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Une douceur de Miel

Chapitre 17

Déjà ressenti, mais pourtant inédit...

Inceste
Chloé est partie comme la veille en me faisant un petit signe de la main et le sourire aux lèvres, après être montée dans sa voiture, et je suis allé rejoindre ma maman qui se trouvait dans le salon devant la télévision. En me voyant elle a elle aussi souri avant de me déclarer :
 ― Elle est vraiment étonnante cette petite, car je me demande si toutes les jeunes femmes de bonne famille sont tatouées, percées, et se déplacent sur des mules à talons aiguille aussi hauts.  ― C’est probablement grâce aux actrices comme toi, je suppose qu’en vous voyant sur internet ça doit leur donner des idées.  ― C’est un reproche, Fils de Pute ? ― Certainement pas. Vu que si cette ouverture d’esprit ne lui vient pas de sa famille, ce qui pourrait être le cas puisqu’elle m’a affirmé que les gens de son milieu, sont des femmes et des hommes comme les autres, ça a permis qu’elle accepte la situation et même au-delà de nos espérances.  ― C’est vrai qu’elle a réussi à me surprendre, quand elle m’a demandé de m’occuper de son éducation. Mais toi, qu’est-ce que tu en penses ? ― Je pense que c’est très bien car si vous vous rapprochez de cette manière, je n’aurai pas l’impression de t’avoir rangée au fond du placard. 
 Cette dernière phrase l’a faite à nouveau sourire, puis elle a répliqué :
 ― Je n’étais pas non plus résolue à prendre la poussière alors je me serais probablement trouvé un amant, et à ce sujet je dois t’avouer quelque chose. Si je n’ai pas été privée de sexe pendant toutes ces années, loin de là, j’avais oublié ce qu’est faire véritablement l’amour, en éprouvant des sentiments. D’autant plus que ça ne m’était arrivé qu’une seule fois, avec ton père. ― Tu veux dire, que tu n’en as ressenti aucun pour Franck ? ― Non. Au début il était gentil et même tendre mais je ne l’ai jamais réellement aimé, et tu es le seul à m’avoir sortie de ma misère émotionnelle. Mais ne vas surtout pas t’imaginer que je me suis entichée de toi, car c’est juste qu’à présent, je me sens prête à donner autre chose que du plaisir physique à un homme. ― Il va par conséquent falloir que tu en trouves un, qui nous accepte comme on est.
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 Cette remarque a fait éclater ma maman d’un rire joyeux qu’elle a exprimé sans retenue, puis ensuite elle m’a annoncé tout en éteignant la télévision :
 ― En attendant, ma Petite Biquette m’a demandé de poursuivre ton éducation. Mais mis à part de nouvelles positions, je ne vois pas ce que je peux t’apprendre de plus. Où peut-être que… 
 Alors que j’étais resté debout elle s’est levée elle aussi mais pas longtemps, vu qu’elle est venue face à moi et après m’avoir poussé jusqu’à ce que je me retrouve adossé au mur du salon, elle s’est mise accroupie avec souplesse en écartant largement les cuisses, puis elle a ajouté :
 ― Il est peut-être temps que je te montre pourquoi je t’ai rasé les couilles, Fils de Pute.

 Je n’avais absolument rien contre cette idée, et tandis qu’elle avait pris mon sexe encore flaque dans une de ses mains et qu’il augmentait lentement de volume, elle a penché sa tête sur le côté tout en ouvrant la bouche en grand, et elle a gobé un de mes testicules. Alors qu’elle le caressait avec sa langue j’ai ressenti un plaisir nouveau, et y était mêlée également un légère crainte, car c’était de loin comme pour tous les hommes la partie la plus sensible de mon service trois pièces. Si bien que la moindre maladresse de sa part, pouvait me provoquer une grande souffrance. 
 Néanmoins j’avais une confiance totale en ma maman, c’est pourquoi pendant qu’elle suçait ma boule tout en me regardant du coin de l’œil, pour observer les émotions très positives qu’elle était en train de me procurer, j’ai posé mes doigts sur son cou et tout en le caressant tendrement, j’ai déclaré :
 ― Tu es vraiment la reine des salopes, de faire ça à ton propre enfant. Et en plus, je suis sûr que tu mouilles comme une grosse cochonne. 
 Loin d’avoir envie de démentir, de toute façon elle ne le pouvait pas sans interrompre ce qu’elle était en train de me faire, mes paroles ont eu l’air de l’amuser. Et pour me montrer que j’avais visé juste elle a envoyé sa main libre sur son sexe, tandis que l’autre commençait à masturber lentement mon membre, à présent raide comme la justice. 
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 Miel s’est finalement arrêtée mais ça a été pour changer de côté, afin de s’occuper de la même manière de mon autre olive, elle à également interverti ses mains sans doute pour être plus à l’aise, et j’ai constaté que celle qui arrivait de sa vulve était poisseuse de mouille, ce qui la rendait glissante sur ma queue et m’a donné une idée. Sans savoir comment elle allait être accueillie car elle était un peu folle, j’ai posé mes paumes à plat contre le mur, j’ai déchaussé mon pied gauche et levant la jambe je l’ai envoyé lentement vers le sexe maternel en passant par dessus sa cuisse, m’attendant à moitié et même plus à une rebuffade. 
 Mais quand il a touché sa menotte qui était en train de lui donner du plaisir, cette dernière s’est effacée, alors m’enhardissant j’ai déporté mon genoux sur la gauche pour que mes orteils se retrouvent alignés à la verticale. M’attrapant fermement par la cheville c’est elle qui les a guidés jusqu’à sa fente, qu’ils se sont mis à caresser, si bien que ça n’a pas tardé à lui provoquer des petits geignements de plaisir, étouffés par le bâillon qu’elle s’était elle même imposé alors que jusqu’à présent elle était restée silencieuse.    
 Maman tout en continuant à sucer mon testicule et en me masturbant lentement, a exercé une légère poussée pour que mes doigts de pieds s’enfoncent en elle, puis elle a déplacé sa main pour aller la mettre sous mon genoux, ce qui m’a redonné de la stabilité. Nous avons continué à nous donner du plaisir de cette manière un peu inouïe, car j’étais convaincu que très peu de personnes l’avaient fait avant nous, et j’étais très heureux de non seulement en avoir eu l’idée mais en plus d’avoir osé en prendre l’initiative. 
 Bien entendu à cause de ma jambe qui l’aurait gênée, elle ne pouvait pas revenir à sa position initiale pour s’occuper à nouveau de ma première olive de la même manière, cependant cela ne la pas empêchée de pencher la tête de l’autre côté afin d’y arriver. Moi par jeu j’ai commencé à bouger mes orteils qui étaient à présent poisseux de sa mouille, ce qui a eu l’air de beaucoup plaire à mon amante incestueuse. 
χ

 Je ne sais pas pendant combien de temps nous nous sommes amusés de cette façon, même si j’avais comme points de repères le nombre de fois où ma maman a recraché une de mes boules pour ensuite gober l’autre, mais toujours est-il que j’ai fini par lâcher :
 ― Putain, je vais jouir Ma Salope !
 Elle a aussitôt interrompu sa caresse afin de redresser la tête pour mettre mon gland dans sa bouche, et elle a avalé mes jets de sperme au fur et à mesure qu’ils giclaient, pour me lécher ensuite dans le but de me faire une toilette toute symbolique. Moi remis de mes émotions j’ai haussé très légèrement mon pied, et mon gros orteil est venu se frotter contre son clitoris, qui n’avait pas attendu que je m’intéresse à lui pour se décalotter en tout cas en partie, ce qui a provoqué à Miel un petit couinement me montrant qu’elle appréciait grandement cette caresse. 
 Ce qu’elle m’a confirmé ensuite entre plusieurs geignements de moindre importance, qu’elle a continué à pousser :
 ― Tu es très inventif… Fils de Pute… et je me demande si finalement... j’ai encore quelque chose à t’apprendre…
 Légèrement étonné, je me suis renseigné :
 ― Pour de bon, personne ne t’a jamais fait ça avant ? ― Si... sauf que ce n’était pas un gamin... dépucelé de quatre jours... mais un fétichiste sexagénaire… et si tu veux en apprendre plus à ce sujet... il te faudra regarder le film... Avec Miel, c’est le pied.   
 Elle n’a pas tardé à avoir un orgasme, je n’étais pas peu fier d’avoir pensé à le lui procurer de cette manière, et elle m’a surpris quand retirant mon pied elle a lâché mon genoux pour attraper à nouveau ma cheville, et que tout en me fixant du regard elle l’a porté jusqu’à sa bouche, afin de sucer mes orteils l’un après l’autre. Commençant par le plus petit et finissant par le gros, elle ne se contentait pas de les emboucher pour les nettoyer, mais prenait son temps les caressant avec sa langue, la passant même entre eux, ce que j’ai trouvé en même temps très bizarre et d’une sensualité inédite. 
 À nouveau épaté je lui ai demandé en l’aidant à se relever, une fois qu’elle a eu terminé :
 ― Tu lui as aussi fait ça, à ton fétichiste du pied.  ― Non, lui me l’a fait mais moi je n’ai pas voulu car je trouvais ça trop intime, un peu comme un léchage de rondelle. C’est la raison pour laquelle, tu es le premier avec qui je me suis lâchée.  ― Tu veux dire, que tu n’avais pas non plus bouffé de cul avant le mien ?! ― Si, mais c’était celui d’une femme. On a été amantes pendant quelques temps, et j’ai même failli l’amener ici mais finalement les sentiments n’y étant pas, on a décidé de n’être que de simples copines de baise. Puis on s’est perdues de vue car elle était aussi actrice, et elle est partie faire carrière aux États-Unis. Je te signale au passage que lécher les pieds d’une autre personne, c’est également considéré comme étant un témoignage de soumission. Mais ne vas surtout pas t’imaginer qu’à partir de maintenant ça va être toi le chef, mon Biquet, car je vais rester ta Maman de Salope et toi mon Fils de Pute.
χ

 Après ces révélations, je me suis renseigné plus avant :
 ― Puisqu’on parle de ça, il y a un truc que j’ai trouvé bizarre dans L’île de la volupté. ― Quoi donc ? Le fait que je sois capable de pleurer, ou d’avoir l’air triste ? ― Non ça au contraire ça m’a plu, car contrairement à ce que tu prétends je trouve que tu es une bonne actrice, vu que tu as très bien joué avec ta sensibilité. Même que je préférerais que tu enlèves ton masque, quand tu rentres du boulot. ― Ça par contre, c’en est un de reproche. ― Oui mais tu l’as cherché. En plus, si je ne sais pas quand tu as un souci ou du chagrin, moi je ne peux pas t’aider ou te consoler. ― Tu as doublement raison, mon Amour. Avant je la gardais dans le but de te préserver, mais à présent que tu es adulte, je vais essayer d’enlever mon armure de guerrière invincible quand je serai avec toi.  ― Merci Man, j’apprécie l’intention. ― Et sinon, c’est quoi que tu as trouvé étrange dans le film ?  ― Tout simplement que les acteurs on éjaculé sur ton corps et pas dedans, comme moi je le fais ce que je trouve plus logique. ― Sauf que toi tu es dans la vraie vie, et eux au cinéma. Maintenant, il faut que tu saches que de plus en plus d’hommes font ça, car justement après avoir regardé des films pornos ils pensent que c’est normal ou viril. Sauf que les femmes au contraire apprécient moyen, car elles trouvent pour la plupart que c’est un manque de respect. Voire même un acte d’humiliation, un peu comme si on les arrosait de pisse. C’est par conséquent une façon de se comporter qui devrait être réservée aux fétichistes, et je te conseille de lui gicler dessus que si ta partenaire te le demande. ― Mais alors, pourquoi ça se passe comme ça dans les films ? ― Le prétexte invoqué est que c’est plus esthétique qu’une éjaculation interne, car dans ce cas on ne voit rien, et par conséquent on ne sait pas si l’homme arrive réellement à jouir. En plus s’est safe car il n’y a aucun risque de grossesse, au cas où le moyen de contraception utilisé serait défaillant. Sauf que c’est bien meilleur à l’intérieur, surtout dans la bouche pour les grosses cochonnes comme moi, qui aiment le foutre. ― En résumé, pour de vrai c’est dedans et pour de faux c’est dehors ? ― Exactement mon Biquet, car tu ne prouveras rien à une femme si tu lui éjacules dessus, ci ce n’est que tu n’as pas de respect pour elle. Maintenant si tu veux essayer juste pour savoir ce que ça fait, moi je suis d’accord parce que j’en ai l’habitude, mais à ta place j’éviterais avec Chloé, sauf si comme je te l’ai déjà dit elle en exprime l’envie.     
 Ces informations assorties de conseils ayant été données, nous sommes partis nous coucher chacun dans notre chambre. Ce soir-là mon Amoureuse et moi on ne s’est pas parlé au téléphone, car elle était partie à l’heure où elle aurait dû normalement m’appeler, et nous avions décidé pendant notre repas de remettre ça au jour suivant. 
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 Le lendemain en me réveillant seul dans la maison j’étais sans surprise à nouveau nanti d’une érection matinale, et comme un nouveau disque dur avait été posé sur ma table de chevet pendant mon sommeil, je l’ai branché après avoir installé mon ordinateur portable sur le lit. Son contenu était identique au précédent l’un des deux devant être donné à Chloé, suite à une rapide recherche j’ai trouvé une série de photos de Miel qui m’intéressait, et je me suis masturbé en les regardant. 
 Ma maman se trouvait sur un plage déserte bordée de palmiers, ne portant pas de maillot de bain, et si au départ elle prenait des poses sages comme si elle était une simple nudiste, allongée sur sa serviette ou allant se baigner, sont attitude est devenue progressivement de plus en plus coquine. Et même pornographique, puisqu’elle a fini par se retrouver les fesses sur le sable et les pieds dans l’eau, des petits grains dorés s’étant collés un peu partout sur son corps superbe, ses jambes étaient bien écartées et à moitié pliées et elle était en train de se caresser. Sa vulve luisante montrant que son plaisir clairement exprimé sur son très beau visage, n’avait pas été entièrement simulé.
 Après avoir éjaculé dans un de mes inséparables mouchoirs en papier je suis allé prendre mon petit-déjeuner, puis une douche, pour finir par m’installer sur le canapé et devant le téléviseur, avec une des manettes de ma console à la main et j’ai joué jusqu’à ce que midi approche. 
 Car même si manger au restaurant avec ma maman me plaisait et même beaucoup, si je n’y allais pas aujourd’hui elle n’en serait pas malheureuse pour autant et moi non plus, car je n’avais pas envie de retourner dans le centre-ville. Par conséquent pour mon repas j’ai fait décongeler une pizza, que j’ai dévorée toujours dans le salon en regardant les émissions de la mi-journée à la télé, évitant les informations qui me déprimaient, puis après avoir débarrassé j’ai recommencé à m’amuser de la même manière que le matin. 
 Pour ne pas dire que je trompais mon attente, étant donné que pour moi le moment le plus important de la journée, serait l’arrivée de mes deux femmes à la maison. Celle qui m’avait mis au monde, et celle grâce à qui mes enfants en feraient autant dans quelques années, si tout continuait à aller aussi bien entre nous. 
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 Alors que je n’attendais que ça j’ai sursauté quand le carillon de l’entrée a retenti, j’ai éteint mes appareils et je me suis levé pour aller ouvrir, le sourire aux lèvres. Chloé était comme la veille vêtue d’un chemisier ample, d’une jupe plissée, de ses sandales à talons aiguille et elle était coiffée avec une queue de cheval haute. Ce qui était devenu sa nouvelle tenue de lycéenne ne devant pas manquer d’en étonner plus d’un, étant donné que je ne doutais pas un seul instant qu’elle était venue directement à la maison, dès la fin des cours.
 La première chose qu’elle a faite après que j’aie refermé la porte derrière elle, a été de poser sa biasse sur le meuble à chaussures, ensuite elle s’est pendue à mon cou et on s’est embrassés pendant une bonne minute, nos langues tournant l’une autour de l’autre et nos salives se mélangeant. C’est seulement quand nous nous sommes séparés, qu’elle m’a parlé :
 ― Bonjour mon Amoureux, tu m’as manqué. ― Bonjour mon Amoureuse, toi aussi tu m’as manqué. D’autant plus, que je n’avais pas grand-chose à faire de ma journée. 
 Ma dernière phrase a attiré un sourire sur son visage superbe, et elle a fait semblant de me consoler en me caressant doucement la joue :
 ― Mon pauvre Biquet. Ça a dû être trop dur pour toi, de ne pas pouvoir aller pointer au bahut. 
 Je n’ai pas répondu, et elle ajouté tout en commençant de se déshabiller :
 ― Mais dis-moi l’interphone est cassé ? Ou tu ouvres toujours sans essayer de savoir qui a sonné, au risque te retrouver nu comme un ver et nez à nez, avec une personne que tu ne connais pas ?
 J’ai légèrement rougi et ce n’était pas parce qu’elle ne portait toujours pas de sous-vêtements. De toute façon elle ne pouvait pas se rendre compte de mon émoi, étant donné qu’elle m’avait tourné le dos pour accrocher ses habits au perroquet, ce qui ne m’a pas empêcher de me défendre :
 ― Vue l’heure j’étais certain que c’était toi, ma Petite Lapine. ― Sauf que j’aurais pu être retardée, et quelqu’un d’autre aurait pu me devancer. Si bien que je me demande, si tu n’es pas un peu exhibitionniste. 
 À présent amusé, j’ai répliqué :
 ― Ça te plairait, que je fasse ça ?
 Constatant qu’elle hésitait à répondre, j’ai continué :
 ― Parce qu’avec Man on a parlé d’aller sur une plage nudiste, quand il fera un peu plus chaud. 
 Cette fois ç’a été son tour de rougir sauf que moi je le voyais parfaitement, et j’ai poussé un peu plus loin tandis qu’elle changeait de chaussures :
 ― Alors tu pourrais nous y accompagner. Enfin si tu n’es pas allergique au soleil, car même si ça te va à ravir je trouve que tu as un teint plutôt clair, pour dire qu’on vit dans le sud de la France. 
 Elle s’est alors retournée plus magnifique que jamais, elle a levé la tête pour me regarder du haut de son 1 mètre 65 avec talons, puis elle a répliqué le rose aux joues :
 ― Détrompe-toi mon Gros Lapin, je me fais bronzer sans maillot au bord de notre piscine. Sauf que bien que blonde j’ai une peau de rousse, comme Man, alors je mets de l’écran total. Et pour ce qui sera de me retrouver à poil au milieu d’inconnus, avec toi je me sentirai en sécurité. 
 Alors que je souriais béatement elle s’est approchée de moi pour se pendre à nouveau à mon cou, et nous nous sommes embrassés nos corps nus se collant l’un à l’autre. 
χ

 Je ne sais pas si c’était prémédité de sa part, mais alors que la première fois j’étais resté impassible j’ai senti mon sexe prendre du volume. Je n’ai d’ailleurs pas été le seul à m’en rendre compte, puisque Chloé a reculé légèrement pour qu’il puisse se dresser, et avant de se rapprocher elle l’a pris en main pour le masturber lentement, tandis que je caressais ses belles petites fesses. C’était tout bonnement délicieux même si je ne pouvais plus sentir ses tétons percés et dur contre ma peau, et elle a également interrompu notre baiser pour me dire à voix basse :
 ― Mince, on n’a pas de mouchoir en papier, alors tu vas être obligé de gicler dans ma bouche pour ne pas faire des cochoncetés. 
 Je me suis bien gardé de lui faire remarquer, qu’il y en avait toujours un paquet ou deux dans un des tiroirs du meuble à chaussures, au cas où au moment de quitter la maison ma maman ou moi, on se rendait compte qu’on avait oublié d’en prendre, et à la place j’ai répondu :
 ― Je te préviendrai le moment venu, mais en attendant je veux que tu recommences à me galocher.
 Ma Petite Lapine ne s’est pas faite prier et nous avons repris notre mélange de salives, tandis que sa menotte continuait ses lents allers et retours le long de mon membre bien raide. Quand j’ai senti que je n’allais plus pouvoir me retenir très longtemps, c’est moi qui ai reculé la tête et je lui ai annoncé :
 ― Les plus cochonnes ne se mettent pas à genoux mais accroupies les cuisses bien écartées, pour boire le jus de leur homme. ― Oui je sais mon Gros Lapin, car j’ai vu Miel le faire sur une vidéo.  
 Après avoir souri elle et placé ses mains sur mes fesses pour assurer son équilibre, elle a abaissé lentement son corps comme je le lui avais demandé, et quand sa tête a été à la bonne hauteur j’ai été surpris, car alors que je m’attendais à ce qu’elle se contente d’ouvrir la bouche en grand, elle a ensuite mis mon gland à l’intérieur pour le cajoler avec sa langue. Ce qui était pour moi un plaisir déjà ressenti mais tout de même inédit, étant donné que pour la première fois mon Amoureuse me le procurait. 
 Tout en me faisant gémir de cette manière elle a caressé mon postérieur, et j’ai posé mes mains sur ses tempes non pas dans l’idée de la retenir au cas où elle voudrait se dérober, mais tout simplement parce que j’avais envie de continuer à la toucher. Et quand mon sperme a jailli, je n’ai pas été cette fois étonné qu’elle en avale chaque giclée au fur et à mesure, car je pensais qu’elle avait acquis cet entraînement auprès de son oncle. 
χ

 Quand la source a été tarie Chloé a léché le bout de ma queue avant de la recracher, je l’ai aidée à se relever et elle a déclaré :
 ― Bon, on y va ? Car nos devoirs ne vont pas se faire touts seuls, et je te rappelle que ce soir je rentre chez moi pour dîner.  ― Mais… tu n’as pas envie que je te caresse ou que je te lèche, pour que tu aies toi aussi du plaisir ? ― Tu sais j’en ai eu à t’en donner, même si bien entendu ce n’était pas comparable. Et si vraiment tu veux me faire du bien, tu pourras quand on aura fini de bosser. Ce sera en quelque sorte ta récompense. 
 Je n’ai pas insisté et je l’ai laissée passer devant pour avoir le bonheur de regarder son beau petit cul, qui se déhanchait gracieusement au rythme de ses pas. Pendant que nous travaillions Maman est rentrée, elle nous a trouvés assis dans la salle à manger, et elle a dû penser pendant quelques instants que nous avions été sages. Sauf que mon Amoureuse s’est levée pour aller lui dire bonjour de la même manière qu’elle s’étaient dit au revoir la veille, en mélangeant leurs salives et en se caressant mutuellement les fesses.
 Et quand elles ont été séparées, Maman a déclaré :
 ― Je constate que vous n’avez pas perdu de temps, car tu as un goût de Fils de Pute dans la bouche ma Biquette.
 Chloé a rougi, ce qui ne l’a pas empêchée de répondre :
 ― En même temps, c’est pas faux. 
 Alors que je m’étais moi aussi approché ma maman m’a embrassé de la même manière, et ensuite elle m’a reproché :
 ― Par contre toi mon Biquet, tu n’as pas la saveur de la liqueur de ta Petite Lapine, il va donc falloir que je revoie ton éducation.
 Mon avocate a aussitôt pris ma défense :   
 ― C’est moi qui n’ai pas voulu car il me l’a proposé, et je lui ai répondu qu’il pourra quand on aura fini nos devoirs.  ― Dans ce cas c’est parfait et je vais vous laisser bosser, mais j’espère que tu viendras me voir avant de nous quitter, Chloé. 
 Ensuite elle est sortie de la salle à manger de sa démarche chaloupée, ses gros seins se balançant au rythme de ses pas, et nous avons recommencé à travailler. 
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