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Une famille aux moeurs libérées

Chapitre 2

Chapitre 2 : Une réception qui finit presque bien (oratrice : Citlali)

Orgie / Partouze
Cette histoire est entièrement fictive. Les personnages sont créés de toute pièce. Leur perversité, poussée à l’extrême, n’est inspirée d’aucun fait réel, sinon de fantasmes malsains.
Ce chapitre continue une série encore en cours de rédaction que je me ferai un plaisir de compléter si, toutefois, vous estimez qu’elle vaut la peine d’être prolongée. Pour l’améliorer (et m’améliorer), n’hésitez pas à faire des commentaires.

*
Les personnages :
Victor = le père
Citlali = la mère
Maëlys = la fille
Santiago = le fils
Bénédicte et Serge / Caridad et Josué / Astrid et Guy = trois couples d’amis de Victor et Citlali
Alessia et Toni = un couple rencontré par Victor et Citlali sur Internet
Les autres n’apparaîtront plus par la suite.
*

Chapitre 2 : Une réception qui finit presque bien (oratrice : Citlali)

Ce soir-là, tous nos amis avaient répondu à notre invitation de longue date. Ils arrivèrent chez nous au fur-et-à-mesure. Victor et moi étions au four et au moulin depuis le matin. Maëlys et Santiago nous prêtèrent main forte dès le début de l’après-midi à tout installer. Nous courrions de la porte d’entrée à la terrasse, en passant par la cuisine et le jacuzzi pour accueillir et nous assurer que tout fut prêt. Maintenant que la soirée démarrait, ma to do list disparut comme neige au soleil, je cédai la main aux deux étudiantes que nous avions engagées pour quelques heures pour qu’elles assurent le service. Hormis le timing ou quelques broutilles, Victor, les enfants et moi avions les mains libres pour profiter de la soirée avec nos amis.
Nos amis déboulaient de toutes les époques et tous les milieux que nous avions traverser au cours de nos 25 ans de mariage. À l’exception de nos connaissances du Mexique (nous avions invité notre famille belge il y a quelques semaines), tout le monde ou presque avait répondu présent. Parmi elles et eux, nombreux et nombreuses étaient ceux que j’avais connu intimement. J’avais mes coups de cœur, des régulier.ères, la plupart étaient juste des one shots sexuels, mais des amis pour toutes les autres activités. Au milieu de tous ceux-là, un couple s’écartait de cette norme. Il s’agissait de deux Italiens rencontrés lors de nos premiers pas à Victor et moi sur les sites de rencontre. Nous n’étions pas attirés par ces sites tape-à-l’œil. C’était la première fois en 25 ans. « Question de génération » avait, un jour, tenté de m’expliquer Santiago. 
Toujours était-il que nous avions invité Alessia et Toni à nous rejoindre ce soir. Ce fut pour nous une manière de les mettre à l’aise, sans qu’ils soient le centre du monde et qu’on apprenne à les connaître. Toni était un bel homme, bien fait de 32 ans. Il était même mieux que sur les photos que j’avais vu de lui. Le voir parmi mes amis, me donnait l’impression qu’il paradait comme un petit coq. Sa compagne, Alessia, était une superbe brune de 30 ans tout au plus. Elle était grande, plus que moi, et peut-être autant que ma fille. Par contre, sa courte robe noire moulait avantageusement son corps tout en révélant une modeste poitrine (90B), mais un cul bien rond qui tenait toutes ses promesses. Ce cul, taillé à la serpe, fut le petit détail qui influença le choix de mon mari. Toni et Alessia écrivirentt dans notre échange en MP quelque chose aussi direct que « Ma copine cherche un couple qui pourra s’occuper de son cul, elle adore se faire ramoner intensément. »
Comme pour toutes les soirées sur le mode apéro dînatoire, les groupes se faisaient et se défaisaient autour des mange debout, sur les transats autour de la piscine, dans le salon, le jardin ou ailleurs. Victor et moi étions les rois de la soirée et nous passions d’un groupe à l’autre pour évoquer les souvenirs décents qui nous réunissent avec nos amis. 

Bénédicte et Serge arrivèrent. Malencontreusement, c’est une question de point de vue, ma main s’égara sur les petites fesses de Béné au moment de lui faire la bise et je me perdis dans les fragrances de son homme. Bien vite, j’abordai avec eux notre futur séjour, à Victor et moi, dans leur région. 
— Écoute, on est invité à l’anniversaire surprise d’un collègue de Serge vers 16 h le samedi, mais ça ne nous empêche pas de nous joindre à vous le matin, répliqua une Bénédicte aux joues rosies.— Ça m’obligera à remettre en état mon vélo de route, confirma Serge. Depuis que Victor me raconte les sorties de votre groupe de cyclotouristes, j’en ai l’eau à la bouche de vos périples.— Je suis sûre qu’il ne sera pas contre un petit coup de lubrifiant. Puis nous, les femmes, on vous laissera à vos discussions sur la mécanique, dis-je en gloussant.
Le courant passait toujours aussi bien entre nous. Ce futur week-end s’annonçait sous les meilleurs auspices. Bénédicte et moi échangions de petites caresses furtives. Sa main était toujours haute placée sur ma cuisse au moment de me parler. 
La conversation se développa, pourtant d’un œil, je surveillai mon mari qui poursuivait ses avances discrètes auprès de la belle italienne. Je vis bien à ses œillades explicites vers Alessia qu’il s’appuyait sur la conversation avec Caridad et Astrid, deux amies de longue date, pour gagner du terrain vers elle. En face d’eux, Maëlys discutait avec Josué, le mari de Caridad, et avec Toni, le compagnon d’Alessia.
Je soupçonnais Josué d’avoir des vues sur ma fille depuis qu’elle avait commencé à développer une plus-value au niveau de sa poitrine, vers ses 16-17 ans. Maëlys, je ne vous l’ai pas encore présentée, mais cela viendra, a la particularité de présenter un décolleté (un 90D) bien plus volumineux que mon petit 85A. Pourtant, il me semblait que Josué était tout aussi bien servi à la maison depuis que sa femme s’était faite opérer pour passer de son 95B à un incroyable 95E ! J’étais bien renseignée, car je suçotais régulièrement les beaux obus de ma meilleure amie et confidente. Se pourrait-il que…
— Maman !
Ah ça, c’était Santiago.
— Oui, mon chéri, interrompant ma conversation et mes réflexions.— Je suis venu de dire au revoir, je vais chercher Manon.
Manon, c’était ma belle-fille, la petite copine de mon beau Santiago. Ils formaient un somptueux petit couple. J’étais fière des goûts de mon fils et, en même temps, jalouse de lui.
— Ah, déjà ? Mais il est…— Il est 22 h 15, et si je ne me grouille pas, je vais être en retard et elle va me faire la gueule.— Bien. Vous repassez par ici après ?— Non, je crois pas, conclut-il en rejoignant son père et sa sœur pour les embrasser et saluer les autres convives.
Pour ma part, je poursuivis mon tour des convives en m’excusant auprès de Bénédicte et Serge qui eurent tôt fait de rejoindre d’autres amis. Devant le bar, involontairement, je heurtai du coude le beau Toni.
— Oh, pardon, cher Toni ! Heureusement, votre verre était vide.— Il n’y a pas de mal. Mon verre était vide, oui.— Venez que je vous le remplisse.
Démarra une conversation avec ce bellâtre. Lui aussi joua au coq devant une poulette. Si sa jeune personne était attirante, un petit quelque chose clochait chez lui. Lui et moi ne nous accordions pas plus que cela. Bientôt, il repartit vers sa compagne, un verre de punch à la main.
Je le regardais s’immiscer entre Josué et Alessia, quand un détail infime retint mon attention : la moue dégoûtée de Maëlys. Elle s’éloigna du groupe où son père continuait son petit show devant Alessia. Celle-ci rigolait à ses blagues comme le reste de l’assistance.
Sur le qui-vive, je rejoignis directement ma fille à la cuisine où elle s’était réfugiée. J’apostrophai l’une des étudiantes qui passait par là en la priant d’aller à la rencontre des invités autour de la piscine. Leurs verres étaient moins remplis que le bassin qu’ils contournaient.
Maëlys avait bien une petite moue des mauvais jours.
— Alors ma fille, c’est le départ de ton frère qui te met dans cet état ou les mains baladeuses de Josué ?— Non, ni l’un ni l’autre.— J’en conclus que Josué est à ton goût ?
J’ai toujours été franc jeu avec mes enfants. Avec Victor, nous ne leur avions jamais caché nos corps, ni leur transformations, ni les relations amoureuses ou purement sexuelles que peuvent avoir deux personnes qui s’attirent. Nous sommes juste restés discrets sur nos propres pratiques et la multiplicité de nos partenaires.
— Oh, il n’est pas pour me déplaire. Si Caridad n’était pas sa femme, je succomberais sûrement.— Ne t’en fais pas pour elle. Elle est très partageuse, voire partie prenante. Mais dans ce cas, qu’est-ce qui ne va pas ? C’est Toni ? Il m’a l’air étrange ce coco.— Tout va bien, ne t’en fais pas. J’ai beaucoup de boulot en ce moment avec un gros projet à remettre dans quelques jours. Je crois que je vais rentrer avec le dernier train.
Maëlys se saisit de son sac à main et de sa veste dans un placard. Elle fit mine de partir.
— Attends ma fille, vas dire au revoir à nos amis. Je te trouve un taxi parmi eux. Ça ne me rassure pas que tu repartes seule sur Bruxelles aussi tard. Ça te dérange si je demande à Josué et Caridad ?— M’enfin mamá (maman en espagnol, puisque Maëlys et sa mère parlent dans cette langue entre elles) …— T’inquiète, Cari m’a dit qu’ils devaient partir tôt et tu sais que Josué ne boit jamais plus d’un ou deux verres.
Rapidement, je consultai ma meilleure amie. Voyant l’heure, ils n’hésitèrent pas une seconde à reconduire mon aînée. Je lui glissai discrètement que j’avais bien repéré son petit jeu à elle et son homme. 
— Oh, dis ! Elle est majeure et vaccinée ta gamine !— Oui, je sais, justement ! Si tu pouvais la provoquer un peu.— Comment ça ?— Tu me connais, je voudrais qu’elle se dévergonde un peu. Qu’elle arrête de se la jouer sainte-nitouche, quoi.— Son père un don Juan, sa mère est une chaudasse, y a pas de raison qu’elle ne soit pas du même bois !, osa me lâcher Caridad.— Salope ! Je lui rétorquai : T’es vraiment comme moi en fait ! Et nous nous mîmes à nous bidonner.

Je raccompagnai ma fille et le couple d’amis jusqu’à la porte d’entrée. Avec ses cheveux bleus, ses tatouages, sa jupette écossaise et son chemisier d’où débordait son opulente poitrine refaite, Caridad présentait un caractère extravagant qui me fascinait et m’excitait. Ce sont peut-être ses tatouages, grands ou petits, noirs ou colorés, et peut-être aussi ses piercings aux tétons, au clito, à l’une de ses narines, à la langue en plus de ses nombreux accessoires aux oreilles, qui déjà quand nous les avions rencontrés la première fois avaient joués un grand rôle dans l’attraction que j’avais pour elle. Il faut ajouter à cela sa grande culture générale, sa connaissance des cultures marginales, sa nationalité colombienne et donc la langue maternelle que nous partagions, bien sûr, et nos caractères diamétralement opposés. Elle était tête-brûlée et rentre-dedans ; je n’étais pas moins passionnée, mais plus réfléchie. Et pourtant nous étions si complémentaires.
Rassurée, je regagnai le salon tandis que s’éloignait silencieusement la berline de Josué. La soirée suivit son cours normal. Peu à peu, nos amis s’éclipsèrent. Ceux habitant loin se retirèrent les premiers. Je libérai les deux étudiantes venues nous prêter main forte dès que nous ne fûmes plus qu’une petite dizaine. Enfin, la porte d’entrée se referma sur Astrid et Guy, nos derniers amis à klaxonner en tournant au bout de la rue.
Ne resta finalement que Toni et Alessia. Nos deux nouveaux amis que Victor mijotait depuis leur arrivée. Pour moi, son jeu était clair : il voulait nous offrir un jeune et inexpérimenté cadeau d’anniversaire. Parfaits inconnus il y a encore quelques jours, les sirènes des sites de rencontre sur internet retentirent aussi pour nous. Bien mal nous en prit. 
Tous quatre échauffés, Victor nous resservit une coupe de champagne au salon. Assise à gauche de la belle brune, mes mains partirent à l’aventure. Très vite, Alessia répondit favorablement à mes initiatives. Je l’embrassai tendrement, nos langues jouaient un ballet romantique dans nos bouches. D’un œil, elle guettait la réaction de son mâle. Il ne se manifesta qu’au travers d’un petit sourire coincé. Sans m’embarrasser de ce semblant de rictus, d’une main, je repoussais les bretelles de sa robe noire. L’absence de soutien-gorge facilita grandement l’opération. L’étoffe moulante roula jusqu’à son ventre laissant apparaître deux magnifiques petits dômes aux tétons érigés. Je m’empressai de les lécher. Alessia posa enfin sa coupe. De ses mains assurées, elle souleva mon huipil coloré (vêtement traditionnel mexicain, brodé et coloré, porté par les femmes) sous lequel mes seins évoluaient librement. Nos caresses se multiplièrent, je mouillais abondamment à la vue de son corps qui se dénudait. 
De son côté, Victor s’assit dans l’angle du canapé. Il sortit sa tige bien dure de son boxer. D’un clin d’œil à Toni, il l’incita à faire pareil. Mon mari se masturba tranquillement en sirotant sa coupe de champagne. Toni se montra hésitant, ne sachant que faire de ses mains. Sa queue un peu molle, mais prometteuse, finit enfin par émerger de son boxer bariolé. D’un geste, je l’invitai à se rapprocher de nous. Je retirai le string d’Alessia et plongeai entre ses cuisses grandes ouvertes. Elle m’imita en ôtant mon pantalon de lin et en empaumant mes fesses qu’elle flatta tout en envoyant ses doigts inquisiteurs sous mon tanga. Bientôt, nous embarquâmes dans un 69 endiablé. Cependant, toutes ces ex-conquêtes lors de la soirée, m’avaient donné envie d’une bonne bite. J’appelai Toni à m’offrir la sienne. En deux coups de langue et trois léchouilles, il durcit. Sa queue était à peine plus courte que celle de Victor, mais ses 18 cm et surtout son épaisseur firent le plus grand bien à ma chatte affamée. Victor en profita pour baisser son jean et son boxer. Il présenta son pieu à la belle italienne. Elle suça mon mari avec un talent certain.
Nos besoins s’accrurent. Je réclamai un autre échauffement à Victor qui comprit instantanément. Il se saisit d’un tube de lubrifiant pour préparer mon anus. Je repoussai Toni sur le canapé pour m’empaler sur son manche. Victor rapprocha Alessia de son homme. Elle alterna les patins avec son mec et moi ou des coups de langue sur mes tétons bruns. De sa main libre, elle se doigta. Mon mari appuya sur mes épaules et d’un mouvement franc commença à m’enculer. Mes seins s’écrasèrent sur le torse de l’Italien. Je pris mon pied avec ces deux bites qui me fourrageaient. Mon premier orgasme ne tarda pas. Ils me labourèrent encore quelques minutes.

Vint le tour d’Alessia de profiter de notre quatuor échangiste. Toni, performant jusque-là, changea radicalement d’attitude. Je préparai sa belle pour une double pénétration également. Elle trépigna à chacune de mes léchouilles sur sa chatte inondée et sa rondelle. Un premier orgasme la secoua puissamment lorsque Victor lui pinça un téton. La tension monta cependant encore d’un cran quand j’invitai Toni à choisir son orifice. Il reprit sa position avachie sur le canapé et guida sa queue vers le fourreau de sa femme. Victor et moi les laissâmes apprécier l’instant. Je retournai vite en besogne en régalant Alessia d’un anulingus humide. Par inadvertance (ou « accident » volontaire, qui sait…) ma langue se perdit parfois autour des bourses du mâle italien. Des grognements masculins se perdirent parmi les gémissements féminins. Lorsque je jugeai le sphincter d’Alessia assez souple, trois de mes doigts fins rentraient aisément, je fis signe à Victor d’approcher son gland de ce gros cul haut placé et bien rond. Il pénétra Alessia prudemment d’abord. Puis, de plus en plus vigoureusement, au fur et à mesure que s’accroissaient les gémissements de plaisir de sa partenaire. Pas en reste, je léchai et doigtai mon mari.

Alessia explosa sans prévenir, vaincue par cette double pénétration intense. Toni s’abandonna dans le mouvement qui suivit. Quant à Victor, je retirai sa capote et l’embouchai tout en lui enfonçant deux doigts au plus profond. Il expulsa sa semence dans ma bouche et je fis mine de me déplacer pour la partager avec Alessia. Toni intervint, acrimonieux :
— Non, ça quand même pas !
Le sourire ravageur d’Alessia s’effaça aussitôt. Avec Victor, nous restâmes interdits. Un refus de la part d’Alessia, nous l’aurions compris et respecté. Toutefois, le ton de Toni ne laissa pas la place au doute, ni à la discussion.
Toni se rhabilla tout de suite. Alessia aussi, mais plus lentement et manifestement à contre cœur. Il alla rechercher leurs effets, sac à main et autre. J’en profitai pour embrasser la brunette encore en train de remettre son string et lui partager le peu de sperme qu’il me restait. Elle me remercia d’un grand sourire et d’un clin d’œil discret en goûtant le liquide âcre.
Il était 5 h 30, le jour se levait. Alessia et Toni s’en allaient. 
— Alors, OK, les relations homos sont interdites entre mecs, ça, c’était annoncé. Mais là, je tombe des nues.— Peut-être que j’ai été trop loin en voulant partager ton précieux sperme, mon chéri… et peut-être aussi avec lui en léchant ses burnes. — Tu parles ! Depuis qu’il est arrivé, Toni possessif et jaloux. Dès que je me suis approché d’elle, il s’est braqué. Il nous a suivis comme un chien de garde toute la soirée sans se dérider. Il tire son coup égoïstement, puis se barre sans un au revoir.— Dommage, elle avait un superbe popotin.
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