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Une douche avec ma fille

Chapitre 1

Inceste
Un jour Ariane, ma fille, m’appela dans la salle de bain.Je la trouvais en train de se déshabiller, en soutien gorge et culotte.— Papa, tu m’aides à prendre ma douche, comme avant ?— Quoi ? comment ça, t’aider à prendre ta douche ?— Hé bien avant tu me lavais toi même, tu me savonnais, tu me lavais les cheveux, et tout... J’aimais bien que tu t’occupes de moi.— Mais enfin, ma chérie, tu es grande, maintenant ! Tu peux te laver toute seule !— Allez, s’il te plait, papa ! Rien qu’une fois ! J’adorais ma fille. J’avais du mal à lui résister. Aussi je ne protestais pas lorsqu’elle enleva son soutien gorge et sa culotte.Une fois toute nue, elle grimpa dans la douche, et me fit face. Clairement, ce n’était plus une petite fille. Elle était devenue une belle jeune femme : une jolie petite poitrine bien développée, bien ronde, une taille fine et des hanches bien marquées qu’elle tenait de sa mère. Mon regard s’attarda sur son sexe que je n’avais plus vu depuis des années. C’était maintenant un joli petit minou avec de beaux poils chatains, longs et doux. Moi qui croyais que toutes les jeunes filles s’épilaient ! Ce n’était pas le cas d’Ariane.Sa fente était entrouverte, et au milieu, bien visibles, dépassaient de délicates petites lèvres rosées. Qu’elle était belle ma fille ! 

Ariane ouvrit le robinet d’eau, s’apergea d’eau, puis me tendit le savon en souriant.— Allez papa, à toi. Je te laisse faire ! Son ton était déterminé. Pas de discussion possible. De toutes façon, elle faisait toujours de moi ce qu’elle voulait. Je n’avais qu’à m’exécuter et obéirAlors machinalement, j’attrapais le savon. J’étalais du savon sur mes mains, puis je les posais sur le ventre de ma petite fille chérie.J’avais un trac fou. Je frottais doucement son ventre, ses hanches, ses bras, en essayant de ne pas trop me rapprocher de ses parties intimes. J’essayais de bien me rappeler que la jeune femme séduisante que je savonnais était aussi ma fille... Pas touche ! Mais à présent c’était ses seins qu’Ariane me demandait de savonner. Un père en général pose rarement les mains sur les seins de sa fille. C’est pourtant ce que je fis.Le fait est est qu’il étaient d’une douceur incroyable, tous ronds, tous beaux. Durant quelques secondes, je les gardais entièrement dans ma main. Que c’était agréable! Ariane m’indiqua alors son entre jambe, l’endroit de son sexe.— Lave ici aussi, papa ! il faut tout bien laver ! C’est toi qui me disais toujours ça avant.Je me mettais à transpirer. Je ne pouvais quand même pas laver le sexe de ma fille comme si c’était une chose anodine ! Comment me sortir de ce pétrin ?J’avais envie de répondre : "Oui, mais ça, ma chérie, c’était avant ! Et puis même avant, je te laissais toujours nettoyer ta minette toute seule." 

Mais je n’eu le temps de rien dire, car ma chère petite puce écarta les jambes pour laisser le passage vers sa foufoune, puis elle attrapa ma main et la fit descendre vers son entre-jambe.
Bon, tant pis...Après tout, c’est elle qui l’aura voulu...Je commencais alors à étaler délicatement le savon sur sa petite chatte poilue.Que c’était doux ! Je passais la main au milieu de ses poils, entre ses jambes, et sentais ses petites lèvres frémir sous mes doigts, s’écarter légèrement pour me laisser passer au milieu, à l’endroit le plus chaud et le plus doux de sa fente, à l’entrée de son intimité..Je poussais alors un peu la main plus loin et sentis son petit anus, du bout des doigts.J’étais tenté d’introduire un doigt plus profondément dans ce joli petit trou, mais heureusement, j’arrivais à me maîtriser.Le plaisir que j’y prenais était malgré tout aussi coupable qu’intense.Je sentais une raideur significative dans mon pantalon. Je bandais.Je me reprenais. J’étais son père, je n’avais pas le droit de me laisser aller. Ainsi, je réussis à bien laver Ariane consciencieusement, des pieds à la tête, y compris sa foufoune, sans laisser la situation m’échapper. Une fois que j’eu fini, je posais sagement le savon. 

Mais ma petite coquine chérie n’avait pas l’intention d’en rester là.— A ton tour papa ! — quoi ? — Tu n’as pas pris ta douche aujourd’hui, je crois. Déshabille toi, tu vas venir la prendre avec moi, comme avant. Et c’est moi qui te savonne !J’en eu le souffle coupé. Ariane avait dit ça sur un tel ton autoritaire ! Il était vrai que lorsqu’elle était petite, pour des questions pratiques, nous prenions parfois la douche ensemble. Mais ça faisait des années que je ne m’étais jamais retrouvé nu avec elle dans une douche. A l’époque il n’y avait bien sûr aucune ambiguité. Pas de ma part en tous cas ! Allais-je me laisser commander par cette petite chipie ? Hélas, Oui... Ariane était trop belle, je l’aimais trop, et j’étais bien trop faible pour lui résister.Je me suis déshabillé. Je bandais. Je me demandais : " A t-elle déjà vu des sexes d’hommes en érection ? Sans doute. Ce n’est plus une gamine. Mais ma bite est plutôt grosse. J’espère que ça ne va pas la choquer !".Heureusement, Ariane ne sembla ne pas y préter attention, comme s’il s’agissait d’une chose normale. Pourtant, mon sexe dur, érigé, prennait de la place dans la douche, gênait nos mouvement. — Passe moi le savon, s’il te plait , papa !Ariane se mit à me savonner comme si rien n’était, comme je l’avais fait avec elle. Mais assez vite, ce fut ma queue qu’elle prit dans les mains. Elle la savonnait avec un savoir faire qui ne laissait pas de place au doute : elle avait déjà fait ce genre de choses, elle connaissait parfaitement la morphologie masculine et savait bien ce qu’aime un homme. Mieux que ça, même : elle se débrouillait carrément bien ! Elle laissait glisser langoureusement ses mains sur ma queue enduite de savon, montait, descendait, avec douceur et fermeté. Je bandais comme un fou.Elle rinça alors le savon, puis s’accroupit devant moi. Je redoutais le pire. Ariane se mit à me caresser les couilles, les malaxait doucement. Plus elle attrapa mon sexe et le mis dans sa bouche. Elle se mit à me sucer avec délectation. Ma petite fille, en train de le faire une fellation ! J’étais choqué. En plus, il fallait hélas reconnaître qu’elle était très douée. — mmh elle est bonne, papa ! Ca fait des années que j’ai envie de faire ça. Mais si tu veux, j’arrête.— Non... s’il te plait, n’arrête pas ! Heu si ! Arrête ! C’est délicieux ce que tu me fais, mais ça n’est pas possible !Elle remonta et me fit face. — Ha bon ? On fait quoi, alors ? me dit elle en me regardant dans les yeux.En même temps qu’elle me posait cette question , la petite coquine perverse se mit sur la pointe des pieds et fit passer ma queue sous elle, entre ses jambes.Elle était en quelque sorte assise sur ma queue.— Ariane, je t’en prie, arrête ! — Non papa... Trop tard...Elle releva une jambe, ajusta ma queue vers l’entrée de sa vulve et ... elle la fit pénétrer...— Non... Ariane... S’il te plait.— Quoi papa ? — mmh...non, rien ... C’est bon...J’abandonnais toute résistance.J’avais un peu plié les jambes, facilitant ainsi la pénétration.J’étais en train de baiser ma propre fille...Ariane attrapa alors des deux mains les rebords supérieurs de la douche, et se tractant des deux bras, décolla les deux jambes qu’elle vint enserrer autour de mon bassin. Elle ne touchait plus le sol. Je la tenais dans mes bras, les mains agrippant ses petites fesses, ma queue toujours bien logée au fond de son vagin.Ariane était si légère ! Empalée sur ma queue, je pouvais continuer de la baiser comme ça, debout dans la douche, presque sans me fatiguer. C’était extraordinaire.— Papa ! C’est bon ! J’adore !— Oui ma cherie, c’est bon ! En lui appuyant le dos contre la paroi de la douche, la tenant par les fesses, je la soulevais comme une plume, la manipulant comme une poupée, la faisant monter et descendre sur ma queue, pour mon plus grand plaisir, envoyant de grands coups de rein qui lui arrachaient des gémissements de plaisir.Visiblement Ariane elle aussi se régalait. Je regardais ma grosse queue rentrer tout au fond de ce vagin si délicat. Comment une jeune fille aussi fine et fragile que ma petite chérie pouvait recevoir un tel engin, si gros, et qu’il rentre entièrement ? La nature était vraiment bien faite !

Au bout d’un moment, je n’en pouvais plus.— Ha ma chérie, c’est trop bon !— Vas y papa ! Jouis en moi. Ça craint rien, je prends la pilule. Vas y, j’ai envie de te sentir !

Alors je me lâchais. Quel délice ! Jamais la jouissance n’aura été aussi bonne. C’était des litres de sperme qui giclaient dans les entrailles de ma fille chérie.Je restais un moment groggy de plaisir.Je me retirais alors d’Ariane et la reposais au sol.— Tu as aimé, papa ?— Tu rigoles, ma chérie ? C’était incroyablement bon !— Pour moi aussi papa ! Ta queue est vraiment grosse. J’adore ça. On recommencera à prendre des douches ensemble, hein ?Je marquais une pause. Dans quel délicieux pétrin m’étais je décidément fourré ? Mais en parlant de fourrer, il fallait avouer que la perspective de rebaiser ma petite chérie m’enchantait...— Bien sûr ma puce ! J’adorerais recommencer...
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