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Une expérience merveilleuse (1)

Chapitre 1

Travesti / Trans
J’avais alors 45 ans, hétérosexuel, aimant me laisser aller à quelques expériences libertines ou rencontres grâce à des sites spécialisés ou rencontres tout à fait ordinaires. Alors en déplacement à Tahiti pour quelques mois très libre de mes mouvements. Aussi, les vendredis soir je profite d’aller me promener au gré de mes envies et idées.
Un soir de fin de semaine, accompagné d’un couple de Franys (français), nous allons manger sur la place To’ata aux roulottes, il devait advenir ce qu’il arriverait, un peu l’aventure. Seul, juste accompagné de mes deux amis et nous passons commande pour déguster bonne Hinano, ou « la bière locale qui rend idiot ». Une charmante femme s’approche de nous, salue mes amis, les présentations sont faites :
— Arava (l’enfant convoité) voici un ami, il est de passage à Tahiti pour quelques mois depuis à peine plus d’un mois.
Cette charmante femme habillée traditionnellement est polie, une chevelure abondante, tenue traditionnelle, approche et s’assied face à moi. La conversation reprend, elle me conseille sur un plat particulier le poisson perroquet au lait coco accompagné de riz. Allons-y pour le perroquet je verrais bien.
Nous abordons plusieurs sujets puis vient la question à propos de la fin de la soirée. Mes amis français m’expliquent que Arava nous a rejoints pour passer la soirée avec nous puis me faire découvrir Papeete la nuit, car eux ne pourront pas rester.
Arava éclate de rire en me souhaitant une bienvenue à la tahitienne et qu’elle serait ravie de me faire découvrir sa capitale. Elle a un véhicule, est autonome et ne demande rien en contrepartie.Après avoir pris quelques Hinanos de plus, mon couple d’amis nous quitte. La Française me souhaite une bonne soirée non sans me faire un clin d’œil coquin accompagné d’un sourire malicieux. Alors que je marche à côté de ma nouvelle amie, elle me pose quelques questions. Puis elle vient à parler des coutumes des croyances propres à ses îles. Elle se confie à moi en m’expliquant ce qu’elle fait dans la vie, qu’elle est célibataire et qu’il est compliqué ici de trouver un véritable compagnon.
Après quelques haltes pour admirer les paysages de nuit, nous arrivons dans un quartier dit Cowan et Arava me dit qu’elle désire m’amener voir la plage de sable noir en bas du Tahara. Effectivement l’endroit est superbe, nous sommes collés l’un à l’autre comme aimantés, parfois elle pose sa main sur mes avant-bras ou se plaque contre moi pour éclater de rire. Je me laisse aller à caresser ses cheveux longs lâchés. Ils sont doux sentent bon la vanille. Puis elle se colle à moi pour me sentir le cou et y déposer un baiser. Elle s’excuse, mais je la réconforte en l’enlaçant tendrement. Pas de réaction, elle se laisse faire, et je profite de l’opportunité pour la complimenter quant à sa plastique. Elle me sourit, me traite de petit coquin, puis se lève et me tend la main. « Allons debout nous bougeons vers la civilisation ». Nous repartons et retournons vers la place To’ata où elle se gare.
— Viens je vais te faire découvrir ce que tu ne peux imaginer.
Nous nous dirigeons dans une petite ruelle pour arriver devant une porte métallique où nous sommes accueillis par un solide tahitien qui salue Arava. Après les présentations nous entrons, je découvre le fameux Piano bar...
Une serveuse nous accoste et nous guide vers le bout du comptoir où Arava salue une dame d’un certain âge, la patronne. A nouveau les présentations sont faites et la patronne me souhaite une agréable soirée avec Ara au Piano, mais me tenant le bras avec insistance elle me somme de la respecter. Arava semble être une princesse ici.
Nous consommons puis allons danser sur des musiques très occidentales. Un moment polynésien arrive et Arava va sur la piste après m’avoir raccompagné au bar. D’autres femmes et hommes se placent à côté et autour et une danse traditionnelle est entamée. Je découvre alors les talents cachés de ma copine de soirée. Arava est en fait une danseuse du Grand ballet de Tahiti... Oui, rien que cela. Imaginez un peu la voir danser une danse envoûtante, très provocatrice, épuisante, le Tamourè. Après un show superbe, elle me rejoint en nage souriante et se plaque contre moi.
— As-tu aimé ? C’était pour toi, pour que tu vois ce que nous aimons, ce qu’il nous faut absolument pour nous sentir chez nous dans notre fenoua.
— Oui tu étais superbe tout comme les autres danseuses et danseurs.
Sur ces mots elle me dit alors :
— Que tu contemples les danseurs et danseuses est normal, mais ce soir tu ne dois voir que moi mon bébé.
Elle se colle à moi et pose sa bouche entrouverte sur mes lèvres pour glisser sa langue à la rencontre de la mienne. La soirée continue et nos caresses se font plus précises plus orientées, elle est superbe et très réactive à mes caresses sur sa chatte, ses fesses, ses seins très fermes. Ici rien n’est tabou. Elle glisse sa main dans mon pantalon en me fixant. Elle constate mon érection très forte et m’invite à bouger vers les toilettes où elle devient une chatte en chaleur. S’agenouille devant moi pour découvrir mon sexe en tension et envelopper mon gland épais de ses lèvres. Deux ou trois aller-retour plus tard et quelques coups de langue sur mes bourses :
— Viens on retourne au bar.
Je n’ai pas le temps de faire quoi que ce soit elle remet ma queue dans mon boxer me prend la main et m’attire contre elle pour me pousser en avant. Elle se place derrière moi et me serre en avançant et ondule sur mes fesses.
— Avance ou j’abuse de toi en public.
Je sens encore ses lèvres sur mon cou et nous arrivons au bar, je suis excité, elle semble être nature. Rien ne paraît Inimaginable. La soirée continue j’ai mal aux bourses tant elle me caresse en dansant, tantôt ses fesses, tantôt son sexe qui vient de plaquer à ma grosseur. Ses mains, ses baisers.
— Tu sais il se fait tard, je travaille demain AM je vais rentrer, veux-tu que je te dépose bébé ? — Heuu oui bien sûr c’est gentil.
Je pense que la soirée est terminée, que je rentrerai seul chez moi pour m’astiquer en pensant à ces moments et pour me soulager. Je me résigne nous finissons nos verres et sortons. Montons dans son RAV4 elle démarre.
— Bébé tu sais... je dois te dire, car je te respecte tout comme tu l’as fait pour moi. Je suis différente des autres femmes. Je comprends que tu vas repartir chez toi en France et que nous ne nous reverrons certainement jamais. Mais me ferais-tu la grâce d’être mon « sex friend » durant ton séjour ? Je n’ai pas besoin d’un « dady sugar » et encore moins d’un copain jaloux.— Je suis ravi de ta proposition, mais attendons demain pour une réponse si tu veux bien. Là rentre chez toi après m’avoir déposée tu travailles demain.— Non je te veux à moi cette nuit et demain alors tu pourras me donner ta réponse.
Je suis surpris de ce retournement de situation, voici quatre semaines que je suis célibataire et que je n’ai pas baisé, car là il s’agit d’une baise. Je ne me fais pas prier.
— Oui Arava je reste avec toi cette nuit puis nous verrons.
Elle me fait visiter sa maison puis après m’être douché seul, je la retrouve dans la chambre sous un drap. Elle semble être dans un léger sommeil dans un paréo. Je me glisse contre elle l’enlace et la caresse doucement. Pas de réaction, je me surprends alors à toucher ses tétons, ses hanches ses fesses.
— Et toi petit coquin qui t’a autorisé ? Vas-y quand même continue j’adore, tu es doux, caresse mes seins avec ta bouche s’il te plaît.
J’obtempère tandis qu’elle promène ses doigts sur moi qui suis nu dans son lit ; elle ne me touche pas le sexe pourtant lui se dresse durci et gonfle doucement. L’envie de baiser me gagne, mais je reste délicat et attentionné, elle me retourne et je me retrouve sur le dos, elle allongée sur moi qui ondule je perçois une culotte ou un string que je ne cherche pas à enlever. Elle ronronne comme une chatte et guide mes mains sur le bas de son dos sur ses fesses fermes qui bougent, j’ai droit à un massage peau à peau. Je n’en peux presque plus j’essaie de la calmer, mais elle me cloue sur le matelas, je ne sais pas comment.
— J’aime quand je possède mes amants de la sorte, je continue ?— Oui je me laisse aller alors.
Elle plaque alors mes épaules sur le matelas ainsi que mes bras, se redresse pour entamer une série de mouvements de son bassin sur mon sexe. Sa chatte semble lisse, assez grosse, et elle me fixe avec un sourire.
— J’ai envie de te sentir explosé, mais à ma façon. Tu ne regretteras pas bébé.
Elle accélère ses ondulations, s’écrase sur ma tige en érection et je ressens quelque chose sur la hampe. Des tas de choses traversent mon esprit peut-être une serviette périodique, elle rigole doucement, accélère encore et je m’arc-boute et me soulève comme pour la prendre en explosant. Un flot de sperme gicle de mes bourses j’explose. Elle me plaque encore plus fort et je perçois quelque chose d’indescriptible.Elle s’effondre comme moi, me suce les joues, les oreilles. Ne bouge plus.
— Arava, tu es trempée tu mouilles tellement. — Ho non mieux que cela attends tu vas comprendre.
C’est le retour au calme des caresses, des bisous de la douceur et toujours cette sensation. Je ne débande pas.Elle prend une de mes mains et me demande de lui caresser les fesses. Je n’hésite pas, ma queue est tendue et dressée, je peux percevoir le bout de mon gland qui humidifie cette partie de son intimité. Elle se soulève pour mieux percevoir ma virilité.
— Bébé tu as encore envie de moi hmmmm, et tu n’imagines pas combien j’ai envie de te baiser.
Je ne prête pas cas à ce détail, je suis tellement bien, j’ai envie de la prendre si elle m’y autorise bien sûr.Je sens ma queue durcir à nouveau et elle m’en fait la remarque, puis me demande juste de ferme les yeux pour savourer le moment. Elle bouge sur moi puis s’allonge à nouveau et s’assoit sur mes cuisses.
— Fais-moi juste un peu de place Bébé, je veux me glisser entre tes cuisses.
Elle se glisse entre mes cuisses, puis je devine que quelque chose glisse sur ma queue en érection et qu’une main enserre le tout.
— Ouvre les yeux, ne dis rien ressens simplement ensuite nous parlerons.
J’ouvre les yeux et devine un sexe masculin en érection collé au mien, il est moins imposant, mais tout aussi long et luisant. J’ai deviné ... Arava est un Raerae.
— Ça va Bébé tu n’es pas choqué ? nous pouvons stopper, je comprendrais. Je t’avais dit que je n’étais pas une femme comme les autres.
Je suis sous le choc, mais pas déçu, cette douceur, ses formes parfaites de femme, ses seins, ses fesses de quoi faire pâlir une vraie femme. Et n’étant pas choqué j’irais jusqu’au bout.
— Non Arava ça va, tu es superbe et tellement douce. Je continue ma découverte.
Elle s’allonge alors sur moi, et se confie, elle avait peur de ma réaction et avait ri intérieurement lorsque j’avais trouvé qu’elle mouillait beaucoup. En fait elle avait éjaculé dans sa culotte. Elle prit nos deux tiges tendues pour les caresser une forme d’excitation différente monte en moi. Elle glisse sur moi pour mettre ma queue entre ses seins et la faire durcir tantôt avec ses tétons tantôt avec la langue.
— Prends-moi Bébé j’en ai envie fais-moi du bien, donne-moi du plaisir et ta semence je désire la sentir envahir mon ventre. Je n’aurais pas mal, celles qui racontent cela ne sont pas prêtes, moi je te veux. Je suis ouverte pour toi, prends-moi à quatre pattes, fais moi du bien.
Après s’être positionnée pour m’offrir sa rosette posée sur ses épaules elle écarte ses fesses pour que je jouisse du spectacle.
— Viens saillis-moi Bébé.
Mon gland se retrouve posé entre ses fesses sur cette étoile à sept plis elle pousse son sphincter pour m’inviter à l’empaler. Je rentre doucement, mais très aisément. Elle me saisit les bourses pour les remonter et les palper. Respire vite, gémit et s’écrase sur le lit dans un cri fort et rauque. Je décharge alors ma semence en saccades, je reste agrippé à ses hanches. Puis immobile elle louvoie son bassin pour mieux me sentir.Ma queue dégonfle et se retire de cet écrin chaud et douillet. Un flop annonce pour moi la fin, mais il n’en est rien, elle se retourne et saisit ma queue pour la fourrer dans sa bouche. Le lit est taché, car elle aussi a éjaculé une autre fois en longs traits sur le drap. Elle s’allonge se love autour de moi et me remercie avec une larme au coin de chaque œil.
— Tu es triste Arava ?— Non je suis heureuse, tu m’as comblée et respectée. Pas comme certains qui m’ont brutalisée en voyant que j’étais un Raerae et ne veulent me baiser qu’en pensant à eux. Je te rendrais cela en mille et tu découvriras aussi mon côté actif si tu le désires. Car j’aime aussi prendre du plaisir en pénétrant les hommes ou les femmes.
La nuit a passé, le lendemain nous avons pris ensemble une douche, elle ne travaillait pas, elle avait calculé une mise en scène pour son plaisir et le mien.
J’ai passé le reste de mon séjour avec elle, nous avons répondu à nos envies, que je vous raconterai certainement, lorsque je me suis laissé aller pour qu’elle m’honore avec douceur en déclenchant en moi un orgasme qui m’a foudroyé.
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