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Une envie trop forte pour être retenue

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Aujourd’hui, je suis terriblement excitée, ça fait bien longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de libertiner, prise par mes obligations familiales, professionnelles et un enchaînement de soucis personnels.
Mais ce soir, ma libido vient de se réveiller de manière explosive. J’ai le week-end pour moi, sans enfant, sans aucune contrainte. Quand mon corps en a pris conscience, mon bas-ventre s’est manifesté, j’ai quitté le bureau depuis seulement 1 heure, suis arrivée à la maison depuis 30 minutes, je me suis déjà masturbée 3 fois. Mais j’ai envie de plus, j’ai envie de caresses, de mains de bouches et de sexes tous dédiés à mon attention, j’ai envie de me laisser aller et de m’abandonner au plaisir.
Je file alors dans la salle de bain, je vais me préparer pour cette soirée de sexe qui m’attend, je vais aller en chasse, mais je ferai mine d’être la proie. Je vais ramener dans mes filets ceux qui pensent être les prédateurs. Je m’apprête, je m’épile avec attention, me rase les jambes, me passe de la crème. Ma principale arme pour ce soir, mon corps, est affuté comme rarement. Je suis contente lorsque je regarde ma silhouette, nue dans le miroir. Toutes ces années de sport et d’exercice paient. J’ai tout juste la quarantaine, mais mes courbes en excitent plus d’un et d’une, mois y compris. Je peux paraître prétentieuse, mais j’aime mon corps. Ma coupe en carré plongeant, mon cou élancé, mes épaules fines, ma poitrine, un joli 90 C, mon ventre plat, mon cul bombé, ferme et accueillant, ma petite chatte bien lisse, ce soir assoiffée et mes jambes effilées qui ce soir ont envie de passer le plus de temps possible éloignées l’une de l’autre.
J’enfile une petite robe noire en tissu léger, qui m’arrive à mi-cuisse, dos nu, décolleté léger. J’adore aguicher, mais je n’aime pas la vulgarité. Maquillage léger, parfum enivrant, et pas de sous-vêtements, je suis bien trop excitée pour ça et de toute façon, j’espère bien passer le plus clair de ma soirée nue, couverte par des seules caresses et baiser qui me seront offerts.
Direction de centre-ville, je me décide à avoir comme point de chute mon club préféré. Libertin, amical, toujours avec une clientèle masculine comme féminine sélectionnée avec soin, je n’en ressors jamais déçue. En plus en tant que femme seule, l’entrée est gratuite, pourquoi se priver ?
Je me gare sur le parking privé, et me dirige vers la porte. Je dégouline d’excitation, j’aurais presque envie, une fois rentrée de me débarrasser de ma robe immédiatement pour appeler tous les mâles en rut présents à s’occuper de moi, à me faire jouir sans fin. Mais je vais me tenir un peu, faire monter le désir chez eux, et chez moi, aguicher, caresser, embrasser, effeuiller, pour enfin... Baiser ! Ce soir, point de sensualité attendue, j’ai envie de sexe, du vrai, bestial, vif, profond, fort, je veux satisfaire mes bas instincts.
Je rentre, je fais la bise à la barmaid qui me reconnait en me faisant remarquer que ça fait longtemps qu’elle ne m’a pas vue. Je lui fais part de mon envie de rattraper le temps perdu, elle me rassure sur la présence dans les lieux, et me dit que je vais trouver de quoi remplir mon écrin de désir.
Je dépose au vestiaire ce qui m’encombre les mains, et me voici, ma seule robe sur les épaules au milieu de la piste de danse. J’ai envie d’aguicher, le lieu est dédié à la luxure de toute façon. Je vois, sur les banquettes du fond, certains couples ou plutôt groupes, déjà en prise, en train d’échanger caresses et baiser. Ces dames aspirent les belles queues de ces messieurs, que ce soit avec leurs bouches ou leurs intimités. Ces scènes finissent de me mettre en feu.
Je me déhanche sur la piste de danse au rythme de la musique du DJ, et comme toujours lorsque je viens en femme seule, il ne faut pas plus de 3 minutes pour que 4 ou 5 mâles, pensant être chasseurs et non proies viennent se masser autour de moi.
Ils sont à quelques centimètres de moi, nous savons tous pour quoi nous sommes ici, d’une main douce, je caresse leurs joues doucement en tournant sur moi-même, signe de mon ouverture à leur présence. Leurs mains presque immédiatement se pressent sur mon corps. C’est si bon de me faire ainsi caresser, désirer. Ils ne sont pas très délicats, mais après tout, ce soir, c’est ce dont j’ai envie, et puis en chauffant ainsi plusieurs hommes en même temps, ils comprennent que mes envies sont les mêmes que les leurs. Ils m’empoignent les seins, les hanches, et bien sûr, plusieurs mains se glissent sur mon entrejambe lisse et sans rien pour la recouvrir. Leurs bouches se posent sur mon cou, m’embrassent, me lèchent, je les entends me traiter de petite salope, de cochonne, ça m’excite encore plus. Je me laisse aller, mes mains aussi parcourent leurs corps, leurs torses, et leurs pantalons bien gonflés, le menu a l’air bien alléchant.
Je tire sur leurs chemises et leur intime l’ordre d’enlever tout ça. En moins de 5 minutes, ils se retrouvent à poil devant moi, leurs queues déjà bien en forme, elles me donnent encore plus faim que quand je suis arrivée. L’un d’entre eux, ils sont finalement 4, très bien membrés, je brule d’envie de m’assoir sur son engin, s’avance vers moi et me dit « toit aussi, enlève-moi tout ça ». Il fait passer ma robe par-dessus ma tête, et nous voilà tous à poil au milieu de la piste de danse.
Nous dansons un petit moment, je sens leurs bites se frotter contre moi, contre mes fesses, ma chatte, mes hanches, je les branle tour à tour, leurs doigts me pénètrent aussi régulièrement. Je coule littéralement d’envie. Toujours celui qui m’a enlevé ma robe, qui semble le plus téméraire, s’avance vers moi, m’empoigne par les hanches, m’embrasse fougueusement, je sens sa queue gonflée contre mon ventre, je l’attrape de mes deux mains, elle est bien grosse et palpite sous mes doigts. Je sens les mains des autres s’aventurer en moi, sur mon cul et mes seins, j’aime me sentir ainsi offerte, j’ai hâte des minutes qui vont suivre.
Mon partenaire privilégié me soulève de terre, je passe mes jambes autour de lui, plaque sa tige de chair entre ma chatte dégoulinante et son ventre, je m’accroche à sa bouche, mes bras autour de son cou, et il me porte vers un matelas qui trône au bord de la piste de danse.
Il m’allonge et j’appuie immédiatement sur ses épaules pour coller sa bouche sur ma chatte, je veux sentir sa langue me fouiller, ses doigts me pénétrer. Les trois autres ne sont pas en reste, leurs mains me parcourent, m’empoignent, leurs queues viennent se coller sur ma bouche, je les aspire, les branle, les lèche, je les pompe, je suis une vraie chienne, abandonnée à mes plus bas instincts, j’adore !
Je sens un premier de mes amants devenir fébrile sous mes coups de langue et mes aspirations de son gland. Il va être le premier à se rendre compte que ce soir, ça n’était pas moi la proie. Je m’accroche à son membre, le pompe encore plus fort, tout en malaxant ses couilles et en caressant son cul d’un doigt agile. Il explose dans ma bouche, c’est bon... je sens son jus visqueux et tiède gicler au fond de ma gorge, je n’en perds pas une goutte.
Certainement excité par la scène, mon partenaire téméraire me retourne et me fait mettre à quatre pattes, sa bouche vient se coller sur mon cul, je sens sa langue me fouiller, j’adore ça. Un autre homme vient s’allonger devant moi, pour m’offrir sa queue à sucer, ce que je m’empresse de faire. Je ne sais plus si ce sont les mêmes personnes qu’au début et je m’en fiche, je ne veux que du sexe ce soir. Des mains me caressent, me doigtent, me malaxent la poitrine, je suis dans un état second. La langue qui me fouillait le cul s’arrête, je vois cette belle queue, recouverte de latex s’approcher de ma chatte. Il commence par me caresser doucement. Mais non, je suis la prédatrice ce soir, je n’ai pas envie d’attendre son bon vouloir, d’un coup de bassin, je m’empale sur lui, je sens ses mains agripper mes hanches, il a compris ce que je veux. Sa grosse queue au fond de moi, vite et fort. Il me besogne avec vigueur, c’est si bon.
Je reprends en bouche cet homme face à moi, j’aspire, pompe et lèche, je sens des mains sur moi, des doigts en moi, mes désirs s’exacerbent, j’en veux encore, plus, toujours plus.Je dis à celui que je suce de se couvrir, il s’exécute dans la seconde, je me sors de l’étreinte de celui que m’honorait vigoureusement pour m’empaler sur cet autre homme. Sa queue est plus petite, mais plus longue, je loue de mon bassin pour glisser sur lui.
Je me retourne, mon précédent amant me regarde interrogateur, je tends la main pour qu’il me rejoigne, j’ai envie d’être comblée, je lui offre mon autre trou, je me penche en avant en lui demandant de m’enculer. J’utilise des mots crus, comme le sexe que j’ai envie de recevoir ce soir. Il se pense, me couvre le cul de salive, et je sens son gland écarter mon œillet alors que je suis enfoncée sur la queue d’un autre. Que c’est bon ! autour de moi se pressent beaucoup d’autres hommes, je suce et branle autant de queues que je peux le faire. Je sens mon plaisir qui monte au rythme de ces deux hommes qui me besognent. Ils y vont fort, me prennent que la salope que je suis en cet instant. Je suce, aspire, pompe autant de queues que possible. J’en sens certains me jouir dessus et, ce soir, ça m’excite encore plus. Ma jouissance monte, mon orgasme s’annonce intense.
Une nouvelle bite palpite dans ma bouche, je le fais jouir dans mon palais, aspire son jus alors que je sens mes deux amants au bord de l’explosion aussi. Je me donne à eux, m’abandonne au plaisir, et jette ma tête en arrière pour expulser un grand cri de jouissance.
J’ai crié mon plaisir tellement fort, que tous mes prétendants se sont immobilisés un instant, surpris par cette manifestation intense. Je m’allonge sur le côté, me rassieds sur le bord du matelas et leur fais comprendre que le jeu est fini. C’est l’avantage de ces lieux, aucun ne cherche à aller contre ma volonté, tous s’écartent et partent chercher d’autres partenaires ou faire ce que bon leur semble. Je ne retiens par la main que l’homme à qui j’ai offert mon cul, j’ai envie de prolonger la soirée en ces lieux avec lui. Il me ramène ma robe en même temps que ses habits, nous filons sous la douche, mettons nos tenues au vestiaire, pour que je récupère un paréo, et lui une serviette.
La suite de la soirée s’annonce prometteuse, pendant mes premiers ébats, le club s’est rempli, beaucoup de couples sont là, les femmes sont belles et ce soir, j’ai aussi envie de goûter à la douceur des caresses de femmes, aspirer de ma bouche sa liqueur de désir... vivement.
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