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Une école très spéciale

Chapitre 8

Septième jour

Erotique
Je commence gentiment à avoir quelques amies dans cette école, mais je n’ai pas encore de pote garçon. En même temps, c’est compliqué d’alpaguer un gars qui est en train de baiser pour lui demander son nom. Mais aujourd’hui, je vais m’en faire, c’est décidé !Mon réveil n’a pas sonné, et comme mon père est parti plus tôt, il n’a pas pu m’emmener et je suis arrivé en retard. Heureusement, Maddie, notre professeure, était trop occupée à branler l’un des mecs de la classe pour m’engueuler. Il ne restait qu’une place de libre dans la salle, à côté d’un gars un peu réservé, dont je me suis rendu compte que je n’avais aucune idée du nom. Quelle aubaine, je voulais me faire un pote et la providence m’ouvre ses portes. Je m’assieds à côté de lui et lui demande discrètement ce qu’il se passe.
— Elle montre aux filles comment faire plaisir à un homme. — Merci ! Il ne me répond pas.
Soudain, le garçon auquel la prof faisait du bien se lève et retourne s’asseoir à son bureau. Maddie propose à l’une des filles de venir nettoyer le sperme qui colle à ses mains, et une jolie rouquine se dépêche de la nettoyer avant de se rasseoir.
— Maintenant, au tour des filles. Mademoiselle, quel est votre nom déjà ? demande-t-elle à la fille qui vient d’avaler la semence.— Clara, répond-elle timidement. — Ne soyez pas timide, je vous rappelle que vous allez tous vous voir nus un jour ou l’autre, il faudrait passer ce cap. Justement, déshabillez-vous et venez montrer votre corps à tous les élèves.
Clara s’exécute et une fois postée devant la classe, elle s’appuie sur le bureau de Maddie et écarte ses jambes.
— Parfait, vous êtes magnifique mademoiselle, l’encourage Maddie.
Elle sort de l’un de ses tiroirs une espèce de bâton avec une grosse boule au top, que j’ai déjà vu dans des vidéos pornos, je crois.
— Ceci est un vibromasseur, mais je pense que vous le savez déjà. Voici comment l’utiliser au mieux.
Elle appuie sur un bouton et de petites vibrations se font entendre.
— Veillez bien à ce que le vagin de votre partenaire soit bien humidifié pour éviter les irritations. A ce que je vois, les lèvres de mademoiselle Clara sont déjà bien trempées, est-ce le sperme qui vous met dans cet état ?
— Avant de la laisser répondre, Maddie dépose sur le clitoris de Clara l’appareil. Clara, surprise, laisse échapper un hoquet de plaisir et plaque sa main sur sa bouche. Ses jambes se mettent à trembler. — Vous voyez, l’appareil produit un bel effet sur notre amie, mais n’oubliez pas qu’il vous reste une autre main et votre bouche pour la satisfaire au mieux.
Après quelques dizaines de secondes, Maddie enlève la main de Clara pour l’embrasser, afin de faire taire ses cris. Avec ses doigts, elle glisse jusqu’à l’entrée de son vagin et insère son majeur. Les yeux de Clara s’écarquillent de plaisir ; elle attrape sauvagement un de ses propres seins et enlève sa bouche de celle de la professeure pour hurler un bon coup. L’excitation a vaincu la pudeur, me dis-je. Maddie en profite pour venir sucer les tétons de Clara, tandis que celle-ci fait de drôles mouvements avec son dos, sans doute pour contenir son plaisir. Après quelques minutes de ce beau spectacle, Clara presse Maddie contre elle, laisse échapper un cri aigu et se laisse tomber su sol, tandis qu’elle gicle de sa chatte. Maddie l’aide à se relever, haletante, et la rassure : il est tout à fait normal pour une femme d’éjaculer à sa manière. C’est la preuve d’un plaisir intense.
— Merci madame, je n’ai jamais eu un aussi fort orgasme, dit-elle avant de se rasseoir. Elle en oublie même de se rhabiller.
J’essaie de continuer la conversation avec mon voisin.
— Sympa le spectacle, lui glissé-je. — Ouais.
Devant son silence, je lui demande tout de même :
— Comment tu t’appelles ? — Marc. Tu es Daniel toi, le fils du directeur ?— Je plaide coupable, tenté-je de plaisanter. — Il paraît que tu as le bol d’avoir Sonia comme marraine ?
A l’évocation de son nom, un drôle de sentiment m’envahit.
— Elle doit être super bonne à baiser, c’est la plus fraîche de l’école.
Je ne lui réponds pas, mais je suis content du sourire qu’il m’envoie. Il reprend soudain :
— Viens avec moi, faut que je te montre un truc de fou !
Je le suis jusque dans le hall de l’école. Il me désigne un panneau en liège accroché sur un mur. Il y a toutes sortes d’affiches pour des spectacles, des numéros de téléphone pour aider à réviser les cours ou en donner. Il y a même des propositions de baises et des photos souvenirs des meilleurs shows. On y voit des polaroïds de lesbiennes qui se broutent la chatte et sourient à la caméra, certains montrent la soirée de fin d’année, une sorte d’orgie géante avec tous les élèves et les profs. J’en reconnais quelques-uns, dont Sonia sur l’une des photos qui suce avec passion un chibre.
— Pourquoi tu me montres ça ?— C’est ce qui nous attend en fin d’année. J’espère trop avoir ma photo dessus. Mais certaines de ces photos viennent en fait d’une soirée où il n’y a que les plus vieux élèves. Et elle est ce week-end, alors je me disais que, comme tu es le fils du directeur, tu pourrais sûrement nous trouver l’adresse de cette fameuse soirée pour qu’on s’y incruste, tu crois pas ?
L’idée est follement excitante, passer une fête avec les filles les plus douées de l’école, un kiff absolu ! J’en parlerai à mon père ce soir. La cloche interrompt notre discussion, on se serre la main et on se rend dans nos classes respectives. Sur le chemin, je croise Sonia. Quand on parle du loup. Elle semble contente de me voir.
— Daniel, comment vas-tu ?
Elle essaie de me faire un câlin, mais je la repousse à contrecœur. Tant pis si j’arrive encore en retard au prochain cours, mais c’est le moment ou jamais :
— Sonia, on peut discuter.
On s’assied à une table près du réfectoire. Il est vide, tous les élèves sont en cours forcément.
— Qu’est-ce qui ne va pas Daniel ?— Ecoute...
Je ne sais pas comment le dire, c’est dur d’exprimer ses sentiments, surtout face à une fille comme elle et dans une école si particulière.
— Je suis amoureux de toi.
J’évite son regard et fixe mes yeux au sol. Je l’entends qui rit.
— Mais Daniel, on ne se connaît que depuis quelques jours, tu peux pas être amoureux de moi !
Au fond de moi, je savais que je n’aurais pas la réponse que je voulais, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle se moque de moi. Elle rit de plus belle, et honteux, je cours me réfugier dans les toilettes. Pourquoi je lui ai dit ça ? C’est vrai, on se connaît à peine, je ne peux pas être amoureux.Je reprends mes esprits et me rends dans ma salle de cours en prenant soin d’éviter le réfectoire, craignant qu’elle n’y soit encore. En arrivant dans la salle, je me rends compte que je me suis gouré d’horaires : il n’y a que des filles assises. La professeure me dévisage et comprend rapidement le quiproquo.
— Jeune homme, vous êtes dans un cours exclusivement réservé aux filles de deuxième année, ça m’étonnerait que vous souhaitiez suivre une leçon sur les pratiques lesbiennes.
Elle ne sait pas à quel point elle se trompe, mais je baragouine une excuse et m’apprête à fermer la porte avant qu’elle ne m’interrompe.
— Ecoutez, puisque vous êtes là, venez vous installer sur une chaise, je vais en profiter pour faire une démonstration.
En silence, sous les regards de toutes ces filles aussi belles les unes que les autres, je vais m’asseoir sur la chaise que me désigne la prof. Elle fait signe aux deux bombes qui frottent leurs chattes devant la classe de se relever.
— Enlevez votre pantalon.
Je m’exécute, soucieux du traitement qui va m’arriver.
— La semaine passée, lors du cours d’introduction, je vous ai rappelé que ce cours n’était pas seulement destiné pour les lesbiennes, mais aussi pour les bisexuelles et les hétéros. Car voyez-vous, selon les sondages, les rapports lesbiens sont les plus appréciés par les hommes. Ainsi, lors d’un plan à trois, n’hésitez pas à profiter d’un moment entre dames, votre homme ne vous le reprochera pas. Nous allons voir l’effet que cela a sur notre jeune clandestin. Aria, Diane, reprenez votre position et pensez bien à regarder monsieur dans les yeux.
Je ne me suis pas rendu compte que l’on m’a attaché les mains dans le dos. Voici comment la professeure veut me punir : je ne peux pas me branler, je vais devoir me contenter de regarder. Les deux filles se couchent de nouveau et m’offrent un spectacle très excitant. Je vois distinctement leurs deux chattes trempées qui viennent s’embrasser avec les mouvements de leurs bassins. Elles se tiennent les seins et lâchent des gémissements de plaisir à chaque respiration. Lorsqu’elles tournent leurs yeux vers moi, un frisson d’excitation parcourt mon corps et vient terminer sa course dans mon membre bien dressé qui palpite avec les battements de mon cœur qui s’accélèrent. Tout en continuant de frotter leurs lèvres inférieures, l’une presse la tête de l’autre pour l’embrasser, toujours en me regardant dans les yeux.
Leur maîtrise prouve qu’elles ont une année de plus d’expérience. Je crois que je n’ai jamais eu autant envie de me masturber. En parcourant la salle des yeux, je me rends compte que de nombreuses filles se mordent les lèvres et se caressent pendant la démonstration.
Soudain, les deux filles se lèvent et s’approchent de moi. Elles continuent de s’embrasser au-dessus de moi et leur salive coule sur mon gland qui est très sensible. Je lâche un gémissement. Leurs cheveux viennent frôler la peau de mon pénis qui frémit. Elles font basculer ma chaise et je me retrouve à terre, leurs deux grottes de plaisir juste au-dessus de ma tête. Des gouttes de cyprine me coulent sur le visage. J’essaie de les lécher, mais la distance est juste trop longue. Elles enfoncent chacune deux doigts dans le vagin de l’autre et commencent à se masturber.
— Mesdemoiselles, regardez comme son membre palpite, preuve qu’il apprécie de voir ces deux femmes s’amuser devant lui.
Les deux intéressées font quelques pas et se retrouvent au-dessus de mon chibre. Petit à petit, elles se baissent et je sens leurs lèvres m’effleurer le gland. Elles se couchent et s’apprêtent à me branler avec leurs deux chattes en même temps, mais dès que leurs sexes touchent le mien, l’excitation est telle que j’éjacule directement. Du sperme me tombe sur le visage tellement la pression était forte. Aria et Diane viennent me nettoyer le visage en évitant soigneusement ma bouche.
— Merci jeune homme pour votre formidable démonstration. Mesdemoiselles, vous pouvez le détacher et l’accompagner à la porte. Je crois qu’il a été bien assez puni, termine-t-elle avec un clin d’œil.
Une fois hors de la salle, je me rends compte que la fin des cours va bientôt sonner et me dirige directement vers l’arrêt de bus. Lors du repas du soir, mon père me passe un savon.
— Tu es arrivé en retard deux fois dans la même journée, tu peux m’expliquer comment c’est arrivé ? Tu portes mon nom, je te rappelle...
J’ai honte.
— Je suis désolé papa, je ferai hyper-attention les prochaines fois, ça ne se reproduira plus. — On te croit, répond ma mère. Comment se passe l’école, tu aimes, tu t’es fait des amis ?
C’est la première fois que j’en parle avec elle, j’oublie qu’elle connaît le travail de mon père. Je lui réponds que j’y apprends beaucoup de choses et mon père ajoute qu’elle serait fière de moi. Je ne sais pas trop de quoi il parle, mais je prends le compliment. Quand ma mère part aux toilettes, j’en profite pour parler à mon père de ce week-end.
— Papa, dis... Tu fais quelque chose ce week-end ?— Oui, il y a une soirée organisée pour fêter la dernière année des élèves de cinquième. J’y suis convié pour y faire un discours et surveiller avec d’autres collègues que ça ne parte pas en vrille. Je te rassure, je ne participe plus personnellement à ces activités depuis que j’ai rencontré ta mère. Par contre, si elle venait...
Je le coupe, la vision de mon père et ma mère dans une orgie échangiste me dégoûte.
— Et elle est où cette soirée, tenté-je de savoir ?
Mon père me regarde, amusé. Je crois qu’il a compris mon petit jeu.
— Tu sais, elle est strictement réservée aux élèves de dernière année, tu serais perdu. Si tu veux juste baiser, je ne suis pas sûr que tu aies besoin d’un tel contexte. L’école ne te suffit pas ?
Je me sens ridicule. C’est vrai que l’idée m’enthousiasmait, mais j’ai l’impression de passer pour un véritable pervers devant mon père.
— C’est pour impressionner un gars, lui avoué-je timidement.
Il lève un sourcil et réfléchit quelques instants.
— Bon, après tout il y a toujours des incrustes dans ces fêtes. Tu éviteras juste de croiser mon regard quand tu feras tes affaires ce soir-là, me dit-il en me lançant un clin d’œil.
Il tape des mains et quitte la table en laissant un petit papier : « Soirée de dernière année, venez comme vous êtes, l’alcool est fourni, buffet canadien : ramenez vos meilleurs plats,Lieu et heure : Cave des Vignes, 19h30. »
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