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Une douceur de Miel

Chapitre 21

Attachée sur le lit.

Inceste
Chloé a suivi Maman docilement, elle avait l’air rassérénée quand elle est venue me retrouver moins de dix minutes plus tard, et étant donné qu’elle s’est assise sur sa chaise sans la moindre hésitation, j’ai eu la confirmation qu’elle était débarrassée de l’objet qui avait écarté son anus. Nous avons pu commencer à faire nos devoirs, et afin de ne pas faire revenir cette fois dans sa tête l’embarras qu’elle avait éprouvé, je n’ai pas émis la moindre remarque. Nous avons travaillé tranquillement nos jambes s’étant à nouveau collées l’une à l’autre, car mon Amoureuse semblait apprécier autant que moi, ce contact physique en même temps simple et complice. 
 Quand nous avons eu terminé et rangé nos affaires dans nos biasses, je lui ai proposé :
 ― Alors, tu as envie que je te lèche ma Petite Pute ?
 Elle a répondu, en rosissant légèrement :
 ― Je suis une cochonne donc j’ai toujours envie que tu me lèches, et le fait de le languir rend ça encore meilleur. 
 Cette précision a amené sur mes lèvres un sourire, on s’est levés pour aller dans ma chambre en nous tenant par la main, et arrivés sur place mon Amoureuse s’est allongée le dos sur le lit sa tête appuyée contre un des oreillers, en étant restée chaussée de ses mules sans se poser de question. J’ai attendu patiemment qu’elle soit en position, les cuisses largement ouvertes et les jambes pliées à quatre-vingt-dix degrés, puis j’ai grimpé à mon tour sur la couche pour débuter un cunnilingus, retrouvant avec plaisir le goût de sa mouille en même temps douce et épicée. 
 Sauf que j’ai apporté une variante par rapport à la fois précédente, puisque tout en passant ma langue sur ses grandes lèvres joufflues, mon index tendu s’est insinué entre ses fesses pour venir toucher son anus, et après l’avoir caressé quelques instants j’ai exercé une lente pression. Il s’est enfoncé ne rencontrant qu’une résistance symbolique, et reportant mon attention sur le magnifique visage de mon amante vu que je n’étais pas encore assez aguerri pour la regarder en permanence, j’ai constaté qu’elle me fixait les yeux légèrement écarquillés. 
 Dans le doute, je lui ai demandé :
 ― C’est meilleur qu’un plug, hein Ma Salope ?
 Elle a répondu après avoir poussé un soupir qui n’était pas dû à l’exaspération, et en posant sans façon ses talons contre mon dos de manière à me faciliter la tâche :
 ― C’est la première fois que je me fais doigter la rondelle, Fils de Pute. Car je t’avoue que même seule dans mon lit, je n’y ai jamais pensé. Alors continue de me la branler, et je te dirai après ce que j’en pense. 
 Comme c’était elle qui me me demandait j’ai recommencé à lécher sa vulve tandis que mon doigt s’enfonçait un peu plus, sans aucune crispation de la part de son œillet suite à cette profanation, quand je n’ai pas pu aller plus profond je suis revenu sans me presser en arrière pour replonger en avant, et ainsi de suite. Si bien que qu’au moment-où mon Chloé s’est mise à geindre son plaisir, je ne savais pas si c’était grâce à ma langue, mon index ou les deux, ce qui ne me posait aucun problème. 
 J’ai continué de cette façon ce qui m’amusait en même temps que je me régalais, lorsqu’elle a joui son gémissement a eu la même intonation que la veille, j’ai récolté sa liqueur tandis qu’elle se remettait de ses émotions, puis me redressant pour me retrouver à genoux j’ai sucé mon doigt fouisseur, tout en la fixant du regard. 

 Le sourire aux lèvres, elle m’a demandé :
 ― Tu espérais me choquer, mon Gros Lapin ? ― Pas vraiment, juste savoir comment tu allais réagir.  ― Eh bien à présent, tu sais à quoi t’en tenir. 
χ

 Nous sommes ensuite allés dans la cuisine sans passer par la case salle de bain, pour y retrouver ma maman qui était en train de préparer le repas du soir, le fameux plug que je voyais pour la première fois étant posé au coin du comptoir américain. Curieux je l’ai pris en main, pour constater qu’il était composé d’une matière plastique élastique noire, probablement du latex et il avait deux parties distinctes. 
 La première celle qui de toute évidence s’enfonçait dans l’anus avait la forme d’un ballon de rugby, mais en plus allongée et aussi bien entendu beaucoup plus petite, vu qu’elle devait mesurer dans les trois centimètres et demi dans son plus gros diamètre, et un peu moins de la moitié là où elle était rattachée à la partie extérieure. Cette dernière ayant elle aussi une forme oblongue mais plate tout en étant souple, de manière à pouvoir s’insinuer dans la raie des fesses sans provoquer de la gêne, mais également rester indétectable pour qui n’était pas au courant de l’intromission. 
 Chloé gardait un air aussi neutre que possible attendant probablement une réaction de ma part, mais ma maman en constatant que j’examinais ce jouet avec attention, m’a demandé sur un ton légèrement ironique :
 ― Tu as envie de l’essayer, Fils de Pute ? 
 Je lui ai répondu très sérieusement :
 ― J’ai d’autres fantasmes que me faire sodomiser, Man. En attendant, comme c’est ma Petite Lapine qui s’enfile ces trucs dans le derrière, c’est normal que j’essaie de comprendre ce qu’elle doit ressentir. ― Parce que tu n’as pas confiance en moi ? Car je te rappelle que je les lui ai offerts.  ― Et moi je te rappelle que tout à l’heure, tu nous as dit que ce qui convient à l’un ne correspond pas forcément à l’autre.  ― Là tu marques un point mon Biquet, et loin de me vexer je suis contente de me faire moucher de cette manière. Car c’est important que tu t’inquiètes du bien-être de la femme avec qui tu es en couple, ce qui signifie que tu as des sentiments pour elle, et que tu ne la considères pas comme étant uniquement des orifices, dans lesquels tu peux enfoncer ta bite.
 Contre toute attente c’est mon amoureuse qui a rougi même si j’aurais pu le faire de fierté, reposant le jouet là où je l’avais pris je l’ai enlacée tendrement, et nous nous sommes embrassés faisant tourner nos langues l’une autour de l’autre, sous le regard attendri de notre pygmalion.
χ

 Quand nous nous sommes séparés, tout en récupérant son plug Chloé nous a annoncé avec une pointe de tristesse dans la voix :    
 ― Bon, il faut que j’y aille. 
 J’ai alors caressé doucement ses petites fesses dans le but de la réconforter, et je lui ai répondu :
 ― Mais on va se revoir demain, et peut-être le jour suivant sauf si tu passes le week-end avec ta vraie famille.  ― Le samedi oui car c’est notre jour, mais pas le dimanche vu qu’après la messe mes parents reçoivent ou vont chez des amis, car ils s’invitent à tour de rôle. Quand on était petites avec Océane on était obligées de les suivre, mais plus maintenant et comme à présent elle a un fiancé…
 Maman est intervenue:
 ― Dimanche nous recevons pour notre part nos amis les Vernier, alors si ça ne te fait pas peur tu seras la bienvenue. Mais il faut que je te prévienne que la plupart d’entre eux sont des acteurs de films pornographiques, même s’il ne sera pas question qu’il y ait des débordements. Margaux et moi allons y veiller car ce genre de regroupements est très récent, et nous tenons elle autant que moi, à ce qu’on se rencontre comme des nudistes ordinaires. Enfin, si ce mot convient à ce genre de situations...
 Mon amoureuse a légèrement rougi, puis hésité :
 ― Eh bien… en fait... 
 Comprenant sa gêne, je suis venu sans tarder à son secours :
 ― Si tu préfères ma Petite Lapine on pourrait aller en ville, genre resto cool et pourquoi pas une après-midi ciné.  ― C’est dans trois jours, alors si ça ne vous embête pas je vais réfléchir avant de vous donner ma réponse. Car si je trouve impressionnante, l’idée de passer une partie de la journée avec des gens dont le sexe est le métier, ça a aussi quelque chose d’attrayant vu qu’on n’en a pas l’occasion tous les jours. En plus, on pourrait manger avec eux histoire de ne pas passer pour des sauvages, et bouger après.  ― Si c’est ce qui t’inquiète, pour moi aussi la semaine dernière c’était la première fois, et ils se sont bien tenus.
χ

 Maman a souri puis probablement dans le but de me taquiner, elle a déclaré : 
 ― Toi aussi tu t’es bien tenu mon Biquet, car même Léa n’a pas réussi à te provoquer une érection.  ― En même temps elle n’a rien fait pour, car malgré ce que tu m’avais raconté à son sujet elle a été gentille. 
 Plus curieuse qu’autre chose, Chloé a demandé :
 ― Elle a quelque chose de spécial, cette fille ?
 C’est moi qui lui ai expliqué :
 ― C’est l’aînée de filles Vernier, et tu connais peut-être sa sœur Emma de vue, puisqu’elle est dans le même lycée que nous.  ― Oui, il me semble vous avoir vus discuter ensemble une fois ou deux. Elle est plutôt mignonne, dans son genre. ― Sauf que Léa elle est plus que mignonne, mais ce n’est pas le plus impressionnant chez elle si j’en crois Man. Car il paraît que non seulement elle aime recevoir des fessées, mais aussi en donner et pas que sur le plan professionnel, étant donné que comme ses parents elle est aussi actrice. 
 Mon amoureuse m’a questionné, en rougissant légèrement :
 ― Hum, et toi c’est quoi qui t’intéresse, en donner ou les recevoir ? 
 Je lui alors mis une claque sur le postérieur qui l’a faite sursauter et pousser un petit cri de surprise, mais pas autre chose car elle n’était pas très appuyée, et ensuite j’ai répondu mi-figue mi-raisin :
 ― Moi je n’ai besoin de rien de plus pour être heureux, mais si tu es demandeuse on pourra se renseigner, afin de savoir si elle donne des leçons. 
 Elle s’est empourprée un peu plus, ce qui ne l’a pas empêchée de continuer :
 ― Si je comprends bien tu me donnerais des fessées juste pour me faire plaisir, parce toi ça ne t’intéresse pas ?   ― La vérité c’est que je ne saurai si j’aime ça ou pas, que quand on aura essayé. Toi par contre tu as l’air motivée, alors est-ce que je dois en déduire que tu as déjà tenté cette expérience ?
 Devenant carrément écarlate, elle a bafouillé :
 ― Je… non… c’était juste… une idée... 
χ

 Ensuite Chloé a dit au revoir à ma maman de la même manière que d’habitude, mélangeant sa salive à la sienne, et quand nous nous sommes retrouvés dans l’entrée après s’être rhabillée elle m’a regardé timidement, comme si elle s’attendait à une réprimande de ma part. Je l’ai prise à nouveau dans mes bras, puis je lui ai expliqué :
 ― Tu sais si tu as des envies de ce genre, je ne vais pas pour autant penser que tu es anormale. Et le seul reproche que je pourrais te faire, c’est d’en avoir parlé devant une troisième personne.  ― Oui, mais c’était Man… ― C’est clair que par rapport à son vécu, elle a l’esprit beaucoup plus ouvert que bien d’autres parents. Mais il s’agit tout de même de notre vie intime, et on ne peut pas non plus tout partager avec elle. Surtout que dans certains cas, nous allons devoir prendre nos propres décisions.  ― Je suis désolée, mon Gros Lapin.  ― Tu n’as pas à l’être, et comme je te l’ai déjà dit le plus important pour moi c’est que tu sois heureuse. C’est pourquoi je vais te demander de réfléchir sérieusement, pour savoir si tu veux vraiment te lancer dans cette aventure, car j’ai parfaitement compris que tu hésites. Et si c’est le cas je serai d’accord pour qu’on le fasse ensemble, sauf que je pense vraiment que nous aurons besoin de l’aide de Léa, car comme Man nous l’a déjà fait remarquer c’est une affaire sérieuse, donc il faudra quelqu’un pour nous guider.   ― Elle est quoi pour toi au juste, cette fille ? ― Tu es jalouse, ma Petite Lapine ? ― Non, tout simplement curieuse. ― Par rapport au métier de nos parents dont j’ignorais tout jusqu’à très récemment, même si les leurs sont amis depuis longtemps avec ma maman, je n’ai vu les enfants Vernier que très peu étant petit puis adolescent. De toute façon ils sont tous plus vieux que nous, même Emma qui va elle aussi passer son bac vu qu’elle a redoublé. Alors je les ai pour ainsi dire découverts le week-end dernier et je les ai trouvés sympas, bien que la situation était pour moi assez déconcertante car non seulement on était tous nus, mais en plus comme je n’ai pas de frère ni de sœur, j’ai également eu affaire à un autre genre de vie de famille.  
χ

 Tandis que Chloé m’écoutait en silence, j’ai continué :
 ― Pour ce qui est dé Léa puisque c’est celle qui nous intéresse, Man m’avait prévenu avant au sujet de ses pratiques sexuelles un peu particulières, car elle avait peur que je tombe entre ses griffes. Vu que c’est une très belle femme de 21 ans, et que j’avais plus ou moins compris qu’elle se sert de son charisme pour attirer ses proies. Sauf qu’elle a eu un comportement très différent, de celui auquel je m’attendais de la part d’une dominatrice, car si au départ elle m’a impressionné, par la suite elle m’a plus fait penser à une grande sœur prévenante qu’autre chose.  ― Peut-être que justement, c’est une de ses techniques de chasse ?   ― Si c’est le cas, quand elle va te voir elle va vite comprendre qu’elle n’est pas près de m’attirer dans ses filets. Mais il faut aussi envisager qu’elle a juste voulu être gentille, pour que je me sente à l’aise dans ce monde que j’étais en train de découvrir. Car je te rappelle que pour moi, le nudisme c’est très récent. On sera fixés je pense, à la manière dont elle va réagir dimanche à ta présence. Si elle n’est pas négative j’essaierai de choper son 06, et quand tu te sentiras prête on la contactera tous les deux, pour savoir si elle serait d’accord de nous donner des cours particuliers de base. Car moi la seule chose qui me dérange, c’est que je pourrais te blesser par maladresse.   ― Tu es très prévenant, mon Amoureux. ― Je trouve juste que ce serait dommage d’abîmer ton beau petit cul, car après je ne pourrais plus être fier de l’exhiber sur des plages nudistes en été.
 J’ai aussitôt reçu une tape indignée sur l’épaule, dont je me suis plaint :
 ― Eh, c’est toi la maso ! Moi je veux juste t’aider…
 Puis j’ai ajouté plus sérieusement :
 ― Il faudra quand-même que tu m’expliques de quelle manière je devrai me comporter en public, si tu ne veux pas que je commette des impairs, et je n’ai pas non plus envie de passer pour un macho. ― Tu t’imagines déjà que je vais devenir une soumise, qui t’obéira au doigt et à l’œil comme une bonne petite chienne bien dressée, mon Gros Lapin ? Alors que moi tout ce dont j’ai envie, c’est de recevoir une fessée pour savoir ce qu’on ressent. ― Moi pour l’instant tout ce que j’ai compris, c’est que ce sera à toi de fixer les règles. Alors si ce que tu veux c’est que je fasse rougir ton petit cul quand on fait l’amour, et que je te considère comme mon égale le reste du temps, ça me va parfaitement. Car je te rappelle que pour ma part je me contenterais d’une relation plus conventionnelle, enfin, si on peut considérer que la nôtre en est une.  
χ

 Les choses ayant été mises au point nous nous sommes Chloé et moi embrassés un petit moment, faisant tourner nos langues l’une autour de l’autre, tandis que j’avais passé mes mains sous sa jupe afin de caresser sans vergogne ses belles fesses. Puis elle m’a quitté pour rentrer chez elle et je suis allé retrouver ma maman dans la cuisine, qui terminait de préparer notre repas du soir. Quand elle m’a vu elle a souri, avant de me demander :
 ― Notre biquette était vraiment sérieuse, quand elle a parlé de recevoir des fessées ? ― Disons que pour l’instant elle va y réfléchir, avant de prendre une décision.  ― Et toi, tu vois ça comment ?― Si c’est juste histoire de lui mettre des calottes sur le derrière l’idée ne me dérange pas, par contre s’il lui en faut plus par la suite je pense que j’aurai du mal à gérer, car je ne casse pas des nez pour le plaisir de faire mal. ― Je suis bien contente de le savoir, mais en même temps pour te rassurer il faut que tu te dises que si elle hésite, c’est parce que c’est juste un fantasme. D’autant que je l’ai entendue jouir, ce qui signifie qu’elle n’a pas besoin de plus pour prendre son pied.  ― Je ne suis pas vraiment inquiet, et comme la seule chose qui me fait flipper serait d’aller au-delà de ce qu’elle est capable de supporter, à cause de mon manque d’expérience, si elle en a vraiment envie on prendra conseil auprès de Léa, et on envisage même de lui demander de nous donner des cours. Tu crois qu’elle accepterait ? ― Je n’en sais rien, car même si on a tourné un film ensemble et qu’on s’est très bien entendues, nous n’avons jamais parlé de ça. Mais je pourrais me renseigner auprès de Margaux, si tu veux. ― Sûrement pas. Car il s’agit de notre vie intime, et de mon point de vue tu ne devrais même pas être au courant.
 Je m’attendais suite à cette affirmation à ce que ma maman montre de la tristesse ou de la déception, c’est la raison pour laquelle elle m’a surpris en souriant, puis en me répondant :
 ― Je suis d’accord avec toi, mon Biquet. Car si vous considérez que ça doit rester votre jardin secret, moins il y en aura qui sauront et mieux ce sera pour vous. 
χ

 Notre repas terminé, Maman m’a demandé :
 ― Alors, tu es prêt à t’endurcir en attachant ta salope de mère, Fils de Pute ?
 J’ai répondu sur un ton ironique :
 ― Vous êtes vraiment bizarres vous les femmes, car alors que nous les hommes nous ne rêvons que de tendresse, vous avez besoin qu’on vous fasse de trucs complètement dingues pour être heureuses.  ― Tu sais, ce n’est pas une obligation. ― Non mais tu en as envie, sinon tu n’en aurais pas parlé.  ― Moi je pensais juste que ce serait un entraînement pour ta Petite Chérie, pour que tu saches quoi faire le moment venu. 
 Je l’ai alors prise dans mes bras, puis je lui ai expliqué tout en la cajolant :
 ― Tu sais, tu n’es pas obligée de te trouver des excuses, c’est ce que tu veux alors je vais te faire ce plaisir. 
 J’ai immédiatement reçu une petite tape indignée sur l’épaule mais sans aucune autre forme de protestation, après nous être caressés mutuellement pendant quelques instants on est allés dans sa chambre, et là j’ai constaté amusé que deux paires de menottes avaient déjà été posées sur son lit. Ces dernières étaient composées de cuir noir avec des anneaux demi-lune en métal chromé, auxquels étaient fixés des mousquetons qui terminaient une chaîne faite de la même matière, et mesurant dans les vingt centimètres de long. 
 Il était évident qu’il s’agissait de jouets car si elles s’attachaient grâce à des sangles elles aussi en cuir, une personne pas trop gourde pouvait sans problème s’en débarrasser avec les doigts de son autre main, et tandis que ma maman grimpait sur sa couche j’en ai prise une puis je me suis renseigné :
 ― Tu en as beaucoup, des trucs comme ça ? ― Quatre paires en tout et un jeu de chaînes allant de cinq à trente centimètres, car je ne vois pas l’intérêt d’en avoir plus.  ― Dommage, car j’en aurais bien pris une ou deux pour les mettre dans le tiroir de ma table de chevet, vu que Chloé a aussi un penchant pour ça.  ― À ta place, j’attendrais qu’elle en manifeste l’envie.  ― Et si elle n’ose pas de peur de me choquer, on va sécher sur place.  ― Hum Fils de Pute, je me demande lequel de vous deux est le plus motivé, en définitive.
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 Cette remarque m’a fait éclater de rire et tandis que ma maman s’était mise à genoux, les fesses appuyées contre ses talons avec les cuisses largement écartées, et qu’elle avait posé ses mains sur ses genoux, je lui ai ensuite fait remarquer :
 ― Hum j’adore cette position d’attente, qui me rappelle celle que tu avais prise avec le fétichiste des pieds. 
 Elle a rougi légèrement ce qui m’a amusé et en même temps attendri, car elle ne laissait paraître ses émotions que quand nous étions dans l’intimité, puis elle m’a expliqué :
 ― Comme tu as pu le constater j’étais encore jeunette à l’époque, et franchement, je ne sais pas si je recommencerais ce genre de trucs aujourd’hui.  ― Même par amour et sans caméra ? ― Là ce serait différent, car par amour une femme est capable de faire pas mal de choses.  ― Et un homme non ?  ― Certains oui, mais ce n’est quand même pas pareil.  ― C’est quoi l’équivalent féminin du sexisme, déjà ? ― Ça n’existe pas. ― Et pourtant…  ― Dis, là c’est moi qui suis en train de sécher sur place ! ― Puisque cette discussion qui n’est pas à ton avantage te dérange, je vais par amour pour toi obéir docilement, même si j’étais convaincu que dans ce genre de situations, c’était à celui qui attache de décider et pas l’inverse. 
 Elle a aussitôt piqué un fard ce qui m’a encore plus amusé, mais cela ne l’a pas empêchée de répliquer :
 ― Je constate que tu deviens de plus en plus piquant, mon Amour.  ― Tu aurais préféré que je reste toute ma vie un petit biquet, et que je me laisse bouffer par les grands méchants loups qui traînent aux coins des bois ? ― Non, mais je suis quand-même ta mère… ― Déjà tu n’es pas ma mère mais ma maman, et ensuite on est dans une situation dans laquelle je suis sensé dominer, même s’il n’est pas question que je te mette des calottes sauf si tu me le demandes. En plus c’est toi qui as voulu que ça se passe comme ça, sauf que maintenant c’est moi qui vais prendre le commandement des opérations, à moins que tu n’aies plus envie d’être attachée. 
 Ma petite crise d’autorité a fait sourire Man, et elle s’est contentée de s’exclamer en saluant à l’américaine :
 ― Sir, Yes Sir ! 
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 Suite à ce consentement je lui ai ordonné :
 ― Tu vas te retourner, mais en restant à genoux et en posant ton cul à l’aplomb du lit. 
 Elle m’a aussitôt obéi effectuant un demi-tour sur elle même, n’objectant pas par rapport au fait qu’elle ne se retrouvait pas face à son miroir, et quand elle a été à nouveau immobile j’ai attrapé son poignet gauche pour le menotter, et ensuite l’attacher à la cheville se trouvant du même côté. Là encore elle n’a pas réagi ni quand j’ai fait la même chose à droite, et une fois qu’elle a été ligotée je lui ai demandé :
 ― Alors, ça te fait quoi d’être soumise à ma volonté ? ― Ça m’excite follement, Monsieur. ― Laisse tomber le monsieur, car moi ce qui m’excite c’est que tu sois ma salope de maman incestueuse, qui attend patiemment de se faire enculer sans retenue par son vilain fils de pute.  ― Hum oui, moi aussi. 
 Il n’y avait aucune exagération de ma part car elle avait été obligée de se cambrer, ce qui faisait ressortir ses fesses rebondies, et en voyant son anus apparaître entre elles comme pour m’inviter à le pénétrer, mon sexe s’était dressé assez rapidement. Le lit étant assez haut mon gland que je venais de décalotter se retrouvait à la bonne hauteur, comme si ça avait été calculé exprès, et l’approchant de sa rondelle encore fripée ce qui m’a permis d’attraper ses gros seins à pleines mains en passant de chaque côté de ses bras tendus vers l’arrière, je lui ai posé une nouvelle question :
 ― Alors, tu as envie que je fasse un bon ramonage, que je te fasse couiner comme une truie à l’abattoir ? ― Oui mon Biquet. 
 Puis pinçant ses tétons ce qui lui a provoqué un geignement de douleur, j’ai continué de me renseigner : 
 ― Et ça tu aimes, Maman Salope ? ― Oh oui, Maman aime beaucoup quand gentil garçon devient vilain avec elle. 
χ

 Après cette nouvelle acceptation j’ai donné un coup de reins vers l’avant, pendant la pénétration et alors qu’elle avait attrapé ses chevilles avec ses mains elle a gémi, donc voulant m’assurer qu’elle n’en subissait pas plus que ce à quoi elle s’était attendue, je lui ai demandé :
 ― Stop ou encore ?  ― Si c’est tout ce que tu es capable de donner, petit amateur, je vais être obligée d’appeler un pro pour venir faire le boulot à ta place. 
 J’étais légèrement bluffé par sa réaction, bien entendu je ne me suis pas arrêté sur le fait qu’elle était sortie de son rôle dans le but de me provoquer, et j’ai commencé à m’activer en elle la sodomisant sans ménagement, résolu de l’amener à la jouissance autant pour lui prouver que j’étais à la hauteur, que par plaisir. Tandis que je faisais des allers retours assez rapides j’en profitais pour malaxer ses gros seins sans vergogne, si bien que je ne savais pas pour quelle raison elle émettait ses plaintes. Sauf quand je m’enhardissais à faire pivoter ses piercings, car dans ces moments-là elle poussait carrément des petits cris bien distincts. 
 J’ai senti progressivement sa rondelle s’adapter au diamètre de mon membre, si bien qu’elle ne le baguait plus avec autant de pression, alors j’ai compensé en accélérant la cadence de mes vas et viens. Ce qui n’a pas eu l’air de perturber ma partenaire incestueuse plus que ça, vu qu’elle s’est contentée d’augmenter la fréquence de ses geignements, mais également leur intensité dans une moindre mesure. Me comporter de cette manière ne me posait aucun problème, étant donné que j’étais convaincu qu’elle avait commencé à le faire de plaisir, même si je ne savais pas exactement à quel moment celui-ci avait remplacé la douleur.  
 J’en étais arrivé à un rythme effréné quand ma maman a poussé un râle orgasmique, ses contractions ont massé ma queue ce qui a provoqué mon éjaculation, et je me suis vidé dans son fondement grognant mon contentement. Sans vergogne je me suis affalé sur elle pour reprendre ma respiration, ayant toutefois la présence d’esprit de libérer ses deux chevilles en même temps, car comme je l’avais supposé il était possible de le faire d’une seule main. Ne semblant pas gênée par une partie de mon poids qu’elle était obligée de supporter, elle m’a demandé :
 ― Alors Fils de Pute, tu as trouvé ça comment ?
 J’ai répondu essoufflé : 
 ― Franchement… avoir le sentiment… de te posséder complètement… c’était très jouissif… mais c’est toi... qui étais attachée...   ― C’est justement ce sentiment d’impuissance, qui augmente l’excitation. L’idée que tout pourrait arriver, sans que je puisse rien faire pour l’empêcher. ― Oui enfin... ce n’est pas non plus... des vraies menottes… ― Ça c’est juste une question de sécurité, car imagines que le dominant fasse un malaise, elle ferait comment la soumise pour appeler les secours, si elle ne pouvait pas se libérer toute seule. 
 Une image m’est alors venue à l’esprit, celle d’un papy de quatre-vingt-dix ans tombé dans les pommes après avoir soutenu le même effort que moi, ou pire mort de plaisir affalé sur sa partenaire comme je l’étais en ce moment sur ma maman, et même si en définitive ce n’était pas du tout drôle j’ai éclaté de rire. Sans savoir quelle était la raison de ma gaîté Miel m’a imité, et notre hilarité calmée je me suis redressé puis je l’ai aidée à se mettre debout. 
χ χ χ

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