Ça y est, c’est le moment d’entrer. Plus le moment de reculer ou de se défiler. De toute façon, vu toutes les idées qui me sont passées par la tête en chemin, je suis plus que prête et excitée :)Directement, tu me fais comprendre que tu veux que je me déshabille et te suce. Je m’agenouille devant toi et commence à lécher ton sexe. J’aime le retrouver, son odeur, sa forme, sa dureté... Je m’active entre lui et tes couilles et je me rends bien compte que tu apprécies :). D’un coup tu me saisis par les cheveux et me dis : « il va y avoir de nouvelles règles maintenant. Quand je te tiens par les cheveux, c’est moi qui dirige comment tu me suces. Aussi bien le rythme et la profondeur, je fais ce que je veux de ta bouche. Tu n’auras rien à dire, de toute façon tu ne pourras pas la bouche pleine ;). Par contre, dans ces moments-là tu me regarderas dans les yeux. Je veux voir que tu te soumets et acceptes qui commandes. ». Oula ça ne va pas être facile... Même si je n’attends que ça, il va falloir que j’accepte de me plier et de te laisser me regarder subir. Par contre, mon corps lui a l’air apprécier, vu l’humidité qui vient encore d’augmenter entre mes jambes... Tu commences directement des allers-retours vigoureux, de plus en plus profonds comme si ta bite voulait visiter chaque recoin de ma bouche. Je me laisse faire, le plus difficile est de soutenir ton regard planté dans le mien. Je sens bien que chacun de nous y prend goût et que cela devient « naturel ». Après de nombreux allers-retours au bout desquels j’ai bien senti ta bite taper au fond de ma gorge, tu m’avertis que tu vas jouir. Hors de question, que je ferme les yeux ou me recule, tu veux voir mon visage qd tu jouiras au plus profond de ma bouche. Tu tiens fermement ma tête et la guides dans ses mouvements. Tu jouis sans la lâcher et surtout sans me lâcher des yeux. Tu veux vérifier que j’obéis bien. Mes yeux sont humides et rivés dans les tiens. Pas facile de ne pas les fermer mais j’ai envie de te satisfaire. J’avale ton sperme sans te quitter des yeux, au bord de la jouissance moi aussi. Je crois que je suis faite pour obéir... Tu ne me laisses pas le temps de me remettre et me demande de te suivre. La tu m’indiques le bord d’un lit et me dis que je vais devoir t’attendre. Tu as des choses à faire et reviendras quand tu en auras envie. La, un petit sourire qui me fait peur apparaît sur ton visage : « Je ne t’ai pas dit de t’asseoir. Tu vas t’installer à 4 pattes, les fesses vers la porte, les genoux sur le bord du lit, les pieds dans le vide, les mains vers le centre du lit. Cambre-toi bien. » Je suis exposée dans cette position indécente ! Mon sexe excité et brillant de mouille est la première chose que l’on voit de moi. Tu passes la main pour le frôler et caresser mes seins qui pendent dans cette position. Ces simples attouchements me font gémir. Tu es content de voir dans quel état d’excitation je suis et que je ne te refuse rien. « Ne bouge surtout pas. A tout à l’heure » Une foule d’idées arrive dans ma tête. On avait eu beau partir dans plein de délires de ce style. Je ne pensais pas un jour me retrouver dans cet état : entièrement livrée, obéissante, prête à te laisser utiliser mon corps comme un objet mais surtout aussi excitée et prête à jouir juste à me soumettre... Et toi ? Tu fais quoi pendant ce temps là ? Le fait que tu me laisses comme ça en plan, à ta disposition m’énerve et m’excite encore plus ! Au bout d’un moment, tu reviens. Et d’une voix sèche et directive, tu commences à m’expliquer la suite des événements. — Aujourd’hui, tu vas devoir me montrer que tu es capable d’obéir à mes consignes. Je vais mesurer le chemin à faire pour que tu deviennes une bonne soumise. Pour chaque désobéissance, volontaire ou non, tu seras punie. Tu dois te contrôler. Ces premières paroles me font peur. Je suis exposée devant toi, comme une chienne prête à te satisfaire. Ce que tu viens de me dire m’excite de plus en plus et tu le vois.
— Tu as l’air d’accord. Ton sexe est gonflé et tu mouilles de plus en plus. J’ai toujours su que tu avais un petit côté salope. — Revenons en à aujourd’hui. Je vais jouer avec ton corps dans cette position et quoi que je fasse avec je ne veux pas un bruit. Ni cri, ni gémissement, ni soupir... A chaque bruit, je te donnerai dix tapes sur ton cul si bien offert et tu les compteras à haute voix en bonne soumise que tu es. As-tu bien compris ? Autant te dire que tu vas prendre cher... Prête ? — oui. Première claque sur les fesses. Vu sa force, je vais prendre cher en effet... — Oui qui ? Peu importe comment tu choisis de m’appeler maître, Monsieur ou mon prénom mais jamais un simple oui.— Oui maître. J’ai toujours rêvé d’une soumission totale et cela me vient naturellement. Le jeu commence. Tu commences à titiller mon clitoris et je suis tellement excitée que je gémis directement. — Ahahahah... C’est parti, on va s’amuser ! Claque UN, claque DEUX, claque TROIS... claque DIX. Dès la première série, les larmes me montent aux yeux. En plus, je suis humiliée à devoir compter comme ça à haute voix. Tu n’y vas pas de main morte et tu changes de zone à chaque claque. Je sens le sang qui afflue au niveau de mes fesses qui doivent déjà commencer à rougir.Pas de répit, tu repars directement à jouer avec mon clitoris et je me retiens. D’un coup je sens 2 doigts entrer dans mon vagin et les deux caresses conjointes me font à nouveau gémir de plaisir.Claque ONZE, claque DOUZE, claque TREIZE... claque VINGT entre la chaleur de mon sexe et celle de mes fesses, je sens que je perds pied. Je ne pense plus qu’aux sensations que je ressens ! Vicieux et voyant que je ne suis plus concentrée sur ce que tu attends de moi, tu me pinces fortement le téton et me fais crier de douleur et de surprise !Claque 21, claque 22, claque 23... claque 30 je décide de me concentrer sur ce que tu me demandes et ne plus m’abandonner à mes sensations. C’est compliqué car sur certaines claques tu fais exprès de déborder un peu sur mon sexe et je me surprends à aimer ça... Tu repars à jouer avec mon vagin et mon clitoris et je résiste un peu mieux... Du coup, tu vas plus loin pour me faire craquer. Sans prévenir un de tes doigts s’insinue dans mon cul. Tu sais que j’aime ça et dans cette position tu l’as vu s’ouvrir d’excitation. Cela n’empêche que cela me fait crier... Claque 31, claque 32, claque 33... claque 40Tu continues sur ta lancée en alternant les rythmes, les zones de mon corps que tu titilles, le nombre de doigts que tu entres en moi. Mon corps s’ouvre de plus en plus sous l’excitation et tu arrives à me faire crier ou gémir assez facilement... Au bout d’un moment, Claque 61, claque 62, claque 63... claque 70 — Bon, tes fesses sont rouge vif. Tu dégoulines, ton sexe est gonflé et tes trous n’attendent que d’être pénétrés... Même si je le sens, le fait que ça soit toi qui le dises en les ayant exposés sous ton nez me gêne et me renvoie mon état de soumise... — Pas terrible niveau obéissance. On va s’arrêter là. Je vais t’enculer bien comme il faut pour me soulager. Tu ne mérites pas plus. Dans ma tête, des idées se bousculent. Je meurs d’envie de jouir vu mon état d’excitation. Mais comme je ne t’ai pas satisfait en t’obéissant je ne le mérite pas... — Mets toi sur le dos et remonte tes jambes vers les épaules. Tiens les bien avec tes bras ! Tout en m’installant, je pense que dans cette position je vais prendre cher. Je serai totalement à ta merci, à subir ton sexe en moi et tu pourras prendre ton pied comme tu veux. Mon cul est plus que prêt et tu me pénètres directement et bien profondément. Il faut dire que la séance de dressage à coups de claques t’a bien excité aussi :). Tu commences des allers-retours bien rythmés et j’aime ça. Je ne peux rien faire à par subir et je m’abandonne à tes coups de reins. Je te dis que je vais jouir. Et là tu t’arrêtes brusquement, une de tes mains saisit mon cou. Tu prends un air sévère : « C’est moi qui décide si tu as le droit de jouir et quand ! Ne jouis pas sans que je te le dise et surtout sans me regarder dans les yeux. Tu as compris ? » — Oui maître.— C’est bien, au moins ça tu comprends vite ! Tout en acquiesçant, je me dis que ça va être compliqué. Soumettre mon corps c’est facile, mais jouir sous tes yeux en te regardant... Ta main n’a pas quitté ma gorge. Entre ta bite en moi et elle, mon corps t’appartient. Tes yeux ne quittent pas les miens. — Vas-y tu peux jouir. N’y tenant plus, avec ton autorisation, je laisse éclater ma jouissance. Je jouis intensément et bruyamment.Tu me suis dans la foulée et jouis après quelques coups de reins supplémentaires.Roulant à côté de moi, tu quittes ton air sévère : « Jolie première séance ;) »Mon corps palpite de partout et je pense seulement « À quand la prochaine ? »...
