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Une drôle de soirée chez les parents de mon copain..

Chapitre 1

Hétéro
Ce récit est fait en collaboration avec Yanos :
Je m’appelle Léa, je suis d’origine espagnole. L’histoire que je vais vous raconter est vraie et date d’il y a quelques années. J’avais tout juste 18 ans, et à ce moment-là, j’étais en couple avec un jeune homme de mon âge, Théo. Nous étions ensemble depuis quelque temps et nous nous connaissions déjà bien. Nous avions déjà fait l’amour à plusieurs reprises. Il m’avait même présenté à ses parents avec lesquels je m’entendais plutôt bien et qui acceptaient ma relation avec leur fils.
Mais puisque je parle de présentation, laissez-moi achever la mienne ici, avant de continuer mon récit, cela vous aidera à mieux imaginer la scène. Je suis très brune, les cheveux longs ; j’ai de beaux yeux gris ; une belle bouche bien dessinée et un très joli sourire. Je me décris telle que l’on me décrit; aucune prétention dans mes propos. J’ai ce qu’on appelle de charmantes formes, un très envoûtant 95 D, et ce, depuis mes 16 ans, et une bonne paire de fesses hautes et bombées. Mais retournons au jour qui nous intéresse.
C’est un beau soir d’été et après que j’ai passé la journée avec Théo, nous nous retrouvons chez ses parents qui ont eu la gentillesse de m’inviter à rester dîner. C’est une belle soirée, le temps est agréable et nous allons donc manger à l’extérieur. Il a fait très chaud aujourd’hui et je ne suis vêtue que d’un simple short en toile et d’une chemisette blanche à carreaux. J’ai même laissé tomber l’idée de porter des sous-vêtements aujourd’hui; donc ni culotte ni soutien-gorge. Après un apéritif, nous prenons place à table; une petite table de jardin rectangulaire. Les deux femmes d’un côté et les deux hommes en face de leurs chéries. Je suis à gauche de la maman de Théo et donc en face de mon copain. Le tout début du repas se passe très bien. Théo a retiré ses chaussures sous la table, il est en chaussettes, un pied posé par terre, et l’autre en appui sur ma chaise.
Au bout de quelques minutes, Théo déplace son pied du bord de la chaise pour venir le poser au centre, tout juste entre mes genoux. Jusqu’ici rien de grave. Son père me demande :
— Bon et alors Léa, tes parents ils vont bien aussi ?
— Oh, oui ! je réponds (soudain, je sens que Théo tend sa jambe, et fait glisser son pied jusqu’à ce qu’il se pose contre mon sexe, et il me caresse du bout du pied). Euh... Je ... mes parents... ça va oui... ils sont en vacances enfin !
Je finis par terminer ma phrase tant bien que mal sous le regard étonné de ses parents qui ne comprennent pas bien pourquoi j’ai buggé en répondant. Théo retire un peu son pied. Je baisse les yeux et bois un grand verre d’eau.
Théo se contente de me sourire tandis que je lui fais les gros yeux. Le repas continue et la discussion aussi, mais à chaque fois que je reprends la parole, mon copain recommence son petit jeu et vient frotter son pied contre ma chatte, à travers le tissu de mon short en toile. Il m’agace, j’ai envie de le claquer quand je le regarde assister au spectacle de mon embarras et en même temps je dois bien reconnaître que cela commence à m’exciter et à me faire mouiller un peu.
La fin du repas arrive enfin !! Théo dit à ses parents : « Vous savez quoi ? Vous deux, vous restez là, tranquillement, à vous détendre et pendant ce temps-là, Léa et moi, on s’occupe de tout ! Profitez de cette belle soirée estivale. » Les parents, bien que surpris, sont ravis de cette proposition et sa maman lui dit : « Ah ben, écoute, oui, c’est pas de refus, merci les jeunes. »
Nous rassemblons tout ce qu’il y a à prendre sur la table, puis je prends quelques assiettes et couverts dans mes mains et avance vers l’entrée de la cuisine; Théo saisit les verres et la bouteille d’eau et part juste après moi. Mais je sens qu’il se précipite, il passe près de moi et me murmure : « Je sais que tu as aimé, je sentais ta chaleur sur mon pied ! ». Puis il me dépasse et pose les verres dans l’évier. Je ne lui réponds même pas pour lui montrer que je ne suis pas très contente.
Il va finir de débarrasser la table pendant que je commence à faire la vaisselle. Il revient, range deux trois trucs dans le frigo. Puis il s’approche de moi, m’embrasse dans le cou et là tranquillement, il commence à me passer les mains sur les fesses et à me les malaxer. Cette fois-ci, cela va trop loin ! Je me retourne, lui jette un regard noir et lui dis : « Bon maintenant tu arrêtes, déjà à table tu as exagéré, mais là, tu insistes en plus ! Si tes parents arrivent, je vais passer pour quoi moi ?!! » Comme tout à l’heure, ce qui m’énerve encore plus, c’est que ce qu’il fait m’excite et me fait de l’effet, surtout que je ne porte pas de culotte... Ses parents peuvent nous voir, la fenêtre de la cuisine donne sur le jardin.
Je ne m’aperçois pas que j’ai commis une erreur, mais Théo le voit tout de suite. Avant de me retourner, j’ai pris soin de couper l’eau du robinet. Ce qui fait que je suis libre de mes mouvements et que si on part, l’eau ne coulera pas pour rien. Je vois dans son regard qu’il va faire quelque chose, mais je n’ai pas le temps de réagir qu’il m’a déjà saisi par le poignet ! Il est plus fort que moi et je ne peux pas faire grand-chose, mais j’essaye de me dégager. Je ne peux pas lui crier dessus non plus, ses parents entendraient. Il me tire par le bras et m’entraîne peu à peu vers le salon, la pièce d’à côté.
J’essaye de lui dire d’arrêter sans crier, mais je sens bien que je n’y crois pas moi-même.
Il s’arrête près du canapé, me positionne contre celui-ci, puis il m’embrasse à pleine bouche, dans un baiser plutôt sauvage. En même temps, il me touche les seins par-dessus le chemisier et il sent mes tétons tout durs; mon corps trahit indubitablement mon désir. Puis très vite, il s’agenouille devant moi, passe ses doigts dans mon short et le tire violemment vers le bas. Il me l’enlève complètement pour pouvoir m’écarter les jambes. Me voilà sans plus rien en bas, chez mes beaux-parents, appuyée contre leur canapé. Théo attrape ma jambe gauche et la soulève. Je ne m’épile pas entièrement, et je garde un petit triangle taillé très court et propre sur mon sexe. A peine a-t-il posé une main dessus que Théo se rend compte que je suis déjà bien humide. Il me dit : « J’en étais sûr, je savais que tu avais envie.» Puis, il se jette sur ma chatte, il écarte mes lèvres avec ses doigts et glisse sa langue directement sur mon clitoris.
Il me connaît et sait comment me faire vite prendre mon pied. Je suis encore terriblement gênée et angoissée par l’arrivée possible des parents de Théo, et en même temps totalement sous son emprise, hyperexcitée, il peut faire de moi ce qu’il veut. Et il le sait très bien.
Ces doigts me fouillent le sexe tandis que sa langue s’active habilement sur mon petit bouton. Je mouille abondamment, c’est délicieux.
Quand il me sait suffisamment prête, il se relève, baisse d’un coup son jogging et son boxer en même temps. Son sexe est déjà tout droit et tout dur. Visiblement, il n’y a pas qu’à moi que toute cette soirée a fait de l’effet. Il me fait me retourner en disant : « Je vais te prendre par-derrière, je sais que tu adores ça. » Une fois de plus, je ne le contredis pas. Il me retourne donc, me fait me pencher en avant, les mains en appui sur l’accoudoir du canapé. Théo m’écarte les jambes. Il frotte son gland à l’entrée de ma grotte d’amour. Puis, sans plus de ménagement, mais sans violence, il s’enfonce en moi de toute sa longueur. Mmmmh c’est trop bon. Je me retiens de pousser un gémissement significatif. Il attrape mes fesses dans sa main et commence un va-et-vient profond, mais toujours doux et langoureux dans ma chatte. Je glisse ma main entre mes jambes pour jouer avec mon clitoris.
Le plaisir est double ainsi. Théo me dit : « Tu en avais envie, hein ? Tu aimes quand je te prends par-derrière ? » Cette fois, je lui réponds dans un souffle et en parlant le moins fort possible : « Oui, c’est vrai, c’est tellement bon, mais j’ai peur... » A ces mots, mon chéri décide alors de commencer à accélérer progressivement le rythme. Les coups de boutoir sont de plus en plus puissants et de plus en plus rapides. C’est divin. Je me touche également avec délectation. Je sens ma poitrine lourde se secouer à l’intérieur de mon chemisier, mes tétons pointent plus forts que jamais. C’est bon, c’est fort, Théo sent que je suis sur le point d’exploser alors il me serre les fesses et me fait profiter de toute sa fougue. Sa queue va, et vient en moi avec force et envie. Mon corps se tend et je me couvre la bouche pour ne pas crier de plaisir. Je jouis dans un long et délicieux orgasme. Peu à peu, mon corps se détend. Et je peux enfin enlever ma main de ma bouche et respirer un peu plus normalement bien que je sois essoufflée.
Je sens que le sexe de Théo en moi est toujours aussi dur, il n’a pas joui lui. Mais mon orgasme a dû l’exciter au plus haut point. En effet, je sens qu’il accélère encore, ses allées et venues sont plus rapides et moins profondes. Je secoue un peu mes fesses pour l’aider à venir. Soudain, il se retire d’un coup, et me dit : « Viens me sucer, j’ai envie de jouir dans ta bouche. » Il m’a rendue folle et il mérite bien que je m’occupe de lui. Je m’agenouille, docile et gourmande. Je prends sa queue dans une main et ses couilles dans l’autre. Je ne perds pas de temps et prends tout de suite son gland en bouche. Je dois le faire venir vite parce que cela fait un moment que ses parents sont dehors maintenant. Théo pose sa main dans mes cheveux. Je le suce avec application, mais sans aucune retenue, tout en le masturbant. Je sens qu’il commence à flancher, sa main serre mes cheveux. Son sexe se tend une dernière fois et l’explosion arrive.
Il jouit puissamment dans ma bouche experte, les jets de sperme envahissent ma bouche. Son jus d’amour coule en abondance sur ma langue et dans ma gorge. J’avale tout, je ne laisse aucune goutte s’échapper. Il est encore pris de quelques soubresauts. Puis il me fait comprendre qu’il est à bout. Je retire son sexe de ma bouche et je lui adresse un sourire radieux. Mais la peur reprend ses droits, je me rhabille le plus vite possible et je l’encourage à se dépêcher.
J’ai du mal à croire à ce qui vient de se passer. Et pourtant, c’est vrai, nous avons fait l’amour dans le salon des parents de mon copain alors que ses parents sont à l’extérieur et auraient pu rentrer à tout moment. Nous retournons dans la cuisine et je me replace devant l’évier pour finir la vaisselle./.
Quel beau et chaud souvenir !
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