Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 254 J'aime
  • 31 Commentaires

Une douceur de Miel

Chapitre 18

Cunni sur le lit.

Inceste
Notre besogne accomplie et nos cours rangés dans nos biasses, mon Amoureuse m’a regardé un petit sourire coquin aux lèvres, puis elle m’a demandé :
 ―Tu as toujours envie de me lécher le minou, mon Gros Lapin ? ― Non pas tout le temps, mais en ce moment oui ma Petite Lapine.  Sa gaîté s’est accentuée, elle m’a pris par la main et sans hésiter elle est partie en direction de ma chambre, m’entraînant à sa suite. Un fois sur place elle s’est déchaussée, et c’est la raison pour laquelle je lui ai fait remarquer avant qu’elle s’installe sur mon plume : ― Ça ne s’appelle pas des fuck-me shoes pour rien, alors sauf si elles te font mal aux pieds tu pourrais les garder.  ― Mais euh… elles ne risquent pas de salir et même d’abîmer la literie ?  ― C’est pas faux, mais de toute évidence ton idole s’en fout car elle le fait sur le sien. Alors si tu veux être aussi cochonne qu’elle… ― Et toi, tu veux quoi ? ― Que tu sois heureuse et te sentes à l’aise, par conséquent j’estime que tu dois te comporter comme tu as envie. Si je t’en ai parlé, c’est juste parce que je voulais que tu saches que tu as le choix. 
 Sans hésiter elle a remis ses mules, elle s’est penchée en avant pour déplacer un oreiller spectacle que j’ai trouvé plus que charmant, ensuite elle s’est mise de dos sur le lit la tête confortablement calée, écartant les jambes tout en haussant les genoux tandis que j’attendais patiemment. 
 Quand elle a été installée j’ai grimpé à mon tour sur la couche, puis je me suis déplacé à quatre pattes pour que ma tête se retrouve au dessus de son bassin, arrivé là j’ai abaissé mon corps prenant appui sur mes coudes, et ma bouche s’approchant de sa vulve j’ai donné un premier coup de langue. Bien entendu comme j’avais bien retenu mes leçons, je la regardais pour voir de quelle manière elle allait réagir, et si elle s’est contentée de fermer les yeux j’ai trouvé cela positif. Car non seulement elle se sentait en confiance, mais en plus elle voulait probablement être dans le noir, afin de pouvoir se concentrer sur ce qu’elle allait éprouver.
χ

 C’est pourquoi convaincu qu’elle ne risquait pas de s’endormir, j’allais m’y employer, j’ai commencé à lécher ses grosses babines joufflues n’hésitant pas à m’enfoncer dans les replis de ses chairs, que ce soit de chaque côté où dans la fente qui se trouvait au milieu et que je savais bien plus profonde. Chloé a eu l’air d’apprécier, car si au départ son superbe visage était détendu il n’a pas tardé à exprimer son bien-être, ce qui s’entendait également grâce à sa respiration devenant peu à peu perceptible. 
 Quand j’ai compris qu’elle était prête j’ai écarté doucement ses grandes lèvres avec mes doigts, pour découvrir un canyon, leurs petites sœurs courtes et ciselées comme je les avais senties la veille avec mon index, fermant encore le passage menant à son vagin. 
 Chose surprenante, mais il est vrai que la morphologie de ma maman est totalement différente à cet endroit de leurs anatomies, le capuchon de son clitoris était très court formant comme un diadème, si bien que ce dernier était apparent. Rose vif et luisant d’humidité il m’a fait penser à un cabochon, ce que je savais être une pierre précieuse taillée afin d’être lisse mais aussi bombée, et cela m’a énormément plu puisqu’il avait tout d’un trésor caché.  
 Cependant devant déguster le menu dans l’ordre il n’était pas question que je m’intéresse à lui pour l’instant, par conséquent j’ai léché ses nymphes qui se sont mises à frémir sous ma langue, cette impression n’étant pas démentie par le fait que Chloé a commencé à geindre faiblement. De plus ses mains reconnaissantes se sont posées sur ma tête, afin de caresser mes cheveux dans le but de me remercier. Je n’ai par ailleurs pas été surpris, quand elle a soulevé ses jambes afin de poser ses talons nus dans mon dos, de manière à s’offrir plus pleinement à mes caresses buccales, le reste de ses pieds étant toujours chaussé de ses mules à talons aiguille.
 J’avais le sentiment tandis que je m’appliquais à lui donner du plaisir de cette manière, que les petites lèvres de mon Amoureuse n’étaient pas de simples excroissances mais bien vivantes, elles me l’ont d’ailleurs prouvé en s’écartant progressivement l’une de l’autre, ce qui m’a permis de découvrir la membrane qui obstruait l’entrée de sa grotte d’amour pendant que je continuais à lécher. 
χ

 Alors que je ne m’étais pas vraiment posé la question avant il ne s’agissait pas d’une barrière très résistante, dont il me faudrait partir à l’assaut à coups de boutoirs, mais juste d’un trou bordé de franges à agrandir. Ce qui serait très certainement désagréable pour ma Petite Lapine, mais pas non plus une véritable torture, surtout si je la préparais avant en lui donnant du plaisir, comme j’étais en train de le faire en ce moment. 
 Mais nous verrions cela plus tard car elle en avait décidé ainsi, ce que je me devais de respecter, et alors que ses gémissements devenaient de plus en plus prononcés je me suis dit qu’il était temps que je m’intéresse à son cabochon. C’est la raison pour laquelle j’ai posé ma langue sur son clitoris, ce qui lui a arraché un petit cri, et reportant mon attention sur son visage j’ai constaté qu’elle me regardait les yeux écarquillés. 
 Malicieux, je lui ai demandé :
 ― Tu aimes ça, ma Cochonne ? ― Oui, continues !    ― Demande-le mieux que ça. ― Je veux que tu me bouffes le bouton magique, et me fasses jouir comme une chienne en chaleurs ! ― Hum oui, j’adore entendre la très sage Chloé Rougon, devenir vulgaire quand elle prend son pied. 
 Mais ne voulant pas la tourmenter davantage en tout cas pas de cette manière, je me suis mis à titiller son petit bourgeon de chair, lui provoquant des couinements répétés, puis changeant de tactique j’ai frotté mes picots râpeux contre, me régalant de sa mouille au passage jusqu’à ce que l’orgasme l’emporte. Il a été tellement puissant, que probablement sans s’en rendre compte elle a essayé d’agripper mes cheveux, qu’heureusement pour moi je porte courts si bien qu’elle na pas pu les arracher, et satisfait de ma prestation je me suis appliqué à récolter un maximum de son jus, en même temps doux et épicé, tandis qu’elle se remettait de ses émotions. 
χ

 Ensuite alors qu’elle avait reposé ses talons aiguille sur le lit je me suis mis à genoux, et constatant que mon sexe était bandé, car lui donner du plaisir de cette manière ne m’avait pas laissé insensible, elle m’a demandé :
 ― Tu as envie que je te suce, mon Gros Lapin ? ― Non, car même s’il n’est pas question qu’on compte les coups, je veux que tu aies du plaisir autant que moi. ― Tu sais… si tu me l’enfonçais là maintenant... je ne crierais pas au viol…
 Ses propos tout comme ses hésitations m’ont fait sourire, et j’ai répliqué :
 ― On va s’en tenir au plan, et partir du principe que ce qui vient de se passer était une répétition. Car je me suis dit comme ça en te léchant, que si je te préparais de la même façon juste avant de te l’enfoncer comme tu dis, le plaisir arriverait à masquer une partie de ta souffrance. 
 À en juger par la manière dont elle m’a regardé après avoir écouté mes paroles, j’ai compris que je venais de lui faire énormément plaisir. Car non seulement elle était contente que je respecte sa résolution, bien qu’elle venait juste de me donner la permission d’aller plus loin, mais en plus elle était heureuse que je me soucie de ce qu’elle allait ressentir au moment de sa défloration. Ce qu’elle a résumé en m’avouant :
 ― À chaque fois que je te regardais avant qu’on se connaisse vraiment, j’étais convaincue sans vraiment pouvoir m’expliquer pourquoi, que tu étais un mec exceptionnel. 
 J’ai rougi jusqu’aux oreilles en entendant cet énorme compliment, ce qui ne m’a pas empêché de répondre :
 ― Ça doit être ça l’amour ma Petite Lapine, car quand moi je te voyais je pensais la même chose.
 Elle a alors éclaté d’un rire joyeux, et tout en me régalant de cette douce musique je suis descendu du lit la queue toujours raide, car son corps superbe alangui mais aussi son odeur de femme ayant éprouvé la jouissance, n’étaient pas faits pour calmer mon érection. Cependant je m’en moquais, je l’ai aidée à se relever et elle a décalotté mon gland, avant que nous sortions de la chambre en nous tenant par la main.   
χ

 Pas plus que la veille Chloé n’a émis le souhait de passer par la salle de bain pour y faire un brin de toilette, alors on est allés directement dans la cuisine pour y retrouver ma maman. Cette dernière quand nous y sommes entrés à haussé un sourcil en constatant que mon sexe était prêt à l’emploi, cependant elle n’a pas fait de commentaire à ce sujet, ni par rapport à celui que mon Amoureuse sentait la mouille. En tout cas pas directement, puisqu’elle s’est contentée de nous demander :
 ― Vous avez terminé vos devoirs, mes Biquets ?
 Ni ma camarade de classe ni moi n’avons été dupe qu’elle faisait également allusion à celui qui est conjugal, bien que nous ne soyons pas mariés ni même fiancés, et constatant que cette dernière avait légèrement rougi j’ai répondu pour lui éviter de le faire :
 ― Oui Man, et comme promis on est venus te voir, avant que ma Petite Lapine rentre chez elle.  ― Et c’est très bien, car je pense qu’il faut que nous ayons une petite discussion tous les trois.
 Tandis que ma copine et moi échangions un regard perplexe, elle a continué :
 ― Chloé, tu ne le sais peut-être pas encore, mais mon métier officiel c’est de travailler dans les ressources humaines, depuis quinze ans, et j’ai développé une sorte de sixième sens pour ce qui est d’évaluer les gens. Toi dès que je t’ai vue j’ai compris que tu es quelqu’un de bien, et même plus que ça. La facilité avec laquelle tu as accepté la manière dont nous vivons Enzo et moi, en est la preuve. 
 Tandis que l’intéressée s’empourprait un peu plus, elle a poursuivi : 
 ― Il faut que vous compreniez, que ce qui est important à mes yeux c’est votre bonheur. Par conséquent, cette relation à trois un peu bizarre que nous avons entamée, vous devez considérer que ce n’est qu’un jeu qui peut être interrompu à tout moment. Ce qui arrivera si l’un d’entre nous, considère que ce n’est plus une manière appropriée de se comporter, ce que les deux autres devront accepter par amour pour lui. 
χ

 Alors que mon sexe face au sérieux de la situation avait baissé la tête, j’ai donné mon avis :
 ― Je ne comprends pas très bien où tu veux en venir, Man. ― Tout simplement au fait qu’il ne doit y avoir aucune contrainte, et que cette histoire d’éducation à vous donner ce n’est que du baratin. Car les pros du sexe ne sont pas plus heureux que les amateurs, et au contraire leur vie sentimentale est bien souvent un désert. Les familles comme celle de nos amis les Verniers, restant des exceptions. ― Si je comprends bien, c’est toi qui voudrais qu’on arrête ? ― Absolument pas, car je considère que le libertinage est un mode de vie tout à fait acceptable. Quant à l’inceste ça fait longtemps que l’idée ne me dérange plus, sinon nous n’en serions jamais arrivés là toi et moi, mon Biquet. Ce que je veux dire par contre, c’est qu’aucun de vous deux ne doit se sentir obligé de quoi que ce soit, pour faire plaisir à l’autre. Surtout toi ma Biquette, car tu pourrais t’imaginer que parce que tu es la dernière arrivée et depuis peu, tu as quelque chose à prouver. Alors que ce n’est absolument pas le cas. Tu as eu la grandeur d’âme de nous accepter tels que nous sommes, donc nous devons en retour faire pareil avec toi. 
 Mon amoureuse bien qu’encore rouge, lui a répondu sans hésiter :
 ― C’est très gentil de ta part de t’inquiéter à mon sujet, Man. Sauf que moi contrairement à toi, je vis tout ça sans trop me poser de questions. Et ce n’est pas parce que j’ai peur des réponses que je pourrais trouver, mais tout simplement parce que même si c’est vrai qu’on a commencé une relation qui n’est pas dans les normes, la preuve c’est qu’elle doit rester cachée, moi je trouve ça très bien. Car quand on y regarde de plus près ce n’est qu’un partage de plaisir, d’amour et encore de plaisir, mais de rien d’autre. 
χ

 Maman a alors souri, puis elle a conclu :
 ― Je suis heureuse que tu voies les choses de cette manière, ma Biquette, et puisque c’est ce que tu veux on va continuer comme on a commencé. En attendant, j’ai un petit cadeau pour toi.
 Elle a alors sorti de sous le comptoir un paquet emballé dans du papier fantaisie, et elle a ajouté :
 ― Tu ne devras l’ouvrir que quand tu seras rentrée chez toi, et de préférence seule dans ta chambre. Tu comprendras pourquoi à ce moment-là.
 Curieux j’ai demandé :
 ― Mais... je peux quand-même savoir ce que c’est ? ― Tu l’apprendras en temps voulu mon Biquet, mais en attendant ça va rester notre petit secret à Chloé et moi.
 J’étais légèrement vexé d’être mis en dehors cependant je n’ai pas insisté, et mon agacement a été remplacé par de l’amusement, quand ma Petite Lapine après avoir pris son présent s’est hissée pour déposer un chaste baiser sur la joue de ma Petite Renarde, afin de la remercier, en posant sa main libre sur l’épaule de cette dernière afin d’assurer son équilibre. Car chaussées à l’identique elle gardaient leur différence de taille de dix centimètres, et voir mon amoureuse s’étirer pour se grandir, avait quelque chose d’en même temps drôle et de très sexy. 
 Ensuite elle a voulu également se renseigner :
 ― J’ai aussi une question, Man. ― Laquelle ma Biquette ? ― Pourquoi tu appelles Enzo Fils de Pute ? ― Mais parce que je suis sa mère.  ― Oui mais enfin, ce que toi tu fais ce n’est pas de la prostitution, même si certains abrutis pensent le contraire. ― C’est pour ça que je le dis avec humour.  ― Mais moi puisque tu es devenue ma Man, je suis aussi une Fille de Pute alors ? ― En quelque sorte, sauf que je ne t’appellerai jamais de cette manière par respect pour ta vraie maman. ― Même si c’est moi qui te le demande ? ― C’est vraiment ce que tu veux ? ― En fait j’hésite, car d’un côté je trouve ça excitant parce que très cochon, mais de l’autre j’ai un peu peur que ça arrive à un moment-où ça pourrait être gênant. Quand une autre personne que nous trois serait présente, par exemple. 
 Maman après m’avoir brièvement regardé à souri, alors que j’affichais un air aussi neutre que possible, elle a posé sa main sur les petites fesses de Chloé qui s’est aussitôt cambrée pour accentuer ce contact, et elle lui a expliqué :
 ― Vous êtes pareils mon Biquet et toi, ce qui me rend heureuse. Car il a émis la même objection, et je lui ai répondu que si ça arrivait de manière inappropriée, nous n’aurions qu’à nous excuser et assumer comme les adultes responsables que nous sommes. Maintenant comme je te l’ai déjà dit en ce qui te concerne c’est un peu différent, car celui qui m’entendrait t’appeler de cette manière pourrait penser que je parle de ta vraie maman. Ce qui serait vraiment choquant et même considéré comme un insulte. Alors qu’est-ce que tu dirais à la place, de devenir Ma Petite Pute 
 Mon Amoureuse est carrément devenue écarlate, ce qui ne l’a pas empêchée de répondre :
 ― Moi je veux bien être ta Petite Pute et même ta Petite Salope ou tout ce que tu voudras, car de toute façon je sais que je suis une cochonne. 
 Ma maman a éclaté d’un rire joyeux, Chloé n’a pas tardé à faire la même chose ce qui a eu le mérite d’évacuer son émoi, tandis que je les regardais le sourire aux lèvres. 
χ

 Ensuite elles se sont dit au revoir comme la veille, en mélangeant leurs salives et en se pelotant les fesses, j’ai raccompagné Chloé dans l’entrée après qu’elle soit allée récupérer sa biasse qui était restée dans la salle à manger, et après qu’elle l’a posée sur le meuble à chaussures pour se rhabiller, j’ai sorti d’un des tiroirs juste en dessous un disque dur, que j’ai glissé à l’intérieur. S’en apercevant, mon Amoureuse qui avait parfaitement compris ce qui se trouvait sur ce support de stockage, s’est exclamée :
 ― Mais c’est Noël avant l’heure ! ― Oui, surtout que dans dix jours c’est le premier Mai. En attendant, je dois te faire quelques recommandations.  ― Lesquelles mon amoureux ? ― La première c’est que ce qu’il y a sur ce périphérique ne devra pas sortir de ta maison, car c’est un des gagne-pain de Man.  ― Bien entendu, car je ne suis pas non plus une ingrate. ― Je n’en doute pas une seconde, et dans le même ordre d’idées tu ne dois pas transférer ces films ailleurs, car si par exemple tu les mettais sur un ordinateur et que celui-ci tombait en panne, le réparateur pourrait les récupérer et les diffuser, que ce soit à l’œil où en se faisant payer. ― Ça par contre, je n’y aurais pas pensé. 
 Chloé à présent vêtue a déposé un chaste baiser sur mes lèvres dans le but de me remercier, puis elle m’a demandé :
 ― Puisqu’il est question de Man, tu trouves que j’en ai fait de trop mon Gros Lapin ?
 Je l’ai enlacée puis je lui ai dit :
 ― Non ma Petite Lapine, tu as été parfaite et ça me fait plaisir que tu te rapproches d’elle.  ― Alors je suis contente. Mais il ne faudra pas que tu hésites à me reprendre, si tu estimes que je dépasse les bornes. Parce ce que comme je suis entrée dans un monde nouveau, j’ai parfois du mal à discerner les limites de ce qui y est acceptable ou pas, et ce que je veux avant tout c’est que tu sois fier de moi. ― Tu sais moi aussi je découvre tout ça, alors ça doit marcher dans les deux sens car je peux aussi me planter. Et si c’est le cas, je compte aussi sur toi pour me le faire savoir. 
 On s’est ensuite embrassés pendant un petit moment, tandis que j’avais soulevé l’arrière de sa jupe pour caresser ses belles petites fesses, puis mon Amoureuse m’a quitté pour rentrer chez elle, et je suis retourné dans la cuisine afin d’aller retrouver ma maman, qui m’a accueilli d’un sourire. Après que je me sois installé sur un des tabourets hauts pour la regarder préparer notre repas du soir, elle m’a fait remarquer :
 ― Elle est très surprenante, cette petite.  ― Je dirais tout simplement qu’elle se cherche, car elle a envie de se dépasser et en même temps peur d’aller trop loin.   ― Et ça te convient ? ― À partir du moment-où ça ne déteindra pas sur son comportement en public, ça me convient parfaitement. Car même si je ne sais pas encore grand-chose de la vie, et encore moins de celle des couples, je suis persuadé que ça doit être le rêve de beaucoup d’hommes, d’avoir un femme en apparences très sage qui devient la pire des cochonnes dans l’intimité. 
χ

 Maman s’est alors retournée pour me regarder d’une manière franchement ironique, puis elle a lâché :
 ― Je ne vais pas parler pour les autres hommes car je me contente de les faire fantasmer, mais de toute évidence c’était le tien de rêve, et il est devenu réalité. Car je suis pour ma part convaincue que par égards pour ses parents, elle va rester en société et surtout la haute à laquelle ils appartiennent, la petite princesse irréprochable qu’ils ont toujours connue.  ― Mince, moi qui croyais qu’elle ferait ça uniquement pour moi…
 Puis j’ai demandé :
 ― Il y a quand même un truc qui me surprend à son sujet, et qui n’est pas très conventionnel. ― Lequel, mon Biquet ? ― Eh bien, on n’a pas encore fait l’amour mais on s’est quand-même donné du plaisir, et à chaque fois elle est repartie sans se nettoyer. Alors que c’est nous les français moyens, qui sommes considérés comme étant des crados.  ― Si tu dis ça, c’est parce que ça te gêne qu’elle se comporte de cette manière ? ― Pas vraiment, et je suis même content qu’elle garde sur elle l’odeur du plaisir que je lui ai donné.  ― Et il ne t’est pas venu à l’idée qu’elle puisse faire ça pour la même raison, et pas parce qu’elle est une souillon ? ― Bien sur que si, mais sauf si sa voiture de luxe est équipée d’une douche, elle doit encore sentir quand elle rentre chez ses parents. ― Peut-être qu’elle a tout simplement dans sa boite à gants, du déodorant pour masquer son odeur. Il est également possible qu’elle assume complètement, ou encore qu’elle s’essuie avec sa culotte.   ― De culotte elle n’en met plus, depuis que je lui ai appris avant-hier soir que tu n’en portes que pour aller chez le docteur.   ― Elle est vraiment très surprenante cette petite, mais à partir du moment-où ça va dans notre sens on aurait tort de s’en plaindre. Maintenant, il y a une autre possibilité pour expliquer son comportement.  ― Laquelle ? ― Tout simplement que comme le faisait Marilyn Monroe, c’est du moins ce qu’elle affirmait, sa maman ne se lave pas après avoir fait l’amour. Si bien qu’elle doit trouver normal, de se comporter de la même manière.
 La logique de ma maman à moi était parfois déconcertante, et j’ai arrêté d’argumenter en me disant que je me renseignerais auprès de Chloé, quand on se connaîtrait assez pour qu’elle ne se méprenne pas sur le sens de ma question.
χ χ χ

Vous aimez cette histoire et vous voulez la suite ?
Alors montrez-le !
Comment ?
En cliquant sur j’aime et en me laissant un petit commentaire, afin de me faire part de vos impressions ! 

De plus, si vous voulez savoir quand le prochain épisode paraîtra, cliquez sur « S’abonner aux histoires de Conteuse ».
Diffuse en direct !
Regarder son live