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Une drôle de paroisienne...

Chapitre 1

Nicole doute de sa foi...

Voyeur / Exhibition
“ Vous voyez, Jean, toute la sagesse du monde se trouve dans la Bible. Vous devriez un peu plus lire les Anciennes Écritures, cela vous serait profitable et élèverait votre âme vers Dieu ! “

Mais putain, elle va me lâcher avec sa religion. Pfouh, mais quel rasoir cette bonne femme ! pensais-je in petto.Nous étions dans le salon de mes beaux-parents, à déguster un cognac de grand âge. J’avais espéré un peu de calme, seul, durant cette soirée d’hiver. Le vent soufflait violemment dehors, et j’étais vraiment bien devant le feu de cheminée. Et puis “la grenouille de bénitier” était venue me casser les roustons avec ses bondieuseries ! Déjà que ma femme avait été insupportable comme d’habitude... mais non pas moyen d’être un peu tranquille devant un bon feu de cheminée, avec un bon cognac et un bon livre !
“ Je vous ai entendu Jean, vous disputer encore avec votre femme, croyez-moi, suivez les Enseignements de la Bible et tout ira mieux dans votre couple ! “

Et bla bla bla... je la laissai discourir sur la vie du Christ et de Saint Paul. Les yeux plongés dans son précieux livre, je la regardai et la déshabillai du regard : brune, les cheveux bouclés, un visage grave, mais pas désagréable, ah qu’elle aurait été plus jolie avec un peu de maquillage, et un peu plus de vie dans le regard ! Un chemisier blanc boutonné jusqu’en haut, avec une poitrine qui promettait d’être intéressante, si j’avais pu en voir plus !Des jambes longues et plutôt pas mal, d’après ce que laissait voir sa jupe grise qui s’arrêtait sous le genou. En gros, elle avait une très belle silhouette gâchée par des vêtements trop longs et manquant de fantaisie. Ah, si je pouvais la reprendre en main celle-là, du haut de ses 49 ans j’en ferais une bombe sexuelle... espoir vain et rêves inatteignables !

“ Le couple, Jean, suivez les Écritures et l’harmonie réintégrera votre couple, sanctifié par le mariage. Fuyez l’attrait de la chair qui est démoniaque, choisissez l’amour pur et innocent ! “
A ce moment, une bûche de chêne craqua avec un bruit impressionnant, et une grosse escarbille, un charbon ardent, sauta au-dessus de la grille de protection de la cheminée, et atterrit sur la Bible de Nicole... le livre prit aussitôt feu. Nicole poussa un grand cri, et tenta d’éteindre le livre qui avait pris feu.
“ Non, vous êtes folle Nicole, vous allez vous brûler ! Je sautai de mon fauteuil, lui arrachai le livre des mains, et le jetai dans la cheminée. Poussant une plainte lugubre, elle regarda sa Bible brûler joyeusement dans la cheminée. Observant sa mine déconfite, son teint qui était devenu lugubre et livide, elle avait les larmes aux yeux.
” Allons ne pleurez pas, ce n’est pas grave ! Tiens, cela me rappelle les ordalies par le feu du Moyen âge ! Mauvais présage !
Elle me regarda, terrifiée et me dit :
“ Que voulez-vous dire ? Aurais-je fait quelque chose de mal ? Je vous en supplie, expliquez-moi !
— Et bien, durant les périodes sombres de l’inquisition, on testait le livre en question, bible contre texte hérétique, par le feu, pour savoir qui détenait la vérité, et avait la puissance de Dieu derrière lui ! Celui qui voyait son livre se consumer avait perdu, il était reconnu hérétique !— Mon Dieu, mais alors... serais-je dans l’Erreur ? “

La regardant, consternée et tremblante, je décidai de jouer le jeu, la pousser à bout, pour me venger un peu de ses sempiternels sermons !
“ Eh bien, la Bible ne peut être remise en cause... vous en convenez n’est-ce pas ?
— Mais alors, c’est... c’est moi ?— Il semblerait bien ! Vous en faites peut-être mauvais usage. Peut-être ne l’avez vous pas bien comprise, et en pratiquez-vous un mauvais usage... faites attention, c’est comme cela que l’on entre dans l’Erreur, et qu’on se retrouve hors de la Grâce de Dieu !— Mon Dieu, mais c’est horrible ce que vous me dites ! Je suis dans l’Erreur ! Mais c’est horrible ! Aidez-moi s’il vous plaît ! Je vous sais digne de confiance, intelligent et honnête ! Que me conseilleriez-vous ? “

Je me tus et l’observai avec un air tragique. Je laissais s’installer une atmosphère de défiance et de malaise. Et puis j’enfonçai le clou :
“ Nicole, je crois que votre erreur vient du fait que vous vous glorifiez trop avec vos sermons !
— Je ne comprends pas.— Êtes-vous une personnalité de l’Église, une prophétesse, une Sainte ?— Non pas du tout !— Pourtant, vous vous conduisez comme telle, vous connaissez les 7 péchés capitaux ?— Évidemment !— Quel est pour vous le plus grave ?— La luxure, la débauche l’attrait de la chair !— FAUX ! Qu’a proposé le diable au Christ, lors de son périple dans le désert ?— Tous les royaumes de la terre, la puissance.— Eh oui la cupidité, le désir de puissance, l’absence de modestie, en un mot l’orgueil !— Vous pensez que je suis comme cela ?— Oui, vous êtes très orgueilleuse Nicole, vous êtes une donneuse de leçons pour tout le monde, sans être vous-même concernée d’ailleurs. Que connaissez-vous vraiment de la vie, pour vous croire supérieure aux autres, pour être une directrice de conscience, pour moi, mon couple, ma femme ? “

J’avais haussé le ton, et je la voyais crucifiée par mes paroles. Elle croisait et décroisait nerveusement les jambes, tapait du pied de façon spasmodique. Je riais intérieurement du trouble que je pouvais induire en elle ! C’était une espèce de vengeance en l’occurrence. Et puis il me vint une idée. En constatant l’impact que mes paroles avaient sur elle, je me disais que je pouvais peut-être la manipuler d’une certaine façon ...
“ Mon Dieu, c’est horrible ce que vous me dites là !
— C’est pour votre bien que je le dis. Je crois que vous êtes devenue trop orgueilleuse, et que vous vous éloignez ainsi de la pureté du Christ ! Lui, assumait sa vie d’Humain, quoiqu’étant le Fils de Dieu. Il vivait avec les marginaux, ne les jugeait pas, aidait les pauvres, les délinquants, les prostituées, à rejoindre le Droit Chemin sans les juger, seulement avec son amour et en se mettant à leur niveau. Non pas en leur donnant des directives de rectitude morale. Je crois que vous vous êtes tellement enfoncée dans l’Erreur que vous avez définitivement quitté l’Amour du Seigneur !— Mais comment revenir dans le Droit Chemin ? Que dois-je faire, aidez-moi je vous en supplie. J’ai définitivement perdu l’Amour du Seigneur, ce signe en est une preuve ! Soyez mon directeur de conscience !— Vous pensez que j’en suis capable ! Vous m’attribuez beaucoup de pouvoir !— OUI ! J’ai confiance en vous ! Aidez-moi, je vous suivrai aveuglément !— Alors... tiens, vous qui donnez des conseils pour le bien de mon couple... comment se porte le vôtre ?— Mon couple, il va très bien !— Ah oui, vous avez une vie de couple ?— C’est-à-dire ?— Vous faites l’amour avec votre mari ?
...
— Vous ne voulez pas répondre. Cela en dit long ! D’ailleurs, votre place devrait être avec votre mari, blottie nue dans ses bras, après avoir pris du plaisir avec lui ! Vous n’avez pas eu de relations sexuelles depuis combien de temps ?— Je dois vraiment vous répondre ?— Vous voyez comme vous êtes, toujours à vous croire supérieure aux autres ! Je crois que ce n’est pas la peine, je ne peux pas vous aider. Tant pis, vous vous débrouillez avec Dieu et votre Foi ! “

Elle se mit à pleurer à gros sanglots ! Je me levai, et la pris dans mes bras et la consolai. Puis je m’assis sur son fauteuil, et la pris sur mes genoux. Je lui versai ensuite une grosse rasade de cognac, et lui demandai de vider son verre cul sec :
“ Vous verrez, cela vous fera le plus grand bien. Cela réchauffera votre âme. Alors depuis combien de temps n’aviez-vous plus baisé ?
— J’ai plus baisé depuis 10 ans au bas mot ! dit-elle avec un certain flottement dans la voix.— 10 ans ! Ah quand même, et pourquoi donc ? Avouez qu’avec votre dégaine et votre air pincé, vous n’êtes pas une invitation au sexe ! Votre Mari ne vous touche plus n’est-ce pas ?— Oui ! “

Un petit "oui", contraint et arraché, mais comme pour couvrir sa honte, elle abandonna sa tête contre mon épaule. Un sourire de triomphe sur le visage, je regardai droit devant moi, et par accident jeta un regard dans le miroir du mur. Quelle ne fut ma surprise lorsque je vis dans le reflet son mari qui nous observait derrière la porte vitrée du couloir ! Je me dis qu’il y avait là un coup à jouer ! Alors je lui servis un nouveau verre de cognac, et le lui présentai devant les lèvres. Elle prit le verre et le vida à nouveau. Je la sentais s’alanguir contre mon corps. Alors je profitai de la situation, pour ma propre satisfaction et pour exciter l’autre voyeur. Je me disais que de toute façon, un mari normal serait déjà intervenu, pour retirer sa femme de mes griffes. Vu le contexte de misère sexuelle du pauvre homme, il était clair qu’il attendait de voir ce que je serais capable de faire de sa femme !
Alors je commençai à lui caresser doucement la joue, puis descendis sur le cou ; suivant les boutons du chemisier, je me mis en devoir d’aérer la pauvre femme qui devait avoir bien chaud, sous l’effet du cognac et de mon corps brûlant d’ardeur ...

“ Tu m’as bien dit que tu suivrais toutes mes injonctions au pied de la lettre !? Il te faut devenir plus humaine et plus proche de ta nature de femme, si tu veux retrouver la Grâce du Seigneur. Tu es trop engoncée dans tes vêtements. Je te rappelle que ton corps est le Temple de Dieu qui t’a créé. Dissimuler ton corps et en faire une citadelle inabordable est un grave revers que tu adresses à ton Créateur ! Tu dois te laisser aller et porter des vêtements plus fantaisistes. Laisser les autres admirer ta plastique. Ce sera dur, mais ton salut est à ce prix ! Es-tu prête à accepter tout ce que je vais t’imposer ?
— Oui, guidez-moi, je vous suivrai. Faites-moi ce que vous voudrez pour mon Salut ! Je vous obéirai ! dit-elle d’une voix pâteuse...— Bien, je veux observer tes seins ! Déboutonne ton chemisier... allez ! “

Elle le fit jusqu’en dessous de sa poitrine, révélant un soutien-gorge blanc très simple, et pas du tout érotique.
“ Je comprends pourquoi ton mari ne te touche plus, avec des sous-vêtements comme ça, le pauvre homme ne doit pas bander souvent ! “
Disant cela, je regardai dans le miroir, et je vis que le mari en question se caressait l’entrejambe... j’allais lui en donner pour son argent ! Le type s’étranglait de voir sa femme si chiante, si pudique, se faire entreprendre par un type, son neveu par alliance, de 10 ans de moins qu’elle. J’étais sûr qu’il ne devait pas en revenir, de voir sa femme se dévoiler ! Et ce n’était pas fini !
“ Caresse-toi les seins... oui c’est bien, comme ça. Et maintenant, tu relèves la jupe en haut des cuisses ; plus loin, je veux voir la culotte !
— Vous... vous êtes sûr que...— Bon Nicole, de deux choses l’une... ou tu obtempères, ou je te laisse te démerder avec ton Dieu ! J’ai l’impression que tu ne comprends vraiment pas la nature humaine... du haut de ta sagesse séculaire... qui va t’emmener tout droit en Enfer, si tu continues tes conneries ! “

Nicole se mit à pleurer silencieusement, et doucement releva sa jupe sur ses jambes sveltes :
“ Vous avez raison Jean, je suis trop imbue de moi-même et pas assez humble. Je crois que j’ai oublié d’être simplement humaine. Je vous suivrai dans toutes vos demandes, même si je sais que ce sera très dur pour moi !
— Je crois que tu commences à comprendre ! Oui ce sera dur, mais pense que c’est ce que tu as de plus important dans ta vie qui est en jeu ! Le Salut de ton âme !”

Je regardai la sainte-nitouche relever doucement sa jupe sur ses jambes gainées de soie. Comme je pouvais m’y attendre, elle portait un collant. "Pour la dernière fois ma chérie", pensais-je machiavélique !Culotte blanche, tout ce qu’il y avait de plus honnête...ça aussi il allait falloir le changer !

“ Bon, c’est bien, maintenant dégage tes seins des bonnets du soutien-gorge ! “

Elle saisit le tissu de son soutien-gorge et baissa les bonnets, faisant apparaître deux gros seins laiteux, au moins un 90 C. Puis laissa ses mains le long de son corps, jupe relevée, et seins mis à nu ! Elle ne savait visiblement plus quoi faire, gênée qu’elle était de se mettre à nue devant moi !
“ Tes seins sont très beaux, Nicole, pourquoi les cacher ? Ils représentent une preuve de la gloire de Dieu ! Pourquoi tes pointes ne se dressent-elles pas ? Tu n’es pas excitée de les montrer à ton neveu par alliance ?
— Je... je ne sais pas, tout cela est tellement incongru pour moi, tellement nouveau aussi. Je ne sais pas quoi faire en définitive. Je ne sais pas trop où cela va me mener ?— Bon, alors tu vas t’exciter toi-même. Prends tes seins en main. Oui comme cela. Saisis les pointes et agace-les.— Comme ça ?— Oui ! Que ressens-tu à présent ?— Je ne sais pas... un certain trouble, un échauffement. Oui, je sens les pointes qui deviennent dures sous mes doigts. “

Elle se caressait effectivement les seins, se triturait les pointes, et pour se donner du courage, avala une nouvelle rasade de cognac. Je sentais une certaine excitation la saisir, alors que je soufflais mes ordres près de son oreille. Le fait qu’elle soit assise sur mes genoux, le buste dénudé ne semblait plus la gêner. J’avais l’impression qu’elle s’interrogeait beaucoup sur les sensations de son corps, essayait de saisir le mécanisme de l’excitation féminine. Je décidai de la pousser à bout.
“ A présent, lève-toi. Fais-moi face, regarde-moi droit dans les yeux, ne quitte pas mon regard et baisse ton collant. Oui c’est bien ! A présent, tu vas baisser ta culotte ! Je veux voir...
— Non pas ça, je ne peux pas vous montrer mon... ma...— Allez dis-le “

Elle avait baissé son collant et maladroitement, l’avait retiré de ses jambes. Visiblement, elle se sentait à présent très très mal à l’aise.
“ Mon sexe ?
— Oui... d’autres mots !— Mon pubis ?— Oui, mais mieux que ça, sois vulgaire ! Répète, après moi. " Je vais baisser ma culotte et vous montrer ma..."— Je vais baisser ma culotte et vous montrer ma chatte ! " me dit-elle en butant sur les mots, le rouge aux joues. Et elle le fit.

Je regardai le pubis au triangle de poils noirs, très fourni. Je me régalai du fait que j’avais réussi à faire s’exhiber cette grenouille de bénitier, et lui avoir fait prononcer des mots impensables pour elle ! Cela partait bien ! J’avais un véritable "jouet" entre mes mains. Mais il s’agissait de la laisser tranquille à présent. Jetant un regard vers le miroir, je regardais le mari, Édouard, la bite à la main, en train de se masturber en regardant sa femme se dénuder devant moi. A le voir, il était terriblement excité par cette situation. Lorsque je demandai à sa femme de tourner lentement sur elle-même, pour me montrer son fessier, je vis au tressaillement de ses traits qu’il avait un orgasme.
“ Bon, pars et tu vas me donner cette culotte, et tu vas rejoindre ton mari dans sa chambre. Tu as l’ordre de dormir en chemise de nuit sans culotte. Tu feras cela tous les soirs dorénavant. Et demain, nous verrons comment tu devras te vêtir dorénavant. Allez va ! “
En jetant un coup d’œil dans le miroir, je vis que le mari était parti...

Pour fêter ma victoire, je me resservis un cognac et me roulai une cigarette. Mon portable vibra. Je décrochai en sachant à l’avance qui serait mon interlocuteur !
“ Jean, c’est Édouard le mari de Nicole. Vous êtes une ordure, un déchet de l’humanité !
— Pourquoi donc, cher Édouard ?— J’étais là, j’ai tout vu ! Vous avez avili ma femme, salop ! Vous lui avez ordonné de se déshabiller devant vous... une sainte femme comme elle !— Oui Édouard, tellement sainte que tu la baises pas depuis 10 ans ! Bon on va pas tourner autour du pot ? Je savais que tu étais là à mater ! Je t’ai vu dans le miroir. Tu t’es bien branlé ? Ça t’a excité de voir ta femme se comporter comme une salope devant moi ? Hein, avoue !— ... “

J’entendais son souffle rauque au téléphone. J’étais curieux de savoir qu’elle allait être sa réaction, devant ce que j’allais lui proposer !
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