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Une drôle de paroisienne...

Chapitre 5

Orgie " picturale".

Orgie / Partouze
Jean était aux anges ! Il était bien confortablement caché pour voir sa femme, qui allait se faire "abuser" sexuellement par son oncle, le gros et libidineux Edouard, et sa chère femme, la si prude, pudique, et pieuse Nicole ! 3P, aurait-il dû l’appeler, pensait-il en souriant... enfin maintenant ce serait plutôt 3P, pour prostituée, perverse et pornographique !
Nicole, dans son tailleur noir, était un peu hésitante face à sa jolie nièce Céline, à poil devant elle, ne portant que ses bas résille. Elle saisit timidement un sein au téton dressé, et se mit à le caresser. Céline, elle, émoustillée comme pas deux, enlaça sa tante, et portant sa main à son pubis, au-dessus de la jupe longue noire, elle lui caressa la chatte. Nicole eut un petit sursaut et rejeta lentement sa tête en arrière. Céline accentua sa pression sur le sexe de sa tante, et la prenant par le cou, elle fixa sa bouche sur la sienne, et lui roula un palot d’enfer. Nicole s’abandonna au baiser lesbien, tandis que son mari, excité comme une puce, commençait à dégrafer son pantalon pour en sortir une bite, assez peu longue, mais par contre très épaisse. Il se mit à se lustrer le "gaillard"...
— Céline, fous-la à poil et baise-la ! Nicole, tripote-la, fais-lui reluire le mille-feuille !
Edouard était comme un fou, la bite à la main, devant ces deux petites pimbêches, inexpérimentées dans les choses du sexe ! Mais enfin, l’instinct prit le dessus ! La jeune prit l’initiative ! Elle défit la fermeture éclair de la longue jupe noire et la fit tomber sur le sol. Nicole se retrouva les jambes nues, gainées de ses bas couleur chair, en porte-jarretelles noir, le pubis à la bande de boucles de poils noirs à l’air !
Puis elle s’activa à déboutonner le chemisier blanc fort sage de sa tante, pour lui faire apparaître ses deux seins aux pointes turgescentes. Fascinée par la splendide poitrine assez conséquente de sa tante, elle n’eut qu’un instant d’hésitation avant de lui prendre les deux seins en main, et de les caresser, en malaxer les globes confortables, en triturer les pointes. Nicole fermait les yeux et gémissait doucement sous les caresses brutales et passionnées de sa nièce. En même temps (comme dirait un célèbre président qui laissera son nom dans l’Histoire pour la pire catastrophe sanitaire de l’Histoire française de ses 100 dernières années), elle souda sa bouche à celle de sa tante pour des baisers profonds et passionnés !
Edouard qui avait sa queue turgescente en main, et n’en pouvait plus d’assister au spectacle érotique et lesbien devant lui, s’approcha de sa nièce à la nudité tentatrice, et plaqua ses deux mains sur ses fesses, qu’il se mit à malaxer avec passion. Céline ne regimba pas, se cambrant même un peu plus, pour offrir son cul à son oncle ! Il passa sa main entre les cuisses pour caresser la moule bien juteuse de la jeune femme, qu’il se mit à masturber avec vigueur. Du tranchant de sa main, il frictionnait les grandes lèvres et le clitoris qui avait doublé de volume, s’arrêtant parfois pour faire entrer trois doigts dans le puits chaud, humide et accueillant. Sous ses caresses expertes, Céline devait parfois quitter la bouche généreuse de sa tante pour exhaler une plainte de jouissance.
Puis Edouard, qui n’avait que comme envie première et primaire d’enculer une femme, sport auquel il ne s’était jamais livré avec la sienne, décida de visiter “ l’arrière-pays “ de sa nièce. Sa femme pouvait bien attendre son tour, après plus de vingt ans de vie commune triste et fade, à faire désespérer et en faire douter un moine cistercien de sa Foi ! De toute façon, elle était entre de bonnes mains, celles de sa nièce sur ses seins !
Alors il tenta un index, d’abord un peu hésitant sur la rondelle de la jeune femme, qui lui offrit encore un peu plus son cul. Alors qu’elle s’abaissait encore un peu, elle forçait elle-même sa tante à faire de même, la poussant de ses deux mains sur sa poitrine dans une étreinte sauvage. Alors Nicole bascula soudain en arrière, et se retrouva le dos couché sur le matelas moelleux. Se laissant aller en arrière, en regardant sa nièce dans les yeux, qui ne cessait de gémir sous les doigts virils qui lui pénétraient la chatte, et cet index "tontonnesque", qui allait de plus en plus profondément dans son dernier sanctuaire secret, elle écarta les cuisses toutes grandes, offrant son sexe lui-même bien luisant, et dégoulinant de mouille.
Edouard profita de la situation pour faire courber l’échine à sa nièce, gardant toujours son doigt bien fiché dans son cul, du plat de la main sur sa nuque, et la faire mettre à quatre pattes, le visage à quelques centimètres de l’entrecuisse de sa femme offert.
— Bouffe-lui la moule, fais-la jouir cette salope !
Lui dit-il dans un grondement rauque.
Céline s’exécuta et servilement se retrouva dans cette position de soumise, deux doigts dans son cul, l’autre main de son oncle dans son sexe grand ouvert, à quatre pattes, la bouche prenant possession de la moule bien ouverte et juteuse de sa tante. Elle y rentra facilement la langue, caressant au passage les lèvres et le clitoris. Céline faisait son premier cunnilingus à une femme, mais au vu des plaintes de plaisir de plus en plus sonores de sa tante, elle le faisait plutôt bien ! Nicole, les cuisses toutes grandes ouvertes, se laissait gamahucher avec beaucoup de plaisir par la jeune femme, tandis qu’elle se caressait elle-même les seins, en se pinçant les pointes... chose que de sa vie pieuse et puritaine elle n’aurait jamais pensé faire ! Mais dans sa jouissance et son délire, les yeux clos, elle avait l’impression de voir les portes du Paradis s’ouvrir devant elle, telle Sainte Thérèse d’Avila dans son extase !
Edouard se régalait de voir sa nièce bouffer la moule de sa prude de femme, enfin ex-prude et désormais salope assumée, celle-ci se caressant sans aucune honte, allant même jusqu’à caresser les cheveux de sa nièce, et lui pousser encore un peu plus la tête vers son sexe affamé de luxure, en laissant fuser des gémissements et des plaintes de plaisir de sa bouche entrouverte. Il n’en revenait toujours pas, et ayant dilaté le conduit anal de la femme de son rival, il y plaça un gland violacé de désir et prêt à éclater sous la tension. Céline eut une petite crispation, tant "l’objet" était large et gonflé de sang, mais elle commença à gémir lorsque ledit "animal" s’inséra bien au fond de sa dernière intimité, et qu’il commença à ramoner l’ensemble ! Alors, ce ne furent que gémissements et plaintes des deux femmes, l’une enculée au plus profond de son être, et l’autre la chatte tantôt léchée ou branlée par la langue ou les doigts agiles de sa nièce.

Edouard tenait le coup, il voulait faire jouir sa nièce, objet de ses fantasmes les plus secrets depuis longtemps, par le cul et la faire exploser de jouissance. Il voulait que la jeune femme devienne accro à sa queue, et que ces agapes ne soient pas qu’un simple amusement, mais devient une drogue pour la jeune femme. Il aurait ainsi gagné la compétition avec son rival, Jean, mari de ladite enculée, qui avait subjugué et dévergondé sa propre femme à lui, pour son plus grand plaisir. En proie à une excitation qu’il contenait mal, toujours matraquant le cul de la gourgandine, il eut l’idée de saisir son smartphone dans sa poche, et de raconter ses exploits présents à son contradicteur, qu’il ne pouvait savoir caché dans la pièce d’à côté, regardant avec délectation toute la scène !
Ainsi une main sur la hanche de la jeune femme, la bite bien ancrée dans son conduit anal, et l’autre tenant le portable à son oreille, il eut Jean au bout du fil, et d’une voix rauque et essoufflée, il lui dit :
— Jean... tu sais ce que je suis en train de faire ? — Non, répondit un Jean, qui matait le gougnafier en train d’enfiler sa propre femme par le cul, d’une voix hypocrite. — Je suis dans le cul de ta femme ! Je l’encule à fond et la salope prend son pied, je peux te l’assurer ! — Nooon ! roucoula Jean, la bite dans la main, et partagé entre l’excitation du moment et la franche rigolade de la conversation surréaliste ! — Si je l’encule... hummm ! Putain, elle est bonne ta salope ! Elle m’a fait un vrai numéro de pute, se foutant à poil en porte-jarretelles, la chatte à l’air, et prenant des poses... Umph ! Toutes plus bandantes... han... les unes que les autres ! — Désolé je ne te crois pas ! Tu me montes un numéro, avec tes gémissements d’asthmatique. — Petit con ! Et bien, arrive tout de suite, on est dans l’atelier de peintre de ta belle-mère ! Au passage, ta femme est train de gamahucher la mienne qui est aussi à poil ! Alors ? — J’arrive !! Jean réajusta son pantalon, en voyant par le trou de la cloison, Edouard ranger son smartphone dans sa chemise blanche entrouverte, qu’il avait gardée au-dessus de son gros ventre. Il ne se dépêcha pas trop, pour ne pas faire comprendre à son rival qu’il était dans la pièce d’à côté ! Ce faisant, il permit à Claire, sa belle-mère qui matait elle aussi la scène orgiaque, de se calfeutrer dans le petit cagibi du couloir, qui donnait sur son atelier. Ainsi Claire, la main dans la culotte, en train de se faire reluire le berlingot, put se dissimuler à son gendre, qui rejoignit les pécheurs adultérins !

Elle rejoignit son poste d’observation derrière la porte entrouverte, pour observer avec avidité les "sexploits" de son beau-frère, son gendre, sa fille, et sa belle-sœur ! Elle eut un coup au cœur en regardant l’objet de ses désirs secrets, son gendre, abaisser pantalon, caleçon et retirer son teeshirt, pour apparaître nu comme un ver, la bite bien longue et droite. Alors elle replongea ses doigts fébriles dans sa bonbonnière, se triturant le clito au passage, et regarda Jean qui écarta Nicole de sa femme, la releva, lui roula un palot d’enfer, en lui palpant la chatte, et la fit mettre à quatre pattes à côté de Céline, toujours enculée par son oncle. Lui fourrer deux doigts dans l’anus pour préparer le chemin de son gland, et ensuite la fourrer d’un coup sec ne fut qu’une formalité tant elle était déjà tout excitée et dégoulinante des caresses saphiques de sa nièce !
Alors, tandis que Jean enculait joyeusement sa tante, et que Edouard faisait de même avec sa femme, Claire, elle, se branlait de façon nerveuse et brutale, s’imaginant être à la place de sa belle-sœur, enculée par son gendre. Elle avait l’impression de sentir son fier dard lui transpercer le cul et la faire jouir à n’en plus pouvoir ! Elle eut un orgasme démesuré, alors que les deux femmes dans la pièce d’à côté jouissaient de même avec vigueur. Elle se rhabilla rapidement, et s’éclipsa discrètement, bien décidée à se venger des deux femmes qui avaient eu ce moment de pur délice sexuel, tandis qu’elle ne s’était réjouie qu’avec ses doigts ! Elle se dit aussi qu’elle n’aurait de cesse de manipuler et brutaliser sa fille au besoin, ou sa belle-sœur, tant qu’elles ne l’auraient pas aidée à mettre son gendre dans son lit !
Le lendemain, elle convoqua sa fille pour un prétexte quelconque dans la cuisine, tandis que les autres n’étaient pas à la maison, et elle eut un sourire cruel quand Céline la rejoignit. Elle claqua la porte avec brutalité, et donna une majestueuse gifle à sa fille qui s’écroula sur une chaise !
Avant qu’elle ne reprenne ses esprits, elle l’avait ligotée sur la chaise, et s’installant sur la table, en face d’elle, sa jupe courte laissant voir ses bas noirs et ses jarretelles ainsi que son petit chaton blond, elle saisit un grand couteau de cuisine qu’elle garda dans sa main, les bras croisés, et dit à sa fille : — Et maintenant petite traînée, on va avoir une petite explication entre femmes !”
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