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Une drôle de belle famille

Chapitre 6

Trash
J’arrive sur le parvis de l’église un peu avant l’heure de la messe, j’ai avant de partir ce matin, glisser dans ma veste, le plug Anal avec la commande à distance  trouvé chez Al, et surtout je ne suis pas lavé de la veille au matin, dans l’idée d’humilier soit Martine soit Léa. J’ai eu du mal à tenir car chez moi l’hygiène est capital et je ne supporte pas les crades. Mais dans ce cas précis, c’est pour m’assurer de l’obéissance totale de mon sujet.Je vois arriver de loin la belle famille presque au complet car il ne manque que Loana l’ainée.Léa est resplendissante, il fait à nouveau beau et pour l’occasion elle a mis une robe blanche très près du corps qui lui arrive à mi cuisses, très moulante qui met en valeur ces gros seins et son cul généreux. Pour tempérer tout cela elle a un petit gilet fuchsia et des chaussures bases avec socquettes blanches, et bien sur pas de culotte, mais je suis le seul à le savoir. Au bras de Léa il y a une autre jeune fille, charmante elle est très fine et typée asiatique. Elle semble plus jeune que Léa. A l’autre bras de Léa, Martine se mère que j’ai soumise par chantages à mes désirs sexuelles. Elle est habillée d’une robe beige claire avec une ceinture noire épaisse marquant sa taille, des mocassins beiges avec grosses boucles. Elle fait vraiment bourgeoise comme ça. A sa gauche Elodie est habillée comme hier au magasin jeans et pull. Et pour finir le tableau son mari Pierre en costume gris et tellement banal auprès de sa grande bourgeoise de femme qui l’écrase rien que par sa présence à ses cotés. D’ailleurs elle regarde toujours avec un certain dédain. Moi je sais pourquoi, elle me l’a avoué par mégarde. Pierre ne la baise plus et jusqu’à ce que je m’occupe d’elle, elle se doigtait dans sa chambre cette salope en ce remémorant les humiliations du passé. Mais aujourd’hui elle est là pour aller à confesse cette ‘cul béni’. Je ne pense pas qu’elle aille raconter au curé ce que je lui fais subir, mais peu être le poids de sa culpabilité à prendre autant de plaisir à être humilier. Je viens au devant de la belle famille, abordant un sourire carnassier je salue tout le monde. Martine palie en me voyant, Pierre me sourit en me tendant sa main, Elodie me fait la bise arborant un sourire franc et sincère et meGlisse à l’oreille qu’à l’occasion elle souhaiterait me parler discrètement. Puis Léa me fait également la bise approchant mes lèvres des siennes cette obsédée. Puis se tournant vers la jeune fille qui l’accompagne me présente Béa sa copine. Je la salue en l’embrassant.«  Je suis vraiment très content de faire ta connaissance, Léa me parle si souvent de toi, je t’imaginais plus âgée » Léa me répond en me confirmant qu’elles avaient le même âge toutes les deux soit 19 ans.  Cette fille faisait facilement 3 ans de moins que Léa, incroyablement fine, les yeux légèrement bridés et la morphologie des asiatiques, petite, brune les cheveux longs mais raide et une poitrine assez généreuse, mise en valeur par des hanches fines. J’ai là la fille qui pose autant de question à Léa sur son aventure de soumise…Intéressante. Alors que tout le monde  rentre dans l’église pour s’installer  je prends Martine un peu à part et lui montre discrètement le plug ; Elle rougit en voyant l’objet. Je lui demande si elle porte une culotte et à ma plus grande joie elle me réponde que non. Je me dis que mon éducation commence à porter ces fruits. Alors nous nous plaçons derrière les personnes qui sont en train de rentrer à pas lent dans l’église formant une petite foule. Tout en marchant dans cette foule, au pas au coté de Martine, je sors le plug, crache discrètement dessus pour le lubrifier. Elle comprend de suite et me supplie du regard de ne pas faire ça. Je plonge alors ma main dans son dos, descend jusqu’au bord de sa robe puis la remonte dessous jusqu’à sentir ses fesses musclées et nues. Martine à stoppé tout mouvement au contact de ma main elle a écarté les jambes pour me donner accès à son intimité, je place le bout du plug sur son trou du cul que j’ai repéré avec mon index auparavant et l’enfonce doucement. Je dois forcer quelque peu son anneau de chair mais il céde et finit par engloutir l’objet. Martine à gémit doucement, mais c’est yeux sont brillant. D’ailleurs avant de quitter le dessous de sa jupe je glisse furtivement un doigt dans sa fente… Et oui vous commencer à la connaître vous aussi !! Cette salope est trempée une fois de plus. Nous prenons place sur les bancs de bois et le curé commence son prêche. J’observe Martine qui est assise sur son plug. Elle est stoïque mais par moment je perçois un petit mouvement de ses hanches. De plus lors de la messe nous nous levons puis nous asseyons à plusieurs reprises. Moment assez excitant aussi c’est lorsque Martine se lève avec sa petite famille pour recevoir l’Ostie. Je l’observe tendant la langue au curé alors que son anus est ouvert par un gros gode et je suis certain qu’elle mouille comme une folle. Cette pensée me fait durcir. Puis vient le moment de sortir de l’église, sauf pour les personnes souhaitant se confesser. Alors que Martine s’apprête à quitter l’église avec sa famille je l’apostrophe «  Martine vous n’allez pas vous confessez, il me semble que Léa m’avait dit le contraire, allez y nous vous attendons »Léa surenchérie et lui dit « Oui Maman le curé t’attend, allez ». Coincée Martine se résous à se diriger devant le confessionnal sans entrer Monsieur le curé n’étant pas encore arrivé, elle ordonne sur un ton sans équivoque à Pierre d’aller l’attendre au bistrot d’en face, ce qu’il fait sans poser le moindre problème.L’église est maintenant vide, Léa est à mes cotés et j’en profite pour lui glisser discrètement une main sous la robe. Histoire de vérifier que mes ordres sont bien exécutés. Effectivement pas de culotte. Je glisse mon index dans sa chatte humide et lui demande ou elle en est avec Béa. Elle me répond qu’elle n’a pas encore d’idée sur ce qu’elle va lui demander. Je durcis mon regard et lui demande d’obtenir avant ce soir une réponse à mon ordre. Tu te démerdes, mais je veux une réponse ce soir. Les yeux baissés, Léa me garantie que ce sera fait ce soir puis elle court rejoindre Béa qui est déjà sortie.En fait je ne voulais pas que Léa reste avec moi pour attendre sa mère. Le curé arrive et invite Martine à prendre place que son coté alors que lui entre de l’autre coté.Je fouille dans ma poche et ressort la télécommande du plug. Al m’avait assez bien expliqué son fonctionnement. Je place l’interrupteur sur le P comme Plug. Al m’avait dit qu’il y avait différent programme avec vibrations lentes ou rapides de plus je pouvais également choisir la fréquence de fonctionnement, allant d’intermittente à continue. Mais il m’avait recommandé un programme automatique pour le plug anal qui mixait Vibrations et fréquences et qui garantissait un orgasme en moins d’une minute.Je règle le programme et appui sur le bouton ‘ON’. Je suis à 10 mètres, mais j’entends le cri de surprise de Martine.J’ai la bite qui durcie et j’imagine Martine devant expliquer au curé le pourquoi de ce cri en pleine confession. Puis son souffle va devenir court et elle va avoir du mal à exprimer ses pensées en ayant au fond de son cul ce gode qui la taraude de l’intérieur. Je bande dur et je sens mon gland s’humidifier. Voila presque 40 secondes que je laisse faire mon ami le plug dans le fondement de Martine et je pense que sa chatte doit être inondée de cyprine, encore quelques instants et elle va jouir comme elle sait si bien le faire en femme fontaine. Ma patience est vite récompensée, lorsque je vois Martine sortir du confessionnal. J’arrête le gode et je m’amuse car je vois distinctement sur le devant sa robe beige, à mi cuisses, une large auréole sombre.Al ne m’avait pas raconté de bobards, son programme était des plus efficaces et Martine venait d’en faire l’expérience en pleine confession. Plutôt excitant non…Je me suis placé à la sortie de l’église, Martine arrive à ma hauteur en marchant lentement.« Eh bien petit cochonne, on prend son pied avec Monsieur le curé… dis moi est ce qu’il a deviné ce qui se passait ? » Martine me regard dans les yeux, son regard est brillant et j’aperçois presque une forme de luxure au fond lorsqu’elle me répond «  Oui » elle me voit très étonné par sa réponse, elle ajoute  « il a sorti sa grosse queue, s’est branlé devant moi et a fini par cracher son foutre sur sa robe de bure » Je l’a regarde avec insistance, je n’y crois pas. Martine alors s’esclaffe et me dit «  Tu aurais bien aimé que ça se passe comme ça un mon Maître » Je n’y crois pas cette salope fait de l’humour avec moi. Dans un sens je me dis qu’elle commence à prendre goût à sa soumission sexuelle. Il faut dire qu’elle a eu plus d’orgasmes depuis qu’elle est mon esclave que pendant toute sa vie, ça peut aider à se convertir de femme dominante à pure soumise.Bref je profite de cet excès de zèle pour réaffirmer mon rôle et lui commande.
« Très bien, je vais allez au bistrot ou t’attend ta gonzesse de mari et je vais t’attendre dans les chiottes. Tu t’arranges avec lui et tu me rejoins sans tarder, tu as compris et on va voir si tu gardes ton humour !!! »Je laisse Martine pour me rendre au bistrot. Il ya foule au comptoir. J’aperçois Pierre assis seul à une table devant un café. Il me sourit. Je m’approche et lui dit que je dois aller aux toilettes. Je suis conscient que Martine va avoir la même démarche et je suis certain que Pierre va se poser un certain nombre de questions et c’est là que je veux l’amener.Je trouve les chiottes. Il n’y en a qu’un. Super, j’espère que Pierre le sait ! Pour le moment ils sont occupés.La porte s’ébranle et un mec sort tout en refermant sa braguette. Très élégant, j’entre et referme la porte.C’est des toilettes à la turc. Ce n’est pas super propre, mais il n’y a pas d’odeur incommodante. L’endroit est exigu et il va falloir se serrer à deux la dedans. Martine ne va plus tarder maintenant je descends ma braguette, plonge ma main dans mon boxer et en ressort ma bite. J’en profite pour extraire aussi mes couilles biens lisses. Oui je me rase les couilles c’est vraiment agréables de ce faire sucer les boules toutes lisses.Ma queue est légèrement dure lorsque je la décalotte. Une forte odeur alors envahit la petite pièce. Oh oui c’est vrai j’avais oublié ,je ne me suis pas lavé depuis que j’ai fourré Brigitte dans le cul. Mon gland en a gardé un souvenir olfactif très puissant. Je remets le matos en place.Sa toque a la porte, je déverrouille et laisse entrer Martine. Elle me dit qu’elle à raconter à Pierre qu’elle allait pisser et qu’en plus il fallait qu’elle nettoie sa robe.  Nous sommes à l’étroit, je place Martine les pieds sur les marche des toilettes turc. Puis je l’oblige à s’accroupir comme si elle se plaçait pour pisser. De cette manière son visage est face à ma braguette. Je lui demande de l’ouvrir et de sortir ma queue. Elle a un peu de mal car elle est maintenant très raide. Elle est maintenant dans sa main dure et tendue mais Martine ne l’a pas encore décalottée. Alors qu’elle va pour l’enfoncer dans sa bouche je me recule et lui dis« Tu vas me lécher le gland, je t’interdis de la mettre dans ta bouche, sors ta langue et lèche tout ! »Martine alors ouvre la bouche tend sa langue et décalotte mon gland. Son premier réflexe est de reculer la tête en arrière. Je ne la retiens pas, car je veux qu’elle vienne d’elle-même me nettoyer cette bite sale.Elle s’écrit « mon dieu comme tu pus, je ne pourrais jamais » Je souri et je lui ordonne à nouveau de sortir sa langue et de me laver. Elle sait qu’elle n’y échappera pas, alors elle s’approche à nouveau tire sa langue et la dépose sur mon gland. Lentement elle lèche mon gland s’attardant dans les petits recoins cachés. Petit à petit l’odeur quitte ma queue pour sa bouche. J’adore me faire sucer comme ça, doucement. Puis je lui demande de lécher mes couilles. Soulevant ma queue raide et dure, elle lape mes grosses couilles, allant chercher presque jusqu’à mon anus. Je commence à être sérieusement excité.Je l’attrape par les cheveux et en déposant mon gland sur ces lèvres, j’enfonce l’intégralité dans sa bouche et maintien la position. Je choisi ce moment pour lui avouer que l’odeur c’était parce que  j’avais enculé mon ex hier soir et que je ne m’étais pas lavé depuis. Elle sent mon excitation car ma queue durcie encore plus. « C’est de ta faute, tu m’as donné cette idée avec ton histoire avec Pedro. Et je reste persuadé que si tu m’as donné tant de détail, c’est que tu avais aimé ça hein répond moi » alors que j’ôte mon membre de sa bouche dégoulinante de salive malodorante.Elle me fixe dans les yeux et me répond que c’est vrai depuis cette expérience avec Pedro, les odeurs fortes l’excitent au plus haut point. J’aime quand Martine devient la complice de sa propre humiliation, elle commence à prendre plaisir à l’être et j’avoue qu’avec Léa, j’ai là deux belles perverses dans la même famille.Je lui demande si sa position n’est pas trop inconfortable. Elle me répond qu’en fait ça lui donne envie de faire pipi. Qu’à cela ne tienne je lui ordonne de remonter sa robe d’écarter au maximum les cuisses et de se soulager. Elle obéit et pendant que son jet doré éclabousse ses mollets et ses mocassins dans un bruit d’averse, je me branle devant son visage. Elle a déjà ouvert en grand sa bouche pensant que je vais cracher dedans. Mais lorsque  que je sens que je vais exploser, je saisi le décolleté de sa robe l’ouvre en le tirant en avant, dégageant ainsi sa petite poitrine et je jute dessus. De longs jets épais s’écrasent sur ses seins et sur sa gorge. Elle se retrouve avec la poitrine maculée de grosses giclées de sperme épais et collant lorsque je replace le décollette tout en aplatissant le tissu sur ses seins pour bien l’imprégner de mon foutre.« Eh bien elle est jolie la bourgeoise, de la mouille et du foutre plein la robe, de la pisse sur les cuisses et les chaussures et tout ça un jour de messe, ce n’est pas très sérieux » Martine se redresse dans le petit réduit puis posant ses deux mains dans ma nuque elle vient poser ses lèvres sur les miennes dans un furieux baiser. Nos langues se mélangent et un gout acre envahit mon palais. Je ne m’attendais pas à cette réaction de Martine. Le baiser dura 1 bonne minute, puis martine me dit.« Je t’aime mon Maitre, tu m’as prouvé à moi-même que je suis une chienne. Mais ce que je veux aujourd’hui c’est n’être que TA CHIENNE » Finit elle en baissant les yeux. Je la remercie pour cette confession et lui dit que maintenant nous allons rejoindre Pierre qui nous attend depuis au moins 20 minutes. Je lui soulève la robe et lui retire le plug de son anus puis je demande à Martine de le nettoyer avec sa boucheJe m’attends à une réflexion de la part de Pierre, en tout cas je l’espère fortement.Nous sortons des toilettes, je regarde Martine, la robe tachée de partout et les mollets encore humides de pisse. J’adore…Je l’accompagne, histoire de contrarier encore plus Pierre, qui nous voit arriver.« Mais que c’est il passé, ta robe est encore plus tachée, Martine et que faisiez vous ? Je vous attends depuis une demi-heure. Vous étiez ensemble ?C’est le moment que je choisi pour intervenir et sur un ton des plus sec je me lève en rétorquant.«  Pierre, vos questions sont remplies de sous entendus que je ne saurai supporter plus longtemps, je vous propose de nous rencontrer chez vous mardi soir vers 19H00 et sans  enfants  afin de mettre fin à vos dires qui sont calomnieux et insultants. Je vous recommande d’être prêt à vous expliquer Pierre»Et je quitte le bar, bien heureux de la manipe que je viens d’opérer, en voyant Pierre déjà apeuré par ma réaction. Arrivé à ma voiture, je téléphone à Elodie, la future femme de mon fils suite à sa demande de ce matin. Je souhaite battre le fer pendant qu’il est chaud. Il faut que j’invente une belle histoire pour lui démontrer que sa future belle mère est une vraie nymphose perverse et vicieuse ce qui nous a amenée à nous séparer. Bon c’est vrai qu’elle a déjà eu un petit aperçu de la chose au magasin, mais bon j’avais forcé les choses.  En fait je vais utiliser les mêmes armes pour atteindre ma salope d’ex. Elodie décroche, et nous prenons rendez vous pour Lundi midi, elle me dit qu’elle a une heure pour déjeuner et elle connait  un  restaurant dans un petit centre commercial pas très loin de son bureau. Je décide de rentrer pour prendre un peu de repos après une telle semaine. Alors que je suis sur la route du retour je reçois un message de Léa qui m’informe qu’elle a réussi sa mission après de Béa. Et qu’elle m’attend devant chez Béa dont elle me communique l’adresse.Je rentre l’adresse dans le navigateur de ma voiture et me stationne vingt minutes plus tard. Effectivement Léa est là, elle ouvre la porte tout sourire et me demande de redémarrer. Nous faisons le tour du pâté de maison et Léa me demande de me stationner à un endroit précis et au plus près de la clôture. A droite il y a la foret. L’endroit est très résidentiel et vraiment Charmant.Je demande des explications à Léa. « D’abord changeons de place si tu veux bien » me demande Léa. Je prends place coté passager alors qu’elle passe coté conducteur. De cette façon je suis coté trottoir.Léa alors me raconte« Voila j’ai rejoins Béa à la sortie de l’église en lui expliquant que j’avais une photo comme elle le souhaitait. Mais que tu m’avais ordonné d’obtenir de sa part une concession d’ordre sexuelle en me laissait la possibilité de la choisir. Elle était à la fois paniquée mais aussi intriguée. Après un premier refus, elle revint et me demanda ce que j’attendais d’elle.Je lui ai demandé de bien vouloir se masturber devant moi, mais en gardant sa culotte si elle le souhaitait.Après quelques minutes de réflexion elle a accepté. Nous étions à pied. Sur le chemin du retour J’ai choisi un banc isolé et nous nous sommes assises. Béa s’est installée à califourchon sur le banc, face à moi et après avoir vérifié que nous étions bien seules elle a relevé sa jupe et découvert ses cuisses. La position qu’elle avait prise les écartaient obligatoirement. J’avais déjà vu ma copine nue dans les vestiaires pendant la danse, mais cette fois ci était très différente. Cette fois Béa obéissait a un de mes ordres, et elle allait se branler pour moi. Cela me  remémorait la séance avec Muriel qui m’avait fait bouffer sa chatte et tout le plaisir que j’y avais pris. Oui je suis vraiment bi.D’ailleurs je sentais une douce chaleur irradier mon ventre et ma fente.Béa me demanda de voir la photo Promise. Je lui tendis le portable en lui expliquant que c’était la toute première fois que je suçais mon Maitre.« Quelle salope tu fais, et comme elle est grosse sa bite » Béa avait commencé à passer son index sur le tissu de sa culotte en coton blanche, suivant le sillon de ses lèvres et s’arrêtant sur le clito pour y imprimer une pression plus importante.«  Dis moi tu aimes l’avoir dans ta bouche, allez raconte moi quel gout elle a » j’utilisais des mots crus pour mieux l’exciter.«  Oh oui j’adore le sucer, sa bite va et viens au fond de ma bouche elle palpite sous mes doigts, prête à giclée à tout moment.Les cuisses de Béa sont maintenant largement écartées, on peut distinguer ses poils noirs de son pubis. Sa culotte est maintenant tachée d’une large auréole de mouille. J’ai alors soulevé ma robe à mon tour et présentée ma chatte offerte et nue à Béa en lui envoyant. «  Tu m’excites petite pute, et tu me fais mouiller », alors que deux de mes doigts avaient déjà disparus dans ma fente. Béa fixait mon sexe et mes doigts qui fouillaient mon intimité. Puis soudain elle écarta le tissu de sa culotte détrempée et ouvris de ses doigts sa fente. Ils glissaient sur sa vulve écartelée. Elle mouillait comme une folle et enfonça à son tour deux doigts bien au fond. Je ressortis alors mes doigts pour cette fois fourré mon index au fond de mon cul. Béa avait les yeux écarquillés et se branlant elle voyait mon doigt percer mon anneau et finit par jouir bruyamment sur ses doigts.J’arrêtai mes caresses et saisi sa main. Elle était inondée de sa mouille. Je pris alors ces deux doigts dans ma bouche et suça son jus intime. Béa souriant jusqu’au moment ou je lui tendis mon index en lui disant.« Tiens petite vicieuse goute mon jus de cul allez ouvre la bouche et suce »Béa fini par céder et goba le doigt en le léchant.«  C’est bien tu vois quant tu veux tu peux être une vraie salope. Maintenant ôte ta culotte, car à partir de maintenant tu n’en porteras plus. » Béa m’obéissait à mon grand étonnement. Elle fit glisser la culotte et me la tendit.« D’abord tu va t’essuyer la chatte avec pour que mon Maitre puisse sentir ton odeur de femelle en chaleur »Une fois fait j’ai félicité Béa pour avoir bien obéit et lui ai promis une récompense dès ce soir. « Voila mon Maitre es tu content de ma prestation » finit elle en me tendant la culotte de Béa.La portant à mon nez je respire à fond. Comme ça sent bon la petite vicieuse, le tissu est imprégné de cyprine odorante que je lèche. Ma queue ne s’y trompe pas et reprend à nouveau de la vigueur.«  Oui plus que je ne pouvais espérer, mais dis moi as-tu aimé être le Maitre »«  Oh oui je crois que je suis née pour être et soumise et dominatrice, j’adore les deux »« Dis moi c’est quoi la récompense de Béa »« Eh bien c’est toi sa récompense, Klaxonne discrètement car sa mère est là »Je donne un bref coup et attend. Pendant ce temps Léa digraphe mon pantalon le baisse et baisse également mon boxer. Je me retrouve à moitié à poil dans la voiture et la queue bien raide à l’air. Léa l’attrape à pleine main. Puis me murmure« Descend ta vitre à fond »Une fois la vitre baissée, je vois apparaitre Béa qui vient de se glisser derrière les tullas. Elle est à ma hauteur et peut aisément voir l’intérieur de la voiture et de ce fait voir  Léa en train de me branler. Elle regarde ma bite que Léa lui présente en décalottant mon gland au maximum. Il est gonflé.« Alors salope je ne t’avais pas menti, tu vois comme elle est grosse la bite de mon maitre »Béa répond timidement «  Oui effectivement elle est énorme » confirme t elle en s’approchant encore plus près pour mieux mater.« Allez remonte ta jupe et montre ta chatte à mon Maitre, dépêche toi, je veux qu’il te voit te branler pendant que je vais le sucer »Béa obéit et laisse apparaitre sa chatte. Son pubis en très noir et ses poils raides comme les asiatiques. Elle est très poilue et je distingue sa fente rose. D’ailleurs elle écarte ses lèvres pour me laisser découvrir sa vulve déjà bien brillante. Puis en enfonçant un doigt au fond elle dit« Allez Léa va y suce»Léa s’exécute et se courbe vers moi pour m’enfourner  dans sa bouche gourmande. Elle me suce s’appliquant à bien montrer à Béa comment elle fait. Béa n’en loupe pas une miette et se fourrant frénétiquement ces deux doigts.Je préviens Léa que je vais jouir. Elle me demande l’autorisation de montrer mon éjaculation à Béa.Alors qu’elle me branle je gicle sur mon ventre, Béa observe le foutre jaillir de mon gland et qui s’écoule le long de ma hampe. Béa a jouit en même temps que moi.Léa alors récupère avec son doigt le foutre et le dépose au creux de sa main. Elle recommence l’opération jusqu’à avoir récupérer presque tout le sperme. Puis elle descend de la voiture fait le tour. Béa elle s’est approchée de Léa, elle ouvre la bouche.«  C’est bien Béa tu as encore joui, tu aimes ça hein… Très bien maintenant comme convenu toute à l’heure tu vas prendre le sperme de mon Maitre dans la bouche sans l’avaler, puis tu vas lui montrer et devant lui tu l’avaleras OK » je vois Léa lui faire glisser dans la bouche mon foutre. C’est dingue cette Léa est vraiment une sacrée perverse.Léa ayant finit son opération elle revient dans la voiture puis finit de nettoyer ma queue avec sa bouche.Je regarde Béa qui a repris sa place face à moi, je peux distinctement voir mon foutre baigner dans sa bouche grande ouverte. A priori elle attend que Léa lui ordonne d’avaler, mais pour le moment elle lèche mon gland et la moindre trace de foutre.Puis une fois finit elle se relève s’approche de moi pour mieux voir et lui dit d’avaler doucement. Je vois mon foutre épais et blanchâtre disparaitre au fond de sa gorge. C’est d’une excitation sans pareil.Soudain nous entendons une voix féminine venant de la maison qui appelle Béa.Nous laissons Béa rentrer et je raccompagne Léa chez elle. Il est l’heure pour moi de rentrer je suis exténuer par cette semaine de folie et une nouvelle arrive tout aussi prometteuse.
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