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Une excitation inattendue !

Chapitre 5

Inceste
Le jour arrivait enfin ! Depuis que nous nous étions donné rendez-vous ce weekend pour ce jeudi après-midi, je n’avais cessé de penser à ce moment que j’allais vivre. Nous avions échangé encore quelques mails entre-temps dans lesquels nous précisions un peu les choses. Il était prévu donc que je sois le premier à arriver dans la salle, que j’aurais don pris place à l’endroit convenu. Nous devions nous retrouver au dernier rang tout à gauche en entrant, quelque soit le numéro de la salle.
J’arrivais donc au cinéma, apprêté, parfumé, pour ne pas faire mauvaise impression, et vêtu de la façon la plus simple pour des contacts plus faciles avec toutes les parties de mon corps. Je prenais mon billet à la caisse et, dès que la salle étai ouverte au public, je m’approchait pour présenter mon ticket à l’employé qui barrait l’accès vers les salles. Une fois validé mon ticket, je me dirigeais vers la salle indiqué et, rentré à l’intérieur, allait rejoindre la place convenue.
Une fois installé, j’envoyais un message à ma mystérieuse correspondante lui indiquant que j’étais installé. Je devais envoyer un autre message dès lors que la lumière s’éteignait pour le début du film. Quand ce moment vint, j’envoyais le-dit message. Je n’eu aucune réponse, mais j’attendais.
Je n’eu guère à attendre longtemps.
Bien que le regard posé sur l’écran sur lequel arrivait le générique de début du film, je gardais une oreille tournée vers l’entrée de la salle. J’entendis un léger bruit. L’excitation et le stress montaient encore un plus en moi. J’espérais que ça soit la porte de la salle qui émettait ce son, mais ne tournait pas la tête. J’aperçu peu après une personne qui arrivait à hauteur de mon rang, et même s’approchait de moi. Cette personne vint s’installer à mes côtés et me tendit son ticket de cinéma. Cela devait être elle. J’étais au summum de mon excitation. J’attrapais son ticket et le mis dans une poche de mon jean, puis me réinstalla sans tourner la tête vers elle. Il était convenu qu’on ne se regarderait pas l’un l’autre avant la sortie du cinéma. Seules nos mains devaient parler.
J’aperçu d’ailleurs sa main gauche s’approcher de moi, passer par-dessus l’accoudoir qui nous séparait et se poser sur ma cuisse droite. Elle se mit doucement à me caresser, de gauche à droite pour commencer, par de légers mouvements. Ceux-ci devinrent progressivement plus appuyés, m’enserrant davantage la jambe pour me montrer qu’elle prenait possession de moi. Je me laissais faire. Sa main entama des mouvements plus circulaires vers le genou, puis, ayant découvert toute cette partie antérieure de mon membre inférieur, elle remonta légèrement. Durant un temps qui me sembla s’éterniser tout en restant agréable, elle finit par recouvrir toute ma cuisse de ses caresses. Sa main arrivait régulièrement à mon aine.
Elle allait passer à une étape supérieur dans peu de temps, car elle s’attardait de plus en plus vers cet endroit et élargissait ses mouvements vers mon ventre, puis mon entre-jambe. Elle partait à la découverte de ce qui se tramait là. Elle sentait la bosse qui s’était formé sous mon jean et prenait plaisir à constater mon état d’excitation. Sa main demeurait à présent exclusivement sur mon sexe qu’elle remontait de la base au bout.
Au bout d’un moment, elle releva sa main. Elle prit la mienne, croisant ses doigts avec les miens, pour la passer de son côté. Elle la posa sur sa cuisse, m’invitant ainsi à effectuer les mêmes mouvements qu’elle. Je constatais rien qu’avec ma main qu’elle portait une mini-jupe, souple de surcroit. Je luis caressais donc la jambe qui était enveloppé d’un voile. Je me disais qu’il devait s’agir d’un bas. Je poursuivais mes caresses, repoussant progressivement le tissu de sa jupe vers le haut de sa cuisse. Très vite ce qui était une intuition se confirma. Elle portait bien des bas. Mes doigts entraient ainsi en contact avec sa peau.
Pendant ce temps, elle était retourné sur la bosse de mon jean et avait repris ses caresses. Elle découvrait, sans que j’y prenne attention, les boutons qui fermaient l’accès à l’intérieur de mon vêtement. ma main progressait plus vite que la sienne et remontait jusqu’à son aine. je sentais régulièrement le tissu qui recouvrait son sexe, en suivant le pourtour jusqu’à la ficelle qui partait sur le côté pour mieux revenir ensuite à son entre-jambe. des bords de son string, je passais à son bas-ventre tendant mon bras jusqu’à atteindre le haut de son autre jambe et revenait. J’effectuais plusieurs aller-retour avant de progressivement descendre vers sa plus belle intimité. Elle, déboutonnait petit à petit mes boutons. Un par un ils ouvraient un passage toujours plus grand. Le dernier bouton dégrafé, elle écarte les pans de la boutonnière et pouvait sentir davantage ma bosse emprisonnée sous mon caleçon. A mon tour, je posait ma main sur son sexe. Un très léger gémissement sorti de sa bouche à ce moment-là.
Nous nous caressions plus fermement. Mes doigts effectuaient des cercle sur ses lèvres par-dessus le tissu, sa main agrippait mon sexe et parcourait tout le long.
Au bout d’un moment, je retirais ma mains et me soulevait légèrement pour repousser mon jean jusque mes genoux. Elle pouvait caresser mon membre tout entier, de sa base et mes testicules au gland sur lesquels elle s’attardait à chaque fois avant de reprendre ses mouvements. Ma main retrouvait son entre-jambe et reprenait ses caresses. L’excitation montait encore un plus. Je pris les devants et relevait le bords de son string pour l’écarter. J’accédais ainsi à la chair de son intimité, touchait enfin ses lèvres et sentait son clitoris pointer et durci par ma gestuelle. J’écartait également ses lèvres et entrepris de la masturber réellement sans la faire monter trop vite. Il fallait éviter de se faire remarquer dans la salle par des gémissements trop forts.
Je passais mes doigts dans sa fente, faisait rouler son clito entre eux, le pressait légèrement. Je sentais qu’elle prenait beaucoup de plaisir à cela. Elle finit à son tour par agripper le bord de mon caleçon, le relever et l’abaisser pour libérer mon sexe. Elle pouvait alors le tenir fermement dans sa main et me masturber lentement à son tour.
Nous nous caressions ainsi mutuellement pendant un moment.
Soudain, je senti qu’elle se mouvait. Je dus retirer ma main. Je voyais son buste se pencher vers moi. Elle ne lâchait nullement mon sexe de sa main et le tenant toujours aussi fermement, je sentis un coup de langue sur mon gland. Elle s’apprêtait à me faire une fellation. Après quelques coups de langue, elle posa délicatement ses lèvres, m’embrassa le sexe au niveau du gland d’abord, puis le long de la verge en descendant vers la base et atteignant finalement mes bourses. Elle remonta ensuite en me léchant littéralement la tige du bas vers le haut. Elle recommença l’exercice deux fois, puis elle fit pénétrer progressivement mon sexe dans sa bouche. L’ayant fait entré tout entier, elle entame des va-et-vient qui me faisaient entrevoir l’extase. Pendant qu’elle me suçait, je posais a main sur sa tête, l’accompagnant dans ses mouvements, la caressant, l’invitant à poursuivre son travail.
La situation était des plus excitante. Nous étions comme seuls dans une salle de cinéma plongée dans une obscurité quelque peu entravée par la seule lumière du film projeté à l’écran. Nous n’étions pourtant pas seuls dans la salle. Je savais qu’il y avait une dizaine de personnes, principalement installées dans les rangs du milieu, une plus bas sur ceux de gauche (où nous étions) et un couple sur les rangs de droite. Heureusement qu’il y avait le son du film, bien qu’à certains moments il y avait aussi des périodes plus silencieuses, mais nous tâchions de faire le moins de bruit possible pour ne pas nous faire remarquer. Nous nous retenions. Surtout ma partenaire, quand je lui caressait sa chatte.
Elle me suçait donc, et merveilleusement. Je lui caressait les cheveux, puis je fis passer une main dans son dos que je parcourais tout entier. Je relevais ensuite son haut, la caressant à-même sa peau. Mais j’en voulais plus. Alors, j’entrepris de libérer sa poitrine et de prendre son sein gauche en main. Je le malaxais un moment, jouant de temps en temps avec le téton qui pointait.
Avec tout cela, je failli jouir un moment, mais rien ne vint. Nous continuâmes nos préliminaires. J’aurais voulu goûter à ses seins, mais ne pouvais la faire stopper sa belle fellation. Je me consolais donc en allant chercher à nouveau sa chatte avec ma main. Celle-ci repassa donc sur son dos qu’elle parcouru jusqu’à ses fesses. Me sentant arriver là, elle se releva, mettant un genou sur le strapontin. Je pus ainsi accéder plus facilement à son intimité. Je la caressait de nouveau à cet endroit de mes doigts agiles. Mais cette fois-ci ils allaient se faire également inquisiteurs. Ils cherchaient l’entrée de sa grotte intime. Une fois trouvée, ils tentèrent d’y pénétrer.
Un seul doigt pour commencer. Le bout entra, puis s’enfonça petit à petit. Un peu après, un second vint le rejoindre, entrant ensemble un l’intérieur. J’entendais ma partenaire souffloter pendant qu’elle ne s’arrêtait de s’affairer sur mon frein. Mes doigts pénétrants allaient et venaient. Un troisième doigts se joignit à la fête. Les choses ne pouvaient s’arrêter là.
En effet, après un moment de se petit jeu de doigts pour ma part et de bouche pour la sienne, elle se redressa, toujours sans me regarder et sorti un préservatif qu’elle me tendait. Elle se leva ensuite de son siège et vint vers moi qui était en train d’enfiler la protection en caoutchouc. Elle se retrouvait devant moi, me tournant le dos, remonta sa jupe, puis s’abaissa. Elle allait s’asseoir sur moi, ou plutôt s’empaler sur mon sexe raide. Elle l’attrapa d’ailleurs tout en continuant de se baisser, les jambes écartées de chaque côté des miennes. Mon gland entrait en contact avec avec ses lèvres intimes. Elle le positionna bien l’entrée de son vagin, puis le fit pénétrer à l’intérieur. Elle s’assit progressivement sur mes genoux. Quand cela était fait, elle commença à monter et descendre le long de ma verge. Je l’entendais à peine, mais je me doutais qu’elle devait faire le maximum pour se contenir. Je l’accompagnait, mes mains posées sur ses hanches, le bout des doigts sur le haut de ses bas.
Après un moment elle se posa, et stoppa son effort. J’entrepris alors des mouvements de mon corps afin de continuer à stimuler son plaisir par le biais de mon sexe qui devait légèrement aller et venir en elle. De-même, je la maintenais contre moi, agrippant ses seins dans un premier temps, puis faisant descendre une main pour m’occuper de son clitoris pendant que mon sexe bougeait dans son bas-ventre.
Ce traitement lui procurait un plaisir énorme. Elle soufflotait de plus en plus, gesticulant de ses bras à la recherche d’une solution pour ne pas exploser de plaisir et nous faire remarquer. Elle se couvrit finalement la bouche de ses deux mains pour étouffer sa respiration. De la savoir dans cet état me procurait également beaucoup de plaisir. Aussi, je me sentais venir à mon tour avec un peu de décalage, mais elle demeurait un moment à un même niveau d’excitation, maximum. J’allais atteindre le point de non retour. Tout à coup, je sentais comme une décharge électrique. C’était le moment critique. La sève montait et elle finit cette fois-ci par sortir et se répandre dans le préservatif. Nous continuions de nous mouvoir ainsi elle assise sur moi tout le temps que les spasmes secouaient mon corps, et plus particulièrement mon sexe faisant sortir un jus qui ne pouvait prendre possession de son intimité la plus profonde. Et même ses spasmes terminés, nous continuions nos mouvements.
Quand nous nous arrêtâmes finalement, elle se tourna pour m’embrasser. Notre dura un moment. j’avais les yeux fermés et j’imaginais qu’elle les avait fermé elle aussi.
Elle se réinstalla finalement dans son fauteuil. Nous restions toute la durée du film main dans la main sur l’accoudoir. A la fin, la lumière s’alluma tout d’un coup en plein générique de fin. Nous pouvions enfin nous découvrir l’un à l’autre à visage découvert. Plus aucun de mystère entre nous. Mais la surprise fut de taille et pour nous deux de nous voir. Nous restions interdits à nous regarder. Il fallu qu’on vienne nous demander de sortir de la salle pour que nous réagissions et quittions le cinéma estomaqués. Nous nous quittâmes sans un mot, sans un baiser ... rien ! Nous savions que nous allions nous retrouver.
J’avais ainsi baiser dans un cinéma avec celle qui m’avait involontairement excité ces derniers mois ... ma mère !
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