Je dois avouer ne pas avoir dormi la nuit dernière... Dès que je fermais les yeux, je revoyais cette bombe rousse jouer avec mon sperme avant de l’avaler. Je n’arrive pas à croire que ça m’est arrivé. Ce matin, je n’ai pas eu de cours « intéressant ». J’ai enchaîné les maths, un cours d’anglais et un cours de français. Mais j’ai hâte d’être cet après-midi : je vais suivre un cours de sensibilisation à la sodomie. Quoi qu’il en soit, je mange à l’école ce midi. Mon père ne pouvait pas me ramener à la maison, il avait un rendez-vous. Ce sera peut-être l’occasion de me faire des amis. En entrant dans le grand réfectoire, je suis accueilli par une magnifique vue : une sublime jeune blonde se tient nue sur une table à l’entrée. Elle a les jambes écartées et nous donne une belle vision sur sa chatte bien rasée. Tous les élèves, filles comprises, en passant devant elle, s’amusent à lui donner un coup de langue sur son entrejambe, ce qui la fait gémir de plaisir à chaque passage, alors qu’elle se presse fermement des seins. Elle a perdu un pari, elle doit assumer maintenant. Je me retourne et manque de me cogner contre Sonia. Ah, salut, bégayé-je. C’est quelque chose qui se fait souvent, m’explique-t-elle. Je te conseille de ne pas te lancer dans un pari si tu n’es pas sûr de toi. Allez, viens, on va chercher à manger. En passant devant la blonde, Sonia enfonce avec plaisir sa langue dans son vagin. Elle s’amuse à l’enfoncer et à la retirer pendant quelques secondes avant de me faire signe d’approcher. Je me place devant la jeune fille et me mets à titiller son clitoris avec ma langue. Je remarque que la table est trempée de mouille. Cela fait un moment qu’elle doit être installée là à se faire lécher par tous les élèves de l’école. On va donc chercher un plateau-repas : un hamburger accompagné d’un sachet de frites et d’une salade. Sonia s’installe en face de moi et me regarde un moment en silence, avant de déclarer avec un certain sourire : Tu ne dis rien ? Après ce qui s’est passé hier dans les toilettes, je pensais que tu serais un peu plus bavard. Donc ce n’était pas un rêve. Je dois dire que je suis encore un peu surpris par tout ça, cette école, toi... Au fait, tu ne m’as pas dit ton nom, me coupe-t-elle. Je m’appelle Daniel. Hum, dis-moi, pourquoi tu as fait ce que tu as fait hier ? Tu veux dire pourquoi je t’ai fait la meilleure fellation de ta vie et soulagé de ton énorme érection ? Parce que j’en avais envie. Tu sais, niveau sexe, rien n’est tabou dans cette école, et tout est autorisé dans la mesure du respect. Regarde cette chanceuse qui offre sa chatte à tout le monde, même aux pauvres qui passent. Donc si, admettons, je veux absolument baiser avec une fille, là maintenant, je peux ?
Totalement. Regarde derrière toi, ces deux filles ne se cachent même pas pour se branler mutuellement et se peloter. On peut clairement voir leurs doigts rentrer et sortir de la chatte de l’autre, tout mouillés. Là-bas d’ailleurs, tu peux voir mon grand frère, Bastien. Il est en dernière année. Elle me montre un grand mec roux lui aussi, qui est en train d’enfoncer sa bite dans une chatte à peine visible sous la jupe d’une autre fille appuyée contre le mur. Soudain, il se retire et se met à se branler frénétiquement. Sa partenaire se retourne, me dévoilant sa poitrine qui ressort de son chemisier ouvert, et ouvre sa bouche devant la queue du frère de Sonia tout en frottant son entrejambe. Elle reçoit les quelques giclées de sperme avec grand plaisir et en avala autant qu’elle peut. Puis elle se relève, le salue et se dirige vers nous. Ouh là, cela faisait longtemps que je ne m’étais pas tapé un élève, lâche-t-elle en s’asseyant à côté de nous. Ton frère a vraiment une bite splendide. Daniel, je te présente Madame Bron, la professeure du cours d’endurance. Le cours d’endurance ? Oui, répond la nouvelle venue, c’est un cours réservé aux garçons. Vous y apprenez à tenir en érection le plus longtemps possible. C’est un cours optionnel. N’hésite pas à t’y inscrire. Elle me lance un clin d’il et s’en va en passant devant la blonde aux jambes écartées, non sans s’y attarder quelques secondes en profondeur. D’accord, donc les profs peuvent baiser les élèves. Murmuré-je en moi-même. Et toi Sonia, tu es en quelle année ? Je suis en troisième, j’ai deux ans de moins que Bastien. Elle lâche un gémissement. Tu vas bien ? Elle me fait signe de regarder sous la table et je remarque qu’elle ne porte aucun sous-vêtement sous sa robe. En plus, elle a les jambes bien ouvertes et je remarque qu’elle a un engin rose qui vibre entre ses lèvres roses. Je prends bien le soin d’enregistrer cette image pour ce soir et me relève. J’ai aussi perdu un pari et je dois porter ce sex-toy toute la journée. La sonnerie nous interrompt. Merde, je dois aller en cours. Tu as l’air bien triste de devoir me quitter mon Daniel. Tiens, prends mon numéro, on s’appelle à l’occasion ! Elle me glisse un petit papier dans la poche, me fait un bisou et s’en va. La deuxième sonnerie me sort de ma rêverie. Merde, faut que je me dépêche.En arrivant dans la classe, je vois que la salle est séparée en deux : les filles d’un côté qui ont sur leurs bureaux un mystérieux tube, et les garçons de l’autre avec sur les tables un étrange cylindre et le même tube. Je m’assieds sur le dernier bureau vide et regarde l’enseignant. C’est un homme assez athlétique, aux cheveux bruns avec des lunettes. On devine aisément sous sa chemise des abdos. Bien, bonjour à toutes et à tous. Bienvenue dans ce premier cours de sensibilisation à la sodomie. Je ne vais pas vous expliquer ce que c’est, je pense que vous le savez déjà assez bien. On va donc passer au vif du sujet. Pour cette première leçon, chacun va rester dans son coin, car si on va trop vite, quelqu’un risque d’être blessé. Mesdemoiselles, devant se trouve un tube de lubrifiant. Messieurs, le même tube ainsi qu’un anus artificiel se trouvent devant vous. Je vais commencer avec vous les filles. Vous allez enduire l’index de votre main dominante de ce lubrifiant et avec celui de votre autre main, vous allez gentiment masser votre anus. Toutes les filles s’exécutent. On entend de timides gémissements s’élever dans la salle. A présent, vous allez lentement, très lentement, c’est important, enfoncez votre index dans votre trou. Une fois bien à l’intérieur, remuez-le doucement, et mimez des mouvements de va-et-vient. Les gémissements se font de plus en plus intenses. Je vois l’une des filles qui se tortille carrément de plaisir. Maintenant messieurs, à vous. Je pense que vous êtes motivés par ce que vous voyez et entendez, alors n’attendons plus. Sortez votre pénis et enduisez-le de ce lubrifiant. Ensuite, comme ces demoiselles, vous allez l’enfoncer très lentement dans ce jouet. Lorsque mon gland touche l’entrée de l’anus artificiel, je me rends compte que c’est extrêmement serré. Je pousse lentement, et quel plaisir d’enfoncer ma queue dans un couloir aussi chaud, humide et serré ! Je crois que je touche le fond du jouet. Oh mon Dieu, lorsqu’on se retire, c’est tellement meilleur !Je crois que j’ai trouvé l’un de mes cours préférés. Hâte de commencer les choses sérieuses.
