Après la séance de pose en cours de dessin, j’espérais pouvoir effectuer une nouvelle démonstration d’exhibitionnisme. Pour cela, je dus attendre que la direction de l’école décide de vendre un calendrier au profit des élèves boursiers. Je décidai de participer à la réalisation de ce calendrier, pensant que la nudité y tiendrait un grand rôle et je n’allais pas être déçue.Plusieurs séances de photo devaient avoir lieu dans différents lieux de l’école au cours de la semaine. L’une d’elles, réservée uniquement aux jeunes filles se tint un matin dans l’amphi principal de l’école. Je m’y rendis, en compagnie d’une vingtaine de mes camarades ; on nous fit entrer dans la salle et on nous installa derrière deux rangées de pupitres. Le photographe, prénommé Xavier, avait déjà confectionné plusieurs calendriers du même type. Il avait apporté sa dernière œuvre, et il la fit circuler parmi les étudiants. Je constatai que chaque mois était illustré par une photo de jeunes étudiantes, dans plusieurs décors. Dans chacune des photos, les modèles semblaient tous avoir les seins nus, même si les tétons étaient toujours dissimulés par un élément de décor ou par un autre corps humain. J’étais rassurée, car c’était bien le genre de photos que j’avais espéré. Apparemment, ce n’était pas le cas des autres étudiantes : je vis la moitié de la salle se vider dès lors que mes camarades comprirent que la séance allait se dérouler en tenue très dénudée. Le photographe tenta de les retenir en expliquant qu’elles pourraient conserver leurs sous-vêtements, mais en vain. Une dizaine de jeunes filles, restées sur place, se dévêtirent lentement, jusqu’à se trouver en culotte et soutien-gorge. Elles dégageaient déjà un érotisme brûlant. Et que dire de Jasmine, ma voisine de banc, qui ne portait jamais de soutien-gorge ! Ses jolis tétons roses bien pointés allaient à nouveau attirer les regards ! Xavier se mit à distribuer des livres à chacune des étudiantes. Il nous expliqua qu’en les mettant devant nous, nous cacherions les soutiens-gorge et nous donnerions l’illusion d’être totalement nues. Quand tout le monde fut en place, Xavier prit plusieurs photos d’ensemble. Il nous montra immédiatement le résultat : sur son écran, l’amphi semblait rempli de jeunes étudiantes entièrement dénudées !Xavier s’approcha alors des pupitres avec l’intention de faire quelques clichés supplémentaires. Il s’attarda sur les étudiantes qui avaient omis de mettre un soutien-gorge ce jour-là. Quand il prit en photo les tétons de Jasmine, je sentis qu’elle en éprouvait une certaine excitation ! Jasmine était décidément très exhibitionniste ! Comme moi, elle n’aimait rien tant que de se faire mater ! Xavier mit fin à la séance et tout le monde sortit de l’amphi. Xavier se dirigea vers le gymnase où devait se dérouler une séance exclusivement réservée aux étudiants masculins. L’entrée me fut refusée par un garde plutôt musclé, qui avait pour ordre de refouler toute personne de sexe féminin ! Pourtant j’aurais bien voulu assister à cette séance qui s’annonçait particulièrement intéressante. Jasmine aurait voulu entrer elle aussi. En contournant le bâtiment, je trouvai le moyen d’apercevoir l’intérieur du gymnase : il fallait pour cela grimper le long d’un mur pour accéder à une fenêtre en hauteur. Après discussion, Jasmine accepta de m’aider à monter. Elle me fit la courte échelle et je me hissai sur un rebord. De là, je pus monter sur une pierre en saillie où j’avais accès à la fenêtre donnant sur le gymnase. Une fois installée sur mon perchoir, j’apercevais plusieurs étudiants qui couraient après un ballon de basket. Ces jeunes étaient une vingtaine, tous torse nu et j’appréciais le spectacle tout en souhaitant qu’ils se dévoilent encore plus ! Après une dizaine de minutes, il y eut une discussion animée entre les étudiants et le photographe, puis la salle se vida presque entièrement.Seuls deux étudiants poursuivirent la séance. L’un d’eux était Quentin, celui-là même qui s’était déjà mis nu en cours de dessin, l’autre m’était inconnu. Les deux camarades dribblaient côte à côte avec leur ballon. Et comme je l’avais espéré, ils avaient abandonné leur short sur le bord du terrain : ils ne portaient plus qu’une paire de baskets en tout et pour tout ! Leurs fesses nues étaient un enchantement pour moi ! Mais je lorgnais surtout sur leurs attributs masculins ! Et quand Quentin faisait rebondir son ballon, sa petite crevette s’agitait dans tous les sens ! Son camarade était dans la même situation plutôt dégradante, et ce spectacle me ravissait totalement ! Je ne me lassais pas de les voir courir, sauter, partir et revenir !Jasmine voyait bien que je souriais tout le temps, et elle me demanda ce que je voyais exactement. Plutôt qu’un discours, je décidai de lui laisser la place, en glissant le long du mur, puis en l’aidant à grimper à son tour. Jasmine sembla ravie d’assister au joli spectacle donné par Quentin et son ami. Elle descendit de son poste d’observation et elle m’informa qu’elle connaissait le deuxième garçon (prénommé Olivier) qui avait fréquenté le même lycée qu’elle. Jasmine était complètement subjuguée par les atouts physiques d’Olivier et elle voulait absolument le voir d’encore plus près. Elle était décidée à rentrer dans le gymnase à tout prix, en passant par la sortie de secours. Jasmine emprunta un petit escalier qui descendait en sous-sol du gymnase, elle ouvrit sans peine la porte qui aurait dû être verrouillée, mais ne l’était jamais. Je la suivis dans le dédale des couloirs jusqu’au vestiaire des hommes. Jasmine poussa la porte et s’arrêta comme pétrifiée. Face à nous, Quentin et Olivier étaient nus sous la douche ! Ils ne semblaient pas s’être aperçus de notre présence. J’avoue que je prenais un immense plaisir à mater ces deux garçons en train de se savonner, et Jasmine sans doute aussi. Le plaisir était décuplé quand l’eau ruisselait sur leur poitrail et leurs fesses nues. Je trouvais un charme fou à Olivier, large d’épaules, le torse glabre, et le braquemart dressé bien haut !Nous aurions pu rester des heures à admirer ces deux garçons, quand soudain une voix grave nous interpella.
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