Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 247 J'aime
  • 2 Commentaires

Une famille aux moeurs libérées

Chapitre 1

Aux origines de notre couple

Hétéro
Cette histoire est entièrement fictive. Les personnages sont créés de toute pièce. Leur perversité, poussée à l’extrême, n’est inspirée d’aucun fait réel, sinon de fantasmes malsains.Ce chapitre est le premier d’une série encore en cours de rédaction que je me ferai un plaisir de compléter si, toutefois,vous estimez qu’elle vaut la peine d’être lue.Pour l’améliorer (et m’améliorer), n’hésitez à faire des commentaires.
***

Les personnages principaux : 
Victor= le pèreCitlali= la mèreMaëlys= la filleSantiago= le filsBénédicte et Serge = un couple d’amis de Victor et CitlaliLes autres n’apparaîtront plus par la suite.

***

Chapitre 1 : Aux origines de notre couple (Victor)Vingt-cinq ans. Vingt-cinq ans que je partageais ma vie avec ma merveilleuse femme. En réalité, le chiffre n’était pas tout à fait juste. Car, si ce jour-là nous fêtions l’anniversaire de nos 25 ans de mariage civil, il fallait y ajouter les deux années au cours desquelles nous partagions déjà nos vies. Deux années qui comptaient beaucoup avant de passer devant Monsieur ou Madame le Maire, comme vous le dites en France. Ici, en Belgique, nous parlons de Bourgmestre.
J’ai connu ma femme alors que j’effectuais un stage pour mes études d’ingénieur. Tout démarra avec un coup de chance monstrueux. Plutôt fêtard que réellement consciencieux dans mes cours, quand il m’a fallu trouver un stage en entreprise j’étais évidemment en retard. Mon oncle était à l’époque représentant commercial pour une firme belgo-brésilienne. Il voyageait à l’occasion dans les différentes filiales de son entreprise. Sur le conseil avisé de mon père, je lui en ai glissé un mot pendant d’un repas de famille. Deux semaines plus tard, il me dit :
— Bosse sérieusement ton espagnol (j’avais des cours de langue dont l’anglais et l’espagnol), j’ai recroisé par hasard Miguel Angel López de Zárate la semaine dernière au cours d’une voyage professionnel, c’est un ami de longue date. Tu penses ! On a écumé les bars de Leuven quand on était étudiant. Si ça te botte je lui envoie ton CV, il est très haut placé et dirige plusieurs grosses entreprises à Mexico et dans la région. 

Six semaines plus tard, je débarquais dans une usine de production brassicole dans l’ouest du Mexique, près de Oaxaca, pour un stage de huit mois. Je vous passe les détails.
Pendant ce séjour, mes habitudes noctambules ne changèrent pas beaucoup. C’est durant une sortie avec des jeunes ingénieurs et autres catapultés qui bossaient dans la même usine que moi que je connus Citlali. Cette sortie fut mémorable à plus d’un point. Nous étions dans un bar à nous imbiber de bières. À peine une gargote : une pièce sobre, un frigo à la porte vitrée contenant de la bière, un sac de jute de cacahuètes salées dans un coin, une dizaine de chaises en plastique, une ou deux tables de la même matière. C’était tout. Elle, elle s’occupait du service avec le patron tout en faisant des aller-et-retour pour s’occuper des marmots du proprio ou que sais-je. Nous, les jeunes coqs nous buvions et faisions un potin terrible. Imperturbable, fière, nous l’avions tous repéré. Cependant, mes amis étaient tous des aristos, au pire des fils de caciques locaux, des petits « fils de » qui se la racontaient. Au mieux, ils auraient tiré leur coup comme ils l’auraient fait de leur bonne, s’imaginant que tout leur était dû car ils étaient nés une cuillère en argent entre les dents.
Pour moi, ce fut le coup de foudre. Le vrai. Seuls quelques œillades échangées nous relièrent cette nuit-là. Mes compagnons de beuverie n’osèrent rien ; le patron, s’il n’était pas riche, avait par contre la répartie pour calmer toute velléité.
Les jours qui suivirent, j’y retournai plusieurs fois. Prenant mon courage à deux mains, je l’ai invitée à se promener. D’abord timide, peut-être impressionnée par l’étranger que j’étais, elle s’est peu à peu laissée séduire.
En la découvrant, j’appris qu’elle n’était pas de Oaxaca, mais d’une zone plus au nord. D’origine tarasque, surtout d’ascendance Amérindienne et très peu Européenne comme le sont une grande partie des Mexicains, elle travaillait dans la gargote d’un oncle pour payer une part de son inscription à l’université. Elle était étudiante en kinésiologie. Le courant passa immédiatement entre nous, malgré toutes les barrières qui nous séparaient. Il fallut un moment, mais nous finîmes par nous donner l’un à l’autre. Citlali n’était plus vierge, ni innocente. Moi non plus. Rapidement, nous découvrîmes les limites de l’autre. Nous fîmes ensemble de nombreuses premières découvertes, notamment et surtout sexuelles.
Je vous vois venir : « C’est bien, t’es tombé sur une sorte d’escort girl avant l’heure qui a séduit un bel européen friqué et a de la sorte permis à sa famille de vivre décemment. Tu t’es bien fait berné, le Belge ! » Détrompez-vous ! Ou si vous voulez croire cette version, à votre guise. Voilà la mienne : Citlali est issue d’une famille tarasque noble. Sa grand-mère, Xochitl, était ce qu’on peut appeler une shaman et sage-femme dans sa communauté. Ma femme a suivi son enseignement parallèlement à une formation de kiné plus conventionnelle dans une université hors de prix au Mexique. Elle travaillait uniquement pour payer une partie de son inscription, mais ses parents avaient suffisamment les moyens pour les lui payer et ses résultats scolaires lui assuraient une bourse au mérite. Elle vivait relativement confortablement par rapport à tous les étudiants que j’ai connu à l’époque à Oaxaca. Elle ne se privait de rien et mettait plutôt un point d’honneur à contribuer, au-delà de ses résultats académiques, au financement de ses études.
A côté de ça, elle était très ouverte d’esprit, explorant les nombreuses directions où sa curiosité l’emmenait. Pour ce qui intéresse votre lecture, Citlali n’était plus vierge comme je vous l’ai déjà dit. Pénétration classique, puis fellation, cunnilingus, anulingus, sodomie, boire mon sperme, elle a tout voulu tester malgré mon anatomie hors norme si on la compare avec celle de ses compatriotes. C’est aussi elle, par exemple, qui m’a conduit vers le plaisir anal et ses multiples facettes. J’en fit l’objet autant qu’elle-même. C’est elle également qui, déjà à l’époque, alliait les connaissances médicinales de sa communauté, aux pratiques sexuelles du moment. Pour l’anecdote, j’ai avalé certaine de ses mixtures ou elle a apposé des onguents à base de plantes locales un peu partout sur mon corps, parfois sur mes organes génitaux. Ces expériences devaient, au choix, m’allonger la verge (pourtant longue de vingt centimètres), accroître ma production de sperme, me rendre définitivement amoureux, lui donner des orgasmes à répétition, ou encore éloigner les femmes malintentionnées de ma personne.
Au bout de huit mois, mon stage s’était achevé. Le cœur déchiré, nous nous sommes séparés géographiquement. Dans les années 1990, Internet et les smartphones n’existaient pas encore. Nous communiquions par courrier postal. Il me restait un an à l’unif et un mémoire à rédiger, puis à défendre. Diplôme en poche, je l’ai rejoins. Notre amour à survécu et s’est même accru tout en évoluant. Lors de nos retrouvailles, le feu d’artifice fut explosif. L’amour avait survécu. Passées les retrouvailles, nous nous sommes avoués nos incartades à distance. Avec le recul, nos libidos de jeunes homme et femme avaient de quoi faire pâlir les chauds lapins les plus zélés. Notre jeune couple a aussi survécu à ce grand déballage. Mais plutôt que de renoncer, voire de mettre en sourdine, ces aventures sexuelles, Citlali voulait les multiplier tout en me compromettant.
Dans un premier temps, j’étais effondré. Puis, le rationnel a pris le dessus sur l’émotionnel, avant que mon moi lubrique ne surpasse tout. J’acceptai sa proposition en imposant une réciproque. 
Pendant deux ans, j’ai alors travaillé au Mexique le temps que Citlali finisse ses études, et peaufine ses connaissances shamaniques auprès de sa grand-mère Xochitl. En effet, la vénérable sage sentant la fin proche a instruit une dernière héritière de ses connaissances médicinales et de ses pratiques ancestrales. Xochitl trépassa peu après.
Nous nous mariâmes civilement en Belgique, puis religieusement dans la petite ville où est née ma femme. La cérémonie, apothéose syncrétique de deux cultures et deux religions aux croyances colorées, fut une collection de moments magiques, tant pour nous deux que pour nos familles respectives. Ma famille proche avait fait le voyage, tout en profitant de l’occasion pour découvrir le Mexique touristique.
En Belgique, Citlali reprit des études pour obtenir une équivalence de diplôme et travailler dans son pays d’accueil. Parallèlement, comme vous le comprendrez bien assez vite, elle continua à partager ses conquêtes masculines et féminines avec moi, son mari. Nous eûmes bientôt eu deux magnifiques enfants. Une belle pouliche, Maëlys, qui avait 24 ans, au moment où je vous racontais ce chapitre, et un bel étalon de 21 ans, Santiago. Le temps passait, ils désertaient le berceau familial, tandis que nous vieillissions. Longtemps nos habitudes restèrent les mêmes : nous passions nos vacances indifféremment en Europe ou au Mexique, le plus souvent dans des lieux naturistes. Pourtant, nous conservions une certaine pudibonderie avec eux en ce qui concerne nos multiples pratiques sexuelles, comme nos multiples partenaires. Cette attitude était contradictoire avec nos personnalités expansives et nos comportements naturellement épicuriens. C’était un choix. Il n’y a pas eu de conséquence sur leur épanouissement de personne adulte ou du point de vue sexuel.
Mais ce jour-là, cela faisait vingt-cinq ans que nous avions dit… 
— Oui ! Oui ! Baise-moi… Oui, plus profond, oui !!!
Le corps de Citlali ne tarda plus à trembler, elle jouissait sous mes aller et retours vaillants dans son fondement.
Je n’avais pas encore jouis, ma queue était encore profondément fichée entre ses fesses musclées. Bien dure. Mais nous nous effondrâmes tous les deux sur l’oreiller. Essoufflés, heureux. Après un moment, Citlali relança la conversation :
— Bon, si nous sommes d’accord pour organiser un week-end nature, on va où ?
Dans la bouche de Citlali, un week-end nature, c’était un week-end naturiste et focalisé sur notre plaisir et nos envies sexuelles.
— Que dirais-tu d’aller dans le coin de Bénédicte et Serge, comme il y a trois ans ? La météo n’était pas génial cette fois-là, mais avec un peu de chance elle sera plus clémente. On pourra proposer à nos amis du groupe cyclotouriste une escapade dans les environs, ça reste faisable pour tracer un circuit potable. Et Serge nous rejoindra certainement.— Je suis à moitié convaincue. Fin juin, la météo est parfois capricieuse. Mais tu as raison sur un point. Bénédicte et Serge sont très accueillants et puis ça fait un moment qu’on ne les a plus vu dans un lit. Puis, ce premier séjour m’avait laissé un goût de trop peu.
Tandis qu’elle prononçait ces derniers mots, Citlali s’empara de ma queue toujours rigide sur mon ventre. De ses doigts fins, elle massait mon gland et raffermit, s’il le fallait, ma verge. À ses mimiques, je savais qu’elle gardait un sujet en suspens. Un autre sujet qu’elle désirait aborder. La conversation n’était pas close. J’attendis donc le moment où elle m’annoncerait une nouvelle incartade, une nouvelle paire de cornes ajoutées aux déjà nombreuses qui déjà ornaient mon crâne. Ma belle était une boulimique insatiable de sexe. Elle assouvissait ses besoins comme elle voulait. Nous étions (très) libres à ce propos, et aucunement cachottiers, que du contraire. Pourtant cette fois, elle donna une tournure plus mystérieuse à ses aveux.
— Tu te souviens… de notre dernière discussion sur nos fantasmes ?, finit-elle par s’élancer toujours en malaxant mon prépuce.— Tu veux parler de ce que tu m’as raconté à propos de ton père et des « services » que j’ai rendu de temps à autre à ta mère ?— Oui.— Oui, je m’en rappelle bien. On a baisé comme des fous ce soir-là.— Oh, oui !, minauda-t-elle alors qu’elle se déplaçait pour emboucher mon gland et amorçait un lent va-et-vient sur mon double décimètre.— Tu fantasmes sur ton fils ?— Et toi, Victor, tu fantasmes sur ta fille ?
J’oubliais de nous présenter. Moi, c’est Victor. Je venais de fêter mes cinquante ans. Mentalement, je m’en sentais dix de moins. Physiquement, je vous laisserai juger. J’avais la chance d’être doté d’une bite d’une belle longueur. Mes vingt centimètres rendaient heureux mes partenaires, mais étaient à pondérer avec la finesse de ma tige. Ma femme me flattait en vantant les charmes d’une queue toute fine. D’ailleurs, la plupart des femmes qui y ont goûté ont pu apprécié ce détail. Pour le reste, je ne passais pas inaperçu avec mon mètre 90, ma barbe, mon torse et mon pubis velus. Oui, ma femme adorait mes poils, la plupart de ses compatriotes en étant dépourvus. Donc velu, mais entretenus, taillés régulièrement. Athlétique et sportif, je pratiquais le triathlon, donc trois sport en un, et le yoga. Je m’entretenais autant que mon emploi du temps me le permettait. Bisexuel par épicurisme, mais en réalité hétéro parce que je n’étais encore jamais tombé amoureux d’un mec. J’étais devenu adepte des relations homosexuelles parce que j’y trouvais un intense plaisir sexuel. Traitez moi d’iconoclaste inculte, je n’ai pas honte de dire que je me suis déjà fait enculer, parce que c’était bon (et ça l’est encore et chaque fois que je prends), mais que je ne me sentais pas sentimentalement attiré par un mec.
Citlali était quant à elle une petite bombe anatomique. Bien plus petite que moi (155 cm et 49 kg), elle avait la peau cuivrée là où j’étais d’un châtain pâlichon. Son corps finement musclé reflétait le soin qu’elle en prenait et les heures passées dans des activités sportives. Sa poitrine modeste aux tétons bruns foncés, mais toujours ferme malgré ses 48 ans et deux accouchements, et ses fesses musclées par le sport, en faisaient une femme sublime. Elle avait toujours été énergique. Chaque semaine nous enfilions entre 100 et 150 kilomètres en vélo en saison. Elle ajoutait deux à trois heures hebdomadaires d’escalade en salle, une séance de zumba chaque jeudi et, comme si cela ne suffisait pas, une séance quotidienne de yoga. 
Ces caractéristiques couplées à son teint halé et ses cheveux couleur jais en faisaient une femme extrêmement attirante. Bien plus encore que moi, Citlali était portée sur le sexe. Son métier de kiné l’avait amenée à développer des aptitudes au toucher et à la détection des sensations de ses partenaires au-delà du commun. Elle ne comptait plus (et moi non plus) le nombre d’hommes et de femmes qu’elle avait amené à l’orgasme. Elle adorait initier les jeunes ou inciter ses connaissances à la débauche totale. J’oserais allègrement aller un pas plus loin en affirmant que parmi nos connaissances, rares étaient ceux et celles qui ne pouvaient se vanter de n’avoir pas eu de relation sexuelle avec Citlali.
— Je crois, oui, répondis-je.
Nos deux enfants avaient, jusqu’à maintenant été épargnés, plus par respect pour moi, que par absence d’envie de sa part. Néanmoins, cette idée était en passe de voler en éclat et de sortir de la liste de nos tabous. Je bandais très dur. Citlali me suçais passionnément. Ses fines lèvres enserraient mon gland. D’une main, elle s’affairait pour triturer les couilles. De l’autre, elle se pistonnait vigoureusement la vulve de ses trois doigts joins. Ça devenait tendu ! Sa langue s’activait vivement sur mon frein dans des mouvements totalement désordonnés. J’avais la sève prête à jaillir. Subitement, Citlali recracha ma queue pour souffler : « Pense à Maëlys ! » avant de l’engloutir à nouveau d’au moins douze centimètre. Elle s’acharnait sans calcul.
L’image volée de ma fille, nue, se caressant furtivement sur une plage naturiste il y a de ça au moins quatre ans m’apparut brusquement. C’en était trop : j’explosai dans la gorge de ma femme. Mes couilles se contractaient et déversaient leur trop plein dans la bouche accueillante de mon épouse. Elle recracha autant qu’elle pu et étala longuement le restant sur ses seins et son ventre.
Je comatais, couché auprès d’elle, ma main droite cajolais négligemment son clitoris rougi.
Diffuse en direct !
Regarder son live