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Une éducation sexuelle en loucedé

Chapitre unique

Voyeur / Exhibition
Bien que tout juste majeure, Caroline se trouvait à un âge où les questions du sexe commencent à envahir le cerveau. C’était un sujet récurrent parmi ses copines. Certaines n’étaient plus pucelles alors qu’elle l’était toujours. Elle se masturbait fréquemment en pensant à des acteurs qui la faisaient fantasmer, mais aussi à des professeurs, généralement assez mûrs. Plus le temps passait, plus elle avait l’impression de passer pour une gourde. Les garçons ne l’abordaient guère, ou alors en "copains". Elle s’en ouvrit un jour à sa mère. Agée de 45 ans, sans profession, fréquemment coiffée d’un chignon pour ne pas salir ses cheveux trop vite, dotée de formes généreuses alimentées par son goût de la bonne chère et de la cuisine, elle n’était pas de ces femmes coquettes toujours trop apprêtées. Autour d’elle, on disait qu’elle était "nature" parce qu’elle ne cherchait pas à séduire. Elle accueillit la démarche de sa fille avec une certaine méfiance.
— Tu veux savoir quoi, au juste ?— Eh bien, l’amour, qu’est-ce que c’est ? Comment ça se passe ?— Cela se passe comme cela se passe. Un homme et une femme s’aiment, ils s’unissent et voilà.— Ils s’unissent par leur sexe, c’est ça ?— Evidemment. Tu sais quand même qu’on ne fait pas les enfants dans les choux, à ton âge.— Donc, toi et papa, vous avez fait l’amour pour me concevoir. Est-ce que vous le faites toujours ?— Mais de quoi je me mêle ? C’est notre affaire et je n’ai pas envie de t’en parler. Fais plutôt attention à toi et aux garçons. J’espère que tu es toujours vierge, hein ? Ne me fais pas ce coup là.— Ne t’inquiète pas. Mais est-ce que je pourrai avoir la pilule si...— Et comment. Mais tu as largement le temps, tu n’as que 18 ans. Pour l’instant, ce qui compte, c’est les études parce que... etc etc.
Caroline n’était pas très satisfaite de la réponse de sa mère. Elle aurait bien aimé en savoir plus sur l’amour physique mais visiblement, sa mère n’était pas la personne adéquate pour la renseigner. Il faudrait voir ailleurs. Mais qui ? Sa tante, sœur de sa mère peut-être ? Elle avait l’esprit libre et en était déjà à son deuxième mari à 40 ans. Mais celle-ci ne fut pas beaucoup plus loquace. Elle renvoya sa nièce à sa mère. Retour à la case départ et aux interrogations.
******Puis l’été arriva et Caroline se retrouva avec ses parents dans une location de vacances en bord de mer. C’était plage presque tous les jours et elle se fit quelques copines et copains pendant que ses parents rôtissaient au soleil. Sa mère osait dégrafer son soutif de bikini pour se bronzer mais ne montrait pas ses seins. Un jour, le mauvais temps obligea le trio à rester à l’abri. Caroline remarqua pendant le déjeuner que sa mère affichait une attitude un peu curieuse, minaudant pour un rien, taquinant son mari, robuste quadragénaire aux avant-bras puissants, laissant bailler son corsage en se penchant en avant pour dévoiler ses deux globes lourds, tortillant de la croupe de manière que Caroline trouva un peu indécente. Cela ne ressemblait pas à la femme qu’elle voyait tous les jours. Le père souriait, visiblement émoustillé. C’est alors qu’il déclara après le dessert :
— Bon, Caro, tu débarrasses la table, nous on va faire une petite sieste, de toute façon avec le temps qu’il fait, il n’y a rien à faire cet après-midi.
Et le couple s’en fut dans sa chambre.
Or, celle-ci était contiguë à une sorte de remise surplombée d’une vitre donnant directement sur la pièce. C’est là que le couple entreposait ses valises et divers objets encombrants. Un escabeau s’y trouvait. Caroline, après avoir débarrassé rapidement la table, se glissa dans le local et, avec une prudence infinie, plaça l’escabeau de manière à pouvoir surplomber la chambre. Elle avait parfaitement conscience que ce qu’elle faisait était mal et qu’il lui en cuirait si elle était découverte, mais elle voulait en avoir le cœur net : ses parents allaient-ils vraiment faire la sieste ? N’allaient-ils pas faire l’amour ? N’était-ce pas une occasion unique de voir "comment ça se passe" ? Il faut préciser qu’on se trouvait à une époque où internet n’existait pas et pas davantage les vidéos de sexe. A moins de se rendre dans un cinéma porno à 18 ans au moins, aucun acte sexuel entre humains n’était visible. Quant à la littérature, encore fallait-il la connaître.
Lorsque son regard plongea sur le lit, ses parents étaient déjà nus. Ils s’embrassaient assis et se caressaient mutuellement le sexe en se parlant à mots couverts. C’était la première fois qu’elle les voyait sans le moindre vêtement. Elle fut stupéfaite de voir le volume des seins de sa mère, bien plus gros que les siens, son pubis aux poils bruns très fournis, ses cheveux libérés du chignon mais aussi et surtout le pénis de son père d’une taille inimaginable, pointant comme une corne sortie de son ventre, ses fesses velues et les deux grosses bourses qui pendouillaient. Ecarlate, Caroline amorça la descente de l’escabeau. Elle ne pouvait pas voir ça. Mais arrivée en bas de l’échelle, une force irrépressible la poussa à remonter. Le feu aux joues, elle regarda à nouveau par la lucarne.
Ce qu’elle vit lui fit dresser les cheveux sur la tête. Son père était allongé, béat, les mains derrière sa tête, et sa mère, à genoux entre ses jambes, engloutissait le pénis à cadence régulière avec une volupté évidente. Sous ses fesses charnues, sa vulve était béante, comme en attente. Puis elle se retourna, attacha à nouveau ses cheveux en chignon et, la croupe sur le visage de son mari, poursuivit sa succion. Caroline découvrait le 69 et elle trouva cette attitude très sale, indigne de ses parents. Mais sa mère y prenait visiblement un tel plaisir qu’elle en fut infiniment troublée. Elle relevait parfois le visage pour gémir, signe que la langue de son mari n’agissait pas en vain, et repartait vers sa succion. Le pénis avait désormais atteint une longueur et une épaisseur qui effraya Caroline. Ainsi, c’était donc ça, un sexe en érection ? Elle y trouva quelque chose de monstrueux mais ressentit tout en même temps une onde de chaleur dans son bas-ventre.
Pour la première fois, sa main gagna son entrejambe et entra dans sa culotte.
C’est alors que sa mère se détacha de la langue de son père et, sans se retourner, vint se positionner sur le sexe tendu avant de s’empaler lentement en le tenant en main. Un O se forma dans sa bouche pendant qu’elle s’abaissait et engloutissait le membre, totalement entré dans son antre intime. Elle se mit à onduler des hanches et Caroline avait désormais une vue imprenable sur le couple en pleine fornication. Elle ne pouvait détacher les yeux de sa mère, de son visage extatique, de son ventre mouvant mais aussi des couilles tendues de son père que sa mère semblait aplatir chaque fois qu’elle se laissait tomber sur le dard. Son père la tenait par les hanches et accompagnait ses mouvements ondulatoires. Puis il se mit à ruer sous elle et sa mère se mit à crier, laissant même échapper, Caroline l’entendit nettement : "oh qu’elle est bonne ta bite". Elle en fut consternée. Cette vulgarité, jamais sa mère ne l’avait exprimée à ses oreilles.
Mais ce n’était pourtant qu’un début. Le couple bascula vers l’avant et Caroline put voir enfin son père, positionné derrière sa mère pour la prendre par derrière, face à la lucarne. Elle fut frappée de son attitude, concentrée, presque recueillie, pendant qu’il assénait de vigoureux coups de reins qui faisaient trembler les seins de sa mère entre ses bras. Elle se retournait parfois vers lui pour l’encourager. Caroline perçut des "oui oui comme ça encore t’arrête pas" et la vit se mordre les lèvres, allant même chercher le pénis à grands coups de hanches. Désormais, Caroline se masturbait frénétiquement. Elle associait son propre plaisir à celui de ses parents en train de faire l’amour.
C’est alors qu’on frappa vigoureusement à la porte d’entrée. Le couple se figea et le père cria :
— Caroline, va voir qui c’est, s’il te plaît.
Elle descendit rapidement de l’escabeau, les joues et le ventre en feu, craignant par dessus tout de se trahir et accourut ouvrir. C’était le voisin qui apportait des pommes de terre. Un conciliabule commença, le voisin étant du genre bavard. La mère fit son apparition, pieds nus, vêtue sommairement d’un peignoir qui moulait sa poitrine et les pointes de ses seins érigés. Apparition qui entraîna de la part du voisin une attitude étonnée, visiblement troublée par le sillon mammaire nettement visible de la mère, et cette réflexion : "je ne vous réveille pas j’espère ?" aussitôt démentie. Puis livraison faite, le voisin ayant compris qu’il tombait mal, Caroline regagna sa chambre et attendit quelques minutes avant de revenir sur son perchoir à pas de louve.
********Elle craignait que ses parents se soient finalement décidés à faire la sieste mais elle fut vite rassurée : ils continuaient à faire l’amour. Ils étaient assis sur le lit face à face et se parlaient en souriant tout en se masturbant mutuellement. Que pouvaient-ils se dire ? Caroline ne les entendait pas. Mais ce devait être excitant car le pénis de son père était toujours aussi impressionnant. D’autant que sa mère se pencha à nouveau pour le sucer. Elle semblait vénérer ce membre viril comme s’il était sacré. Après l’avoir longuement sucé, cajolé, reniflé, elle le prit à pleine main et, tout en basculant sur le lit, entraîna son mari entre ses cuisses. Caroline découvrit alors une autre vision de l’amour. Elle était fascinée par les fesses poilues de son père qui s’agitaient frénétiquement et donnaient l’impression qu’il creusait sa mère. Celle-ci empoignait ces mêmes fesses comme pour accompagner leur rythme, manifestant ainsi une adhésion totale à la fouille de son mari.
C’était ce qui surprenait le plus Caroline : que ces vigoureuses percussions d’un sexe aussi gros dans l’intimité de sa mère puisse lui procurer autant de plaisir et non la faire souffrir. Caroline ne voyait pas son visage mais elle voyait ses pieds. Tantôt dressés vers le plafond, tantôt rivés dans les reins de l’homme, les orteils tantôt rétractés, tantôt écartés, ils semblaient vivre l’acte sexuel de façon autonome. Elle finit même par les prendre à pleines mains pour les écarter et ainsi faciliter le forage de son mari, aux mouvements de reins de plus en plus amples. Elle perçut nettement un cri de sa mère et vit, avec surprise, son père se retirer brutalement en comprimant son pénis. Elle ne savait pas qu’il avait failli éjaculer mais qu’il entendait prolonger le délicieux moment en compagnie de son épouse.
Une fois encore, le couple se retrouva face à face assis sur le lit, observant une sorte de pause masturbatoire tout en s’embrassant. Pour la première fois, Caroline constata un moment vraiment affectif et non bestial. Cela la rassura. Mais la bête qui sommeillait en eux se réveilla très vite et l’accouplement recommença, toujours aussi ardent, presque choquant. Cette fois, la mère chevaucha le père face à lui. Elle absorbait le pénis sans effort, révélant une profondeur qui épatait sa fille. Son cul blanc, contrastant avec le reste de sa peau bronzée, se levait avant de s’affaisser brutalement sur la colonne de chair, véritable axe de son plaisir. Elle faisait même tout pour l’engager le plus profondément en elle, comme si cette profondeur était la source de son extase.
Jamais au bout de ses surprises, Caroline la vit glisser sa main dans son dos à la recherche des couilles, les flatter, les peloter, provoquant une nouvelle ruée de son père qui faillit désarçonner sa mère et la fit même éclater de rire.
Le couple se désunit à nouveau mais la rigidité intacte de l’homme et les cuisses ouvertes de la femme laissait présager la continuité de l’accouplement, même si tous deux semblaient observer une pause. Il lui murmura quelque chose à l’oreille et prestement, elle se retourna à quatre pattes, posée sur ses coudes et fesses en l’air, en travers du lit, de sorte qu’il se trouvait debout, pieds au sol. Stupéfaite, Caroline le vit avancer son museau vers les fesses pulpeuses de sa femme, les écarter et insinuer sa langue dans son anus. Oui, son anus. Figée sur son escabeau, tétanisée même, Caroline le vit humecter généreusement l’anneau. Comment pouvait-il faire cette saleté ? Mais elle n’était pas au bout de ses surprises puisqu’elle l’y insinuer son pénis ou plutôt son gland turgescent. La mère marqua un rictus de douleur. Mais elle ne bougea pas, en attente.
Fascinée, Caroline vit le pénis s’engager petit à petit dans le rectum maternel et son père entamer un va-et-vient de plus en plus énergique. Cambrée, agitant frénétiquement son postérieur, sa mère participait activement à cette intromission que Caroline jugeait contre nature mais dont elle était bien obligée de reconnaitre qu’elle était parfaitement acceptée. De son perchoir, elle entendait le claquement des peaux, les râles du couple avant que, ultime révélation, son père et sa mère se retrouvent face à face, l’un expulsant une longue traînée blanchâtre sur le visage de l’autre qui s’en barbouilla le visage et en engloutit une partie dans sa bouche. Caroline se rendit compte alors qu’elle avait joui elle aussi sous ses doigts...
*******Quelques minutes plus tard, les parents de Caroline sortirent de leur chambre comme d’une simple sieste, non sans être passé auparavant par la salle de bains. Leur fille, qui attendait tranquillement dans le salon en faisant semblant de lire un livre, ne fit aucune réflexion et ne s’opposa pas davantage à une sortie en voiture vers un parc d’attraction proche, histoire de tuer cette journée maussade. Encore chamboulée par ce qu’elle avait vu, elle était en même temps épatée par leur naturel, comme s’ils devaient forcément être chamboulés eux aussi. Au fond de la voiture pendant le trajet, Caroline repensait aux scènes torrides auxquelles elle avait frauduleusement assisté. Un point l’étonnait : ses parents n’avaient pas été particulièrement discrets mais ne semblaient pas s’inquiéter qu’elle ait pu entendre leurs ébats. Et s’ils l’avaient fait exprès ? Et s’ils savaient qu’elle les regardait ? Après tout, la lucarne au-dessus de la chambre était connue.
Cela aurait été alors une manière déguisée de parfaire son éducation sexuelle. Un peu gros quand même. Mais le fait était là : elle avait vu ses parents "baiser". Car c’était bien ce mot qui lui venait à l’esprit. En y repensant, elle sentait sa tête se réchauffer et son bas-ventre se contracter. Elle avait envie de se masturber mais en voiture, c’était trop risqué, ils pouvaient la voir. Elle attendrait le soir dans son lit. Elle convoquerait ses mâles favoris, à commencer par son prof de gym. Et déjà s’imposait à elle le désir de connaître "ça". D’être pénétrée par une grosse queue comme celle de son père. C’était un immense désir. Mais quand ? Par qui ? Un copain ? Un homme mûr ? Au fond de son siège, elle envisageait divers scénarios plus fantasmatiques les uns que les autres. Oui, ce soir dans son lit, elle aurait très chaud...
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