elle nous a déjà montré que les talons aiguille ne lui font pas peur, et qu’elle arrive a marcher avec une certaine aisance quand elle en porte. Alors le mieux c’est que tu les lui offres, en précisant qu’elle ne sera pas obligée de les mettre tout de suite, mais qu’elle pourra attendre de se sentir à l’aise.
 Alors que je l’écoutais avec attention ce que je faisais toujours quand elle m’expliquait quelque chose, Maman a continué :
 ― Comme je suppose que tu les lui as achetées pour qu’elle les enfile à la maison, afin que ce soit en quelque sorte sa tenue d’intérieur, vu qu’il est entendu qu’on fasse du nudisme avec elle, j’en ai avec des talons de trois ou de six centimètres, que je pourrai lui prêter pour qu’elle s’entraîne. Car même si elle a des pieds plus petits que les miens, avec ce genre de chaussures ça ne fera pas de différence, puisque justement ils ne seront pas tenus à l’arrière.
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 J’étais à présent rasséréné, et même content que comme toujours ma maman ait trouvé une solution au problème, nous avons mangé notre repas servi par le jeune homme qui nous avait accueillis, et ne pouvait pas s’empêcher de bader devant ma Petite Renarde. Ce qui m’amusait d’autant plus qu’elle s’appliquait à garder une attitude neutre, ne voulant ni l’encourager ni le remettre à sa place, ce qui avait tout de même pour but de lui faire comprendre qu’elle était au-delà de ses moyens. 
 Bien que je n’étais pas très à l’aise pour avoir ce genre de discussions dans un lieu public, je lui ai ensuite expliqué :
 ― Chloé m’a dit qu’elle n’a réussi qu’à trouver des extraits de tes films sur internet, et qu’elle aimerait en voir plus. ― Oh ils y sont mais payants et sur des sites réservés aux adultes, car c’est grâce à ça que je gagne une partie de ma vie. Seulement comme elle n’a le droit d’y aller que depuis peu, elle n’a certainement pas pensé à les chercher au bon endroit, car je doute fort que l’argent soit un problème pour elle. Maintenant comme elle fait quasiment partie de la famille, tu n’as qu’à lui donner ton disque dur et je t’en enregistrerai un autre.  ― Merci Man, car j’y avais déjà pensé mais je voulais ta permission avant.  ― Et tu as bien fait, car une personne vénale pourrait monter un petit commerce à notre insu. Par conséquent, ils ne doivent être donnés qu’à des personnes de confiance, qui en feront un usage privé. Il faudra également lui préciser qu’elle ne devra pas les stocker sur un ordinateur, car si il tombe en panne et qu’elle l’envoie en réparation, ce qu’il y a à l’intérieur pourrait tomber entre de mauvaises mains.  
 Ces recommandations données nous avons terminé notre repas, et nous sommes sortis du restaurant pour nous quitter comme la veille, devant l’entreprise dans laquelle Maman travaille en nous faisant chastement la bise, puis j’ai enfourché mon scooter pour rentrer à la maison. La première chose que j’ai faite avant même de me mettre nu, a été de ranger les chaussures dans le placard qui servait à ça. Ensuite pour tromper mon attente mais pas que, je me suis installé devant la télévision dans le but de regarder la suite de L’île de la volupté
 Car après réflexion je m’étais dit que si je ne voulais pas me mettre à bander comme un puceau en découvrant le corps de Chloé, que je pensais magnifique tout comme son visage, il valait mieux que je me vide les testicules avant son arrivée. 
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 J’ai donc repris là où j’en étais resté, retrouvant une Miel légèrement honteuse de ce qu’elle venait de faire avec un inconnu, ce dernier lui apportant à nouveau des paroles réconfortantes, expliquant qu’elle se trouvait dans un endroit très spécial, et qu’ici ce qui était désapprouvé ailleurs devenait parfaitement normal. Il lui a ensuite proposé de rendre visite à des amis à lui, elle a accepté parce qu’il a insisté afin de la persuader, et après qu’elle a mis des sandales à talons plein de dix centimètres de haut et rien d’autre, ils sont partis dans la nuit. 
 En chemin ils ont croisé des personnes aussi nues qu’eux, ce qui semblait ne plus émouvoir notre héroïne qui s’habituait à la situation, et arrivés à destination dans un autre bungalow quasiment identique, ils ont été accueillis par un couple bien entendu ne portant pas non plus de vêtements, la femme étant chaussée comme son invitée. Elle était également belle mais brune, avec de beaux seins ronds aux tétons percés, tout comme sa vulve entièrement débarrassée de ses poils, vu qu’une petite boule ronde métallique en dépassait. Dans son dos se trouvait tatoué un dragon, qui en prenait toute la largeur et une grande partie de la hauteur.  
 Après avoir bu un verre les deux femmes se sont mises à danser un slow, puis un deuxième de manière de plus en plus langoureuse, et Miel s’est laissée caresser puis embrasser par cette inconnue, sans en éprouver la moindre contrariété et même y prendre du plaisir. Elle n’a pas réagi quand le conjoint de sa partenaire est venu remplacer cette dernière, et qu’il a eu le même comportement qu’elle. La passivité de notre héroïne probablement causée par l’alcool qu’elle avait bu, sans doute dans le but d’essayer d’oublier celui qui l’avait abandonnée, ainsi que sa tristesse qui en était la conséquence.
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 En voyant pour la première fois ma maman faire des choses avec une personne du même sexe qu’elle, même si ça n’avait rien été d’important vu qu’il s’agissait juste d’un flirt un peu poussé, mon sexe prenant du volume pour se bander j’avais commencé à me masturber lentement. Après avoir sorti un des mouchoirs en papier du paquet, que j’avais pris soin de prendre avec moi. 
 L’homme a lui aussi peloté Miel sans vergogne, tout en échangeant sa salive avec elle pendant un petit moment, puis ils se sont séparés et son sexe en érection probablement circoncis est apparu, n’ayant rien à envier dans ses dimensions à celui de son ami. La prenant par la main il l’a entraînée jusqu’au lit, qui comme dans l’autre logement se trouvait au centre de la pièce, et la lâchant il s’est allongé sur le dos, son membre toujours dressé comme une invitation à venir le rejoindre. 
 Elle a clairement hésité, ce qui m’a convaincu contrairement à ce que Maman m’avait affirmé elle était une bonne comédienne, puis elle a grimpé à son tour sur la couche pour venir s’empaler à genoux sur lui, ses sandales toujours aux pieds, le tout filmé comme les fois précédentes. Quand il a été entièrement enfoncé dans son vagin il l’a attirée pour qu’elle s’allonge sur son torse, et tandis qu’elle s’activait lentement et qu’il se contentait de caresser ses fesses, il y a eu alternance de gros plans sur le sexe en train de l’enfiler, le visage de Miel affichant le plaisir qu’elle ressentait, mais aussi de plus loin sur leurs deux corps qui s’emboîtaient l’un dans l’autre.
 Pendant ce temps la compagne du deuxième homme s’était mise accroupie pour faire une fellation au premier, l’avalant en entier sans effort malgré la grosseur de sa queue, jusqu’à ce que son conjoint écarte les fesses de notre héroïne, ce qui devait être un signal, puisque celui qui bénéficiait des attentions de son hôtesse a grimpé lui aussi sur la couche, pour se mettre à genoux derrière Maman. Il a ensuite posé son gland contre son anus tout en l’attrapant par la taille, et il s’est enfoncé lentement en elle, tandis que la brune esseulée allait s’installer dans un fauteuil, et les cuisses bien écartées commençait à se caresser en matant la scène.
 C’était la première fois que je voyais ma maman se faire prendre par deux hommes en même temps, ce qui m’avait mis au bord de l’explosion, même si des gros plans sur son visage montraient que ça lui provoquait de la souffrance, que sa rondelle soit écartelé par un membre aux dimensions hors normes. Car je savais que c’était du cinéma et je la croyais capable de simuler la douleur autant que le plaisir, mais en plus dans la réalité elle aimait avoir mal dans une certaine mesure. 
 Je n’ai par conséquent pas été surpris de ne plus pouvoir me retenir, en regardant ce pal de chair la perforer lentement millimètres après millimètre, alors qu’une autre queue était enfoncée dans son vagin, et mes jets de sperme ont atterri dans le mouchoir en papier. 
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 Mon plaisir consommé j’ai arrêté la vidéo, à la place j’ai allumé ma console et j’ai joué jusqu’à ce que le carillon de l’entrée retentisse. J’étais légèrement nerveux quand je suis allé ouvrir avec juste mes espadrilles aux pieds, car si j’allais voir pour la première fois Chloé nue l’inverse était également vrai, et elle pouvait être déçue. Si c’était le cas elle n’en a rien montré et elle a rougi légèrement, avant de me demander presque timidement de sa voix légèrement éraillée :
 ― On est ensemble, ou juste des copains cul nu ?
 J’ai souri, avant de répondre :
 ― Après ce qui s’est passé hier-soir entre nous, dans ma tête on est devenus plus que des copains. Maintenant, si tu trouves que ça va trop vite…
 Elle a alors rapidement passé ses bras autour de mon cou comme si elle avait peur que je change d’avis, elle a levé la tête vers moi car à cause de son 1 mètre 55, même chaussée de ses sandales à talons aiguille je la dépassait encore de quinze centimètres, et quand j’ai baissé la mienne nos lèvres se sont touchées, tandis que nous nous fixions du regard. J’ai senti sa langue se frayer un passage pour venir au contact de la mienne, ce qui m’a provoqué une décharge dans la colonne vertébrale, pourtant elle ne s’est pas attardée et ma petite copine m’a demandé, après s’être séparée de moi :
 ― Je mets mes fringues avec les tiennes ?
 C’était une question qui n’attendait pas de réponse mais juste destinée à masquer son trouble, car je l’ai trouvée légèrement gauche quand me tournant le dos elle a déboutonné son chemisier ample, qui une fois retiré me réservait deux surprises. La première étant qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, et la deuxième qu’un superbe papillon s’était posé au creux de ses reins. En réalité un tatouage très réaliste parce qu’en relief, et dans des teintes bleues et grises, celle qui dominait étant les deux en même temps et identique à la couleur de ses yeux. 
 Tandis qu’après avoir accroché son haut sur le perroquet elle s’était immobilisée la tête basse, comme une condamnée attendant sa sentence, je n’ai pas pu m’empêcher de toucher délicatement son animal de compagnie afin de le caresser, ce qui a provoqué à mon Amoureuse un frisson visible, et parce que j’étais persuadé qu’elle voulait savoir ce que j’en pensais, je ne me suis pas privé de le lui faire savoir :
 ― Il est magnifique et te va parfaitement, même si j’aurais mis ma main au feu que c’était impossible que tu sois encore plus belle.
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 Chloé est alors devenue écarlate, néanmoins j’ai parfaitement compris qu’elle était en même temps soulagée et heureuse, appréciant mon compliment à sa juste valeur. Après l’avoir déboutonnée elle a fait glisser sa jupe plissée le long de ses jambes, pour ensuite lever ses pieds l’un après l’autre afin de les en dégager, cependant je n’ai pas suivi ses mouvements, car j’étais à présent stupéfié de constater qu’elle ne portait pas non plus de culotte. Je me suis toutefois repris rapidement, et alors que son bas était allé rejoindre son autre vêtement et avant qu’elle se retourne, j’ai posé une main sur ses petites fesses et je lui ai demandé ironique :
 ― Vous sortez souvent cul nu dans la rue, Mademoiselle Rougon ?
 S’empourprant à nouveau mais se cambrant pour accentuer notre contact, ce qui m’a énormément plus car c’était un signe d’acceptation de sa part, elle m’a répondu en hésitant :
 ― Hier-soir… tu m’as dit que c’est ce que fait Miel… alors j’ai cru… ― Mais je te rassure tu as bien cru. Je suis juste surpris vu qu’elle c’est une pro du sexe et toi une vierge de bonne famille, que tu aies eu l’audace d’en faire autant. Et ça me rend très fier de toi. 
 Tandis qu’elle restait sans bouger et que j’en profitais pour caresser ses petites miches en même temps douces et fermes, je lui ai posé une autre question :
 ― Et tu t’es sentie comment tout au long de cette journée, sans rien sous tes vêtements alors que personne d’autre n’était au courant ? ― Très cochonne, au point que j’avais peur de sentir la mouille. Car au contraire, j’avais l’impression que tout le monde s’en était rendu-compte, et que j’allais être affichée d’un instant à l’autre.  ― Tu sais quoi, j’adore les cochonnes. 
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 J’ai ensuite retiré ma main, et quand elle s’est retournée la tête toujours baissée j’ai carrément eu un choc. Pas à cause de sa vulve parfaitement lisse aux grandes lèvres joufflues qui cachaient tout le reste, de la même teinte que le reste de sa peau pâle, ni de sa toison de poils blonds clairsemés à leur longueur naturelle et plus foncés que ses cheveux, car l’ensemble était à la hauteur de mes espérances. 
 Et si ses seins touts ronds au final pas si minuscules que ça et qui devaient être bien fermes, me plaisaient également et même beaucoup, ce qui m’a stupéfié était que ses tétons sphériques d’environ un centimètre de diamètre, aux aréoles deux fois plus grandes du même rose-foncé étaient percés. En effet des petites boules colorées de la moitié de leurs tailles étaient appuyées contre, de chaque côté, autrement dit il y en avait quatre et sans que j’en sois cette fois surpris, elles étaient de la même teinte que ses mirettes. 
 Je l’ai alors prise par le menton pour le soulever justement pour que nos regards se croisent, et elle m’a paru soulagée non seulement grâce à ma douceur mais aussi par ce qu’elle a lu dans mes yeux, qui devaient lui transmettre la tendresse que j’éprouvais pour elle. Je l’ai lâchée, et me fixant toujours elle m’a annoncée de sa voix légèrement éraillée :
 ― Je suis heureuse que vous m’acceptiez telle que je suis, Monsieur Volpetta. 
 J’ai alors éclaté de rire, ce qui a paru la décontenancer sans pour autant l’affoler, et quand j’ai réussi à me calmer je lui ai expliqué :
 ― Pendant trois jours, je me suis demandé si toi tu allais m’accepter. Car que ma maman soit une actrice de films de boules et qu’en plus je couche avec elle, c’est autrement plus dur à avaler qu’un tatouage et des piercings. Surtout que comme je te l’ai déjà dit, je te trouve encore plus belle comme ça. 
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