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Une éducation un peu spéciale

Chapitre 3

Inceste
CHAPITRE III : Une nuit magique
Stéphane était dans sa chambre nu. Terriblement excité, il attendait avec une certaine impatience celle qui allait faire de lui un homme. Et le mieux dans tout cela, c’est que cette femme était sa mère la plus belle femme au monde et celle qui l’aimait le plus.
Lorsque la porte s’ouvrit, Stéphane pu contempler le corps svelte et totalement nu de sa mère. Le temps ne semblait avoir eu aucun effet sur elle. Pas de vergetures et peu de rides, ses seins étaient toujours bien ronds et ne retombaient pas. Nathalie avait conservé sa forme de sablier avec une taille fine et des hanches prononcées. Sa chatte déjà trempée était rasée hormis un joli ticket de métro tout roux. Cette vue ne fit que redoubler l’excitation du jeune homme qui n’avait qu’une envie : se jeter sur elle. Mais Nathalie ne l’entendait pas de cette oreille. Elle s’assit sur la chaise de bureau en face du lit et écarta ses jambes afin que Stéphane puisse contempler l’effet qu’il lui faisait. Son sexe était déjà humide. Elle commença à caresser sa poitrine en s’arrêtant un moment sur se tétons qui pointaient, elle descendit ses doigts vers son bas ventre et s’attaqua à son clitoris.
Emerveillé, Stéphane ne lâchait pas du regard cette scène. Comme hypnotisé par cette vision qui enflammait ses sens, il se mit lui-même à se caresser. Tandis qu’il branlait fiévreusement son sexe, Nathalie caressait son bouton, tournant ses doigts dessus en rond ou le caressant de haut en bas. Les yeux fermés, elle émit de légers soupirs auxquels Stéphane ne fut pas insensible. Les doigts de Nathalie descendirent plus bas, ils écartèrent ses lèvres intimes puis un doigt s’engouffra à l’intérieur de sa chatte. Nathalie émit un long gémissement tandis qu’elle introduisait un deuxième puis un troisième doigt. La situation la rendait folle. Elle était là en train de se doigter, de prendre un plaisir si intense qu’elle ne se souvenait jamais avoir connu de sensations aussi fortes en se masturbant et tout ça devant son fils. Cette pensée fut comme un déclic qui embrasa ses sens. Elle ouvrit les yeux et les planta dans ceux du jeune homme. Son regard était celle d’une femme décidée, une femme forte qui assumait ses choix et ses volontés. Plus rien ne pouvait lui résister et tout devait céder à ses désirs. Stéphane était totalement sous l’emprise de ces yeux qui le captivaient.
Mue par ce désir, Nathalie se doigta avec plus d’ardeur. Le rythme avec lequel ses doigts la pénétraient devint plus rapide de même que ses gémissements plus fréquents. Sur le point de jouir, elle s’arrêta et retira de son antre le jus qui coulait sur ses cuisses. Elle l’amena à ses lèvres et le lécha sur ses doigts avant de faire signe à Stéphane de la rejoindre. Ce dernier comprit rapidement ce qu’elle désirait et se mit à genoux. Il approcha  lentement sa tête du sexe et de sa mère. L’odeur l’enivrait et il posa ses lèvres sur la chatte de sa mère. Néophyte, Stéphane ne savait comment s’y prendre et Nathalie dû prendre les choses en main. Elle plongea ses mains dans la chevelure du garçon et le guida dans l’exploration de son sexe. Elle lui apprit à lécher, sucer autrement faire plaisir à une femme avec sa langue. Et s’il était maladroit au début, Stéphane se fit très vite plus habile et lorsqu’il enfonça sa langue dans le trou humide de sa mère, elle eu une saccade de spasmes. Il léchait avec une grande avidité et se délectait de la moindre goutte de la mouille de sa mère. Il était pareil à une bête en rut esclave de ses pulsions. Il s’acharnait à lubrifier la chatte de Nathalie avec tant d’ardeur qu’elle fut bientôt remplie pour une moitié de salive et pour une autre de cyprine. Ce travail ne manquait pas de plaire à son amante qui ne cessait de se contracter. Les jambes croisées autour du cou de Stéphane et ses mains sur sa tête collaient le visage de son amant sur sa chatte. Bientôt elle ne se contrôlait plus et une vague de chaleur partie de son sexe pour inonder son corps dans un cri de plaisir. Elle desserra alors son étreinte de Stéphane qui pu se redresser.
Encore sous l’effet de cette sensation intense, elle se laissa aller tandis que Stéphane malaxait et suçait ses seins comme un nouveau né affamé. Remise de ses émotions, Nathalie se releva. Arrêté dans son élan, Stéphane recula légèrement.  Face à son fils, Nathalie fut encore envahit de ce désir d’aller plus loin, l’envie de tout explorer avec lui, de goûter à tout. Animée par cette volonté, elle poussa violemment Stéphane qui, surpris, échoua sur le lit. Mais il n’eut pas le temps de réagir que déjà sa mère était à califourchon sur lui et plaçait sa bite devant sa grotte. Elle s’empala rapidement sur lui et le fit coulisser d’abord lentement en elle puis elle accéléra. Stéphane n’avait pas pu reprendre ses esprits et tout se passait comme si c’était un rêve. Il sentait cette chatte humide se frotter contre son pénis mais ne pouvait rien faire sinon profiter du plaisir qui l’envahissait. Cette sensation de passivité, de ne rien pouvoir contrôler lui plaisait. Il avait toujours pensé qu’il serait un jour un mâle alpha, un homme viril. Mais il prenait conscience en cet instant qu’il ne serait jamais cet homme.
Revenu à lui, il regarda le corps magnifique de sa maîtresse. Ses seins bougeaient a rythme  des saccades sur son pénis et ses tétons étaient tout durs preuve que sa mère était aux anges. Rassuré et confiant, Stéphane commença à bouger légèrement son bassin ce qui ne laissa pas Nathalie indifférente : « Oooh oui mon chéri, c’est bien continu. » Stéphane décida alors de s’aider de ses mains et saisit ses fesses. Il aima tout de suite cette sensation : la peau douce des fesses de sa mère, son cul rebondi et ferme et ses cheveux qui retombaient et  caressaient ses mains. Stéphane su alors qu’il ne tiendrait plus très longtemps et prévint sa partenaire :
« - Maman je n’en peux plus, je vais venir. »
Nathalie abaissa sa tête et roula une superbe pelle à son fils avant de lui murmurer :
« - Vas y viens, viens dans ma chatte mon amour.— Oui maman je viens, je viens. »
Stéphane sentit comme un léger courant électrique s’accompagnant d’une sensation de plaisir qui partait de son pénis pour irradier tout son corps. Il éjacula trois gros jets de sperme dans la chatte de sa mère avant de se retirer. Il ressentit alors une sensation de satiété et d’accomplissement. Il était enfin un homme. Mais cette émotion ne fut pas sans s’accompagner d’une certaine tristesse. Nathalie s’en rendit compte et lui demanda :
« - Ca ne va pas ? Tu n’as pas aimé ?— Si, si c’était parfait. C’est juste que tu n’as pas joui. Je ne t’ai pas donné d’orgasme.— Ne t’inquiète pas. C’est normal tu sais c’était ta première fois. Et pour une première fois c’était plutôt réussi. Tu as tenu au moins dix minutes alors que la plupart des garçons viennent avant la cinquième quand ils débutent quand ce n’est pas la première dit-elle d’un ton amusé. »
Rassuré, Stéphane se blottit dans les bras de sa mère et s’endormit ainsi.
Quelques heures plus tard, Stéphane se réveilla. Il sentait quelque chose se frotter contre son bas ventre. Il ouvrit les yeux et vit le cul de sa mère de frotter contre son sexe. Sous l’effet des caresses il avait déjà bien grossit et la chatte toute humide de sa mère l’avait bien humidifié. La salope pensa-t-il elle en veut encore. Cette fois-ci je vais te faire prendre ton pied maman. C’est sur ces pensées qu’il retourna d’un seul coup Nathalie qui fut sur le ventre. Derrière ses fesses, Stéphane n’attendit pas un instant et se mit contre elle. Nathalie essaya de se redresser mais elle ne pu que se mettre à quatre pattes alors que la bite de son fils rentrait en elle. Elle ressentit comme une décharge électrique alors qu’il s’enfonçait en elle brutalement. Nathalie appréciait ce côté bestial de son fils mais ne pouvait s’empêcher d’essayer de se relever pour le chevaucher à nouveau. Mais Stéphane pesait de tout son poids sur la croupe de la trentenaire qui ne pouvait beaucoup bouger. Elle souhaitait pourtant le dompter, le contrôler tout en gardant cette soudaine sauvagerie. Elle décida alors de s’y prendre autrement et accompagna les mouvements de butoir de son fils avec son bassin. Elle se mit également à faire de longs et puissants gémissements. Ceux-ci étaient bien sûr exagérés mais ils semblèrent donner davantage d’ardeur à son amant. Encouragé par cette réaction elle s’écria :
« -Oui mon chéri, laboure moi, laboure bien profond ta maman !— Oui maman c’est si bon.— Vas-y viens. Plus vite mon chéri. Je te veux tout entier en moi.— Oui.— Baise ta mère. Défonces lui la chatte. Aucun de tes copains ne goûtera jamais le plaisir que tu connais aujourd’hui alors baise moi putain !
Comme l’avait prévu Nathalie, Stéphane fut considérablement excité par ces paroles et intensifia encore la vitesse de sa pénétration. Le claquement de son bas ventre contre les fesses de sa mère devenait incessant. Stéphane aimait ce bruit, ce contact de la peau et des cheveux de sa mère qui le chatouillait. Il passait d’ailleurs souvent ses mains dans la longue chevelure de sa mère quand il n’était pas agrippé à ses hanches. Il se sentait plus vivant qu’il ne l’avait jamais été dans cette situation. Il baisait sa propre mère qui l’avait mis au monde. Il bravait l’interdit pour connaitre des plaisirs inconnus à beaucoup. Bien qu’il la labourait avec force, Stéphane se demandait parfois  qui baisait qui. Sa mère semblait avoir un don pour manipuler ses amants et leur imposer sa volonté. Mais ceci ne le dérangeait pas. Ses pensées étaient tournées vers un seul but : tenir jusqu’à la faire jouir. Et ce n’était pas facile. Stéphane se mordait les lèvres pour se retenir de venir. Ses efforts furent pourtant couronnés de succès quand il entendit sa mère prononcé ces mots :
« Oh Stéphane ! Je vais venir, je vais jouir.— Moi aussi je vais bientôt venir.— J’y crois pas la bite de mon fils va me faire jouir !
Nathalie prit alors appuis sur ses bras et fit aller et venir son cul le plus vite qu’elle pouvait sur la bite de son fils. Celui-ci ne maîtrisait plus rien. Son sexe était en feu et il ne pouvait que subir les assauts répétés de sa mère quand celle-ci se cambra et émit de longs cris répétés. Elle était en train de jouir quand Stéphane n’en pouvant plus lâcha de puissants jets de sperme en elle. C’est à cet instant que sa mère fut parcourue par une sensation qu’elle avait oubliée : une intense chaleur, une contraction incontrôlée de tous ses muscles avant leur relâchement complet. Elle était dans un état de béatitude complet. Elle venait d’avoir un orgasme avec la bite d’un homme ce qui ne lui était pas arrivé depuis environ vingt ans. Et cette bite était celle de son fils.
Les deux amants se rendormirent après bien des caresses. Cette nuit fut ponctuée par bien des câlins et des galipettes si bien qu’au petit matin les draps étaient trempés.
Nathalie fut  réveillée par le bruit du téléphone qui sonnait. Elle se leva encore fatiguée et décrocha. C’était l’hôpital.
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