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Une drôle de belle famille

Chapitre 7

Trash
Je suis en pleine forme, après une nuit de repos, d’un sommeil profond et réparateur, Je me prépare et me fais tout beau car je rencontre Elodie, Ma future belle fille, à midi suite à sa demande d’hierJe vais lui raconter une belle histoire inventée de toutes pièces sur mon Ex Brigitte. Effectivement cette salope a été raconter des mensonges pour essayer de l’éloigner de moi. 4 ans après notre séparation elle n’a pas supporté que je refasse ma vie avec une  femme 20 ans plus jeune qu’elle. Alors elle a commencé à m’enmerder sérieusement et depuis ça continu. Mais je ne pouvais pas laisser Elodie croire que j’étais un psychopathe sexuel.J’ai donc commencé par piéger mon ex avec l’aide de Léa et Virgile pour la discréditer, et ça a marché encore mieux que je ne l’espérais. Elodie s’est maintenant écartée d’elle, mais pour éviter le moindre risque, il faut que je lui  démontre que sa future belle mère est une vraie nymphomane, perverse et vicieuse ce qui m’a amené à la quitter, comme ça en plus aux yeux d’Elodie j’en sors en victime.Mais en même temps je veux aussi prêcher pour mon fils et Elodie a l’air un peu coincée sur les aspects sexuels, certainement du à son éducation catho. Je vais en profiter pour essayer de passer des messages. Il est 11H45 quand je me stationne sur le parking du petit centre commercial ou m’a donné rendez vous Elodie. Je reconnais le quartier,  en arrivant je suis passé devant la petite cité ou habite Malika. Le quartier est très sympathique avec des parcs arborés et des airs de jeux pour enfants, en plus il fait encore un temps magnifique.Je rejoins Elodie qui m’attend déjà. Je l’embrasse et nous nous installons en terrasse, à une table un peu isolée.Nous passons commande de l’apéritif au serveur. Elodie commence à m’expliquer que si je l’ai senti distante ces derniers mois c’est que Brigitte mon ex lui  avait raconté des choses sur moi pas très belles. Je l’interromps, en lui expliquant qu’elle n’était pas à son premier coup d’essai. Je commence à lui dire que notre relation s’est dégradée au fur et à mesure du temps car son tempérament à changer, et je me reprends pour aiguillonner Elodie, je dirai plutôt qu’il a évolué dans le mauvais sens.J’ai piqué la curiosité d’Elodie qui me demande ce que j’entends par là. Je fais le gars embarrassé, je lui explique que c’est un peu délicat car ça touche à l’intime. Puis sachant que de cette manière je pourrais lui dire des choses terribles je lui dis.« Écoute je veux bien t’expliquer car il me semble normal que tu saches, mais je te demande de me promettre de ne jamais en parler à mon fils » Elle me répond dans un souffle «  je vous le promets … Allez Michel confiez vous à moi je vous en prie »Je ne peux pas espérer plus bel encouragement.Bien sur la veille j’avais pensé à ce que j’allais lui dire, il me fallait être crédible et ne pas trop grossir le trait, mais toutefois j’allais mettre la barre assez haute.« Voila lorsque nous nous sommes rencontrés nous étions assez jeune et sans expérience. Passé les 6 premiers mois la passion à commencer à s’estomper. Puis deux ans plus tard, la routine s’était installée, avec la fatigue la fréquence de nos rapports allaient en diminuant.De plus notre sexualité était banal, beaucoup moins de préliminaire, beaucoup moins de fellation et moi forcement moins de cuni et nous passions direct au missionnaire »Elodie me regarde un peu embarrasser, je lui demande si je ne la choque pas ? Elle me répond que ça lui fait drôle de parler de ‘ces choses là’ avec moi car c’est resté un sujet plus que tabou avec ces parents. Mais elle m’engage à continuer et me demande de ne rien omettre dans mes explications. Je suis un peu surpris par ce dernier vœu. Il y a peu être une coquine qui sommeil en elle, c’est d’ailleurs ce que je souhaite pour mon fils.Je reprends l’histoire « Cela s’est encore aggravé à la naissance de notre premier enfant ; le retour de couche, le baby blues, puis toutes les attentions sont orientés vers le Bébé et c’est bien naturel. Mais les conséquences sur notre sexualité ont été désastreuses.La situation ne pouvant plus durée, je décide d’en discuter un soir avec elle. Je lui explique qu’il faudrait remettre un peu de piment dans notre vie sexuelle sinon nous courrons à la catastrophe. Elle me demande si j’ai des idées. »J’arrête là mon récit pour expliquer à Elodie que je ne peux pas tout lui dire. Qui il y a des choses ou des situations qu’elle pourrait trouver très inconvenantes, surtout racontée par son futur Beau père. Je joue le mec respectueux alors que je n’ai qu’une envie s’est de discréditer mon Ex aux yeux d’Elodie et il faut que je puisse entrer dans les détails salaces pour ça. De plus je voudrais bien qu’elle soit consciente que si elle veut devenir la femme de mon fils il faut qu’elle en soit aussi sa maîtresse, son amante, voir même dans certaines circonstances bien sur, sa salope et j’ai prévu dans mon histoire de la sensibiliser sur ce point. Elodie me répond sans même réfléchir« Je vous en prie Michel, j’ai besoin de savoir et je vous remercie de m’accorder une telle confiance en me racontant la vérité, aussi sombre soit elle, alors je vous le redit n’omettez rien et n’ayez pas peur de me heurter » Là je suis satisfait, elle vient de me donner carte blanche et je vais l’exploiter et c’est à partir de ce moment que je met en route mon imagination.« Très bien, si toutefois vous souhaitez que j’arrête, demandez le moi. Je reprends ce fameux soir.Oui j’ai des idées, il faut que nous redécouvrions notre envie l’un pour l’autre, je me suis alors déshabillé devant elle, puis debout tout en la regardant dans les yeux j’ai commencé à me masturber. Ces yeux étaient rivés sur mon membre qui grossissait. Je ne te cache pas que la situation m’excitait et il y avait fort longtemps que je n’avais pas eu une telle érection. » Elodie me coupa pour me demander pressée «  Alors qu’a-t-elle fait ? »
« Eh bien au bout d’un petit moment je lui ai demandé d’en faire autant. Alors sans discuter, elle a ôté sa culotte, ouvert ces cuisses et à commencer également à ce masturber… C’était divin, nous étions à nouveau excités l’un par l’autre sans même s’être touché mutuellement et nous avons joui ensemble. Je recommande à n’importe quel couple de pratiquer la masturbation en face à face » Premier message subliminal pour son subconscient.« Cette soirée à marquer le renouveau de notre désir, nous avons acheter par la suite des sextoys. Brigitte commençait à apprécier de plus en plus nos jeux sexuels. Il y a une chose de très accessible pour n’importe quel couple et de très excitant, en tout cas ça excitait au plus au point Brigitte, c’était d’aller en soirée, au restaurant ou au ciné sans culotte ( Deuxième message subliminal) . Nous étions tellement excités qu’ils nous arrivaient de nous arrêter sur le chemin du retour pour faire l’amour comme au premier jour.Tout allait pour le mieux lorsqu’un jour de retour d’une de ces soirées, alors que nous étions arrêter sur un parking, je prenais Brigitte en levrette sur la banquette arrière, un voyeur s’est approché de la voiture. Cela nous était déjà arrivé auparavant, et nous le laissions regarder discrètement alors qu’il se masturbait, mais cette fois fut différente car le mec, un black, était devant la vitre, il avait sorti sa grosse verge et se masturbait, lorsque Brigitte fit descendre la vitre et demanda au mec si il voulait qu’elle le suce » Je m’excuse auprès d’Elodie pour ce mot cru, mais je lui explique que c’était justement ce mot qui m’avait choqué et qu’elle lui propose une fellation sans même m’avoir demandé mon avis. Elodie est rouge, je lui propose un petit verre de vin qu’elle accepte et me presse de continuer l’histoire.«  Le black s’est alors approcher de la voiture a saisi Brigitte par les cheveux et lui à fourrer sa verge dans la bouche, alors que j’étais dans son sexe. Je sentis immédiatement l’excitation de Brigitte car son sexe est devenue trempée et de mon coté voir ma femme prendre une aussi grosse verge dans la bouche m’excitait aussi, même si j’étais blessé dans mon amour propre de mari, Le gars m’a demandé si c’était ma femme, puis… » Je stoppe le récit faisant mine de remonter à la surface des souvenirs douloureux en expliquant à Elodie que je ne pouvais pas lui répéter ce qu’avait dit le black. Je sais que ma réaction va susciter chez elle le besoin de savoir. Elle me dit que ce me fera du bien de me confier, qu’il faut que je sorte ça de mon esprit et me pousse à continuer. Ne me faisant pas prier trop longtemps je cède et reprend … «  Puis il m’a dit que j’avais beaucoup de chance d’avoir une aussi bonne suceuse de bite à la maison, ensuite il m’a demandé si son cul était aussi bon que sa bouche. Cette vulgarité avait finit de m’exciter et je jouis en même temps que l’inconnu qui éjacula sur son visage. Lorsque je l’ai vu se réasseoir auprès de moi le visage dégoulinant du sperme de cet inconnu, j’ai pris conscience que notre relation prenait un tournant et que je ne la verrai plus comme avant.Et effectivement, son comportement commença à changer. Elle s’habillait de manière plus provocante et ne portait plus de culotte. Elle profitait de la moindre occasion pour s’exhiber discrètement. En ballade, dans les magasins,  au restaurant, bref à chaque fois qu’elle le pouvait, qu’il y avait un gars qui l’observait, elle s’arrangeait pour écarter les jambes subtilement et lui montrer son entre jambe nue. L’effet était garantie et plus les mecs se rendaient compte qu’elle désirait les exciter et plus ils la mataient plus cela l’incitait à s’exhiber. Je n’aimais pas la tournure que prenaient les événements. Plus le temps passait, plus elle prenait de risques. Un jour, au concert d’un célèbre groupe de rock, nous étions dans la fosse. Il y avait une foule immense et nous étions tous très serrés. Je senti la main de Brigitte sur ma braguette, elle l’ouvrit, puis en extrayait mon sexe. Elle commença à le masturber. Je m’aperçu qu’elle se caressait en même temps, se foutant des gens qui nous entouraient. Mon sexe sous la caresse avait grossi. Alors elle s’accroupie devant moi en se frayant une place dans la foule et avala mon sexe. Les gens qui nous entouraient la regardaient faire. Elle s’activait et j’étais entre deux états d’âme, excité par la situation et embarrassé par l’indécence de la dite situation. Un couple qui était à coté s’est rapproché de nous, la femme regardait Brigitte. Je l’observais en espérant qu’elle ne crie pas au scandale. Mais pas du tout en fait elle ouvrit la braguette de son mari en sortit sa verge déjà bien raide, et en saisissant les cheveux de Brigitte elle l’obligea à lâcher mon sexe pour lui fourrer celui de son mec dans la bouche. Brigitte se prêta avec beaucoup de mansuétude à cette obligation alors qu’elle continuait à me masturber » Elodie n’en revient pas de ce que je lui confie. Elle a la bouche entre ouverte et est comme figer à l’écoute de mes confessions. Elle me dit que jamais elle n’aurait pu imaginer, à la voir, que sa future belle mère, fusse aussi perverse. Je lui dis que je vais arrêter ma confession car je la sens profondément  dérangée par cette vérité qui lui est révélée. Si elle savait que tout est inventé et que j’aurais bien aimé que mon ex fut un peu cette femme immorale que je décris.Non me répond elle je veux savoir toute la vérité, maintenant j’ai besoin de savoir jusqu’ou elle vous a emmené. Je me permets de lui resservir un petit verre de vin histoire de la détendre un peu et je reprends mon histoire. « Brigitte suçait l’homme devant sa femme qui à priori appréciait particulièrement la scène. Elle avait glissé la main de son mari sous sa jupe et j’imaginais bien qu’il la masturbait pendant qu’elle se rinçait l’œil. Au bout de quelques minutes le mec gicla dans sa bouche et je voyais le sperme couler aux commissures de ces lèvres, ne pouvant contenir la pression de l’éjaculation. Une fois fini, Brigitte revint sur ma verge pour à mon tour jouir dans sa bouche et cette fois avala tout mon sperme.Cette situation m’inquiétait car je perdais le contrôle et surtout je ne reconnaissais plus la femme que j’avais épousée.Quelques temps après, nous devions fêter mon anniversaire, et Brigitte m’avait organisé un petit diner en amoureux le soir à la maison. Elle m’avait dit de me préparer, qu’elle arriverait le soir avec tous les préparatifs, je n’avais qu’à l’attendre installé dans le canapé. Pour l’occasion je m’étais fais beau et attendais comme convenu lorsque j’entendis la clé dans la serrure.Je vis alors entrer Brigitte accompagnée de sa collègue et très bonne copine Sandrine. Je la connaissais pour avoir fait des sorties avec elle et son mari. Brigitte m’avait dit d’ailleurs qu’elle était en instance de divorce. Sandrine était une belle femme de 35 ans environ. Son visage était raffiné et fin sur des cheveux assez longs châtains.  Apparemment une généreuse poitrine, une taille fine et des hanches plus larges. Je pense qu’elle devait avoir un cul large. Elle était habillée, d’une jupe rouge, d’un chemisier noir, ses jambes étaient gainées d’un voile noir sur des hauts talons rouges. Les deux filles s’arrêtèrent au milieu du salon, face à moi. Brigitte alors passa derrière Sandrine, puis passant ces mains autour des épaules de Sandrine commença à dégrafer son chemisier, tout en me disant:« Bonsoir  Chéri, et bon anniversaire… cette année c’est un cadeau particulier que je veux t’offrir. Je vais réaliser un de tes fantasmes. Je t’offre Sandrine et en même temps je t’offre un spectacle en deux actes. Premier acte tu es spectateur, plutôt voyeur du plaisir que nous allons nous donner toutes les deux, puis deuxième acte tu deviens acteur et nous allons toutes les deux te baiser ensemble, ça te plaît comme cadeau » finit elle en ouvrant le corsage de Sandrine me laissant apparaître un soutien gorges seins nus. Elle a une splendide poitrine grosse et lourde mais bien mise en valeur par le soutien. Brigitte les attrape à deux mains et commence à les malaxer. Titillant les tétons, les soupesant. Le spectacle est très excitant et ma verge commence à durcir. Le chemisier tombe à terre lorsque Brigitte s’attaque à la jupe rouge qui finit par rejoindre le chemisier.Sandrine est face à moi, je vois distinctement son triangle noir qui orne son entre cuisse. C’est aussi une adepte du sans culotte. Elle porte des bas noirs. Et lorsque Brigitte détache le soutien gorges à Sandrine, je ne peux pas ne pas penser à la fameuse photo de Man Ray, ou l’on voit le corps d’une femme comme un violoncelle. Eh bien Elle est de ces femmes aux seins tombants, à la taille fine et aux hanches larges et aux formes arrondies de l’instrument. Je l’a trouve tellement sensuelle, tellement femme, je la désire déjà terriblement. Brigitte étant toujours derrière a placé sa main entre ces deux cuisses, qu’elle a maintenant écartées. Je peux voir ses doigts jouer dans la fente juteuse. Puis brusquement elle les enfonce au plus profond. Sandrine ne peut contenir un long gémissement alors qu’elle tourne la tête vers Brigitte qui lui plaque ses lèvres sur la bouche pour l’embrasser fiévreusement. Je vois leurs langues se mélanger dans une ardeur presque indécente.Puis tout s’accélère et Sandrine se retrouve allongée sur le sol son visage est à mes pieds. Brigitte se déshabille très rapidement  et vient se placer face à moi. Elle s’est  placée au dessus de son visage. Puis me regardant droit dans les yeux elle se baisse lentement en s’accroupissant sur Sandrine qui a ouvert la bouche en tendant une langue avide de mouille.Le spectacle qui s’offre à moi maintenant est la langue de Sandrine fouillant, léchant, aspirant et pénétrant. Je vois son visage se couvrir du jus de Brigitte qui gémit de plaisir. Dans un souffle elle me demande si ça me fait bien bander tout en posant sa main sur ma queue raide déformant mon pantalon. Elle en profite pour la sortir et commencer à la branler.Elle ajoute qu’en effet ma queue est énorme et que ça à l’air de me faire beaucoup d’effet de voir deux belles femmes se gouinées pour moi.Puis les deux filles décident d’inverser leur place et Sandrine se retrouve face à ma queue raide. Je décide de me déshabiller et reprend place. Brigitte fourrage entre les cuisses ouvertes de Sandrine qui a saisi ma bite en main. Elle me branle et me caresses les couilles en même temps. Je durcis encore. Je prends conscience que cette jolie femme est en train de me masturber vigoureusement. Je vois ces superbes gros seins se balancer au rythme de ces caresses. Etant au summum de mon excitation je lui saisi les cheveux, l’obligeant ainsi à s’approcher de mon sexe. Elle comprend vite et ouvrant la bouche, l’enfonce au fond de sa gorge chaude et humide. Elle avale toute ma queue et son nez vient taper mon pubis. C’est une sacrée bonne pipeuse.J’entends Brigitte crier surtout ne le fais pas gicler tout de suite… Un petit moment après d’ailleurs elle vient rejoindre sa copine et commence alors une divine séance. Les deux bouches féminines s’activent sur ma bite, leurs langues se mélangeant autour de mon gland gonflé. Je sens qu’elles s’excitent en retour à me sucer la queue et une compétition s’engage sur celle qui me fera le plus gémir. Pendant cette séance je peux voir qu’elles se branlent mutuellement. Alors que Brigitte gobe ma tige, Sandrine glisse son index sous mes couilles et le plaçant sur mon anus elle l’enfonce délicatement au fond. J’adore cette initiative qui me fait encore grossir.Brigitte alors cesse sa caresse et dit à Sandrine que ma queue est assez dure !!Sandrine alors se lève et se retourne me présentant son superbe cul. Brigitte elle maintient ma queue à sa base et la dirige. Sandrine alors vient poser son anus sur mon gland. Puis aidé du poids de son corps elle s’assied dessus en criant. Brigitte lui dit de s’empaler dessus jusqu’à la garde. Ma queue est énorme et je sens le fourreau l’étrangler sur toute sa longueur jusqu’à ce que mes couilles l’arrêtent. Sandrine me complimente sur ma taille et qu’elle n’a jamais eu une aussi grosse queue dans le cul. Pendant ce temps Brigitte s’est placée entre les cuisses de Sandrine pour lui lécher la chatte. Par moment elle en profite pour me lécher les couilles et me fourrer un doigt dans le cul. Sandrine elle s’est mise en action s’empalant sur mon pieu, ressortant presque intégralement de son anus elle se plante brutalement dessus à nouveau.  Quelques minutes à ce régime et je cède, éjaculant d’abondante quantité de sperme dans le fondement de Sandrine qui elle aussi a joui plusieurs fois dans la bouche de sa copine.Sandrine extrait ma bite de son cul, et là se passe une séance folle. Brigitte est allongée sur le sol, Sandrine vient placer son cul au dessus de son visage. Puis poussant elle fait couler le sperme de son fourreau anal dans la bouche grande ouverte de Brigitte qui l’avale. Incroyable jamais je n’aurai imaginé qu’elle puisse faire se genre de chose.Mais c’était un super cadeau d’anniversaire je l’avoue.  Mais il se passa quelques semaines plus tard un événement bien plus grave.Le CE de mon boulot nous avait proposé une journée au zoo. Nous nous étions inscrits pour cette journée avec les enfants.L’ensemble des participants devait se retrouver devant la boite, pour prendre le car. Nous nous retrouvons tous le matin de bonne heure et partons pour le zoo. Les enfants très heureux sont turbulents et joyeux. Brigitte elle dort à moitié pendant tout le trajet. Une fois arrivée, elle me dit qu’elle n’est pas bien et préfère rester dormir dans le car, elle viendra nous rejoindre dès qu’elle se sentira mieux. Nous sortons tous et nous entrons dans le zoo. Je suis avec mes collègues et leurs enfants. Une fois passé le guichet, nous nous dirigeons vers les différents enclos. Trois quart d’heure étaient passés et nous arrivons au vivarium. J’apprécie particulièrement les serpents et là je m’aperçois que je n’ai pas pris l’objective macro de l’appareil. Sans cet objectif je ne ferai pas de belles photos. Je confie les enfants à mon collègue et décide d’aller au car récupérer l’objectif et en même temps prendre des nouvelles de Brigitte. J’arrive devant le car, et remarque que la porte n’est pas bien fermée. Ne voyant pas le chauffeur à son poste. Imaginant que Brigitte pouvait encore dormir j’ouvre doucement la porte et entre. Je m’arrête en entendant  des bruits venant du fond du car. J’avance en me cachant car je crois comprendre ce qui se passe. En effet une fois assez prêt je vois le chauffeur du car,  un jeune black, entrain de besogner ma femme. Il la pénètre avec force et presque avec brutalité. Il lui dit que c’est une bonne salope de bourgeoise et qu’elle a l’air d’aimer les bites de black. J’entends Brigitte lui répondre qu’elle adore se faire fourrer par des grosses queues blacks et qu’elle aimerait bien qu’il l’encule maintenant.  Je ne suis qu’à moitié étonné, depuis un certain temps maintenant je sais qu’elle profite de la moindre occasion, mais se qui me trouble le plus c’est qu’elle le fasse en cachette et en plus au sein d’une activité organiser par mon travail et avec mes collègues. N’importe qui pourrait les surprendre comme moi je l’ai fais. Les conséquences pourraient être très graves, il y avait des enfants et heureusement que je n’ai pas demandé à un des mes enfants d’aller chercher cet objectif. Et tout ça pour un coup de bite.Je décidais de laisser Brigitte se faire enculer et de rejoindre les autres sans me manifester. J’attendais en fait de savoir si elle allait me dire la vérité.Brigitte nous rejoint, et elle resta silencieuse sur les événements.Elle m’avait trompé et je ne supportais plus ce manque de respect et de confiance. Je décidais de la piéger pour en être certain. » Elodie est abasourdie et me dit que cette femme est le mal personnifié. Qu’elle ne peut même pas imaginer que de tels comportements existent. Je ne me suis pas rendu compte, mais au fur et à mesure que je lui racontais ce conte, mon excitation grandissante j’utilisais des mots de plus en plus triviaux et crus. Je m’en excuse auprès d’elle, lui expliquant que je revivais les situations telles qu’elles s’étaient déroulées. Malgré tout cela je sens Elodie troublée par ce récit que je pourrais qualifier de pornographique. Je suis étonné qu’elle n’ait pas mis un terme à notre entretien, ne pouvant en entendre plus. Et bien non c’est le contraire, elle est toujours aussi avide de connaitre la suite et me prie de continuer.« Donc la situation n’était plus tenable et j’étais prêt à me séparer d’elle, ne pouvant plus lui faire confiance. J’imaginais qu’au bureau cela devait y aller ; elle devait se faire tous les mecs et les nanas qu’elle voulait. Je ne contrôlais plus ma femme et du fait nous nous étions éloignés l’un de l’autre. Je voulais en avoir le cœur net. Je décidais de la tester une dernière fois. Nous avions des amis qui habitaient en Bretagne, étaient en train de faire construire pas très loin de chez nous. Ne pouvant se déplacer régulièrement sur place, ils m’avaient demandé si je pouvais allez sur le chantier de temps en temps, pour vérifier que les ouvriers étaient bien là et que les travaux avançaient bien. Une présence régulière incitait les ouvriers à ne pas se relâcher de trop. J’avais déjà fais quelques visites surprises. Tout était correct, les ouvriers travaillaient et la construction avançait.  A cette occasions j’avais vu que sur les 6 ouvriers du chantier, il y avait 4 blacks. Des costauds et très sympas.Connaissant le goût de Brigitte pour les blacks, il ne me restait plus qu’à mettre en place mon scénarios et observer comment elle allait se comporter.Inventant un déplacement, je demande à Brigitte si elle peut passer le lendemain sur le chantier de nos amis afin de vérifier que tout se passe bien. Elle n’est pas très motivée, et me dit que sa l’embête qu’elle a des choses de prévues. J’insiste en lui signalant que c’est toujours moi qui doit y allez, mais je la rassure en lui disant qu’il lui suffit simplement de vérifier que les ouvriers sont bien là, que se sont des blacks super sympas. Elle finit par accepter.Le lendemain matin, après avoir embrassé ma petite femme, je pars pour mon soi disant rendez vous professionnels. En fait je me rends directement au plus près du chantier dans une rue adjacente. Histoire qu’elle ne voit pas la voiture en arrivant. Puis je me dirige très discrètement sur le chantier en passant par l’arrière du grand terrain. J’ai de la chance car il n’est pas clos de murs et il offre une végétation un peu sauvage du fait du manque d’entretien. C’est la situation idéale pour voir ce qui se passe. Les gars sont au casse croute du matin, pâté, saucisson et vin rouge. Ils sont tous réunis dans ce qui sera le futur salon. Pour le moment il y a une table faite de planche de palette  et des cartons en guise de siège. Il est 10H00 et le temps est au beau fixe, lorsque j’entends une voiture stationner de l’autre coté de la maison. Un des ouvriers se lève pour allez à sa rencontre. Je reconnais la voix de Brigitte qui salue gentiment tout le monde. Elle leur explique qu’elle vient voir si tout se passe bien et s’ils n’ont besoin de rien. Je trouve son entrée en matière plutôt dangereuse. Les gars l’observent. Je peux maintenant la voir. Je suis scotché en voyant comment elle s’est habillée pour la circonstance. Elle est en tailleur noir, jupe très courte, laissant apparaitre le haut de ses bas noirs, La veste est très cintrée et s’ouvre sur un décolleté et des bottes noires talons hauts.Elle s’installe sur un carton en ouvrant légèrement les jambes. Je sais qu’ils peuvent maintenant voir son sexe nu. D’ailleurs un des blacks commence à se toucher au travers de son bleu de travail. On peut distinctement voir la forme de sa bite gonflée au travers. Brigitte leur demande alors si elle peut gouter leur gros saucisson, puis saisit le jésus sur la table et le fourre entre ses jambes. Les gars voyant cela ouvrent un a un leur braguette et sortent leurs queues.J’aperçois alors ma femme se mettre à genoux devant toutes ses queues déjà tendues et les sucer les unes après les autres.Je suis au désespoir et mes doutes se révèlent être vrais, ma femmes est une vraie salope et je ne peux plus espérer retrouver la jeune femme que j’avais épousé. Après la séance de pipes, je la vois se faire prendre sur la table. Pendant que deux gars la besognent j’imagine un devant et l’autre derrière, elle suce deux gars en même temps et en branle deux autres. C’est plus que je ne peux en supporter et décide de m’en aller pour ne pas la voir se faire couvrir de sperme. »Et voila l’histoire Elodie, un mois après nous nous séparions définitivement. J’espère que tout cela ne t’a pas trop choqué. Tu sais tu es la première personne à qui je raconte cet enfer. Excuse-moi pour tout ça… Mais tu sais s’est du passé maintenant, aujourd’hui je suis très heureux et loin de tout ce stupre…Je lui confie que bien sur elle n’est pas obliger de croire à cette histoire, elle m’avoue en retour  qu’elle me croit car elle a eu la preuve visuelle de ce que je lui ai confié est vraiElle me remercie encore pour cette confiance, je lui fais promettre de ne jamais dévoiler cette histoire à personne, que ce doit rester notre secret. Puis nous nous quittons et je retourne à ma voiture. Cette petite histoire m’a bien excité et il va falloir que je prépare au diner de demain chez Martine avec Pierre. Il faut que je médite à la stratégie que je vais employer pour soumettre Pierre. 
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