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Une douceur de Miel

Chapitre 34

Plan à trois.

Inceste
Après que nous avons tous les deux atteint le plaisir ultime, je me suis soulevé afin que mon sexe ressorte de Chloé, avant de me laisser redescendre pour rester allongé sans bouger quelques instants, alors qu’elle avait toujours ses bras passés autour de mes épaules, tout en ayant retiré ses talons de mon arrière-train. Quand j’ai voulu me redresser une nouvelle fois à la force des biceps, ne voulant pas qu’elle supporte trop longtemps mon poids, elle m’a retenu en me disant :
 ― Non reste un peu, j’aime te sentir sur moi. 
 Bien entendu le lui ai obéi, j’ai juste relevé la tête dans le but que mon visage vienne surplomber le sien, et que nous puissions échanger un baiser ce que nous n’avions pas encore fait, même si ç’avait été un de mes arguments pour que sa défloration se passe de cette manière. Ma chérie n’a pas du tout été contrariée par cette initiative de ma part, et nous nous sommes embrassés tandis qu’elle me caressait le dos ainsi que les fesses, ce qui ne me dérangeait pas bien au contraire. 
 Quand nous avons été repus de cet échange de salives, je lui ai demandé tout en la regardant :
 ― Tu veux prendre encore une douche, ma Petite Lapine ? ― Pourquoi, tu trouves que je pue ? ― Non, même que j’adore que tu sentes le sexe. Enfin, à partir du moment-où c’est à cause de moi et qu’il s’agit d’une odeur récente, pas celle de la semaine dernière. 
 Cette remarque l’a fait sourire, et j’ai ajouté :
 ― Sauf que là, même si on n’a pas encore vérifié tu dois avoir saigné.  ― Il y a de fortes chances, et j’ai même un peu mal maintenant que le plaisir n’est plus qu’un souvenir.  ― Ah bon, beaucoup ? Tu veux aller voir un docteur ? ― Non mon Gros Lapin, je ne pense pas que ce sera nécessaire car c’est une douleur fugace, et d’après ce que ma maman m’a expliqué la nature va faire assez rapidement son travail, en cicatrisant ma membrane qui a été déchirée. Car dans ma grotte d’amour il y a plein de bestioles minuscules et très gentilles, qui sont déjà en train de réparer tout ça. Enfin pas complètement, car le trou que tu as fait pour y entrer va rester, lui.
 Je devais avoir l’air du ravi de la crèche, car elle m’a demandé en me caressant doucement la joue : 
 ― Il est rassuré, le Petit Biquet ? ― Euh… oui… mais… ― Si tu te poses la question de savoir combien il te faudra attendre, avant de pouvoir à nouveau y enfoncer ta queue, la réponse est un certain temps. Mais ne sois pas malheureux, car la porte de derrière elle n’a pas de séquelle. Alors tu pourras m’enculer en attendant, et même me l’enfiler dans le gosier si tu en as envie. 
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 Ces alternatives très alléchantes ayant été proposées je me suis levé, j’ai aidé Chloé à en faire autant avant d’aller éteindre la musique dans le salon, nous avons remis en place ce qui avait été dérangé sur la terrasse, pour ensuite nous rendre dans la salle de bain faire un brin de toilette, emportant les serviettes éponge avec nous. Pour nous laver on s’est focalisés chacun sur le sexe de l’autre, car si sentir l’amour ne nous dérangeait ni l’un ni l’autre, un peu de sang avait coulé et j’ai été surpris que ce soit en si petite quantité. 
 Probablement moins que quand Chloé avait ses règles, alors que je m’étais imaginé que ce serait l’inverse, même si c’était difficile à évaluer car l’hémoglobine s’était étalée, tout en se retrouvant diluée par la mouille qu’elle avait produite sous l’effet du plaisir. Toujours est-il qu’alors que je la nettoyais je ne suis pas allé en profondeur, de peur de lui faire mal, en me trouvant comme prétexte que je ne voulais pas déranger les petites bêtes en train de cicatriser ses chairs déchirées, et qui devaient en réalité être de simples bactéries.  
 Après cela il nous restait à nous occuper pour le reste de l’après-midi, qui était déjà bien entamée, c’est pourquoi j’ai décidé d’initier mon Amoureuse à Risk, un jeu de plateau de stratégie dont je vous ai déjà parlé, et que nous avons installé sur la table de la salle à manger. Pour mon plus grand plaisir, elle a été emballée par le fait de déplacer ses figurines comme s’il s’agissait de véritables armées, se métamorphosant en une vraie tacticienne, de plus sa chance a refait surface car mes troupes étaient en déroute, quand ma maman est rentrée de son travail. 
 Cette dernière est venue nous voir après avoir revêtu sa tenue d’intérieur, toujours aussi superbe uniquement chaussée de ses mules à talons aiguille de dix centimètres de haut. Si elle n’a fait aucun commentaire quand nous avons mélangé nos salives avec la sienne, dans le but de lui dire bonjour, j’ai immédiatement compris qu’elle savait que nous étions pour de bon passés à l’acte, et que ma Petite Lapine n’était plus vierge. Car quand elle m’a regardé même si ce n’était pas avec insistance, un mélange de joie et de fierté était affiché sur son visage magnifique. Ensuite, comme si de rien était elle nous a annoncé :
 ― Au besoin vous me trouverez dans la cuisine, car je vais aller préparer le repas de ce soir. 
 Mon amoureuse lui a aussitôt proposé :
 ― Tu as besoin d’aide, Man ? ― Non, je te remercie ma Biquette. Même si je sais que tu as à cœur de me donner la main, je vais pouvoir me débrouiller seule. D’autres occasions ne manqueront pas à l’avenir, alors profitez pleinement de vos premières vacances ensemble.  
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 Ma maman nous a donc laissés à notre jeu et j’ai perdu la partie sans mauvaise humeur, d’autant plus que Chloé avait le triomphe modeste, et avant de partir retrouver notre cuisinière on est allés remettre la bâche sur la piscine pour la nuit. Petite corvée dont mon Amoureuse s’est acquittée avec moi dans la bonne humeur. 
 Une fois retournés à l’intérieur, notre Man nous a demandé :
 ― J’ai constaté que vous vous étiez baignés, l’eau était bonne ?
 Tandis que ma chérie rougissait légèrement, très certainement au souvenir de ce qui s’était passé après, j’ai répondu sur un ton aussi neutre que possible :
 ― Elle était encore un peu fraîche, mais probablement meilleure qu’hier.  ― Eh bien vous avez eu raison d’en profiter, mes Biquets. Et une fois encore je reconnais que j’ai eu tort, car la seule mise en garde que je puisse vous faire à présent, c’est de ne pas y aller pendant votre digestion à cause d’une possible hydrocution. Sinon, ça vous convient si on mange ici ?
 Chloé dont le joli minois avait retrouvé une teinte normale, et à qui s’adressait plus particulièrement cette question, a aussitôt donné son avis :
 ― Il ne faut pas changer vos habitudes pour moi, car ça voudra dire que je fais partie de la famille. 
 Cette remarque lui a valu un regard chargé de tendresse de la part de notre Man, qui a ensuite demandé légèrement taquine :
 ― Donc, pas d’apéritif ni de vin ? ― Je ne bois pas de l’alcool tous les jours, mais seulement dans les occasions qui le méritent. Alors de l’eau ça m’ira parfaitement. 
 J’ai aussitôt déclaré en prenant un ton déçu, alors que je ne l’étais pas vraiment :
 ― Mince, moi qui croyais qu’on allait fêter ta première nuit ici, je suis trop triste ma Petite Lapine. 
 Elle m’a répondu, tout en caressant mes fesses sans sembler en éprouver la moindre gêne :
 ― Oh, mon pauvre Gros Lapin qui ne va pas avoir sa dose de jaja. ― Oui, enfin, moi je pensais plutôt à des Malibu Ananas histoire de trinquer. Mais bon, j’ai déjà compris que ça ne sera pas moi qui porterai la culotte. En même temps je suis habitué, puisqu’une femme me commande depuis que je suis né.
 Ma chérie s’est aussitôt insurgée : 
 ― Alors là tu es gonflé ! Car je te rappelle que c’est moi qui ai changé les plans établis pour te faire plaisir, alors qu’au départ on devait passer une nuit sur deux ici ou chez moi !
 Elle n’était pas vraiment en colère par conséquent afin d’éviter de rajouter de l’huile sur le feu, je n’ai pas parlé du fait que cette décision avait été prise sans me consulter, et nous en sommes restés là à ce sujet. 
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 Notre repas pris sur le comptoir américain s’étant terminé en beauté avec le tiramisu, dont il n’est plus resté que son plat vide, tandis que nous étions tous debout après avoir rangé la cuisine,ont flotté quelques instants d’indécision. Car c’était habituellement le moment pendant lequel nous allions avec ma maman dans sa chambre, et alors que c’était toujours elle qui en prenait l’initiative, visiblement ce soir elle ne voulait pas le faire à cause de Chloé. Probablement afin d’éviter d’empiéter sur notre vie de couple naissante. 
 Mon Amoureuse pourtant au courant de ce qui se passait en son absence, n’a pas semblé se rendre compte qu’un ange s’attardait parmi-nous, et j’ai été amusé par cette légère gêne de la part de celle qui m’a mis au monde, d’autant plus que cela ne lui ressemblait guère. Cependant faisant mine de rien, j’ai demandé sur un ton aussi neutre que possible :
 ― Bon, est-ce que je vais enfin avoir droit à ce plan à trois, dont on me rebat les oreilles depuis deux jours ?
 Tandis que ma chérie devenait écarlate à l’idée de ce que cela impliquait, réaction surprenante de sa part étant donné qu’elle avait déjà fait connaissance de la vulve de notre Man avec sa langue, cette dernière a objecté :
 ― J’aurais plutôt pensé que vous préféreriez vous retrouver seuls, car après tout, il s’agit de votre première nuit ensemble.  ― J’espère bien que ça va se terminer comme ça, et que ma Petite Lapine ne préférera pas aller dans la chambre d’amis. Même si ce serait l’occasion de l’inaugurer, car je ne me souvient pas qu’elle ait déjà servi depuis qu’on habite ici. Mais là c’est encore le début de la soirée, et nous avons plus ou moins décidé de redevenir des gens comme il faut, quand tu te seras toi aussi mise avec quelqu’un.  ― Eh bien, si vous voyez tous les deux les choses comme ça…
 Chloé qui avait retrouvé de la contenance, n’étant plus que légèrement rouge, a aussitôt mis son grain de sel en s’adressant à moi :
 ― En attendant tu adores te faire passer pour un martyr en prétendant qu’on te dirige, mon Gros Lapin, mais tu es très fort pour obtenir tout ce que tu veux. 
 Cette remarque m’a fait sourire, et je l’ai taquinée tout en caressant à mon tour ses belles petites fesses : 
 ― En même temps, tu préférerais que je sois une chiffe molle prêt à t’obéir au doigt et à l’œil, mon Amour ? 
 Alors qu’elle ne savait pas quoi répliquer, j’ai ajouté afin d’enfoncer le clou :
 ― Mais si tu veux tu peux aussi aller m’attendre dans notre lit, et dès que j’aurai procuré un orgasme à notre Man, qui contrairement à toi n’en a pas encore eu de la journée, je viendrai te retrouver pour m’occuper à nouveau de ton joli petit cul. 
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 Sans surprise Chloé a préféré rester avec nous se contentant de s’empourprer une fois de plus, on s’est rendus tous les trois dans la chambre maternelle, et debout à côté de son lit cette dernière m’a demandé :
 ― Tu vois la suite comment, mon Biquet ? ― Eh bien, étant donné que tu as du retard à rattraper par rapport à nous, je me suis dit que vous pourriez vous faire chacune un cunnilingus, avec toi dessus ce qui me permettrait de t’enfiler par derrière. Mais bien entendu ce n’est qu’une proposition, alors si l’une de vous a une meilleure idée on peut en discuter. 
 Apparemment elles n’en avaient pas ou alors n’étaient pas disposées à la formuler, si bien qu’elles n’ont pas tardé à se mettre en position, leurs chaussures toujours aux pieds, tandis que je les regardais faire et que mon sexe se dressait lentement. Quand il a été bien raide j’ai grimpé à mon tour sur la couche, afin de me placer à genoux derrière ma maman, en mettant pour une fois mes jambes de chaque côté des siennes, car entre et dessous il y avait la tête de mon Amoureuse. 
 Tandis qu’elle avaient commencé à se lécher la vulve j’ai approché mon gland de l’anus qui était à ma portée, le collant contre, puis attrapant les hanches qui l’étaient également j’ai effectué une lente poussée, dans le but de ne pas déranger les deux femmes de ma vie qui se donnaient mutuellement du plaisir. Je me suis donc enfoncé lentement, me demandant non sans ironie ce que pensait ma maman de cette prévenance de ma part, elle qui appréciait un peu de rudesse dans nos ébats.  
 Cependant je ne me suis pas attardé sur cette question, me concentrant sur la sodomie que j’avais entamée, et j’ai eu la surprise de sentir une langue se frotter rapidement à mon scrotum, s’appuyant sans s’attarder contre mes testicules à travers. Ce qui bien au-delà du plaisir physique que j’ai ressenti, m’a montré la pleine acceptation de mon Amoureuse au sujet de l’acte que nous étions en train d’accomplir, faisant de moi le plus heureux et un des plus chanceux des hommes. 
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 Bien entendu le plus difficile pour moi a été de garder un rythme mesuré, comme dans un film tourné au ralenti alors que j’avais envie d’aller plus vite, les geignements de mes deux partenaires qui avaient commencé à se faire entendre, n’étant pas faits pour modérer ce besoin. Et encore moins les caresses buccales sur mes bijoux de famille de la plus jeune des deux, qui toujours aussi brèves car je n’étais pas sa priorité, n’en démontraient pas moins que j’étais toujours présent dans ses pensées. J’ai souri en me disant que si elle n’avait pas fermé les yeux mes attributs devaient la faire loucher, tant ils devaient être proches les uns des autres. 
 Néanmoins j’étais motivé pour que notre première fois à trois se passe au mieux, par conséquent j’ai réussi à ne pas m’emballer, et commençant à très bien connaître les deux femmes de ma vie sur ce point, j’ai compris en entendant leurs manifestations sonores devenir de plus en plus accentuées, qu’elles n’allaient pas tarder à atteindre l’orgasme alors que pour ma part j’avais encore de la réserve. 
 C’est Chloé qui a joui la première et je me suis délecté d’entendre son gémissement mélodieux, bientôt suivi par celui de notre Man qui est lui aussi arrivé comme une douce musique à mes oreilles, puis pensant avoir à présent le champ libre, j’ai fait coulisser plus rapidement mon piston dans sa culasse. Le bien fondé de cette initiative m’a été confirmé quand ma partenaire s’est elle aussi mise en mouvements, et alors que jusqu’à présent nous étions restés au pas nous avons commencé à trotter, sans pour autant aller au galop comme cela nous arrivait parfois.
 Cerise sur le gâteau mon amoureuse avait dardé sa langue, cette dernière ne pouvant pas suivre notre allure se frottait par intermittences contre mes bourses, caressant mes olives au passage, ce qui était pour moi un supplément de volupté. Si bien que je n’ai pas tardé à éjaculer dans le fondement maternel en grognant mon plaisir, tandis qu’elle poussait ce qui ressemblait plus à un râle qu’autre chose, sous l’effet du deuxième orgasme que je lui avais cette fois procuré.
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 Nous sommes restés quelques instants immobiles savourant ce moment tout en reprenant nos esprits, car nous n’étions pas vraiment essoufflés, et tandis que je me retirais ne voulant pas m’éterniser à cause de Chloé, j’ai senti l’organe buccal de cette dernière venir se poser contre le bas de mon membre, le caressant sur toute sa longueur tandis qu’il passait à sa portée. 
 Qu’il sorte tout droit d’un anus qui n’était pas le sien, devait pourtant faire une grande différence au niveau de ce qu’elle ressentait mentalement, mais pas de la sensation physique éprouvée, cependant cela n’a pas eu l’air de la déranger le moins du monde, ce qui m’a épaté. Je l’ai été encore plus quand attrapant ma queue avec une de ses menottes elle l’a retenue, avant qu’elle ne lui échappe, afin d’enfourner quelques instants mon gland dans sa bouche, dans le but de le téter comme un veau au pis de sa mère. 
 Ensuite elle m’a libéré, je suis descendu du lit avant d’aider galamment ma maman à en faire autant, puis dans la même idée j’ai tendu la main à mon Amoureuse qui me regardait timidement, ne sachant probablement pas comment j’allais réagir à la manière dont elle s’était comportée. Alors pour bien lui montrer que j’étais en accord avec ce qui venait de se produire je l’ai prise par la taille, et baissant la tête je l’ai embrassée faisant tourner ma langue autour de la sienne, qui n’avait pas un goût si âcre que ça. 
 Notre Man si elle s’est sentie exclue de ce moment d’intimité n’en a rien montré, au contraire elle souriait, et ne voulant pas en précipiter la fin elle nous a annoncé, tout en caressant une de nos épaules avec chacune de ses mains :
 ― Prenez votre temps mes Biquets, et au besoin vous me trouverez dans la salle de bain. 
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 Sauf qu’avec Chloé nous nous sommes regardés un bref instant, avant de décider d’un commun accord et sans avoir besoin d’en discuter de suivre ma maman, qui n’en a pas vraiment été surprise vu qu’elle nous a accueillis d’un nouveau sourire, en constatant que nous étions allés la rejoindre. Elle s’était déjà déchaussée mais pas encore entrée dans la douche, qui pouvait facilement nous recevoir tous les trois étant donné qu’elle n’a pas de cloison, son sol légèrement incliné facilitant l’écoulement qui se fait dans le coin de deux murs. 
 Par conséquent il n’y aurait qu’au moment de nous mouiller puis de nous rincer, qu’il nous faudrait nous pousser pour laisser de la place au suivant, le pommeau n’étant pas énorme même s’il était tout de même plus grand que la moyenne. 
 C’est ce que nous avons fait afin d’être aspergés chacun notre tour, puis cette fois encore sans nous consulter mais après un bref échange visuel, avec mon amoureuse nous avons décidé de savonner ensemble notre Man, nous passant le flacon contenant le savon liquide. Ce que cette dernière a eu l’air de grandement apprécier, surtout quand nous nous sommes occupés en même temps moi de son sexe et sa Biquette de son anus, qu’elle n’a pas manqué de doigter. Ce que j’ai constaté à la légère rougeur qui l’a prise, mais aussi au soupir de satisfaction de celle qui venait d’être pénétrée de cette manière. 
 Ensuite avec Maman nous avons prodigué les mêmes soins toujours à deux à mon Amoureuse, sauf que cette fois c’est mon index qui s’est enfoncé dans sa rondelle pour un plaisir partagé, tandis que notre aînée s’occupait de sa vulve. Ce qui m’arrangeait car sa défloration étant encore fraîche, je n’aurais pas su comment me comporter. 
 Puis est venu mon tour et sentir les mains des deux femmes de ma vie me caresser en même temps, sous prétexte de me nettoyer, a été un pur bonheur surtout quand ma maman s’est occupée de mon sexe, alors que ma copine me branlait l’anus. Et si je ne me suis pas mis en érection, c’est sans aucun doute parce que mon poireau avait dégorgé seulement une dizaine de minutes plus tôt. 
 Pour terminer on s’est rincés et séchés mais chacun s’occupant de lui-même, car se le faire l’un l’autre n’aurait pas eu un grand intérêt nous faisant même perdre inutilement du temps, puis nous nous sommes souhaités de passer une bonne nuit échangeant brièvement nos salives, et j’ai pris mon amoureuse qui avait rechaussé ses mules à talons aiguille par la main, pour aller ensemble dans ma chambre. 
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 Alors que nous étions encore debout à côté de mon lit qui allait devenir le nôtre, Chloé m’a demandé très sérieusement :
 ― Tu dors de quel côté, mon Amour ?  ― Normalement à droite, mais ça ne me dérange pas de changer.  ― Non, moi le gauche me va très bien. ― Mais… c’est important ? ― Eh bien pas vraiment, c’est juste une question d’habitude. ― Oui mais en même temps, il paraît que les habitudes sont faites pour être changées. ― Pour celles qui concernent le sommeil, je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée mon Gros Lapin.
 Probablement parce qu’elle n’avait pas tort je n’ai pas insisté à ce sujet, d’autant plus qu’allait nous échoir chacun la place que nous occupions depuis toujours, même si ce serait pour la première fois l’une à côté de l’autre. Mais avant de nous coucher et si je n’y pensais absolument pas, une dernière chose restait à faire, mon Amoureuse me la rappelant en se penchant avantageusement au dessus de son sac de voyage, qui était resté là où je l’avais posé :
 ― Il faut que tu m’enfiles Numéro 3 Fils de Pute. Car même si on sait que tu peux déjà m’enculer avec de la lube, ça sera quand-même mieux et plus pratique dans quelques temps à sec. 
 Elle a alors sorti de sa biasse un plug, qui s’il avait l’air identique à celui que j’avais déjà vu m’a tout de même paru deux fois plus gros, mes souvenirs me jouant des tours car je constaterais plus tard que ce n’était pas vraiment le cas. Puis elle me l’a tendu ainsi qu’un tube de pommade facilement identifiable, vu que dessus était écrit vaseline. 
 Sans attendre elle s’est mise à quatre pattes sur le lit, me présentant son popotin, et comprenant mon indécision elle m’a expliqué :
 ― Ce n’est pas compliqué, tu dois faire exactement comme avant de m’enfiler par derrière. 
 Obéissant j’ai commencé par enduire son anus, prenant soin de faire pénétrer la matière graisseuse, ensuite j’ai badigeonné le mini ballon de rugby, qui après ça a pénétré en elle une résistance symbolique lui étant opposée. Quand seule la partie souple a été encore visible, ma chérie a déclaré tout en se déplaçant en direction de la tête de lit :
 ― Tu vois mon Gros Lapin, le suppositoire est passé comme une lettre à la poste.
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  Quand nous avons été allongés nos épaules se touchant, Chloé qui n’avait pas l’air dérangée par le corps étranger dans son derrière, m’a fait remarquer :
 ― Man est au courant que j’ai perdu ma virginité. Car non seulement elle a dû s’en apercevoir avec sa langue, mais en plus elle l’a vérifié avec ses doigts quand elle me savonnait.  ― Hum, je savais déjà qu’elle a la langue bien pendue au sens figuré du terme, mais pas qu’elle était également longue à ce point. De toute façon même si je ne peux pas t’expliquer pourquoi, à la tête qu’elle a fait quand elle t’a vue en rentrant de son travail, elle a compris bien avant ça qu’on avait fait l’amour pour de bon. Enfin façon de parler, puisque je m’étais déjà enfoncé dans ton derrière et dans ta gorge.   ― Tu en es certain ? ― Oui, car je la connais par cœur.  ― Alors ça voudrait dire que ça se voit sur son visage, quand une femme s’est faite prendre pour la première fois ? ― Ça je n’en sais rien car moi je ne te trouve pas différente, alors il te faudra lui poser la question directement, si tu veux t’en assurer.  ― Tu le feras ? Car moi je n’oserai probablement pas.    ― OK, et si j’oublie rappelle-le moi, car maintenant que c’est passé ça n’a plus vraiment d’importance à mes yeux. Et puisqu’on parle de ça, tu te sens comment ? ― À part que ça me fait drôle de me retrouver ici au lit avec toi, bien. C’est un peu comme quant on se fait percer un téton, sur le moment la douleur est fulgurante, sauf que la mienne a été occultée par le plaisir que tu me donnais, ensuite elle diminue rapidement pour atteindre un seuil tolérable, et après elle continue à baisser mais bien plus lentement.  ― Hum, tout s’est bien passé alors ? 
 Chloé s’est aussitôt mise en mouvement pour se retrouver rapidement au dessus de moi, sans paraître incommodée par son plug, et posant ses mains sur mes joues alors que ses coudes pointus s’étaient appuyés sur mon torse, ce dont je ne me suis pas formalisé, elle m’a dit en me regardant droit dans les yeux :
 ― Oui, grâce à toi je vais garder un merveilleux souvenir de mon dépucelage, mon Amour. Et j’imagine que ça ne doit pas être le cas de beaucoup d’autres femmes, car quand on en entend parler, il est surtout question d’un sale moment à passer qu’on s’efforce ensuite d’oublier. 
 J’étais tout simplement heureux, car convaincu que cette prévenance de ma part n’avait fait que renforcer le lien qui nous unissait déjà, et nous nous sommes embrassés un petit moment avant de nous endormir enlacés. 
FIN

 Nan j’rigole, la suite arrivera bientôt, car j’ai encore plein de choses à vous raconter... 
χ χ χ

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