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Une Expérience Extra-Corporelle

Chapitre 2

Inceste
Une Expérience Extra-Corporelle
Chapitre 2
Ce scénario se poursuivit alors les jours suivants, chaque matin, Marie me prodiguait une fellation que je ne pouvais imaginer que délicieuse pendant 5 à 10 minutes, et j’atteignais un orgasme mental à chaque fois. Curieusement, ce phénomène permit à mon esprit de se balader plus loin et plus longtemps et je pris plaisir alors à m’élever dans les airs, traverser le plafond, la charpente de la maison pour me poser sur le toit et observer la vie aux alentours qui suivait son cours.
A présent, j’étais capable de rester en dehors de mon corps pendant une heure ou deux heures et j’en profitai au maximum.
Ma famille vit dans une maison bourgeoise avec un grand jardin. De mon point de vue, perché près de la cheminée, je peux voir notre chat Rocco se baladant sur la pelouse, les voitures dans la rue, les voisins qui vivent leur vie et au-delà, la ville d’un côté et de l’autre la forêt, car nous étions aux limites de la commune. J’adorai regarder ma sœur partir à l’université le matin, puis revenir en fin d’après-midi. Un soir, je peux alors remarquer une chose nouvelle dans mon quotidien routinier. C’est une voiture qui dépose ma sœur Zoé devant la maison, une voiture que je connais bien, une Clio rouge avec au volant, l’un de mes camarades d’université et ami, Théo, elle lui dépose un baiser sur la joue puis sort en souriant. Je n’avais vu que Théo deux fois depuis mon accident, je me demande comment ils ont pu se rencontrer, et surtout, quelle est la nature de leur relation.
Je le sus rapidement, car elle m’en parla alors en rentrant dans ma chambre. Ce fut très étrange de l’entendre entrer et de la voir se pencher devant mes yeux et me sourire alors que mon esprit toujours perché sur le toit fixait la rue où venait de tourner la voiture de Théo.
— Il faut que je te parle d’un truc frérot.
Je redescends alors dans ma chambre pour l’observer pleinement tandis qu’elle tient la main de la coquille vide qui me sert de corps. Pour la première fois depuis longtemps, je la sens heureuse. Je lui en veux un peu pour cela, mais seulement un instant, avant que je comprenne que son bonheur me rend aussi heureux.
Elle me parle alors de Théo, elle l’a rencontré à l’université, ils ont parlé de moi bien sûr, et ces derniers temps, elle m’apprend qu’il lui a été d’un grand secours. Je comprends que ma petite sœur a le béguin pour lui. J’aurais aimé lui donné des conseils, la mettre en garde, Théo est un ami, mais je sais trop bien comment sont les garçons à notre âge, toujours à courir les filles sans jamais vraiment s’attacher. Je ne l’imagine pas valoir ma sœur, mais à vrai dire, je ne vois pas qui le peut. Je ne peux lui dire rien de tout cela, et c’est plutôt tant mieux, tout compte fait, je serai passé pour un salaud et elle m’aurait détesté, tout, mais pas ça. Au lieu de cela, elle me demande si elle peut le revoir, comme il était mon ami, elle se sent obligée de me demander la permission, je dus bien accepter, ne serait-ce, car elle a besoin de soutien.
Tous les jours, j’entendis alors parler de lui, ils semblaient se rapprocher, Zoé prenait son temps, elle avait besoin d’être sûre qu’il tienne à elle, finalement, j’étais rassuré, bien que manquant d’expérience, elle n’était pas prête à se faire berner par n’importe quel type. Cela aussi me rassura concernant Théo, car sa persévérance montrait qu’il était attaché à ma petite sœur.
Cependant, un événement mit de côté les amourettes de ma sœur. Après un mois de bons et loyaux services, Marie dut partir, apparemment, elle remplaçait simplement Véronique pendant ses vacances. Son départ fut pour moi un déchirement. Je ne pourrai jamais la remercier pour m’avoir fait vivre à nouveau. Véronique revint et je pensai même que si la femme de 50 ans me faisait une fellation, j’y prendrais du plaisir, elle saurait certainement y faire. Mais Véronique resta sage et redevint la gentille infirmière dont j’avais l’habitude et qui n’est pas assez perverse pour venir faire une gâterie à ses patients.
Les jours suivants, je fus de mauvaise humeur, j’essayai de retrouver par moi-même du plaisir, une sorte de branlette mentale, mais j’étais bien incapable de m’exciter. Les revues pornos sous mon lit n’étaient d’aucune aide pour un esprit incapable de tourner de simples pages. Et puis impossible de dire à quiconque de me passer un porno en douce.
La solution vint un matin après que Véronique soit partie et m’ait changé. J’entends ma mère et elle discuter en bas puis la première remonter, elle passe la porte de ma chambre. Elle est vêtue de sa robe de chambre qui laisse découvertes ses belles jambes. Immédiatement, je la trouve désirable. Ma mère, Sophie a 43 ans, et c’est assurément une très belle femme, une MILF même, disaient mes amis. Elle est brune aux cheveux bouclés, de beaux yeux marron clair, un sourire radieux, des traits harmonieux et un corps qu’elle entretient avec soin.

— Je vais prendre ma douche mon cœur, et ensuite, je te ferai la lecture, d’accord ?
Je cligne des yeux pour un "oui", mais en la voyant partir, je la suis dans ma forme fantomatique. Ma mère entre dans sa chambre, sort des affaires du placard et de la penderie qu’elle étale sur le lit, puis elle entre dans la salle de bain privative que possèdent mes parents. Je la vois alors retirer sa robe de chambre qu’elle accroche au mur. Elle porte une jolie nuisette rouge, très sexy et a pour seul autre vêtement une petite culotte blanche. Si j’avais eu une gorge, elle se serait asséchée en voyant ma mère retirer sa nuisette, dévoilant une poitrine que je n’imaginai pas si belle. De beaux seins ronds, ni trop gros, ni trop petits, parfaitement fermes avec de larges aréoles brunes et des tétons un peu aplatis, malgré l’immoralité de la chose, sa poitrine de femme mûre m’excite immédiatement. Alors qu’elle est presque nue devant moi, je ne peux qu’admirer sa silhouette, fine, son ventre plat, ses jambes galbées.
Elle retire son dernier bout de tissu et dévoile un très beau cul qui semble aussi ferme que le reste de son corps. Elle se retourne et j’ai une vue parfaite sur son entrejambe, son intimité qui se dévoile à travers ses cuisses, un pubis finement épilé, une petite toison brune qui entoure une jolie chatte, celle-là même qui m’a mis au monde.
Ma mère entre dans la douche et je la suis encore, elle fait couler l’eau chaude sur ses cheveux et sa poitrine et je l’observe alors se laver, se savonner, passer ses mains sur son corps sublime. C’est pour moi une révélation, comment ai-je pu passer à côté de cette beauté, bien plus belle que toutes les filles avec qui j’ai couché, bien plus femme. J’aurais aimé pouvoir être physiquement dans la douche avec elle, pouvoir embrasser son cou, caresser ses seins, sentir sa bouche sur la mienne. Ma mère m’aurait alors repoussé, elle ne m’aimait pas de cette façon bien sûr. Mon désir pour n’en fut qu’augmenter, en pensant à ce tabou qui jusque-là ne m’avait jamais traversé l’esprit, je me demande alors si cette révélation est due à mon état, ma forme spectrale ou simplement à l’abstinence, mais je décide de mettre la morale de côté et de profiter du moment qui s’offre à moi.
Je prends alors du plaisir à simplement la regarder se laver nue, ses gestes, fonctionnels, n’ont rien d’érotique, mais pour moi, dans mon fantasme, ils le sont terriblement si bien que je finis par avoir un orgasme mental, à nouveau et sacrément puissant.
Je la regarde alors sortir de la douche, se sécher puis revenir dans la chambre. Elle met ses sous-vêtements en belle dentelle noire, je ne l’avais jamais imaginée portant un ensemble aussi sexy. Puis elle enfile une robe et sort enfin. Il est bizarre de la voir alors ensuite entrer dans ma chambre et me faire la lecture pour le reste de la matinée, alors que j’ai toujours en souvenir la vision superbe de son corps nu.
Dès lors, je poursuis alors mon voyeurisme chaque matin, ne me lassant jamais de voir le corps nu de ma mère, le troisième jour, alors que je l’observe toujours, je sens que ses gestes sont plus lents, elle se caresse plus longuement les seins, et ses tétons se durcissent, puis une de ses mains glisse sur son intimité, et je la regardai alors se masturber devant moi, j’observe plus attentivement son sexe et son clitoris qu’elle simule. La voir jouir devant moi provoque chez moi un orgasme mental des plus puissants.
Quelques jours après, j’eus alors l’idée de glisser mon esprit dans la chambre de mes parents le soir, voir mon père faire l’amour à ma sublime mère me semblait être bien mieux que n’importe quel film érotique. Mais durant une semaine, il ne se passa rien. Je m’aperçus alors que cela n’allait pas très bien entre mes parents, qu’ils étaient distants l’un envers l’autre. Un soir, alors qu’ils viennent de s’endormir sans le moindre geste d’affection comme d’habitude, un bruit me frappe. Il vient de la chambre de ma sœur, nos chambres étant l’une à côté de l’autre, il n’était pas rare que j’entende la musique qu’elle écoutait par exemple. Mais cette fois, c’est différent et mon esprit s’y déplace alors.
Lorsque je traverse le mur, je vois Zoé allongée sur le lit, elle est nue, sa lampe de chevet éclaire sa peau pâle, l’une de ses mains caresse son sein droit et l’autre est entre ses jambes. L’image si érotique m’excite immédiatement, comme ma mère, ma petite sœur est une beauté, mais assez différente. Elle est plus petite, les cheveux châtain clair, des yeux bleus étincelants et une bouche pulpeuse. Sa poitrine est aussi bien plus modeste, mais quels jolis petits seins elle possède ! En forme de poire avec de tout petits tétons et ils ont l’air si doux. Pendant un moment, sa main s’écarte de son entrejambe et j’ai une vue parfaite sur sa jolie chatte, son pubis parfaitement épilé, ses lèvres bien roses, sa fente humide, sur le moment, je n’ai qu’une envie, la goûter. Je me sens encore plus idiot, pendant des années, j’ai couru après les filles sans me rendre compte que j’avais les deux plus belles merveilles du monde chez moi.
Je jouis alors plusieurs fois en regardant ma petite sœur se masturber dans son lit, de ma chambre, je peux entendre ses petits cris étouffés et lorsque son désir la submerge, le mien aussi, une nouvelle fois.
J’avais cédé à mes désirs et mes fantasmes, abattu le tabou de l’inceste qui ne me semblait plus si immoral dans ma situation, les jours suivants, je continuais alors d’observer alternativement ma mère et ma sœur, je les regardai prendre leur douche, s’habiller ou se déshabiller, mais je les regardai aussi d’un œil nouveau simplement lorsqu’elles entraient dans ma chambre et gardaient mon chevet pendant des heures, je sus alors que je ne pourrai jamais aimer une femme plus que ces deux-là.
Quelques jours plus tard, alors que mon esprit vagabondait sur le toit, je vis la voiture de Théo déposer ma sœur. Mais cette fois, Zoé embrassa mon ami sur la bouche, un petit baiser, assez chaste, mais qui mesurait l’ampleur de l’avancée dans leur relation. Bien sûr sitôt rentrée, Zoé me fit part de la grande nouvelle, elle tenait à ce que je sois le premier informé, me dit-elle. Je dois bien avouer que je fus un peu jaloux, mais à voir ma sœur si heureuse, si joyeuse, je ne pus qu’être à mon tour débordant de joie pour elle.
Les jours suivants, je m’attendais alors à ce que ses visites dans ma chambre se fassent moins fréquentes, mais elle ne changea rien à ses habitudes et souvent me racontait l’avancée de sa relation avec Théo, je me rendis compte qu’elle avait un sérieux béguin pour lui et qu’elle en était même amoureuse.
— Tu sais, j’aimerais te demander comment cela se passe... la première fois... je sais que nous avions pas l’habitude de parler de ça... de sexe... mais je sais que tu pourrais me guider... me permettre de faire les bons choix... je... je ne suis pas prête pour le moment... mais je crois que Théo est le bon.
Elle me dit cela un jour en rougissant comme une jeune fille, une jeune vierge, ce qu’elle était en fin de compte. Je sus alors que l’idée de perdre son pucelage était en tête, mais qu’elle prendrait son temps, cela me laissait le temps d’encaisser le choc, car un peu honteusement, je devais bien avouer que j’aurais aimé être à la place de Théo.
Cependant, je devais me féliciter de la nouvelle relation de Zoé, car celle-ci se masturbait à présent tous les jours, pour mon plus grand plaisir.
J’avais - je crois - poussé les limites de ma projection mentale, je ne pouvais guère aller plus loin que le jardin et le trottoir, je n’étais toujours pas capable d’entendre ce qui se passait autour de mon esprit, seulement de voir. Si ce pouvoir m’avait permis d’aller mieux, de me sentir un peu plus vivant, c’était la sensation du toucher qui me manquait le plus, je pouvais l’imaginer, mais ce n’était pas pareil. Tout changea un jour alors que notre chat Rocco s’était posé sur mon ventre, je l’entendais ronronner tranquillement et mon esprit le voyait rouler en boule, ses poils contre ma peau nue, j’imaginai la chaleur de son corps sur le mien et je tendis alors mon esprit vers cette pensée.
C’est alors que j’entrai dans l’esprit de Rocco, j’étais devenu lui, le chat, je pouvais sentir son corps si différent du mien, je sentais aussi ses sentiments, ses désirs, une bonne sieste, un bol de croquette, quelques caresses, des pensées simples d’un chat domestique. L’esprit de Rocco lui, était toujours là, en retrait, je n’étais que locataire de son corps, il ne s’était pas réveillé et je le sentais rêver, des rêves de chat que je ne comprenais pas. Ce fut une sensation enivrante et fabuleuse, je me sentais devenir de nouveau un être vivant. Le contact ne dura que quelques minutes, je sentis que si j’avais voulu, j’aurais pu me réveiller et ouvrir mes yeux de chat, mais je contrôlais encore mal son esprit. Lorsque Rocco s’éveilla, je perdis le contact, mon esprit fut évacué du corps et resta en suspension au-dessus de moi. Rocco miaula d’un air interrogateur puis voyant qu’il n’y avait nul danger, se recoucha sur moi.
Mon incroyable découverte me rendit de plus en plus optimiste, et les jours qui suivirent, je tendis de nouveau mon esprit vers Rocco, je pris possession de son corps pendant plus longtemps et de façon plus certaine, je prenais néanmoins soin à ne pas le blesser. Il me fallut une semaine pour que mon esprit ne soit pas repoussé lorsque Rocco s’éveillait. Pour la première fois, je vis alors à travers ses yeux, je dus m’adapter à sa vision si différente de la mienne, à son ouïe, son odorat, sa taille. Je me mis sur mes pattes et observai un moment ma chambre autour de moi, les coussinets de mes pattes me semblaient si sensibles que pour la première fois, je pus sentir parfaitement mon corps d’humain toujours aussi immobile en dessous de moi. D’un geste alors agile, je me propulsais sur le parquet, atterrissant avec grâce et douceur, je ressautai sur le lit et me pris pour un vrai acrobate.
Voyant que l’esprit de Rocco émerge un peu plus, je ressors de son corps et vois alors mon chat se reposer tranquillement sur moi et continuer sa sieste comme si rien ne s’était passé.
Qu’il est agréable d’avoir un corps si agile, je me plais de plus en plus à être Rocco, si bien qu’à présent, j’habite son corps au moins une heure par jour, mon activité favorite est de me promener dans le jardin, de m’enfouir dans l’herbe, de sauter sur n’importe quel promontoire et d’observer le monde de ma situation. Le premier contact avec des humains fut aussi très intriguant, je ne comprenais pas ce qu’ils disaient, seulement certaines intonations de voix lorsqu’ils s’adressaient à moi. Ma vision avait du mal à distinguer les visages, mais grâce à mon odorat si fin, je reconnaissais aisément l’odeur de ma mère et de ma sœur, des odeurs qui m’attirèrent particulièrement, je me demandai alors si cela venait de l’affection que Rocco avait pour elles ou de la mienne.
Lorsque Zoé vint me prendre dans ses bras et me caresser pour la première fois, ce fut une sensation exquise. Je sentais parfaitement la chaleur de son corps, la douceur de sa main, dès lors lorsque je devenais Rocco, je cherchais immédiatement la proximité avec ma mère et ma sœur, je ronronnais alors autour d’elles, me frottant contre leurs douces jambes et m’enivrait de leurs caresses, de leurs mots doux et de leurs baisers. Je n’avais qu’une envie, avoir un corps d’humain et faire les mêmes choses.

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