Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 94 J'aime
  • 1 Commentaire
  • Corrigée par l'équipe

Une extrême douceur

Chapitre 1

Erotique
Je m’appelle Anne, j’ai 28 ans, je suis brune, coupe au carré, 1M65 pour 60 kilos. Je n’ai pas une forte poitrine, mais je ne suis pas « plate » comme certaines femmes. Mon petit 90C est raisonnable et il me convient parfaitement.
Je suis sage femme et j’adore mon métier. Il me permet de raisonnablement gagner ma vie et d’avoir de belles histoires à raconter. Chaque naissance est un conte de fées et j’adore les belles histoires.
Côté cœur, je ne suis pas à plaindre. J’ai rencontré Sylvain au lycée et j’en suis tombée amoureuse. Nous nous sommes mis en couple il y a 5 ans et nous nous sommes mariés il y a 3 ans. Nous n’avons pas encore d’enfants, mais l’envie se précise et ce dernier rêve ne devrait plus tarder à ce concrétiser. Nous avons simplement pris le temps de vivre notre jeunesse et de profiter avant de fonder notre famille.
Avec mon chéri, nous avons une sexualité normale, épanouie et régulière. Il nous arrive d’agrémenter nos ébats par le récit de fantasmes mutuels ou de l’un de nous. Ça augmente l’imaginaire et le plaisir de l’instant. Pourtant, il y a un fantasme de Sylvain que je ne me réussis pas à aimer, à me projeter comme lui. C’est que je couche avec une autre femme.
Je n’ai jamais été attirée par les femmes et par cette sexualité. Pas plus que de coucher avec un autre homme. Je ne suis pas volage ou libertine. Je suis la femme d’un homme, de mon homme.Sexuellement, il n’a pas à se plaindre avec moi. J’adore la fellation, j’aime avaler et j’ai appris à découvrir et à apprécier la sodomie avec mon chéri. De son aveu, je suis la première femme qu’il voit aimer avaler ou qui accepte la sodomie. Preuve que j’ai réussi à le combler.
Dans nos plaisirs, nous avons des sorties en boîte de nuit. J’adore danser et me déhancher sur la piste de danse, mais ce n’est pas le cas de mon chéri qui bien qu’il se force, ne prend pas le même plaisir que moi.
Ce samedi, nous sortons en boîte. C’est mon anniversaire et je compte bien m’amuser follement. Sylvain s’est mis en valeur et je me devais de faire de même. J’opte pour une magnifique robe rouge en dentelle avec dos nu et s’arrêtant à mi-cuisses. Avec cette robe, je peux m’abstenir de mettre un soutien-gorge et pour pimenter l’après, j’ai choisi un mini-string qui ne cache pas grand-chose. Comme il nous arrive régulièrement de le faire, une fois rentrés, nous faisons l’amour avant de nous endormir.
Arrivés dans cette boîte, je tiens mon chéri par la main en direction de la salle de danse latino. J’adore ce style de musique où je peux me frotter à lui et le chauffer à mort. Sylvain me suit et nous commençons à danser chaudement. Mon chéri danse sur 2 ou 3 chansons avec moi avant de me laisser seule. Il n’est pas rare de le voir quitter la piste de danse tout en me regardant m’amuser.
Seulement voilà, ce soir, Sylvain n’est plus en vue et je me retrouve entre 2 lourdauds qui insistent beaucoup trop. J’ai beau les recaler, ils ne lâchent pas prise et sans mon chéri pour m’aider et venir me sauver, ils insistent beaucoup. Je tente à plusieurs reprises de changer de secteur sur la piste, mais ils me suivent. Je ne sais plus quoi faire quand tout à coup, je sens une personne qui se colle dans mon dos.
Je peux rapidement identifier une femme, car sa poitrine est généreuse, et elle ne perd pas une seconde pour me glisser à l’oreille « Je viens t’aider, joue le jeu ».Ses mains vont se poser sur ma poitrine et elle se serre contre mes fesses. Son déhanché se calque sur le mien puis elle m’embrasse le cou, l’oreille. Un frisson va me parcourir le corps. Surprise, mais aussi décontenancée par une telle situation. Je me surprends à m’abandonner à ses baisers qui parcourent mon cou, mes oreilles, ma nuque, à ses caresses, à ses mains baladeuses sur mon corps. La tête en arrière, je tourne mon visage pour essayer d’apercevoir le sien.
C’est à cet instant qu’elle va poser ses lèvres sur les miennes. J’ai les yeux grands ouverts comme incrédules face à une situation imprévue, inimaginable pour moi. Je me tourne face à elle. Ses 2 mains sur mes joues, elle va poursuivre son baiser, sa langue forçant l’ouverture vers la mienne. Sans réaction de rejet de ma part, sa langue va finir par découvrir la mienne. Le premier contact est électrisant, hypnotisant, sensuel, doux. Je ne maîtrise plus rien. Je suis un pantin entre ses mains et complètement à sa merci.
Je découvre une femme quelque peu plus grande que moi, châtain aux cheveux mi longs, relativement mince et avec une poitrine imposante. Je n’ai jamais imaginé toucher une femme un jour ou être touchée par une femme. Anissa est vraiment belle. Est-ce le fait qu’elle me sauve de ces 2 indésirables ? Je ne sais pas ! Mais je me laisse faire et je ne suis pas au bout de mes surprises.

Pour commencer, les 2 lourds n’ont pas perdu espoir et l’alcool aidant, ils sont vite revenus à la charge. Mais Anissa, forte de quelques techniques de self-défense, a réussi à repousser le plus insistant des 2 avant qu’ils ne soient pris en charge par les videurs de l’établissement.
Ensuite, ma jolie courtisane a poursuivi de me draguer et j’ai fini par succomber à l’ambiance, à son audace, à ses charmes. Ses mains posées sur mes fesses sont passées sous ma robe, suivant un mouvement de danse sensuel presque indécent, alors que nos langues exécutaient une valse des plus érotiques. Je n’avais plus la moindre limite sur mon orientation sexuelle. Il y avait un plus que je ne saurais décrire chez cette fille et j’en oubliais presque sylvain.
Anissa m’a entraînée vers les banquettes où nous avons repris notre jeu de caresses et nos baisers. Nous avons aussi pris le temps de faire un brin connaissance. Anissa est plus jeune que moi, elle n’a que 22 ans. Elle fait 1M75 pour 60 kilos et elle arbore un magnifique 95D plein de charme. Sa chute de reins est vertigineuse et je dois avouer qu’elle est vraiment belle. C’est la première fois que je regarde une femme en détail.
De temps en temps, je scrute la salle à la recherche de Sylvain, mais étrangement, il n’est pas en vue. Je commence à m’inquiéter et je tente même de lui envoyer un SMS, mais sans succès. Impossible de capter le moindre réseau dans cet établissement. Quand enfin je peux avoir un brin de réseau, j’échange avec mon mari pour lui expliquer la situation.
« Bébé, tu es ou ? « Je suis au bar de la salle latino. Et toi, tu es où ? Je ne te vois plus ».« Je crois que je suis en train de réaliser un de tes fantasmes, je me suis fait draguer par une fille et nous nous sommes embrassées. Tu ne vas pas me croire, mais j’ai beaucoup aimé et elle me propose d’aller passer la nuit chez elle ».
— Merveilleux ma puce, si tu le souhaites, fonce. Moi je rentre et j’attendrais ton retour demain. — Merci bébé, tu es un amour.— Amuse-toi bien. Je t’aime.— Merci. Je t’aime aussi.
De retour auprès de ma belle, je lui fais part de mon accord pour la suivre. Main dans la main, nous quittons la salle en passant près du bar, sous le regard de mon mari. Puis nous sortons de la discothèque en direction de sa voiture. Sur la route, nos mains ne vont pas se quitter. L’avantage d’avoir une voiture en boîte auto.
Arrivées à son appartement, elle va rapidement reprendre le dessus sur moi. Je ne suis pas une victime, j’accepte totalement de me laisser guider, car visiblement, elle semble savoir où nous mener. Rapidement dans sa chambre, nous nous effeuillons puis nous nous enlaçons sur le lit avant qu’elle ne laisse ses mains parcourir mon corps, mon ventre, mes seins.
Je suis en ébullition totale face à une telle maîtrise. Je ne veux pas lutter, mais je ne réussis pas à la caresser à mon tour. Pourtant, je lui reconnais un corps de toute beauté. Outre sa poitrine que j’avais déjà facilement imaginée, j’ai pu voir un petit mont sans la moindre toison et des lèvres discrètes et fines. De sa langue, elle a longuement insisté sur mes seins pendant que de ses mains, elle caressait mes cuisses, mon ventre, remontant vers mon cou, mon visage.
Je sentais une forte chaleur m’envahir et je coulais doucement de désir. Quand elle a poursuivi de descendre vers mon intimité, le premier contact de sa langue m’a fait crier d’un premier plaisir sans que je sois à l’orgasme. Habile de ses doigts, elle savait où et comment faire augmenter mon plaisir. Je n’ai pas mis longtemps avant d’avoir un premier orgasme, suivi d’un deuxième encore plus fort lorsqu’elle m’a pénétrée de ses doigts.
Je dois lui reconnaitre un grand talent pour avoir réussi à me draguer puis à m’offrir cette succession d’orgasmes tous plus forts les uns des autres. J’en étais à récupérer quand elle m’a fait une nouvelle proposition.
— ca te dirait que je te fasse goûter ma belle queue bien raide ?
Je savais bien qu’elle ne parlait pas de son anatomie cachée puisqu’elle est une femme tout comme moi. Donc, partant du principe qu’elle allait me pénétrer au gode-ceinture, j’ai accepté sa proposition. Elle s’est levée puis dans un tiroir, elle a sorti l’objet que j’imaginais. Elle s’est équipée puis elle est revenue sur moi. En plus du gode-ceinture, elle a sorti un foulard qu’elle m’a posé sur les yeux. Je ne tenais plus, je coulais de plus en plus. Je la voulais en moi.Quand enfin, elle est montée sur le lit, elle s’est présentée entre mes cuisses que j’avais largement écartées. Mais dès le début de la pénétration, surprise, j’ai vite remarqué qu’il s’agissait d’un homme et que ce n’était pas Sylvain. Ma belle Anissa est venue m’embrasser puis elle m’a glissé à l’oreille.
— Tu l’aimes ma belle queue bien raide ? Eh oui ma belle, il n’y a pas que toi qui es en couple. — Ah... ah oui..... ah heu... tu... tu as... tu as remarqué ?— Bien sûr, bien que tu te sois empressée d’enlever ton alliance, je l’avais remarqué avant. Profites ma chérie, tu vas voir comme il est bon.
J’étais tellement excitée que je n’ai pas cherché à le repousser ou à me soustraire à cette pénétration. De plus, il savait bien se servir de son « engin » et je n’étais pas déçue de cette surprise de taille. Il est plus épais que mon mari et plus long aussi. Je me sentais chienne de tromper mon mari de la sorte, mais je n’en pouvais plus de tant d’érotisme. Anissa avait réussi à me rendre si excitée que je ne pouvais rien refuser. Munie de son gode-ceinture, elle va me titiller l’anus avant de me pénétrer à son tour, m’offrant une inédite double pénétration.
J’ai fini par m’abandonner totalement dans les bras de ce couple qui avait réussi à me faire tomber 2 barrières d’un seul coup. Je me suis offerte pleinement et sans compter pour notre plus grand plaisir. Je me suis mise entre les jambes de la belle Anissa à qui j’ai offert mon tout premier cunni. Maladroite, et inexpérimentée, j’ai réussi à lui offrir un plaisir réel et sincère. Ses mains posées sur ma tête et son bassin ondulant au rythme de ma langue m’ont poussée à lui en offrir plus. J’ai joint mes doigts à ma langue pour amplifier son plaisir et je me suis surprise à rapidement trouver la gestuelle nécessaire pour lui offrir un superbe orgasme.
Enfin, son copain a entrepris d’investir mon cul. Loin d’être réticente, je me suis laissée sodomisée par ce membre d’un calibre plus fort que mon mari, mais plus fort aussi que le gode-ceinture d’Anissa. Si les débuts ont été... délicats, j’ai fini par m’habituer à recevoir un tel pieu en moi. Mon Dieu quel plaisir d’être à ce point comblée ! Malgré son excitation, je dois reconnaitre qu’il a su faire preuve du plus grand respect, car il ne m’a pas fait mal et il a réussi à alterner entre pénétration profonde et gros rythme sans aller trop loin. Quand il est arrivé au bout de son plaisir, je me suis vite retirée de son pieu, j’ai pris son sexe que j’ai rapidement libéré de sa capote pour le finir dans ma bouche tout en le fixant d’un regard vicieux et complice. Repue, j’ai fini par m’endormir entre mes 2 amants, le cœur léger et en pensant à mon Sylvain d’amour.
Diffuse en direct !
Regarder son live