J’étais bien décidée à réussir dans cette boîte sans pour autant me faire baiser par tous mes futurs collègues. Je franchis la porte des toilettes pour retrouver Sandrine pour la suite de la visite. C’est bon, pardon de vous avoir fait attendre et...
Encore une fois, je restais figée devant la nouvelle scène qui se passait devant moi. Sandrine, la directrice de l’entreprise était à genoux, le gars de l’informatique de tout à l’heure, celui qui travaillait normalement, avait glissé sa queue entre les seins volumineux de sa patronne et cette dernière avait la bouche grande ouverte attendant sa récompense. Une seconde ma belle, je m’occupe de Philippe, je suis à vous dans quelques secondes, m’indiqua Sandrine en me regardant avec un grand sourire.
Le nommé Philippe lâcha une quantité impressionnante de sperme sur le visage de sa patronne, celle-ci me demanda un mouchoir pour s’essuyer avant de dire à Philippe : La prochaine fois essaye de mieux viser ma bouche, tu sais que j’adore ta petite giclée d’avant midi. Regarde j’en ai partout, fais un effort la prochaine fois, plus je passe du temps à me nettoyer moins je travaille. Pardon patronne, j’ai un peu déconné, mais comme je n’étais pas là cette semaine, mes bourses étaient bien pleines, du coup j’ai eu du mal à bien viser. Ça passe pour cette fois, mais demain, vise bien d’accord ? Oui patronne, je vous laisse, je vais retourner préparer ma réunion de cet après-midi et... Bonjour Mademoiselle et vous êtes ? Il avait enfin remarqué ma présence. Je suis Sandra, la nouvelle recrue, c’est mon premier jour et Madame Burtan me faisait visiter les locaux. Je vous ai aperçu tout à l’heure dans votre bureau avec vos... collègues. Et alors ça vous a donné envie de venir dans mon bureau ? me dit-il en rangeant son sexe dans son pantalon. Heu... oui... enfin... pour travailler... enfin... je viendrai des fois vous voir... Pour demander des conseils... je ne suis pas douée en informatique, répondis-je en ne sachant pas trop quoi répondre. Laisse la petite nouvelle tranquille Philippe, ne lui mets pas la pression ! s’exclama Sandrine qui reboutonnait son chemisier où on pouvait voir des tâches sur le col. D’accord, je la laisse tranquille, mais je pense que je vais te dire ce que tous mes collègues t’ont déjà dit : si tu as besoin d’aide pour quoi que ce soit, viens me voir... D’accord, c’est gentil, merci beaucoup en tout cas.
Sandrine était maintenant relevée, elle m’invita à la suivre, nous longeâmes le couloir pour nous diriger vers le bureau des ressources humaines. Sur le trajet, je voyais de tout, certains bossaient normalement, seul ou à plusieurs, mais je vis également un mec à genoux en train de faire un cunnilingus à sa collègue, au loin j’ai même cru apercevoir un gars sucer un autre gars. En arrivant, à la porte du ou de la DRH, j’entendis deux collègues s’engueuler, c’était la fille de l’informatique de tout à l’heure avec un autre gars.
Tu fais chier Ben ! Je vais passer toute ma journée à virer des virus de tout ce foutu réseau ! tout ça parce tu as désactivé ce putain de pare-feu ! Et après, tu as le culot de me demander si tu peux m’enculer ? Je suis désolé je n’ai pas fait exprès...
Je n’eus pas le temps de voir la suite de la scène que Sandrine me fit entrer dans le bureau. Je fus surpris cette fois, de voir un homme seul à son bureau en train de travailler. Il se leva, pour venir nous saluer. Je dois avouer qu’il était plutôt canon, la trentaine, très grand, blond aux yeux verts, une légère barbe bien taillée, des épaules bien larges et un regard et un sourire à faire craquer n’importe quelle fille. Bonjour, moi c’est Mathieu, je suis le DRH de l’entreprise, tu es Sandra c’est ça ? Ravi de faire ta connaissance et bienvenue dans l’entreprise. Je vais vous laisser moi, ne t’inquiète pas Sandra, Mathieu connaît la boîte aussi bien que moi, je dois aller voir Elsa pour un dossier, s’exclama Sandrine. Il n’y a pas de souci Sandrine, je m’occupe de tout, passe le bonjour à Elsa, ça fait un moment que je ne suis pas allé la voir.
Sandrine partit et ferma la porte derrière elle, j’étais complètement paniquée, qu’allait-il se passer ? Je vais te présenter un peu les quelques dossiers que Sandrine m’a demandé de te montrer vite fait, je ne connais pas forcément les dossiers à l’international sur le bout des doigts, ce n’est pas mon domaine de compétences tu te doutes. Mais généralement c’est moi qui m’occupe des nouvelles recrues le premier jour, m’expliqua Mathieu. Ah d’accord, vous avez raison, comme ça je pourrai me mettre rapidement au travail dans les meilleures conditions. Tu peux me tutoyer, tu sais. Oui pardon, vous avez... heu... tu as raison, je vais essayer.
Nous restâmes debout pendant une trentaine de minutes à regarder différents dossiers sur son bureau, mais bizarrement j’étais subjuguée par son charisme et sa prestance. Sa chemise moulait parfaitement ses gros bras musclés et sa manière douce de m’expliquer les choses ne me laissait pas indifférente... Sandra, tu m’écoutes ? Hein ? Heu oui pardon... continuez... Tu veux qu’on fasse une petite pause ? Attends je reviens.
Mon Dieu, ça y est ! j’imagine qu’une pause ici ça voulait dire se faire sauter ! Bon sang, je mouille comme je n’ai jamais mouillé et j’ai enlevé ma culotte tout à l’heure... Ma cyprine coule le long de ma jambe... merde je suis en train de craquer totalement... Tiens voilà une chaise et un café, tu veux qu’on parle du dossier Newton ou ça va ? me dit Mathieu qui venait de revenir.
Je me surpris à être limite déçue par cette pause, il fallait que je montre que moi aussi je pouvais prendre les choses en main ! Il fallait que m’affirme si je voulais rester dans cette boîte et si je voulais pouvoir travailler en équipe ! Je décidais de me pencher sur le bureau de Mathieu et de relever ma jupe au-dessus de mes fesses, cédant totalement à mes envies et désir charnel. Monsieur Mathieu, je ne peux pas vraiment me concentrer actuellement et avoir vu tous ces gens baiser dans cette entreprise, ben... l’envie a pris le dessus... ça vous ennuierez de heu... me baiser... Si ça vous va... ? (Mais bon sang qu’est-ce que je suis en train de dire ? Je n’ai jamais été comme ça ? que m’arrive-t-il ?) Ça sera avec plaisir, me répondit-il avec un large sourire.
Il posa mon café sur la table et commença à caresser mes fesses, ses doigts passaient partout, ils scrutaient les moindres recoins de mon derrière, je sentais ses doigts puissants passer dans ma raie et effleurer mes deux orifices... Je suis impressionné Sandra, peu de nouvelles recrues viennent leur premier jour sans porter de culotte, c’est bien, ça, c’est de l’initiative ! Et permets-moi de te dire que j’ai rarement vu un cul aussi beau. Merci, Mathieu, je suis content qu’il vous plaise... heu... Qu’il te plaise. Je vais bien m’occuper de toi Sandra, ma porte te sera toujours ouverte.
Je ne voulais pas regarder la scène, je ne savais pas si je me sentais honteuse ou pas. Je regardais devant moi, sur le mur il y avait une affiche d’une famille heureuse en train de manger autour d’une table, mettant en avant le nouveau four micro-onde de la compagnie. Je sentis quelque chose se positionner à l’entrée de mon vagin, ça ne pouvait pas être sa bite, c’était trop gros pour être ça. Pourtant je sentais ses deux mains sur mes hanches. D’un coup, il donne un puissant coup de reins et cette chose énorme s’avérait bien être sa queue. Oh ! Oh ! Oh mon Dieu ! c’est quoi ça ?!!! ce plaisir ! cette sensation !!! oh !
Il était vraiment bien monté, je n’avais jamais senti une telle sensation, il faut dire que j’avais peu d’expérience... mes jambes tremblaient, toute ma cyprine coulait le long de mes cuisses... Et ben c’est impressionnant, d’habitude j’ai toujours besoin de lubrifiant pour ma queue. Mais vu que tu mouillais tellement, je n’en ai même pas eu besoin. Avec toi, elle glisse bien profondément, décidément tu es faite pour travailler ici, s’exclama le DRH. Je suis désolé d’en mettre partout, je ne contrôle pas ma jouissance, je vais salir tout votre bureau... Mais je ne me suis jamais sentie aussi remplie de ma vie... Combien elle mesure ? 21 centimètres de plaisir, me répondit-il.
J’appendrai plus tard que c’était lui qui avait la plus grosse queue de l’entreprise, les autres collègues ayant des sexes plus « normaux », enfin... Il me pilonnait, ses boules rasées tapaient contre mes fesses, ses coups de reins étaient puissants, je m’effondrais sur son bureau. Il avait pris la peine de déboutonner mon chemisier pour me pincer les tétons en même temps... Bon sang, je ne savais pas que le sexe pouvait être aussi bon. Voilà plusieurs minutes qu’il me ramonait avec fougue et c’est à ce moment que Sandrine, la directrice décida d’entrer. Elle ouvrit grand la porte et elle fut quand même surprise par la scène et me dit : Eh ben, je vois que vous ne perdez pas de temps Mademoiselle, moi qui croyais que vous étiez une timide, finalement vous avez déjà cédé à la grosse queue de notre DRH... Pardon, Madame la Directrice, c’était plus fort que moi, je promets de me mettre au travail dès que possible. Ne vous excusez pas, comme vous le savez, ici vous devez laisser libre cours à vos envies. Je sais qu’après vous serez bien plus performante. Bon je vous laisse, je reviendrai en fin d’après-midi vous voir Mathieu, histoire qu’il soit de nouveau en forme pour moi. Sans problème Sandrine, à tout à l’heure répondit Mathieu, qui me baisait toujours sauvagement.
Sandrine s’en alla, mais cette fois elle laissa la porte grande ouverte. Mon Dieu, tout le monde devait nous regarder baiser, mais quelle réputation allais-je avoir ? La petite nouvelle qui se fait sauter dès le premier jour ! On doit faire toute une scène, je parie que tout le monde nous mate. En regardant vers la porte, je remarquais que tout le monde n’en avait rien à faire de nous. La plupart travaillaient normalement, un gars sautait une fille et une autre suçait un autre gars. Après une dizaine de minutes de pilonnage intensif, Mathieu m’indiqua qu’il allait jouir. Bon sang, Sandra, je vais jouir ! Puis-je jouir en toi ? Oh oui, vas-y jouis en moi ! (Ça y est, je le tutoyais !). Ooooooh !!! s’exclama Mathieu.
Il lâcha de puissants jets en moi, son sperme coulait le long de mes cuisses, il se retira et je vis le monstre qui venait de me baiser. Bon sang quelle grosse queue ! Il s’approcha de moi, posa sa main sur mes fesses et me dit : Alors tu aimes ton premier jour parmi nous ? Prête à reprendre le boulot ? Oui merci beaucoup, hum... je crois que je vais avoir besoin d’une ou deux serviettes...
Je me relevais et je vis que tout le monde nous regardait désormais, tous avaient un grand sourire aux lèvres que ce soient les garçons ou les filles. Ma première matinée était terminée, je me lavais la chatte avec les serviettes que venait de me donner Mathieu. Je remettais ma jupe en place, reboutonnais mon chemisier et Mathieu m’amena jusqu’à mon bureau. Tu verras tes collègues sont géniaux, avec toi, vous serez quatre à bosser dans toute la filière internationale.
Nous arrivâmes devant mon bureau où mon nom avait déjà était marqué sur une plaque, j’étais tellement fière de voir mon nom affiché ainsi. Mathieu partit et en partant, demanda à une jeune brune de mon âge, je pense, de le suivre dans son bureau. Elle ne se fit pas prier et le suivit dans son bureau. Pour ma part, je mis ma main sur la poignée, souffla un coup et j’ouvris la porte pour rencontrer mes futurs collègues. Et sans surprise, je fus accueilli par une scène qui désormais ne pouvait plus me surprendre. Une brune de 35 ans avec des seins assez volumineux était à genoux. Celle-ci faisait une fellation à deux garçons en même temps. L’un avait 32 ans (brun, pas très musclé, et un sexe de 17 centimètres) l’autre avait 28 ans (un grand noir, chauve, plutôt musclé, et un sexe de 19 centimètres). Les trois collègues me regardèrent et s’exclamèrent : Bienvenue dans "l’entreprise du plaisir" Sandra !
