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Une élève infirmière

Chapitre 4

Trash
Mortifiée, Elodie obéissait, consciente que son corps la trahissait encore une fois ; sauf que cette fois, Frank en avait après son anus, vierge encore car elle s’était toujours refusée à la sodomie. Alors elle était anxieuse, d’autant que Franck était pourvu d’un engin épais qui risquait de la déchirer. Il commença par enfoncer un doigt, elle se crispa et il donna une bonne claque sur ses fesses avec son autre main.
— Tu es serrée, tellement tu as la trouille ! C’est que mon doigt, alors tu te laisses faire !
Il fit lentement jouer le doigt, entrant et sortant, avant de forcer le passage avec un deuxième, arrachant un gémissement à Elodie, consciente de sa posture obscène. Un froid dans ses reins, il versait du lubrifiant dans la raie des fesses, le faisant pénétrer avec ses doigts dans l’orifice convoité. Il travailla patiemment l’anus, jusqu’à glisser trois gros doigts joints jusqu’à la jointure avant de présenter sa queue raide.
— Ne te crispe pas, ma salope, tu auras mal sinon. Je vais te défoncer le fion de toutes manières… Là !— Oh ! Mon Dieu, non, c’est trop gros… Oh !— C’est rentré, alors ta gueule !
Elodie serrait les dents, quelques larmes sillonnaient ses joues alors que l’épais mandrin s’enfonçait en elle, dévastant son anus distendu, la bonne lubrification permettant de coulisser parfaitement. Franck était aux anges, bien serré dans les entrailles chaudes et accueillantes, il donna de violents coups de boutoir qui arrachèrent de nouvelles plaintes à Elodie. Qui tomba en avant mais resta bien cambrée, écrasée sous la masse de Franck. Ses cinquante kilos avaient disparu sous les cent-vingt kilos de Franck qui la besognait avec rudesse, lui faisant sentir chaque centimètre de son engin.
A sa surprise, elle sentit que son corps la trahissait : son bassin se tendait et se cambrait pour aller au devant de la queue bien raide. Elle commença à geindre, accompagnant chaque ruée d’un cri de gorge ; elle sentit monter la jouissance alors qu’il accélérait en poussant des grognements bestiaux, l’insultant et lui bavant dans le cou ; quand il se planta en elle, tétanisé, et se vida dans ses reins, elle cria et jouit à son tour. Il resta vautré sur elle un long moment, soufflant comme un phoque et inondant Elodie de sueur.
— Alors, ma petite salope, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle ; je me sors que tu puisses travailler un peu. Tout à l’heure, je t’en remettrai une dose dans le cul. Mais d’abord, ton collier de chienne, j’allais oublier…
Elodie travailla en continu jusqu’à 19 heures avec un large collier de cuir noir pour tout vêtement, elle nettoya à nouveau cuisine et séjour, et cette fois s’aventura dans deux chambres qu’elle n’avait pas encore ouvertes ; Franck lui expliqua que c’étaient les chambres de ses deux fils qui revenaient le lendemain.
— Tu as intérêt à faire ça bien, ils sont pas marrants, mes deux salopards ; ils te dresseront, c’est moi qui te le dis ! Et avec une petite pute comme toi, je crois que ça va leur plaire. Je pense qu’ils partiront moins souvent faire des conneries.— Mais… Je ne sais pas… Ce n’étais pas prévu, avec vos fils, je ne savais pas…— Eh bien maintenant, c’est prévu ! Tu leur servira de vide couilles comme pour moi. Ça te pose un problème ? J’ai toujours le dossier sous le coude.
Elodie baissa la tête, matée. Encore huit jours ici comme elle l’a promis, avant d’échapper à cet homme répugnant mais qui la faisait tant jouir. Et réussir à décrocher son diplôme. Après, tout s’arrangerait, son couple repartirait du bon pied… Elle y croyait de moins en moins, elle se voyait comme une balle lancée dans une pente de plus en plus forte, incapable de remonter, appelée à chuter toujours plus. Elle rentra chez elle et n’adressa pas plus la parole à son mari que la veille ; elle se doucha, mangea, et se coucha, épuisée, pour sombrer dans un sommeil sans rêve.
Le lendemain après-midi, avant de partir chez Franck, elle prit un laxatif et se fit un lavement, puis une fois bien nettoyée injecta du lubrifiant dans son anus. Arrivée devant la porte, elle trouva le collier posé par terre, elle se déshabilla vite et se fixa le collier avant de sonner. Quand la porte s’ouvrit, elle poussa un petit cri car ce n’était pas Franck, mais un inconnu. Un des fils, bien sûr, se rappela Elodie. La vingtaine, plus grand que son père et moins gros. Nu comme un ver ; Elodie eut son regard attiré malgré elle sur sa virilité ; à moitié bandée, c’était une colonne de chair violacée qui pendait sur des testicules velus.

Elle eut le temps de se dire qu’il était aussi velu que son père quand il la tira contre lui et l’embrassa sur la bouche, les mains empoignant ses fesses et les pétrissant. Elle réalisa qu’elle était trempée quand il la souleva un peu pour planter son dard épais dans sa chatte, la laissant s’empaler d’elle même. Elle défaillit sous l’assaut soudain. Elle se faisait prendre sur le palier par un homme qu’elle n’avait jamais vu, dont elle ne connaissait même pas le nom ! Et ce fut pire encore quand elle sentit contre ses fesses ce qui ne pouvait qu’être une autre verge bandée.
— Non, pas comme ça, s’il vous plaît ! supplia-t-elle. Pas ici, pas sur le palier… Ah ! Non, j’ai mal, c’est trop gros ! Vous allez me déchirer, par pitié…
Evidemment les deux hommes restaient sourds à ses supplications et la pauvre Elodie subissait sa première double pénétration. Ils la soulevaient par les hanches et la laissaient retomber, s’empalant à chaque fois jusqu’à la garde sur les deux gros mandrins ; elle poussait des cris de gorge mais ne protestait plus, elle avait croisé ses mains sur la nuque de l’homme qui emplissait son vagin. Qui la força à le lâcher en se reculant et en s’extrayant du vagin ; avant qu’elle comprenne, il lui allongea deux gifles sèches en aller-retour.
Craintive, les larmes ruisselant sur ses joues marquées, Elodie commença à sangloter, douloureusement consciente de sa position. Ils étaient toujours sur le palier, nus, elle était empalée sur un épieu de chair qui lui distendait le fondement, ses pieds ne touchant pas le sol, le dos collé à son pourfendeur ; et elle venait de prendre deux gifles. Elle leva les mains pour se protéger, mais le regard méchant de l’homme l’en dissuada, elle lui adressa un regard implorant et il rit cruellement.
— Alors, petite salope, tu es bien le garage à bites dont avait parlé mon père ! Tu aimes ça ? Réponds !— Oui, j’aime ça…— Tu as envie que je revienne ?— Oui…— Alors, demande, petite pute, demande-moi !— Oui, revenez, s’il vous plaît ! Prenez-moi, je vous en prie.
Elodie ne reconnaissait pas sa voix, cassée et rauque.
Il l’embrocha d’une poussée, son vagin était trempé et brûlant et elle jouit aussitôt en criant sans retenue. Une porte s’entrouvrit et se referma aussitôt ; Toute honte bue, Elodie se donnait sans pudeur en gémissant, éperonnée dans son ventre et dans ses reins, les seins rudement empoignés et tordus. Le premier qui éjacula dans ses reins entraîna la jouissance du second, puis ils reposèrent Elodie qui avait du mal à tenir sur ses jambes tremblantes. Elle put enfin entrer et refermer la porte sur elle en soupirant. Ils étaient déjà partis dans leurs chambres, et Franck, assis dans son fauteuil, regardait Elodie d’une air goguenard.
— Alors, comment tu as trouvé mes fils ?— J’ai été surprise, Monsieur. Ils sont… vigoureux.
Elle put enfin faire son injection à Franck, sans trembler, mais troublée de sentir ses orifices se vider peu à peu de semence sur l’intérieur de ses cuisses. Elle put enfin se nettoyer, mais Franck l’appela aussitôt.
— Viens, salope, suce-moi bien avant que je t’encule, tu dois avoir le trou bien préparé avec ce que mes fils t’ont mis !— Oui Monsieur.
Elodie, à genoux ente les cuisses épaisses, commença à lui administrer une fellation ; bien sûr, il râla et l’insulta sans arrêt car elle n’arrivait pas à prendre le gland aussi profondément qu’il le voulait ; mais il était satisfait dans la mesure où elle mettait du cœur à l’ouvrage, le pompant et le cajolant du mieux qu’elle pouvait. Quand il la repoussa pour ensuite la disposer à sa guise, elle se cambra impudiquement et il la sodomisa sans effort, lui arrachant tout de même un cri étranglé. Il la pilonna brutalement, la ployant en arrière en tirant ses cheveux à deux mains, mais il fut satisfait en la sentant jouir sous ses assauts pourtant féroces.
Et ensuite, elle le nettoya soigneusement de sa langue, le regardant avec un air soumis qui lui arracha un rictus satisfait. En parfaite fée du logis, elle lava la vaisselle, rangea, repassa même du linge, ce jusqu’au moment où les deux fils surgirent de leurs chambres et l’entraînèrent avec eux pour reprendre leurs activités sexuelles. Elle cria quand ils la jetèrent sur le lit, mais elle resta allongée, offerte, comprenant qu’elle allait passer à la casserole et qu’elle n’y gagnerait rien à se rebeller. D’autant qu’elle en avait envie depuis un bon moment.
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