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Une douceur de Miel

Chapitre 16

La Petite Biquette.

Inceste
Malgré toute les émotions qui s’étaient bousculées dans ma tête, ainsi que le fait de découvrir Chloé encore plus belle que je l’avais espéré, mais surtout avec un esprit très ouvert, mon sexe n’avait pas du tout pensé à se dresser. Par contre avant que nous quittions l’entrée dans laquelle on était toujours, je me suis soudain rappelé des mules, et les sortant du meuble dans lequel je les avais rangées, j’ai annoncé pas très sûr de moi parce que j’ignorais de quelle manière mon présent allait être reçu :
 ― Ce matin quand je traînais en ville je suis passé devant une vitrine, je les ai vues et j’ai flashé dessus.
 Puis j’ai ajouté en lui tendant la boîte :
 ― Bien entendu si elles ne te plaisent pas, ou que tu n’as pas l’habitude de porter ce genre de chaussures, tu ne seras obligée de rien. 
 Enlevant le couvercle elle a ouvert de grands-yeux, puis elle s’est exclamée :
 ― Mais c’est des pompes de tepu !
 J’ai répondu en rougissant et en hésitant un peu :
 ― Comme ma maman en met… je me suis dit que… 
 Elle est devenue pour sa part carrément écarlate, et elle s’est excusée :
 ― Merde, désolée. Je voulais juste te faire marcher et je me suis plantée, car en vérité je les adore ces fuck-me shoes. En plus ma maman à moi en porte aussi, et comme on est également nudistes... 
 Tandis que j’étais bluffé par cette nouvelle révélation, étant donné que j’avais du mal à imaginer les gens très classe que j’avais vu le samedi précédent dans la rue, vivant à poil chez eux, elle a ajouté :
 ― J’en ai aussi mais pas autant belles que celles-là, surtout qu’elles ne me viennent pas de toi. J’ai commencé par piquer celles de ma mère pour m’entraîner à marcher avec en cachette, car au début c’est assez casse-gueule, et puis un jour mon père m’a surprise et au lieu de m’enguirlander, il a simplement lâché : Telle mère, telle fille. Deux jours plus tard j’en ai trouvé une paire toute neuve à ma pointure sur mon lit, et je n’ai pas été peu fière de me pavaner avec dans la maison. Surtout que ma sœur qui a un an de plus que moi ne s’y était pas encore mise, alors du coup, je suis devenue pendant un moment aussi grande qu’elle. 
 Elle a aussitôt retiré ses sandales en se penchant en avant pour détacher leurs lanières, m’offrant un spectacle plus que charmant, puis s’étant redressée elle a enfilé ses nouvelles mules et elle m’a demandé :

 ― Bon, on reste là ou on bouge ?
 J’ai souri complètement rasséréné, j’ai désigné la porte qui menait à la pièce suivante et l’ai répliqué :
 ― Après vous, Mademoiselle Rougon.  ― Merci, Monsieur Volpetta. 
 Passant la sangle de sa biasse sur son épaule elle m’a précédé pour aller dans le salon d’une démarche chaloupée très gracieuse, me prouvant qu’elle ne m’avait pas menti. Elle était tellement sublime que la seule chose que j’aurais pu lui reprocher, aurait été que ses seins touts ronds étaient tellement fermes qu’ils semblaient figés, car ils ne se balançaient pas comme ceux de Miel au rythme de ses pas.
χ

 Après qu’elle se soit assise dans le même fauteuil que la veille, je lui ai demandé :
 ― Tu veux boire quelque chose, Chloé ?  ― Oui, un jus d’ananas s’il t’en reste. 
 Comme c’était le cas j’ai fait le service, et tandis que nous sirotions nos verres on se souriait de temps en temps, ce qui montrait que bien que nous ne soyons pas encore complètement habitués à nos nudités respectives, nous étions heureux de rester ensemble en n’avions pas besoin de mots pour nous le dire. Le silence serein qui s’était installé entre nous a été interrompu par mon téléphone, car j’ai reçu un SMS de ma maman qui disait : Je vais rentrer plus tard, car je dois faire quelques courses pour le dîner.Occupe-toi bien de notre invitée, et demandes lui si elle aime les fruits de mer. Après m’être renseigné j’ai répondu que oui, et ensuite mon Amoureuse m’a proposé :
 ― On pourrait en profiter pour bûcher nos devoirs ensemble, tu en penses quoi ?
 J’avais envie de faire des choses beaucoup plus agréables avec elle, pourtant j’ai répondu que j’étais d’accord, et nous sommes allés nous installer sur la table de la salle à manger. Cette dernière ne servait que très rarement puisque avec Maman nous prenions tous nos repas dans la cuisine, sauf en été sur la terrasse.
 C’est quand nous nous sommes retrouvés assis, nos chaises collées l’une à l’autre et nos cuisses se touchant, mais aussi à causse de son odeur plus sucrée que celle maternelle et qui avait l’air naturelle, même si je pouvais sentir en fond des effluves de déodorant, que mon sexe s’est décidé à donner signe de vie. Je ne m’étais pas inquiété qu’il ne le fasse pas avant alors que je trouvais Chloé vraiment magnifique, surtout nue et chaussée de ses nouvelles mules, car non seulement je m’étais masturbé dans l’après-midi, mais en plus sa présence me semblait tellement normale que j’avais l’impression qu’elle avait toujours été là, à sa place. 
 Mon membre a pris lentement du volume pour arriver à sa pleine érection, et alors que ma camarade de classe ne pouvait pas le voir parce que nous étions tous les deux penchés sur nos cours, j’ai annoncé sur un ton aussi neutre que possible :
 ― Ça y est, je bande. 
 Chloé s’est redressée, a souri, m’a caressée tendrement la joue puis elle a répondu :
 ― Ouf, je suis rassurée. Car j’avais peur de ne pas te faire d’effet, ou au contraire de t’impressionner au point que tu n’y arrives pas. 
 Tandis que je souriais à mon tour benoîtement elle a envoyé une main sous la table, afin de décalotter mon gland d’un geste assuré, et après elle m’a demandé :
 ― Tu préfères que je te branle la queue tout de suite, où qu’on finisse de bosser avant ?
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 C’est à ce moment-là que la porte que nous avions refermée derrière nous s’est ouverte doucement, et ma maman qui s’était faite très discrète en revenant chez elle étant donné que nous ne l’avions pas entendue, est entrée dans la pièce uniquement chaussée de ses mules à talons aiguille de dix centimètres de haut. Elle s’est approchée de la table pour se retrouver de l’autre côté par rapport à nous, car nous avions choisi de tourner le dos aux fenêtres, et mon Amoureuse en a profité pour retirer discrètement sa main qui enserrait toujours ma hampe, car le bas de nos corps étaient dissimulés par le plateau du meuble. 
 Nous devions néanmoins avoir des mines penaudes, vu que Maman nous a fait remarquer après avoir souri d’une manière légèrement ironique :
 ― Vous avez l’air d’ados qui viennent de se faire surprendre. 
 Tandis que nous rougissions tous les deux, principalement parce que nous avions honte de ne pas avoir un comportement très adulte, n’assumant pas notre sexualité, elle a ajouté encore plus amusée :
 ― Tu sais Chloé, je suis une pro de la baise. Alors ça ne me dérangera pas, si tu branles ce Fils de Pute dans toutes les pièces de la maison, et ce sera pareil quand vous serez disposés à faire plus. Alors tu n’as pas à être gênée, et vous n’êtes même pas obligés de vous cacher.   ― Je… merci Sandra.  ― Et puisque je te considère à présent comme ma fille, tu pourrais aussi me tutoyer et m’appeler Man. Enfin si ça te dit, car tu n’es obligée de rien.  ― Euh… oui Man. 
 Ma Petite Renarde a continué de la douceur dans la voix :
 ― Ça me fait plaisir que vous ne vous vous comportiez pas comme des lapins, et qu’au contraire vous preniez le temps de vous découvrir l’un l’autre, que ce soit au niveau du physique aussi bien que du mental. Car ça démontre que vous éprouvez de réels sentiments l’un pour l’autre. 
 Puis elle s’est retournée, et de sa démarche chaloupée elle a quitté la salle à manger en concluant :
 ― Au besoin vous me trouverez dans la cuisine, en train de préparer le repas de ce soir. 
 Quand elle a eu refermé la porte derrière elle, mon Amoureuse m’a regardé et elle m’a demandé :
 ― Pour de bon, elle t’appelle Fils de Pute ? ― Normalement elle ne le fait que quand elle m’éduque. Car si elle aime qu’on se traite dans ces moments-là, en temps normal elle trouve les gros mots vulgaires. Alors soit elle s’est oubliée, soit c’était sa manière à elle de te souhaiter la bienvenue dans notre petit monde.  ― En tout cas elle est super cool et super sexy aussi, c’est une vraie milf.   ― Cool je crois qu’elle l’a toujours été, en tout cas avec moi. Mais sexy c’est très récent, en tout cas devant moi. 
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 Nous avons terminé nos devoirs et Chloé tout en ayant l’air concentrée sur ce qu’elle faisait, envoyait de temps en temps sa main sur ma queue pour s’assurer qu’elle était toujours raide. Ce qui ne me dérangeait absolument pas mais au contraire m’amusait, et j’étais de plus étonné qu’à chaque fois elle arrive à la trouver du premier coup, alors que le plateau en bois massif de la table la lui cachait. 
 Par conséquent quand je me suis levé après que nous ayons rangé nos affaires dans nos biasses, j’étais en pleine forme et mon Amoureuse a commenté en rougissant légèrement, voyant pour la première fois mon membre dressé :
 ― Hum, mais c’est qu’il est bien outillé mon Gros Lapin.
 Puis elle a ajouté en caressant mes testicules chauves, alors qu’elle n’avait pas semblé remarquer l’absence de poils à cet endroit avant :
 ― En plus il est rasé de près, et c’est sans doute pour que je puisse croquer ses œufs de Pâques.  ― Oui, enfin, si tu les croques pour de bon Man ne va pas être contente.  ― T’inquiète de rien, je n’ai pas l’intention d’abîmer tes bijoux de famille, et en attendant on va aller dans ta chambre pour que je puisse astiquer ton gourdin. Car même si j’ai parfaitement compris que je pourrais le faire ici, je ne me sens pas encore prête pour ça.  ― Moi ça me va, ma Petite Lapine. 
 Nous nous y sommes donc rendus, je me suis directement couché sur mon lit calant ma tête avec un oreiller, et tandis que Chloé venait s’installer elle aussi après s’être déchaussée, mais dans l’autre sens et sur le côté en prenant appui sur son coude droit, j’en ai profité pour sortir un paquet de mouchoirs en papier. Elle a alors entrepris de me masturber lentement avec sa main gauche, sans hésiter j’ai envoyé une des miennes vers sa vulve, et approuvant mon idée elle a soulevé sa jambe pour poser son pied gauche à plat sur le lit, de manière à faciliter mon exploration. 
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 Sa vulve avait de grandes lèvres joufflues, j’ai commencé par les caresser puis quand je l’ai sentie prête j’ai envoyé un index entre elles, pour découvrir que leurs petites sœurs étaient ancrées plus profondément que celles de ma maman, assez courtes et ciselées, ce qui expliquait qu’elles ne soient pas apparentes. De temps en temps je regardais ma partenaire de masturbation, enfin son visage, et au départ elle affichait un air concentré les sourcils légèrement froncés, comme si elle accomplissait une tâche importante ce qui m’a amusé. 
 Mais ce que j’ai encore plus aimé, a été de voir son expression se modifier progressivement quand elle a commencé à éprouver du plaisir, ce dernier devenant de plus en plus intense. Quant à moi en vieux routier de quatre jours je gérais parfaitement le mien, convaincu que même si nous ne faisions pas la course je réussirais à tenir la distance. Mais il est vrai que ma nouvelle amante, se contentait de faire aller et venir sa petite main très douce le long de ma hampe, n’ayant pas comme moi avant l’idée de procéder autrement. Par conséquent même si c’était très agréable la situation n’avait rien d’explosive, en tout cas en ce qui me concernait. 
 Quand elle s’est mise à geindre faiblement et qu’une substance poisseuse est venue adhérer à mon doigt, je n’ai pas pu m’empêcher de porter ce dernier à mes lèvres, et en le suçant j’ai été étonné de découvrir le goût de sa liqueur intime différent de celui de ma maman, plus doux et légèrement épicé. J’ai adoré et je lui ai fait remarquer :
 ― J’aime beaucoup ton jus, alors je crois que je vais le boire souvent ma Petite Lapine.  ― Tu en auras l’occasion, mais en attendant finis ce que tu as commencé mon Gros Lapin. 
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 Bien évidemment je lui ai obéi, ses manifestations de plaisir ont recommencé, et quand elles sont devenues plus intenses je suis parti à la recherche de son petit bonbon, que je n’ai eu aucun mal à trouver en haut de sa fente. Il semblait ne pas avoir de capuchon ou alors ils s’était décalotté de lui-même, plus court que le maternel mais d’un diamètre similaire, et quand j’ai posé mon index dessus Chloé a poussé un petit cri charmant. Je me suis alors mis à le frotter délicatement toujours avec le même doigt, jusqu’à ce que ma victime consentante émette un gémissement mélodieux, qu’elle n’a pas cherché à contenir exprimant librement son plaisir. 
 Ce doux chant de sirène a provoqué mon éjaculation, et la moitié de mon sperme est allé s’écraser sur le mouchoir posé sur mon ventre, le reste directement sur ce dernier. Mon amante a ramassé le tire-jus qu’elle a jeté au sol, elle s’est redressée pour se pencher ensuite en avant, puis elle a lapé mon jus collé sur ma peau sans aucune hésitation, semblant l’apprécier énormément. 
 Qu’elle aime ma semence m’a mis au comble de la joie, car ça signifiait qu’elle deviendrait une bonne suceuse de queue si ce n’était pas déjà le cas, car je savais que bien qu’elle soit encore vierge, elle avait fait des coquineries avec son oncle. Malgré ma curiosité je n’ai pas essayé d’en savoir plus à ce sujet, vu qu’elle avait promis de me raconter ses vacances au ski par téléphone, et à la place je lui ai dit en caressant doucement ses belles petites fesses toutes douces :
 ― Hum, tu es une bonne petite cochonne qui aime le foutre, et bientôt tu vas le boire directement à la source. 
 Elle s’est interrompue, pour me répondre :
 ― Oui je cache bien mon jeu, car malgré ma taille menue je suis une grosse salope. 
 Entendre la sage Chloé Rougon parler d’elle de manière obscène, alors qu’elle arrivait à paraître distinguée même quand elle était habillée de manière cool, m’a énormément plu. Car j’étais convaincu que si elle se lâchait, c’était uniquement parce qu’elle était parfaitement à l’aise en ma compagnie. 
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 Nous sommes ensuite allés retrouver Maman dans la cuisine sans prendre la peine de nous nettoyer, ce qui n’a pas eu l’air de déranger ma belle petite bourgeoise et m’a un peu étonné. Quand elle a vu que notre invitée était perchée sur les chaussures que je lui avais achetées, car cette dernière les avait remises, Miel a haussé un sourcil mais pas fait de commentaire, surtout que ma Petite Lapine arrivait à se déplacer avec presque autant d’aisance qu’elle. Elle n’a non plus rien dit alors que nous devions sentir le sexe, mais il est vrai que grâce à son deuxième métier elle devait y être habituée. Par contre elle a souri, quand Chloé lui a demandé :
 ― Tu as besoin d’aide, Man ?
 J’étais stupéfié que mon Amoureuse réussisse à s’adapter aussi facilement et rapidement, à ce qui pourtant devait être très nouveau pour elle, c’est pourquoi j’ai souri à mon tour quand l’intéressée a répondu :
 ― Mais si tu veux, ma Biquette. 
 Elles m’ont par conséquent offert un spectacle à quatre mains, et je me suis assis sur un des tabourets hauts pour y assister ravi, d’autant plus que comme elles me tournaient le dos leurs belles fesses ainsi que leurs tatouages les surplombant, étaient au centre de mon champ de vision. Très différentes mais tout aussi attrayantes, puisque les miches maternelles étaient rebondies à souhait, et celles plus juvéniles presque plates sur les côtés avec par instants des muscles apparaissant. Je les ai regardées s’activer aux anges, et est arrivé le moment-où ma maman a demandé à ma petite copine :
 ― Tu bois du vin ? ― Ça m’arrive, mais là après je dois rentrer.  ― Mais rien que deux verres, tu vas les supporter ? ― Oui, et comme en plus c’est juste ce qu’il faut pour ne pas se chopper de prune...  ― Mon Biquet, j’ai mis une bouteille de Viognier dans le réfrigérateur, tu nous l’ouvres ?
 Bien entendu je lui ai obéi, j’en ai rempli trois calices, je leur en ai apporté chacune un et tendant le sien à Chloé je lui ai dit :
 ― J’ai hâte de te voir toute guillerette, ma Petite Lapine.  ― Hum, tu espères que ça va me rendre cochonne, mon gros Lapin ?
 J’ai rapidement jeté un regard à Maman qui faisait mine de ne pas nous écouter, avant de répondre :
 ― Ce serait du gâchis, puisque si j’ai bien compris après le repas tu vas nous quitter. ― Effectivement. Jusqu’à présent je n’ai découché que pour des soirées pyjamas entre copines, et j’avais toujours prévenu mes parents à l’avance. Car ils ont beau être cool nous avons tout de même des convenances, et bien que je sois majeure, tant que je vis sous leur toit je me dois de rester une fille obéissante et respectueuse.
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 Je n’étais pas vraiment déçu bien que j’aurais adoré que mon amoureuse passe la nuit avec moi, après tout comme elle l’avait fait remarquer nous étions tous les deux adultes, et même si elle m’avait demandé de ne pas lui faire l’amour j’aurais accepté de bon cœur, me contentant de sa présence dans mon lit. Mais j’étais conscient que nous avions toute le vie devant nous, et j’avais le sentiment que plus nous attendrions plus notre première fois serait merveilleuse. 
 Sans réfléchir j’ai posé ma main gauche sur ses petites fesses, sans même me demander si c’était un comportement approprié, elle s’est cambrée pour accentuer le contact et heureux comme un prince, j’ai déposé un chaste baiser sur sa joue. Mais aussitôt j’ai éprouvé du remord car j’étais en train de négliger ma maman, qui pourtant m’avait apporté un amour inconditionnel surtout depuis quatre jours, alors j’ai placé ma paluche droite sur ses miches avant de lui faire à elle aussi un bisou, encore plus content qu’elle réagisse de la même manière. 
 Avant que je me pose la question de savoir ce que devait penser Chloé de mon attitude, très inhabituelle pour un homme sensé être amoureux, elle a déclaré en rougissant :
 ― Moi je ne suis pas triste de devoir te quitter car je sais que Man va te consoler après mon départ, même que si on a de la chance, elle t’apprendra des trucs nouveaux que toi et moi on pourra mettre en pratique plus tard. 
 Alors qu’elle m’avait déjà affirmé être d’accord sur le principe, elle venait d’officialiser qu’elle acceptait que j’aie des relations avec une autre femme qui en plus était ma maman, donc pour bien lui montrer que j’appréciais énormément son ouverture d’esprit, j’ai aussitôt reporté mon attention sur elle, tandis que mes mains restaient là où elles étaient. Pendant que ma tête s’approchait lentement de la sienne elle l’a tournée pour que nos bouchent se fassent face, nos lèvres se sont touchées, et c’est cette fois ma langue qui s’est insinuée. Nous avons mélangé nos salives quelques instants pour ce qui a été notre premier baiser d’adultes, et quand nous nous sommes séparés Maman s’est exclamée :
 ― Eh le Petit Coq ou le Gros Lapin, si tu veux manger ce soir il faut nous laisser finir de préparer le repas !
 Elle n’était cependant pas contrariée du tout, car quand je l’ai regardée dans ses yeux vert-ambrés j’y ai lu de l’amusement et de la tendresse, cependant je n’ai pas répliqué et je suis retourné sagement à ma place, pour boire mon verre de blanc en recommençant de mater mes deux cuisinières. 
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 Nous avons dîné sur le comptoir américain après que Maman a demandé son avis à Chloé, ce qui nous a obligés à être côte à côté cependant je n’étais pas malheureux, étant donné que j’avais hérité le plus naturellement du monde de la place du milieu, vu que les deux femmes de ma vie étaient venues s’installer chacune sur un de mes flancs. Cela ne les empêchait pas de discuter ensemble se penchant parfois en avant pour se voir, alors qu’elles parlaient de choses et d’autres afin de faire connaissance, mais qui ne sont pas bien intéressantes à raconter.
 Sauf peut-être quand ma Petite Renarde, a déclaré à mon encore plus Petite Lapine :
 ― Je suis surprise que tu saches cuisiner ma Biquette, car j’étais convaincue que les gens de ton milieu ont tous du personnel de maison.  ― Nous avons un femme de ménage, et avant il y en avait aussi une personne qui préparait nos repas. Mais quand je suis née ma mère a arrêté de travailler pour nous élever ma sœur et moi, et elle a aussi décrété que c’était à elle de nous nourrir. Du coup, quand j’ai été assez grande elle m’a appris. ― Ce qui a été une très belle résolution de sa part, puisqu’elle avait la possibilité de faire autrement.  ― Après des années de pratique elle est devenue un cordon bleu. Sauf que mon père nous rappelle parfois qu’au début, il lui arrivait de se faire des sandwichs en sortant de table. Moi j’ai échappé à ça, car une fois passé le cap de l’allaitement puis des bouillies, dont je ne me souviens de toute façon pas, elle avait déjà fait des progrès. 
 Je me suis alors renseigné :
 ― Et elle réagit comment, quand il dit ce genre de trucs ? ― Elle le regarde avec un petit sourire aux lèvres, comme un maman indulgente qui entend son fils raconter n’importe quoi. Si bien qu’on ne saura probablement jamais si c’est la vérité.  
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 Notre repas terminé Chloé a pris congé de nous et de ma maman en premier, j’ai alors été stupéfié de voir cette dernière poser ses mains sur les petites fesses de mon Amoureuse, qui en a paru à peine troublée, avant de déposer un chaste baiser sur ses lèvres. Ensuite alors qu’elles restaient enlacées, ma Petite Lapine s’enhardissant à placer elle aussi ses menottes sur le popotin maternel, sa nouvelle Man lui a annoncé :
 ― Je suis très contente que mon Biquet ait rencontré une fille telle que toi, car je suis convaincue même si je ne te connais pas encore vraiment, que tu vas faire son bonheur. 
 Elle a répondu en s’empourprant cette fois carrément, et avec quelques hésitations :
 ― Justement... je vais peut-être aller trop loin... mais j’ai pensé que si à moi aussi tu m’apprends à faire des trucs... genre que ne font pas les bourgeoises mais les pros du sexe comme toi... ça pourrait le rendre encore plus heureux… quand après on le refera ensemble lui et moi. 
 Alors que j’étais sidéré Maman s’est mise à glousser de rire, comprenant que ce n’était pas de la moquerie Chloé à en a fait autant ce qui l’a aidée à retrouver sa sérénité, et une fois qu’elles ont été calmées l’aînée a dit à sa cadette :
 ― Aucun doute possible tu es la femme qu’il lui faut. Car non seulement tu as accepté ce que nous sommes, et de quelle manière nous nous comportons, mais en plus tu éprouves le besoin de te dépasser. Inutile de préciser que je suis d’accord pour faire ton éducation, mais pas tout de suite. Car avant je veux que vous partiez à la découverte l’un de l’autre, comme le ferait un jeune couple banal quel que se soit le milieu dont il est issu. 
 Cette fois c’est Chloé qui a approché ses lèvres de celle de ma maman, et tout en se caressant sans vergogne mutuellement les fesses, elles ont carrément mélangé leurs salives comme pour sceller un pacte. Quand nous nous sommes retrouvés seuls dans l’entrée, après qu’elle ait récupéré sa biasse dans la salle à manger, mon Amoureuse a semblé gênée par ce qui venait de sa passer, tandis que j’affichais un air aussi neutre que possible, puis s’étant rhabillée elle m’a demandé timidement les yeux baissés :
 ― Tu es déçu que je me sois comportée comme la dernière des salopes, mon Amoureux ?
 Je l’ai alors enlacée, soulevant sa jupe à l’arrière pour caresser à mon tour son beau petit cul, et j’ai répondu :
 ― Au contraire, je suis très fier de toi. Et heureux que vous vous entendiez si bien, ma maman et toi. 
 Puis j’ai ajouté, après que nous nous soyons regardés tendrement pendant quelques instants :
 ― Mais même si tu as posé les jalons assez loin, j’aimerais comme tu me l’as annoncé hier qu’on prenne notre temps. Car c’est Man qui a raison, nous avons toute la vie devant nous, alors ça ne sert à rien de précipiter les choses. 
 Ensuite nous nous sommes embrassés pendant un bon moment, nos langues tournant l’une autour de l’autre sans se lasser, et quand mon Amoureuse s’est décidée à me quitter j’avais le cœur étonnamment léger. 
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