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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Une épouse qui ne dit jamais non.

Chapitre 1

Inceste
Tout pouvait aller pour le mieux, Sandra et Jean formaient un beau couple, certes la différence d’âges était là mais après tout, sa les regardais.Jean avait quitter sa profonde campagne pour ses études, une fois celles-ci terminer et quelques années en entreprise il se décida avec l’aide financière de son père et de son frère à créer sa propre boite d’import export.Sandra effectuait un stage dans la toute jeune entreprise de Jean et malgré ses 18 ans ce dernier n’avait d’yeux que pour elle, il en était devenu éperdument amoureux.Il ne fallu pas longtemps pour qu’il lui demande sa main, elle était issu d’un milieu pauvre et pensait qu’épouser un chef d’entreprise l’éloignerait à tout jamais de la misère.Elle avait 19 ans et lui 35 ans quand le prêtre les unit. Elle avait appris à connaître Jean et sa famille ainsi que ses proches. Un séjour dans le village et la ferme ou avait grandit Jean, se substitua au voyage de noce.
Cela faisait déjà 2 ans qu’ils vivaient ensemble dans un bel appartement d’un quartier tranquille de la banlieue, Sandra est devenu la numéro 2 de la société, et en regardant en arrière elle ne regretta jamais d’être devenu madame R. Elle avait tout pour être heureuse, et les fins de mois difficiles de sa jeunesse étaient du passé.Elle avait appris à aimer Jean avec le temps et ils envisageaient d’avoir des enfants.Mais la crise est passée par là, les impayés se cumulèrent, des clients qui commandent et ne paient pas, des fournisseurs trop impatients et surtout des banquiers frileux auront vite fait déchanté notre couple.Jean ne voyant pas de solution proposa à Sandra de demander à nouveau à son frère et son père de se porter garant auprès des banquiers, car sans ça s’était la fin.Sandra très réticente, savait que s’était la dernière solution pour sauver son cadre de vie, il n’était pas question pour elle de retomber dans le besoin, et accepta.
-Tu sais Jean j’accepte car on est vraiment devant le gouffre.-Écoutes ma chérie, je sais que tu n’apprécies pas trop ma famille et pourtant eux ils t’aiment bien.
Sandra assise sur la chaise de la cuisine, en entendant ces derniers mots de son mari, se leva brusquement et présentant son cul à jean :-C’est surtout ça qu’ils aiment chez moi, ton frère et ton père sont de vrais vicelards et tu le sais.-Faut les comprendre, ma mère est morte quand j’avais 10 ans et mon père ne s’est jamais remarié, quand à Raymond (le grand frère de jean), il s’est toujours consacré à la ferme et n’a jamais eu de relations avec une femme.C’est pour ça, quand tu es arrivée, ils ne savaient pas trop comment se comporter.-Et en plus tu leurs trouvent toujours des excuses. A notre mariage, j’ai passé les pires jours de ma vie dans leur ferme, et chaque fois que je t’en parlé tu ne faisait rien pour arrêter ça. N’importe quel autre homme aurait défendu sa femme mais toi devant eux tu n’oses rien dire.Sandra disait vraie et Jean le savait, il s’est toujours effacé devant son grand frère. Raymond est le type même du rustre paysan, 10 ans de plus que Jean et surtout d’une carrure impressionnante, tout le contraire de son petit frère. Raymond dépassait les 1,90m, ses mains étaient énormes mais surtout il avait une voix grave et forte qui lui servait à imposer sa volonté.
Sandra voulait mettre Jean en garde :
— Je te préviens, ils sont intérêt à se tenir tranquille.— Pourquoi tu dis ça ? interrogea Jean.— Tu te fiches de moi ? Sandra monta d’un ton. Tu as vite fais d’oublié, Je vais te rafraîchir la mémoire.Et Sandra lui rappela tous les évènements passés durant leurs noces. Les mains baladeuses du père, Raymond qui l’obligea à s’asseoir sur ses genoux et qui en profitait pour lui toucher la poitrine, et la fois ou il est rentré dans la cuisine alors qu’elle lui tournait le dos, il l’avait bloqué face à l’évier pour lui caresser l’entre jambes sous sa robe.Ou même le jour elle dû accompagner le vieux aux toilettes, et que celui-ci l’obligea à lui tenir son membre pendant qu’il urinait, il prétexta qu’il ne voulait pas en mettre partout.
Jean avait honte et ne savait que faire. Il s’avança vers sa jeune épouse et la serra contre lui.-Tu sais, si tu préfères ne pas les revoir je comprendrais, mais tu sais comme moi que s’ils refusent de se porter garant on perd tout, même notre appartement. Il faut qu’ils signent absolument avant la fin de la semaine. Sandra leva la tête, elle avait les yeux en larmes.-Je sais déjà ça, je vais faire un effort, mais tu les connais mieux que moi alors j’espère que tu ne me laissera pas seule avec eux.-Promis ma chérie, je les préviens qu’on passe demain. On amènera de quoi préparer à dîner et quelques bouteilles. -Surtout n’oublies pas les papiers à faire signer.
Les dés étaient maintenant lancés.Ils s’arrivèrent en milieux d’après midi devant la ferme, Gérard, le père, les attendait devant la porte. S’était un vieil homme qui malgré son âge se portait bien. Il accueillit le couple avec beaucoup de joie tout en se plaignant que sa faisant bien longtemps.Il serra son fils dans ses bras et embrassa Sandra en leurs souhaitant la bienvenue.Mais il ne s’empêcha pas de regarder sa belle fille de la tête aux pieds.Sandra voulait faire une forte impression et avec les conseils de son mari avait vêtu une jupe et un jolie chemisier qui lui mettait en valeur sa jolie poitrine. Elle avait de beaux seins, petits mais bien ronds et fermes, d’ailleurs elle ne s’était pas donnée la peine de mettre un soutient gorge. Elle portait des escarpins à talon haut qui lui relevaient les fesses. Ce n’était pas dans ses habitudes de s’habiller de la sorte, elle avait confié à Jean qu’elle se sentait habiller comme une pute il lui dit :-Mais non ma chérie, tu est magnifique, il vont tombé sous ton charme et signeront sans se poser de questions.C’était sa stratégie, se servir des charmes de son épouse pour amadouer son père et Raymond.Il était sûr qu’il maîtriserait les évènements.Sandra était une belle brune et malgré quelques aventures durant son adolescence, n’avait jamais été porter sur le sexe. D’ailleurs, pour elle, elle estimait que son mari et leurs quelques rapports par semaines lui convenaient. Pourtant elle ne laissait pas les hommes indifférents, elle était de petite taille, 1,55m, mais parfaitement proportionnée, une peau très claire, des cheveux châtains mi-longs qu’elle avait l’habitude d’attaché en queue de cheval, des yeux verts en amande et surtout un beau visage de jeunette.Jean s’estimait combler et savait qu’il avait beaucoup de chance d’avoir une si belle femme surtout si jeune. Il n’ignorait pas que sa réussite financière était pour beaucoup et il lui était insupportable à l’idée de tout perdre.
Ils rentrèrent dans le salon et se posèrent tous sur le canapé. Le vieux paysan expliqua que Raymond sera là bientôt. Sandra remarqua une fois assise que sa jupe était plus courte qu’elle ne pensait et se maudissait de l’avoir mise. Le vieux n’en perdait pas une miette et se rapprocha d’elle pour lui poser une de ses grosse main de paysan sur un genoux dénudée de sa belle-fille.-Alors, ma petite, comme ça va ?Sandra tremblait et se sentait mal à l’aise mais elle repensait pourquoi elle était là et répondu avec un grand sourire ;-Ça va beau-papa, merci et vous ?Surpris de la non réaction de Sandra, le vieux décida d’aller plus loin et glissa sa main un peu plus loin, et tout en souriant il se retourna vers son fils.-Eh ! fiston si d’aller voir se que fout ton frère !Jean se leva aussitôt et sans même regarder sa femme, la laisser seule avec son père.Elle regarda son mari se défiler alors qu’il lui avait promis de la protéger.Le vieux paysan continua à caresser la cuisse de Sandra, et se colla un peu plus contre elle.Sandra se dit en elle qu’elle devait tenir bon et continua à sourire au vieux pervers. Elle essaya de se lever.-Beau-papa je vais aller à la cuisine préparer le dîner.Il l’a retenait en pressant sa main.-t’as le temps gamine, tu sais je te trouve vraiment mignonne.-Merci beau-papa, vous me gênez. Elle fixait la main du vieux pervers qui continuait à avancer.Le vieux poussa légèrement Sandra vers l’arrière pour se faciliter la tache, et comme elle ne riposta pas il s’aventura sous la jupe pour atteindre le tissu de la culotte, dernier rempart.Elle respirait de plus en plus vite, son cœur battait si fort, l’odeur de son beau-père lui montait à la tête, le visage du vieux était si proche d’elle qu’il lui commençait à lui lécher l’oreille. La main du sexagénaire persistait et c’est du bout des doigts qu’il toucha le sexe de la femme.-oh ma chérie tu te rases même la chatte.-Arrêtez beau-papa, s’il vous plait, je suis votre belle fille.Elle espérait le ramener à la raison.-C’est vraie, mais je suis trop existé maintenant, c’est ta faute, t’es trop bonne ! Il commença de l’autre main à se déboutonner le pantalon et en quelques secondes une verge à demi molle s’invita.Sandra pria au fond elle que son mari revienne vite. Mais personne ne venait.Le vieux Gérard se saisie de la main gauche de sa convive pour la poser sur son membre.Il encouragea Sandra à y mettre du sien pour en finir rapidement.-Allez, branles ton beau-père ma chérie.Sandra aussi voulait en finir et se dit que si elle satisfaisant le vieux il la laisserai tranquille.Elle commença à le branler, le sexe du paysan devenait dur sous l’action de la main de la femme de son fils.Il retira sa main de sous la jupe pour faire plus de place à Sandra, Il gémissait et de sa main droite caressa la tête de la fille comme pour la féliciter et l’encourager.-C’est bien ma petite, ça fait du bien…Il gémissait de plus en plus fort.-Allez ma petite continue avec ta bouche.-Non ! Non. Il tira Sandra par les cheveux vers son sexe, il n’avait que faire des ses protestations.-S’il vous plait non..Elle était à présent plus qu’à quelques centimètres, elle sentait l’odeur nauséabonde de sueurs et d’urines qui se dégagée de cette zone.Le vieux avait de la force et elle ne pouvait pas résister.C’est sur une bouche fermée que le bout du gland se frottait maintenant :-Ah ma salope tu vas me la faire cette pipe ! Parole de Gérard.Le paysan commençait à s’énerver, il tira plus fort la coiffe de Sandra qui ouvra la bouche.C’est en pleure qu’elle se résout à le sucer. Gérard était aux anges :-OH oui c’est bien ma petite salope. Il sentait l’éjaculation proche et maintenait plus fermement la tête de sa belle fille.-Je viens je viens, avales tout ne n’en laisses pas une gouttes.Sandra essaya de se relever mais c’était trop tard, des saccades de foutres giclaient au fond de sa bouche. Il fallait qu’elle avale tout pour respirer.Jean ne lui demandait jamais de fellations il trouvait ça dégoûtant.Une fois les dernières gouttes avalées, Gérard libéra Sandra de son emprise.-C’est bien petite, tu vois sa a été rapide, Ah ! AH !Sandra bondit du canapé pour se précipiter à la salle de bain, se laver le visage et vomir se qui rester de sperme, laissant le vieux sur le sofa tout fier de lui. Elle se sentait sale et se demanda encore se qu’elle faisait là.
Elle se regardait dans le miroir, et se jura d’être plus vigilante.Ensuite, elle attendit la voix de Raymond résonné dans toute la battisse, quelques secondes plus tard Jean frappa à la porte de la salle de bain.-Sandra t’es là, ça va ?Elle le fit rentrer et referma la porte, il la regarda :-Ça va ma puce ?Elle le regarda froidement.-Non tu m’as laissé toute seule avec ton père.-Il t’a touché ?-Non il m’a juste forcé à lui faire une fellation et j’ai dus avaler, je me sens si sale.Elle se tenait la tête dans les mains.-Oh ma chérie je suis désolé. Je te jure qu’une fois qu’ils signent on ne les reverra plus.-C’est tout ce que t’as à dire, ta femme te dis qu’on l’a violait et tu es désolé. Je savais que je ne pouvais pas compter sur toi. Tu es une merde.
Elle sortit de la pièce laissant Jean planté là, ne sachant comment réconforter sa bien-aimée.Sandra entra dans le salon, Raymond était installé sur le fameux canapé de cuir prés de son père. Quand il aperçu sa belle sœur il se leva pour la saluer.-Bonjour Sandra, il se retourna vers son père et ajouta ; t’avais raison papa elle est en beauté ta belle fille.Sandra rougit et le remercia timidement de ce compliment. Il s’installa à nouveau sur le canapé mais en s’écartant du vieux qui n’avait pas bougé depuis le début, se contentant de mater la femme de son fils.Raymond montra la place entre lui et son père et invita Sandra ;-Viens d’asseoir depuis le temps tu dois avoir des choses à raconter.Sandra s’excusa et expliqua qu’elle devait réchauffer le dîner et préparer la table.C’est à ce moment que Jean apparut devant la porte du salon et Raymond dit en le voyant ;-Mon cher frère peux tu préparer la table de la cuisine on mangera là-bas ainsi que réchauffer le dîner ? Ta chère épouse a tant de choses à nous raconter depuis le temps.Sandra lança un regard vers Jean comme pour lui dire de refuser et lui lança ;-Non Jean reste ici je vais m’en occuper.Raymond s’adressa à Sandra ;-Mais non, repose toi un peu, Jean va se démerder tout seul, viens d’asseoir plutôt avec nous.Et Jean approuva.-Mais oui ma chérie, laisse faire je prépare le souper.Il se défila et partit à la cuisine, laissant de nouveau sa femme seule. Raymond tapota le cuir.-Aller belle sœur, viens d’installer ici.Sandra avança à petit pas vers le grand fauteuil mais quand elle voulu prendre place entre les deux hommes Raymond la saisit par le bras et la fit asseoir sur ses genoux.-Tu sais que t’es vraiment belle toi.Sandra baissa la tête et ne dit rien. Raymond se mit à faire balader ses grosses mains sur le corps d’une femme complètement apeurée. Sandra se débat mais son beau frère devait faire le double de sa corpulence et résister ne servait à rien. Elle décida de rester docile, après tout c’est son mari qui s’était engagé à la défendre.Raymond déboutonna un à un le chemisier qu’il jeta à terre, Sandra était à présent seins nues au milieu du salon.La vue de ces deux jolis mamelons, en forme de poire, excita encore plus les deux paysans.Raymond se mit à lécher les seins l’un après l’autre, il avait toujours une paluche sous la jupe de sa belle sœur. Le père ne resta pas inactif et se rapprocha pour caresser les jambes douces et tremblantes de sa belle fille.Raymond avait fini par atteindre le vagin malgré que Sandra ait garder serré ses jambes, d’un doigt il écarta la fine culotte, le contact direct sur les lèvres du vagin électrisa Sandra qui commençait à être légèrement plus coopérative, la preuve elle écarta d’elle-même les cuisses pour faciliter le travail à son beau frère.Doucement, Raymond titillait l’intimité de sa convive et rapidement Sandra se mit à gémir.Elle ressentait maintenant une sensation d’excitation, elle ondulait des hanches sur les genoux de Raymond, qui se réjouissait déjà de la suite.Il introduisit un doigt entre les lèvres, désormais humides, et à chaque mouvement du bassin de Sandra, son doigt allait plus profondément. Les gémissements de Sandra étaient plus rapides et forts. Raymond décida de passer à autre chose, son membre lui faisait mal dans son pantalon, il poussa Sandra qui se remit debout, et il zippa la braguette de son pantalon pour sortir une grande verge, tendu au maximum. Sandra fixa le sexe, déjà que celui du vieux l’avait impressionnée, celui-là elle le trouva simplement énorme.Raymond leva les mains vers elle pour les passer sous la jupe et saisir l’élastique de la culotte qu’il fit glisser le long des jambes, Sandra leva un pied et il lui retira le bout de tissu qu’il lança à la figure de son père comme pour lui signifier qu’il avait réussi.Il fit rapprocher sa belle sœur de lui et la tira pour qu’elle prenne place face à face.Sandra écarta les jambes et lentement alla s’empaler sur le sexe. Elle sentait ses lèvres s’éloignée l’une de l’autre, il lui semblait qu’elle était à la limite de la déchirure, son visage se déformait par la douleur mais très vite son vagin finit par s’adapter.Raymond tenait Sandra par la taille il se mit à la soulever et reposer sur son membre, Sandra commençait à apprécier son traitement, elle devinait que l’orgasme était proche.Le vieux, qui matait la scène, se mit debout sur le canapé pour présenter de nouveau son pénis à Sandra, cette dernière comprit se qu’il voulait, elle ouvra la bouche pour accueillir le bout de chair qu’elle avait dut sucer il y a quelques minutes de ça.Sandra était au bord de l’orgasme, elle jouit comme jamais.Raymond, à son tour, ne put résister bien longtemps et lâcha sa semence au fond de sa belle sœur, Elle continua sa fellation jusqu’à ce que son beau père éjacule dans sa bouche, elle avala.Elle se leva pour se détacher de la bite qui venait de cracher en elle. Raymond lui dit alors ;-ne te rhabille pas, reste comme ça, la soirée n’est pas fini.Jean n’avait pas bougé de la cuisine, Sandra alla le rejoindre telle quelle.Le sperme coulait encore le long de ses cuisses et elle avait aussi quelques gouttes sur les joues. Jean regarda sa femme nue devant lui. Il lui demanda complètement abasourdi.-Il s’est passé quoi ? Pourquoi t’es nues ?Sandra se saisit, du bout de son index, d’un restant de semence sur sa joue pour le mettre à sa bouche, elle provoquait Jean.-Comme tu vois, ton frère a fini par me baiser. Et j’ai re-sucé ton paternel.Je vais aller me laver un peu mais Raymond a insisté pour que je reste comme ça le reste de la soirée.
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