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Une envie incontrôlable

Chapitre 4

Inceste
— C’est hors de question Sarah. On est de la même famille. Qu’est-ce que tes parents penseraient ?— Ils comprendraient peut-être qu’à force de m’emprisonner, je jette mon dévolu sur le premier beau mec gentil avec moi, même s’il est de ma famille.— Ils penseraient surtout que tu n’es pas capable de maîtriser tes pulsions et que tu te serais une fille facile ! La ceinture de chasteté te tombera dessus, et moi je ne pourrai plus jamais venir ici.— Je m’en moque, j’ai envie de tendresse...
Elle avait un regard de chien battu. Je sentais une profonde tristesse en elle, mais même si c’était le cas, je ne pouvais accéder à sa demande. Je reprenais mon souffle, posait mes mains sur ses épaules, et la regardait droit dans les yeux
— Sarah, je ne peux pas te donner ça. C’est peut-être cruel pour toi, mais je n’ai pas envie de faire une erreur aussi grosse.
Elle ne dit rien. Une larme coula sur sa joue. C’était triste, mais je sentais qu’elle exagérais volontairement pour me faire changer d’avis. Le fait qu’elle se blottit contre moi ne faisait que confirmer ça, mais je n’avais pas envie de la repousser.
— Tu ne trouves pas que tu profites un peu de la situation Sarah ?
Elle ne disait toujours rien, comme si elle essayait d’apprécier chaque seconde de ce moment. Je décidais alors de me libérer de ses bras, et de reculer.
— Ohhh... Dit Sarah.— Tu ne t’attendais quand même pas à ce que je reste comme ça pendant des heures ?— S’il te plaît, tu ne veux vraiment pas y réfléchir au moins ?
Je sentais que j’avais quelque chose à faire avec elle. Elle semblait avoir envie de cette relation, vraiment très envie. Je me disais alors que si j’acceptais de réfléchir, elle aurait un espoir, et me laisserait donc un répit, et je n’aurais qu’à prétexter un besoin de plus de temps, jusqu’à atteindre la fin du séjour.
— Bon, c’est bien parce que je n’ai pas envie de te voir triste pendant tout mon séjour que j’accepte d’y réfléchir. Mais garde bien à l’esprit que je n’ai absolument pas envie de faire ça.— Merci... Réfléchis bien, et dis-toi aussi que j’aimerais qu’on aille jusqu’au bout tous les deux d’ici la fin de ton séjour...
J’avais obtenu ce que je voulais. Un répit. Et j’allais pouvoir continuer à m’amuser avec elle comme si rien ne s’était passé.

Quelques jours passèrent, et Sarah m’avait déjà demandé à plusieurs reprises si je m’étais décidé. Bien que je voulais repousser l’échéance jusqu’au bout, je sentais bien qu’elle allait devenir de plus en plus avide d’une réponse. Il fallait que je trouve un autre stratagème.Pendant une après-midi, je décidais de suivre mes parents pour aller marcher dans un grand parc. Il était parsemé de grands arbres, et de chemins de terre, et un petit ruisseau le traversait. Alors que mes parents poursuivaient leur marche après ce ruisseau, je demandais si je pouvais m’attarder là, histoire de me tremper les pieds. Nous avions pas mal marché, et j’avais envie de me reposer un peu. Évidemment, Sarah a demandé à rester avec moi, et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés seul, assis par terre, les pieds dans l’eau. Je devinais ce qu’elle allait me demander...
— Tu n’as toujours pas pris de décision ?— Sarah, c’est difficile de prendre une décision sur des choses du genre tu sais... Surtout dans un tel contexte— Mais tu dois te décider ! La fin de ton séjour approche, et je veux que tu te décides...
Elle agrippait mon bras assez fermement.
— Patiente encore un peu...— Non... J’ai si envie, je veux avoir une réponse, et si c’est oui, je veux qu’on passe du temps ensemble, qu’on s’aime, et que tu profites de moi...
C’est là que je comprenais l’avantage que j’avais. Elle n’avait pas seulement envie d’amour, elle avait aussi soif de sexe. Et elle se montrait de plus en plus insistante envers moi, à tel point que je savais qu’elle risquait de craquer.
— Je ne sais pas quoi te dire Sarah...— Tu n’as pas besoin de dire quelque chose. Accepte-moi juste...
Je n’avais jamais vu une fille avec un regard qui montrait autant d’envie d’amour et de sexe. On sentait qu’il n’y avait que son éducation qui la retenait de se jeter sur moi. Et même moi, face à un regard aussi provoquant, aussi rempli de pensées qui mêlaient amour et sexe, et surtout face au fait que c’était une belle fille, et que sa poitrine me faisait terriblement envie, car je fantasmais comme beaucoup d’homme sur cette attribut qui était bien développé chez elle, je me mettais à avoir également très envie d’elle, et je mourrais maintenant d’envie d’en profiter. Son insistance aura eu raison de moi, mais je décidais de garder malgré tout mon avantage. Je voulais qu’elle soit encore plus assoiffée, qu’elle le soit au point que son envie devienne incontrôlable, et qu’elle me laisse faire d’elle ce que je voudrais, qu’elle s’abandonnerait à moi juste pour ressentir ce plaisir qu’elle attends tant de moi, et qu’elle aurait si envie de le faire que nous agirions bestialement.
— Bon, eh bien je vais me décider maintenant je pense...— Ohhh... Je ne peux plus attendre, dis-moi tout vite— Ah mais j’y pense, les autres vont nous distancer, il faut vite qu’on les rattrape !
Je me levais brusquement, et courrais sur le chemin. Sarah me poursuivait, mais nos parents étaient assez proches pour que je les rattrape avant que je ne sois de nouveau à sa portée.
— Eh bien, vous faites la course ? Demanda ma mère.— Oui, et comme tu peux le voir, j’ai gagné !
Sarah respirait fort et rapidement. Bien que nous avions couru, je savais que cette respiration venait d’autre chose, tout comme son regard, toujours plus rempli de désir. Je savais que j’avais obtenu ce que je voulais.
Après être retourné à la maison, Je passais du temps avec ma famille, pour que Sarah ne puisse pas intervenir, et que son envie continue à monter. Le repas du soir allait me donner un délai supplémentaire, mais nos parents sortant le soir pour aller voir une pièce de théâtre, je savais que je ne pourrais peut-être plus la retenir dès lors que nous serions seuls.
Aussitôt le repas fini, et nos parents partis, je vis Sarah regarder par la fenêtre, comme pour s’assurer que nous serions bien seuls pour un moment, et s’assurer qu’il n’y avait pas un faux départ dû à un portefeuille oublié. Je me réfugiais dans ma chambre, où Sarah me rejoint rapidement.
— Tu as pris ta décision ?— Toujours pas non. Pourquoi veux-tu tant que ça brusquer les choses ? Tu ne fais que m’effrayer, et ajouter du doute en moi...— Je vais écarter tous les doutes de ton esprit, et prendre la décision à ta place...
Elle commença à se déshabiller. Je vis en premier un superbe soutien gorge blanc en dentelle, une chose que j’adore, puis une charmante petite culotte assortie. Je n’osais imaginer comment elle avait réussi à obtenir des sous-vêtements aussi coquins sans que ses parents ne le sache, mais peu importe. Elle s’apprêtait à continuer, et je décidais de profiter de cette belle vue de ma cousine très coquine, et de repousser une dernière fois ses limites
— Sarah, je suis très sérieux, si tu oses ne serait-ce que tenter de poursuivre ton espèce de strip-tease, je raconterai tout à nos parents dès qu’ils seront de retour.
Elle s’arrêta net. Peut-être comprenait-elle enfin ce qui était en jeu ? Je n’en étais pas sûr. Vu que des larmes se mettait à couler sur son visage, je pense qu’elle n’était plus très loin de craquer.
— J’aurais tout essayé, tout tenté, je suis désespérée, et même avec tout ce que j’ai fait, tu ne veux pas de moi, et je vais pouvoir continuer à ne rien faire d’intéressant ici...
Il était temps pour moi de commencer à lui accorder des faveurs à ma façon. Mon imagination débordait de choses plus perverses les unes que les autres.
— Sarah... Je ne pensais pas que tu en avais à ce point envie et besoin... Je ne suis toujours pas très enthousiaste de partager ça avec une personne de ma famille, mais je veux bien faire un effort, si tu en fais un aussi.— ... C’est vrai ? Tu veux bien ?— Oui, mais attends un peu d’abord.
Je sortais mon smartphone, et décidais d’immortaliser le panorama que j’avais. C’était là que je pourrais voir à quel point elle était prête à tout pour un peu de sexe et de tendresse...
— Des... Des photos ? Demanda Sarah.— Oui... Et j’aimerais que tu prennes des poses sexy et très provocantes...
Elle ne répondit pas. Elle s’exécuta. Elle avait bien compris que sa poitrine me faisait de l’effet, et la mettait le plus en valeur possible. À quatre pattes face à moi, allongée sur le côté face à moi, à genou, joignant ses deux coudes pour lui donner plus de volume, elle savait y faire. Moi je prenais des photos plus chaudes les unes que les autres, et avait une érection du feu de dieu qui n’échappait pas à Sarah.
— C’est très bien Sarah. Maintenant enlève vite tout le reste, et continue à poser.
Elle continuait, comme une esclave docile. Je n’avais même pas honte de ce que je faisais, moi qui habituellement traitait les filles avec respect. Je découvrais la joie de pouvoir en soumettre une à ma volonté et à toutes mes envie perverses et indécentes. Je me fichais bien de lui apporter de la gentillesse et de la tendresse désormais, c’était mon moment, et une fois que mes photos seraient terminées, je m’occuperais de moi, et je prendrais mon plaisir au maximum, sans penser à ce qu’elle ressentirait, tant elle m’avait harcelée pour que je passe à l’acte. Je décidais alors de mener la dance...
— Maintenant que je t’ai immortalisée, je t’autorise à m’approcher et à m’embrasser. Tu vas aussi me laisser savourer tes beaux seins.
Sa réaction ne se fit pas attendre. Elle s’approcha de moi pour m’embrasser comme une personne s’approcherait d’une gourde d’eau désaltérante après une journée entière sans boire. Je l’embrassais avec passion, en prenant soin de toucher et de caresser tout son corps, et d’insister longuement sur sa poitrine. J’avais beau prendre du plaisir, je voulais continuer à la dominer.
— Bien, maintenant tu vas me sucer. Et si tu veux qu’on aille jusqu’au bout, tu as intérêt à ce que je ne sente pas tes dents.
Sarah ne disait rien, elle semblait comme hypnotisée, et se mit à dévorer mon sexe. Elle le léchait et faisait des va et vient avec sa bouche, et j’adorais cette sensation. J’atteignais le sommet du plaisir lorsqu’elle se mis à téter mon gland gloutonnement, et agrippais sa tête pour la maintenir sur mon pénis, le temps de l’éjaculation, afin qu’elle avale ma semence. Elle n’essayait même pas de se débattre, et cela m’excitait encore plus. Je venais de jouir, mais mon excitation restait à son maximum. Histoire d’avoir un temps mort pour rebander, je sortais mon pénis de sa bouche, et l’allongeais sur le dos, et me mis à lui dévorer ses seins. Elle respirait fortement, et ses râles de plaisir maintenant mon excitation à son maximum. Mon érection revenue, il était temps de la pénétrer sauvagement.
— Maintenant, je vais te baiser comme une chienne. Je veux t’entendre hurler de plaisir, me supplier de continuer, jusqu’au moment où je jouirait sur ton visage et tes seins, et que tu me suppliera de te donner ma semence— Vas-y... Défonce-moi...
Elle attendait tant ce moment, je n’avais qu’une envie, y aller comme une brute. Je la plaquais contre le mur, et m’apprêtais à la prendre de dos. J’allais pouvoir ainsi la pénétrer, continuer à malaxer ses seins, et l’embrasser en même temps. Je commençais mon acte, et c’était tellement bon, que moi-même je ne me contrôlais plus vraiment, je répétais mes va et vient inlassablement pendant qu’elle criait comme je lui avait ordonné de le faire, de longues minutes s’écoulaient pendant lesquelles mon plaisir était au maximum. L’entendre crier, lui malaxer les seins, l’embrasser et lui lécher le cou, tout en la pénétrant sont des choses qui restent encore aujourd’hui gravées dans ma mémoire, tant l’acte fut sauvage. Mais mon endurance me trahissait, et je sentais que j’approchais du plaisir suprême. Je me retirais d’elle et la mettait à genou, m’apprêtant à me déverser sur elle.
— Détends-toi cousin chéri... Donne-moi tout ta semence... Je veux sentir ta semence douce et chaude sur mon visage et l’étaler sur mes seins...
Elle disait ça avec un ton si coquin et passionné qu’il ne me fallu pas longtemps pour venir abondamment, et exaucer le souhait que je lui avait demandé de formuler. Elle souriait, puis elle s’allongea sur le dos, étalant ma semence sur ses seins. Je vins me coucher à ses côtés pour l’embrasser, et lui donner un peu de tendresse après cet acte sauvage que je venais de lui infliger.
— On recommencera avant que tu ne partes, hein ? ...— Compte sur moi ma jolie...
Elle en voulait encore, et elle allait l’obtenir. Les quelques jours suivants où je fut encore là furent un mélange d’excuses pour nous éclipser ou rester à la maison, couplées à des siestes entre amoureux, et de la baise sauvage. Au final, être soumise était une chose qui semblait lui plaire, ce qui m’arrangeait car je n’avais plus besoin de culpabiliser quand je reprenais mes esprits après l’acte.
Le moment du départ fut terrible pour elle comme pour moi. Nous avions tant d’excitation à ce moment que je ne résistais pas à faire semblant d’avoir oublié quelque chose dans la chambre, et à prétexter le chercher un peu pour nous offrir un dernier petit instant de plaisir, ou je pouvais goûter une dernière fois à sa poitrine, faire quelques va et vient en elle sans insister pour éviter qu’elle ne se mette à crier et que cela n’avertisse tout le monde, et ou je me déversais une dernière fois dans sa bouche pour qu’aucune trace ne soit visible. Après ça, nos routes se sont séparées. Je n’avais aucune idées de quand j’allais la revoir, ni même de si elle serait toujours ouverte à continuer notre aventure plus tard. Mais je gardais en tout cas un formidable souvenir de ce que j’avais fait avec elle, fier d’avoir provoqué en elle une envie incontrôlable...
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