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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Une expérience nouvelle et revivifiante !

Chapitre 1

Hétéro
Avec Jean, nous sommes mariés depuis 10 ans et notre couple se porte bien. Nous vivons une sexualité riche et sensuelle, même si parfois la monotonie pointe le bout de son nez. C’est sans doute parce qu’il a perçu ce risque que mon mari m’a offert, il y a peu de temps un cadeau surprenant et propre à ranimer la flamme du désir entre nous. Un soir où tout semblait devoir se dérouler selon un des scénarios classiques de la vie de famille, il déclara soudain : ’Ah, c’est bientôt l’heure, il faut que tu te prépares !’ Devant mon air, sans doute interloqué, il ajouta : ’Je t’ai préparé, ou plutôt, je NOUS ai préparé une petite surprise. Il faut que tu me fasses entièrement confiance, j’ai pris toutes les précautions nécessaires et tout se passera très simplement. Premièrement, je souhaite que tu ailles te mettre en tenue sexy, à savoir, soutien gorge transparent, chemisier léger, ton string bleu foncé, bas et large porte-jarretelles. Tu termineras par une mini-jupe qui laisse deviner le haut de tes bas.’ J’étais évidemment décontenancée, mais son assurance me donnait confiance et je partis en direction de la chambre pour entreprendre la métamorphose sans me douter le moins du monde de ce qui m’attendait. Quelques minutes plus tard, je lui annonçais que je m’étais préparée. Il vint me rejoindre dans la chambre et, devant le miroir, passa ses mains sur mon corps: La volupté était perceptible dans l’air de la pièce. Puis, il sortit un foulard de sa poche et entreprit de me bander les yeux en me rappelant doucement à l’oreille qu’il avait tout organisé et que je pouvais suivre aveuglément (c’était le cas de le dire !) le petit programme qu’il avait prévu. Il me demanda ensuite de m’étendre sur le tapis et de patienter un moment. Comme il avait pris soin de chauffer un peu plus la pièce que d’habitude, j’appréciai le confort moelleux du tapis tout en me demandant ce qui allait se produire maintenant.
Quelques minutes plus tard, la sonnette d’entrée résonna et j’entendis Jean se diriger vers la porte, l’ouvrir et échanger quelques mots à voix basse avec une autre personne, me sembla-t-il. Je ne compris rien car la cloison ne me laissait parvenir que des bruits sourds et atténués. Puis, la porte de la chambre s’ouvrit. Jean vint encore me dire à l’oreille qu’il me souhaitait un agréable moment avec le petit cadeau qu’il m’offrait. Immédiatement, je sentis un parfum différent, inhabituel dans notre domicile, me parvenir aux narines. Cela associait le vétiver et le tabac blond, avec une pointe de cuir, aussi. C’était troublant car je me trouvais ainsi en présence d’un individu que je ne connaissais peut-être pas, qui pouvait m’observer tout à loisir. Mes yeux étant recouverts, tous mes autres sens étaient en alerte, et je perçus clairement qu’il faisait le tour de mon corps à genoux sur le tapis. Son souffle effleura mes pieds, remontant le long de mes jambes, des mes seins, autour de ma tête et redescendant de l’autre côté. Puis ses doigts se posèrent sur mes chevilles, les massant délicatement pour ensuite remonter sur mes genoux puis mes cuisses. Elles s’arrêtèrent à la lisière de mes bas, taquinant les jarretelles, se glissant sous les élastiques, remontant sur la jupe. Plus haut, ses doigts firent le tour de mes seins sans toucher les pointes que je sentis se redresser. Puis, elles revinrent s’attarder sur mon sexe, au travers de la jupe, me palpant sans trop de ménagement. La situation était incroyable et puisque Jean m’avait dit de lui faire confiance, elle était aussi terriblement excitante. Je pouvais me laisser aller à la volupté de ces caresses et décidais de ne pas m’en priver. Je tendis donc la main en direction du corps qui caressait le mien pour vérifier au moins si j’avais à faire à un homme ou à une femme. La réponse fut assez claire lorsque j’atteignis la protubérance située dans le pantalon de mon partenaire. Je me mis moi aussi à palper le sexe que mes mains avaient trouvé. Celles de l’homme se faisaient plus fermes et se mirent à parcourir doucement mais toujours fermement l’ensemble de mon corps. Mes seins subirent courageusement l’assaut et quelques spasmes montèrent de mes reins lorsqu’elles s’attardèrent sur les mamelons en les roulant, les malaxant. Puis elles revinrent vers ma jupe dont elles soulevèrent le bas pour découvrir ma culotte et je pouvais imaginer la vue qui s’offrait à mon partenaire. Il glissa ensuite un doigt sous l’élastique de la cuisse pour venir caresser mon sexe qui était maintenant abondamment mouillé. Ensuite, c’est l’ensemble de ses doigts qui vinrent jouer avec les replis de mon sexe, cherchant puis trouvant mon clitoris et le stimulant par des pressions accentuées. Cette fermeté ne me déplaisait pas et contrastait heureusement avec les caresses toujours très tendres et très douces de mon mari. A ce moment précis, je me dis que cela avait aussi son charme et que je me devais d’en profiter pleinement. Je me laissais donc aller et très vites, des ondulations que je connaissais bien se mirent à me parcourir. Je voulais moi aussi jouer avec le sexe que je sentais tendu sous le tissu. J’entreprit donc de déboutonner le pantalon pour découvrir que l’homme ne portait pas de slip. Son sexe sortit aussitôt, érigé et dressé devant mon visage qui ne le voyait pas. Il entrepris de me lécher délicatement le sexe en s’allongeant à mon côté. J’hésitais un instant puis, sentant le plaisir qui m’envahissait, je m’enhardis à faire de même en commençant par ses couilles que je mordillais doucement, un peu étourdie par cette odeur nouvelle du parfum que j’avais découvert dès qu’il était entré dans la pièce et que je retrouvais sur ses parties intimes. Je remontais ensuite le long de sa tige pour aboutir à son gland que j’enserrais entre mes lèvres. Son goût différent faisait monter mon plaisir et mon excitation pendant que sa langue me fouillait consciencieusement. Je le pompais lentement pendant que ses doigts se mirent à fouiller aussi mon petit trou. Ensuite, il sortit de la poche de son blouson de Jeans qu’il n’avait pas quitté une petite pochette en plastique qu’il me fit toucher. J’y reconnus l’emballage d’un préservatif qu’il entreprit de déballer pour en coiffer son sexe qu’il m’ôta de la bouche. Un pas supplémentaire fut franchi en direction du plaisir lorsqu’il s’installa entre mes jambes, faisant glisser son sexe le long du mien à travers le tissu qu’il écarta ensuite pour se placer entre mes petites lèvres qu’il força sans peine. De le sentir en moi m’excitait au plus haut point, Plus mince et moins long que celui de jean, il me remplissait néanmoins parfaitement. Pendant une seconde, j’eus le temps de me demander ce que pouvait bien faire Jean alors que je jouais avec cet inconnu. Je l’oubliais bien vite lorsqu’il commença ses mouvements de va et viens dans mon intimité. Posément mais fermement, il me limait sans ménagement, pressant mon corps de toutes parts. Cette relative brutalité me plaisait décidément particulièrement. Ses mains me parcouraient en tous sens, se glissant sous le porte jarretelles, sous mon soutien gorge, dans mes bas, entre mes fesses pour atteindre mon anus que deux doigts pénétrèrent soudain. Je n’en pouvais plus de plaisir et un orgasme me secoua longuement. Avant d’avoir éjaculé, mon partenaire se retira de moi, me laissant un peu frustrée de ne pas m’avoir laissé l’amener jusqu’au plaisir complet, mais cela devait sans doute faire partie du ’contrat’ avec Jean. Aussi vite qu’il était entré, l’homme sortit de la pièce, ne laissant que les effluves de l’odeur inconnue qui m’avait tant troublée. Je restais, pantelante sur le tapis, écoutant les bruits du départ de celui que je ne verrai jamais. J’entendis encore quelques échanges de paroles puis la porte se refermer. Quelques secondes plus tard, Jean entrait dans la pièce et il entreprit aussitôt de poursuivre, sur le même mode, la jouissance que je venais de vivre. Il me retourna, soulevant mes fesses à la hauteur de son sexe, puis, sans ménagement, il introduisit son sexe entre mes fesses pour me sodomiser. Moi qui étais toujours un peu réticente à ce type de proposition, j’y trouvais cette fois un plaisir que je ne me connaissais pas. Il me tenait par les hanches, faisant rouler mon string ou mes jarretelles sous ses doigts pressants et un peu rudes. La jouissance revint très vite et monta en moi inexorablement. Il le sentit et rendit son assaut encore plus ferme, ne me ménageant pas Et les yeux toujours bandés, la tête pleine du fantasme incroyable qu’il venait de m’offrir, je fus à nouveau secouée par un orgasme inhabituellement long qui me laissa sans force sur le tapis pendant que Jean éjaculait de puissants jets de sperme sur mes reins. Nous nous réveillâmes quelques heures plus tard, toujours allongés sur le tapis et nous nous embrassâmes vigoureusement. Depuis ce jour, notre vie sexuelle a pris une nouvelle jeunesse et ni Jean, ni moi ne nous en plaignons!!
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