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Une drôle de recette

Chapitre 1

Erotique
Une drôle de recette
Cette jeune femme d’environ 35 ans est une mère de famille comme tant d‘autres. Son mari, comme tant d’autres aussi, est très occupé par son travail. Il est aussi un peu trop volage comme beaucoup d‘hommes. Depuis quelques temps elle se sent délaissée. Leurs moments d’intimité deviennent rares et leurs relations sexuelles s’espacent de plus en plus, ou alors sont réduites à quelques minutes de va et vient sans grand intérêt, surtout pour elle qui n‘y éprouve que rarement un orgasme. Peu à peu cependant elle s’installait dans cette routine. Mais un jour….Ce jour là elle sortait faire des courses au super marché. Son mari comme chaque week-end restait à la maison. Sur le chemin elle se rappela avoir oublié son sac avec chéquier et carte bancaire sur la commode. Demi tour. En entrant dans la maison elle cria :« c’est moi, j’ai oublié mon sac. »Pas de réponse. Intriguée elle passe la tête dans le salon, puis la cuisine. Soudain elle entend comme des légers gémissements venant de la petite pièce servant de bureau ou se trouve installé l’ordinateur. Elle se penche, pousse un peu la porte. Son mari est devant l’écran, entièrement nu, les écouteurs sur les oreilles ce qui explique sa non réponse. La webcam est allumée. Face à lui une femme d’environ son âge se caresse les seins d’une main le sexe de l’autre, elle est nue également. Elle lui parle en même temps. C’est seulement à cet instant qu’elle réalise qu’il se masturbe lui aussi. Il laisse fuser des soupirs de plaisir de temps à autre. Sur le moment, figée par la surprise, elle ne sait que faire. Elle reste à regarder quelques minutes puis recule doucement. Elle a besoin de réfléchir, les larmes lui sont montées aux yeux. Elle prend son sac puis quitte la maison. En réalité elle doit s’avouer être vexée d’avoir vu son mari prendre son pied face à une pute. Comment peut il bander devant un écran, se demandait-elle ? En ce moment il est plutôt du genre peine à jouir. Dur de comprendre la sexualité des hommes. Le soir venu elle ne résista pas à l’envie de le provoquer. Il s’écarta d’elle prétextant une grosse fatigue, crevé par le boulot. Il lui fallu du courage afin de ne pas le gifler et lui dire : « je t’ai vu pendant que tu te branlais cet après midi » . Bizarrement cette vision l’avait aussi excitée. Elle attendit qu’il dorme pour se caresser un peu sans toutefois atteindre le plaisir.
Le lendemain matin elle était seule, son mari travaillait. L’envie de sexe était en elle plus présente que jamais et lui taraudait le bas ventre. Alors malgré elle, ses habitudes de jeune fille refirent surface. Au début elle se toucha avec une certaine culpabilité, une gêne évidente. Depuis qu’elle était mariée elle ne s’était plus fait plaisir toute seule. Puis ces sentiments disparurent et elle éprouva un réel plaisir. Des sensations qu‘elle croyaient oubliées revinrent en force.Les premières fois elle se contentait de se masturber en se branlant le clito, comme lorsqu’elle était petite, puis la pénétration lui manqua. Ce furent tout d’abord ses doigts, puis des légumes divers, carottes, courgettes, concombres. Elle ne sollicitait plus son mari, se contentant d’accepter le devoir conjugal bâclé qu’il lui imposait une ou deux fois la semaine pour donner le change. Elle avait décidé de le surveiller discrètement. Un jour il oublia son portable à la maison. Il était connecté. Une chance, pas besoin de mot de passe. Elle passa en revue les appels reçus, puis les SMS. Un numéro revenait souvent. C’était la femme de l’autre jour, elle en était certaine. Elle lu des petits mots doux, des allusions sexuelles, un pincement lui serra le cœur, ce n’était pas une pute mais à coup sûr sa maitresse. Le salaud ! lorsqu’il ne pouvait pas la voir en vrai ils faisaient l’amour à distance. Elle venait à la maison par webcam interposée. Elle était anéantie et pleura, un gros chagrin comme un enfant qui s’arrêta d’un seul coup. Oui, vraiment elle était trop conne. Il fallait trouver un truc pour se venger.
En attendant, malgré ou peu être à cause de tout cela, son besoin de sexe se trouvait de plus en plus exacerbé. Elle aimait par exemple se donner du plaisir avec un concombre savamment taillé en forme de bite. Assez régulièrement elle achetait ce légume, c’était devenu son instrument de plaisir préféré. Elle le taillait en forme de sexe masculin avec un gland plus gros que la tige et se baisait avec tout l’après midi avant que ses enfants ne rentrent de l’école. Après avoir déchargé, elle gardait souvent en elle cette fausse queue. Elle pouvait la conserver parfois pendant des heures bien au chaud dans son vagin trempé de mouille et de foutre.
Les mouvements qu’elle faisait en se déplaçant lui donnaient un plaisir supplémentaire qui souvent l‘entraînait un peu plus tard vers de nouvelles voluptés. Alors l’idée qui jusqu’à présent sommeillait en elle devint lumineuse. Elle allait faire manger a son salaud de mari le concombre avec lequel elle se branlait et se faisait jouir. Elle jubilait, imaginant déjà le résultat de ce trait de génie. Voici donc cette recette, qui vous le verrez, est tout à fait originale et mériterait sans aucun doute d‘être publiée. Le jour convenu elle était toute fébrile, excitée comme une puce. Conservé dans son intimité pendant plusieurs heures, le légume était devenu plus mou et sentait très fort la chatte excitée et le foutre. A vrai dire il était presque confit. Elle le coupa délicatement en rondelles, le maria avec quelques tomates cerises, ajouta un peu de vinaigrette et du persil pour faire joli. À l’heure du repas elle était un peu fébrile. Son mari trouva tout de suite que l’odeur était un peu particulière. Alors, sans se démonter elle lui dit qu’il s’agissait d’une recette asiatique qui paraît-il avait en plus des vertus aphrodisiaques. Un mot magique s’il en fut.
Elle le laissa manger seul prétextant que comme les radis, le concombre lui donnait des renvois désagréables. Il termina tout, avec une gourmandise non déguisée. Elle se retenait pour ne pas rire. Son mari lui demanda même pourquoi elle semblait de si bonne humeur.Quand elle l’avait regardé mâcher avec entrain, elle en avait eu des contractions de plaisir dans le ventre. Pour peu elle avait cru qu’elle allait jouir rien qu‘en savourant cette délicieuse vengeance culinaire. C’était vraiment génial. Il mangeait sans le savoir et avec une réelle gourmandise le légume qui avait séjourné dans son con baveux tout un après midi, c’était une jubilation sans pareille. Le plus extraordinaire fut qu’il lui fit des compliments, cela n‘était pas arrivé depuis des mois.
Elle promit, pour la prochaine fois de lui faire goûter un confit. Une recette encore meilleure selon une voisine. Il en fut ravi, même pas étonné de sa soudaine gentillesse à son égard. Le temps était venu de concocter la fameuse recette. La nuit qui précéda elle s’était caressé discrètement la chatte très longtemps pour que déjà au petit matin elle soit bien trempée de mouille et du foutre de sa jouissance nocturne. Sans se laver, évidemment, elle s’était enfilé le légume, juste après le départ de son mari. Elle s’était branlée le bouton et la chatte et avait plusieurs fois déchargé copieusement dessus, puis était sortie conduire ses enfants à l’école et faire des courses avec le légume toujours en elle. Cette fausse bite la gênait un peu pour marcher provoquant un déhanchement de canard. Mais en compensation le frottement dans son vagin la faisait mouiller en permanence et entretenait son excitation. En revenant elle se masturba une nouvelle fois pour décharger encore. L’odeur devenait de plus en plus forte quand elle écartait les cuisses, remontant jusqu‘à ses narines. Maintenant le concombre mollissait rapidement, complètement imprégné par le jus de son con. L’après-midi, une fois les enfants retournés à l’école, elle se branla encore pendant deux heures environ en faisant très attention pour ne pas casser cette fausse bite qui devenait de plus en plus fragile. Depuis la nuit dernière elle avait déchargé six ou sept fois et commençait à être épuisée. Vers dix huit heures, pendant que les enfants faisaient leurs devoirs, un peu avant le retour de son mari, elle sortit le concombre de sa chatte. Il était devenu presque translucide et puait la petite fille qui se néglige, la pisse, le foutre, les jouissances passées, le cul mal lavé, et j’en passe. Elle le coupa en rondelles très fines et pour couronner le tout, s’accroupie au-dessus du plat et se força pour faire couler de sa chatte baveuse quelques beaux glaires de foutre et une ou deux gouttes de pipi jaune et bien concentré en surplus. L’odeur et l’aspect étaient infects. Elle saupoudra de persil, versa un peu de sauce au soja  pour masquer l’odeur de cul et de la crème fraîche liquide ce qui lui fit penser à une coulée de sperme, puis donna quelques tours de moulin à poivre. Elle mélangea prudemment tout cela et ajouta pour le décor deux belles feuilles de menthe, enfin elle recouvrit d’un film transparent avant de mettre au frigo. Elle le présenta le soir comme un plat asiatique typique très stimulant. Son idiot de mari, avait adoré cette recette particulière, bien qu’il trouva cette fois ci l‘odeur un peu dérangeante au début. Elle lui rétorqua que c’était normal pour un européen d’être surpris par le goût et l’odeur, cela provenait des épices. Les enfants en voulurent aussi, elle refusa fermement, mais ne pu empêcher son mari de leur faire gouter avec sa fourchette. Le garçon fit la grimace, la fille trouva que cela sentait le pipi, elle avait un peu raison cette petite. Quant à elle, en le regardant manger, son sexe se serrait si fort qu’il aurait fallu peu de chose malgré ses débordements de la journée pour qu’elle jouisse à nouveau en se remémorant les détails érotiques nécessaires à l’élaboration de cette succulente préparation. Depuis ce jour elle lui prépare environ deux fois par mois la recette du concombre à la sauce vaginale avec un plaisir pervers. Elle pense sérieusement à varier les plaisirs en se tournant vers les fruits exotiques. Salé puis sucré, pourquoi pas ? Salade de fruits au jus de con….douceurs des îles parfumées aux odeurs de foutre….tartelettes de fruits confits à la cramouille maison. Une fois par semaine, pas plus, car pour cette cuisinière modèle, cordon bleu de la craquette, ce genre de cuisine est réellement épuisante, mais la vengeance est si délectable. Et justement, depuis quelques jours une nouvelle idée vient de germer dans son esprit inventif. Et si elle s’essayait à la sodomie ? Que dirait-il, par exemple, d’une bonne banane flambée au chocolat amer? fabriqué maison évidemment le chocolat. Mais une banane c’est plus mou qu’un concombre et son petit trou est bien serré. Il faudra qu’elle réfléchisse à tout cela. Pour commencer il faudra dilater son anus, il y a plein de truc pour cela. Et puis certaines copines lui ont dit que la sodomie c’est encore mieux que par devant. Alors……
À cette seule pensée, éminemment scatologique, elle déchargea en frottant son bouton contre l’angle arrondit de l’évier tout en faisant la vaisselle.
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