Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 149 J'aime
  • 4 Commentaires

Une famille aimante

Chapitre 1

Divers
Bonjour, je suis Michel, je suis marié avec Monique qui a le même age que moi. Je suis l’heureux papa de trois enfants magnifiques : Julien, Aude, sa cadette de deux ans et Léo, un an plus jeune que sa sœur.Si je suis brun aux yeux marrons, mes enfants sont très différents, Julien est un blond très clair aux yeux bleus, Aude est une belle rousse aux yeux verts et Léo, lui est du plus beau chocolat aux cheveux crépus. Les mystères de la génétique, n’est ce pas ? Voilà, voilà, voilà......
Vous avez compris, je n’y suis pour rien. Il faut dire que nous nous sommes toujours accordé une certaine liberté extra conjugale. Surtout mon épouse Monique. Mais de plus j’ai découvert la pauvreté en spermatozoïdes dans mon sperme, ce qui affecte ma capacité à procréer. J’avais incité Monique à prendre la pilule, mais sa désinvolture à ce sujet nous a joué des tours.
Pour Julien, ça c’était passé pendant les vacances, nous étions au camping en bungalow et nous avions pour voisins un couple de suédois. Nous avons sympathisé en utilisant l’anglais, enfin, le peu que nous en savions, mais ça suffisait.Un soir nous les avons invité à goûter notre pastis et ils sont venus avec une bouteille d’aquavit.Nous avons comparé nos boissons et au bout d’un moment nous commençons à avoir chaud tous les quatre, Inga est collée contre moi tandis que Monique est maintenant sur les genoux de Sven.Sa main remonte entre ses cuisses et vient caresser sa chatte, de mon côté j’ai mes mains sous le maillot d’Inga et je m’occupe de ses nichons qu’elle a fort gros. Monique commence à gémir sous la caresse de Sven. Avec Inga, nos lèvres se rejoignent et nos langues se rencontrent, je m’occupe des seins d’une main tandis que l’autre explore son entrecuisse. Elle ouvre ses jambes et me tend son pubis, elle vient me caresser la queue à travers mon short. Monique de son côté lui a déjà sorti la bite et elle le branle lentement. D’un coup d’œil, Sven vérifie que je suis d’accord et me fait signe que lui aussi.Assez vite nous nous nous retrouvons à poil et nous nous installons côte à côte sur le lit, elles écartent les cuisses, impatientes de recevoir nos chibres, nous n’allons pas les décevoir et nous les pénétrons aussitôt.— Ahhh, oui, c’est bon ! Crie Monique— Yeah, fuck ! go on ! Crie Inga.Si Monique gémit sous l’assaut de Sven, Inga pousse des cris qui doivent s’entendre à l’autre bout du camping. Monique la prend par le cou et elles s’embrassent, ce qui calme un peu le niveau sonore.Nous accélérons nos va et vient, faisant craquer le lit.— Cum in my pussy ! Fait Inga.Je n’en peux plus, je lui injecte mon foutre au fond de son vagin, je vois que Sven a fait pareil avec Monique, à voir le sperme qui déborde.Nous faisons une pause quelques minutes puis nous mettons les femmes face à face qui s’empressent de s’embrasser et de se caresser. Nous nous allongeons derrière elles et nous les prenons en cuiller, nos sexes n’ont pas de mal à les pénétrer avec le jus qui remplit leurs vagins.Nous les pistonnons vigoureusement, excités par les bruits de clapotis de nos queues nageant dans les jus, puis de nouveau nous nous vidons contre leur utérus en plusieurs giclées bien grasses.Nous ne bougeons plus, toujours emmanchés dans les vagins mais nous finissons par nous endormir après ces assauts.Quand je me réveille, Inga et Sven ne sont plus là et je me rendrai compte après qu’ils ont quitté le camp. Finalement courant avril va naitre Julien, blondinet aux yeux bleus. J’aurais aimer imaginer qu’un bébé brun aux yeux noirs soit aussi né à Stockholm au même moment...
Pour Aude, j’ai appris que Monique avait eu un stagiaire écossais nommé Cameron et rouquin comme beaucoup d’écossais durant quinze jours dans sa société. Comme par hasard, son hôtel était sur le chemin de mon épouse et donc elle le prenait le matin et elle le déposait le soir. Évidemment un soir elle est rentrée en retard.— C’est à cette heure ci que tu rentres !— Excuse moi mon chéri, j’aurais dû te prévenir.
— Qu’est ce qui t’est arrivé ?— Ben, c’est Cameron, il m’a invitée à boire un verre à son hôtel.— Et puis ?— Ben, je lui ai cédé.— ça devait arriver, tu sais bien que je ne t’en veux pas, chérie. Alors, tu as pris ton pied ?— Aussitôt arrivés dans la chambre, il m’a prise dans ses bras et il m’a embrassée, il me serrait contre lui et je sentais son sexe déjà dur contre mon ventre. J’ai descendu ma main et je lui ai sorti de son pantalon, il était pressé, il m’a retroussé ma jupe et il m’a descendu ma culotte, il m’a basculée sur le lit et il m’a pénétrée aussitôt. Il me pistonnait vigoureusement et il a joui très vite, inondant mon vagin de son sperme épais. Je n’ai même pas eu le temps de jouir moi même.Heureusement, il m’a reprise presque aussitôt et là, j’ai joui au moins trois fois tandis qu’il allait et venait tout en douceur mais bien profond. Là encore il m’a envoyé des bonnes giclées de foutre qui m’ont encore fait jouir. Regarde, j’ai ma culotte qui déborde. Je vais me laver.— Tu me fais trop bander avec tes histoires, viens sur le lit, j’ai trop envie.Je l’allonge et je lui enlève sa culotte pleine de foutre, elle sent fort le stupre, je l’enfile à fond, le sperme déborde de sa chatte et dégouline sur mes couilles, je la besogne à grands coups de reins, elle couine comme une truie, nos ventres claquent l’un sur l’autre et le lit craque.Je ne peux plus me retenir, j’éjacule plusieurs giclées contre son utérus et je reste un moment bien au fond de son fourreau.N’empêche que neuf mois après Aude est arrivée, belle rouquine aux yeux verts que j’adore.
Enfin, Léo. A cette époque nous décidons de faire certains travaux dans la maison, notamment la réfection de la salle de bains. Nous devons faire appel à des carreleurs et des plombiers.Arrive le plombier, c’est un malabar venant d’Afrique ou des Antilles, tout en muscles, la peau chocolat. Il dégage une aura de mâle dominant.En fait nous apprenons que Louis vient de Martinique et travaille ici depuis cinq ans.Je sens que Monique est impressionnée, elle ne rate pas une occasion de lui tourner autour, ce qui l’amuse visiblement. Nous lui offrons un café vers dix heures et il s’assied entre nous deux sur le canapé.Nous bavardons un peu et nous apprenons qu’il est marié et a deux enfants comme nous. Après avoir un peu vanté nos enfants respectifs nous sommes revenus à des mots bien banaux mais Monique a une idée derrière la tête. Elle regarde Louis et insiste sur son bas ventre qui laisse deviner une masse importante.— Vous êtes drôlement costaud.— Merci, c’est sans doute le sport.— Par contre j’aurais bien une question mais je n’ose pas trop, c’est indiscret.Louis se met à rire.— Je la vois venir votre question, allez y, osez !— Euh, on dit que les gens comme vous sont plutôt gâtés par la nature, c’est vrai ?— Bon, faut pas exagérer, pas tous.— Oui, mais pour vous ?— Si vous voulez voir, pas de souci, vous êtes d’accord ?Nous nous regardons, Monique et moi, je vois l’envie dans ses yeux.— Oui, OK.Il ouvre sa ceinture et il descend son pantalon et son slip en même temps.C’est le choc, la bête est impressionnante même demi molle ! Je n’ose pas comparer avec la mienne que je croyais de bonne taille.— Oh la la ! Je peux toucher ? Demande Monique en avançant la main sans attendre la réponse.— A vos risques et périls.Monique saisit la bite de ses doigts fureteurs, aussitôt qu’elle la tripote elle se dresse et s’allonge. Elle paraît d’autant plus grande qu’il est complètement épilé. Nous avons un magnifique bâton d’ébène strié de veines bleutées, c’est une véritable œuvre d’art !En s’étirant, le prépuce commence à découvrir le gland, que Monique se dépêche de le dégager en le décalottant.C’est comme un bolet tête de nègre, (pour ceux qui sont férus de mycologie), Monique le mouille d’un peu de salive pour le caresser. Je ne peux m’empêcher de poser mes doigts sur la tige chaude et sur ses bourses que je masse doucement, puis nous commençons de le branler, Monique et moi.— Dis Michel, tu crois que je pourrais me le mettre ?, il est vraiment gros. Tu veux bien que j’essaie ?— Essaie si tu en as envie.Monique se lève pour enlever sa culotte tandis que je continue de branler l’énorme braquemart, puis et vient chevaucher l’homme.— Ouvre toi bien.Elle s’écarte les lèvres à deux mains, je guide l’énorme sexe à l’entré de sa chatte, elle s’empale lentement sur le sexe qui lui étire la chatte.— OOOOH !, qu’est ce c’est gros ! Ouch ! Ça a du mal à rentrer !Mais elle continue à s’emmancher sur le braquemart presque jusqu’au bout.— Ahhhh ! Je suis remplie ! Quelle bite !Elle commence à le chevaucher au pas, puis elle accélère.— Ohhh ! C’est bon une grosse queue comme ça !Elle fait coulisser le gros sexe dans sa chatte à grands coups de reins.Soudain, Louis la saisit par les reins et se lève sans se désaccoupler, il l’allonge à demi sur le canapé et c’est à son tour de la besogner vigoureusement.Monique pousse des cris inintelligibles mais elle jouit plusieurs fois tandis qu’il la baise.Puis Louis commence à grogner avant de bloquer sa queue au fond du vagin et il éjacule bruyamment sa semence épaisse. Ça déborde autour de la queue et ça ruisselle entre les fesses de mon épouse quand il se retire. Je la soupçonne d’avoir recommencé en mon absence durant les quelques jours du chantier.C’est ainsi que Léo est né, copie conforme de son papa.
Après sa naissance, je me suis dit que trois enfants, ça commençait à bien faire, alors j’ai veillé à ce que Monique prenne sa pilule avec assiduité, sinon, le prochain ce sera quoi, un chinois ?
Maintenant les enfants sont grands, Léo vient d’avoir dix huit ans, nous entamons un nouveau chapitre de nos vies.
Diffuse en direct !
Regarder son live