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Une famille aux moeurs libérées

Chapitre 4

L’appel et la pipe

Hétéro
Cette histoire est entièrement fictive. Les personnages ont été créés de toutes pièces. Leur perversité, poussée à l’extrême, n’est inspirée d’aucun fait réel.Ce chapitre continue une série encore en cours de rédaction que je me ferai un plaisir de compléter si, toutefois, vous estimez qu’elle vaut la peine d’être prolongée. Pour l’améliorer (et m’améliorer), n’hésitez pas à déposer des commentaires.
*Les personnages : Victor et Citlali = les parentsMaëlys = la filleSantiago = le filsManon = la copine de SantiagoDoan = la meilleure amie de MaëlysCaridad, la meilleure amie de Citlali, et Josué, son mari
*
Chapitre 4 : L’appel et la pipe (orateur : Santiago)Je rentrais de mon dernier examen de la semaine et voilà que Manon me proposa, ou plutôt m’imposa, un séminaire pratique d’anthropologie et sexualité ! Je n’avais pas passé la porte de notre kot (kot = petit appartement pour étudiant en Belgique, une sorte de T1), qu’elle m’embrassa à pleine bouche.
Tululutt...
Elle m’arracha mon sac contenant mon ordi et mes notes de cours pour le balancer dans la panière à linge, heureusement pleine. Elle me poussa aussitôt sur le petit canapé et m’embrassa à nouveau. Je notai qu’elle avait remis sa blouse blanche d’infirmière. D’habitude, elle la retirait en quittant l’hosto. Toutefois, ça nous était déjà arrivé de l’utiliser dans nos jeux coquins.
Tululutt...
Doucement, elle déposa de petits bisous en descendant le long de mon cou. De ses mains, elle retira un à un les boutons de ma chemise à manches courtes.
Tululutt...
— P... de téléphone. Oh, c’est Maëlys ! Oui allô ?
Manon, imperturbable, continua à déposer ses bisous sur mon torse imberbe. Ses mains s’attaquèrent à ma ceinture.
— Salut Santi, ça va ?— Oui, ça va et toi ?
La langue de Manon s’attarda dans mon nombril.
— Non, pas trop. Tu vas bien ce soir chez les parents ?— Oui, oui, j’ai pas oublié.— Est-ce que je peux te parler d’un truc ?— Euh ben, oui...— Je te dérange pas ?— Non, non, je rentrais des cours.— OK, écoute, c’est à propos de papa...
Là, Maëlys me raconta une histoire d’une gamine italienne à gros cul, que mon père draguait et qu’il baisait toutes les mères de ses copines, alors que maman n’en savait rien, que Doan (sa meilleure pote à elle) était libertine, mais Caridad (la meilleure pote de ma mère) n’avait rien fait sauf l’embrasser... Bref, je n’y compris que dalle.
Entre-temps, Manon avait baissé mon short et mon boxer. En trois allers-retours, ma queue fut bien dure. Elle s’était mise à me sucer entre maman qui était à la cuisine et Toni, son mari, qui mangeait des zakouski. Elle avait du mal, Manon, à prendre tout. Pas que ma bite soit vraiment longue (dix-sept centimètres, c’est correct), mais surtout parce qu’elle est épaisse, très épaisse. Elle adore ça, Manon. Et moi, j’adore son regard quand elle me suce, tout ça alors que ma sœur continuait à raconter ses salades au téléphone.
— Dis, t’as chopé le Covid que tu souffles comme ça ?
Oups, j’ai raté un épisode !
— Non, non, Manon me suce en fait.— Quoi ?
Oh, merde qu’est-ce que j’ai dit ? Qu’est-ce que je réponds ? Et Manon qui se mit à glousser.
— Non, j’déconne, j’ai dû m’enrhumer, mon nez est bouché, c’est tout.— Ah, tu me surprends quand tu dis des trucs pareils. Ça paraît trop vrai. Par contre un rhume, fin juin... — C’est de l’humour pourri...— Bon, t’en penses quoi toi en fait ?— De quoi ?— Ben, de ce que je viens de te raconter !
Santiago, Santiago, de quoi veux-tu qu’elle te parle si ce n’est de son histoire !
Manon interrompit sa pipe. Elle bisoutait mon gland turgescent. Elle releva mes pieds du sol, l’un puis l’autre, pour les poser sur le canapé. Je m’enfonçai plus loin dans le canapé en voyant l’une de ses mains passer sous sa blouse blanche et écarter son minuscule string en dentelle noire. Elle caressa sa chatte rasée.
— Écoute Maëlys. Je veux pas te brusquer, mais j’ai l’impression que tu te nies certaines réalités. Je pourrais te dire : tu sais la vie est plus sombre que ce que tu vois dans tes lunettes. Mais je vais pas me la jouer professeur moralisateur. J’ai vingt-et-un ans, toi vingt-quatre, et parfois j’ai l’impression d’en savoir plus sur la sexualité de nos parents.— Et ? fait Maëlys d’un ton agacé.
Manon me branlait d’une main et suçait mes couilles tout aussi imberbes à pleine bouche. Sa langue entreprenait ponctuellement une excursion autour de mon anus, tandis qu’elle se caressait compulsivement.
— Et il y a que papa et maman ont une sexualité débordante, oui. Je suis pas au courant des détails, mais je sais que s’ils baisent très souvent entre eux, ça leur arrive d’aller voir ailleurs. Ensemble ou séparément. Si tu préfères les images, ce sont deux chauds lapins. Papa, j’ai pas les détails, mais maman est totalement bi et ne se gêne pas pour brouter des minous...
De son majeur humide de cyprine, Manon se fraya un chemin dans mon petit trou juste à ce moment-là. Je marquai une pause, tellement c’était bon. Maëlys saisit l’occasion pour reprendre la parole.
— Mais comment tu peux cracher ça ? C’est horrible ce que tu dis !— Parce que maman me confie pas mal de ses secrets ... mais certainement pas tous non plus.— Pourquoi ? ... Pourquoi elle te dirait ça ?— Parce que je lui pose des questions. Ça doit faire un an et demi, quand j’étais encore en permanence chez eux, je ne connaissais pas encore Manon, que maman m’a surpris en train de me branler devant un porno qui mettait en scène une baise entre une mère et son fils. Oui, c’était un fantasme. Eh oui, ton frère est un cochon qui se tripote. Ce jour-là, maman m’a branlé. J’ai eu la plus grosse éjac de ma vie jusqu’à ce moment-là.— Mais c’est dég ! C’est de l’inceste !
Le doigt toujours remuant entre mes fesses, Manon avait écarquillé les yeux d’étonnement, ce qui n’empêcha pas ses lèvres de descendre loin sur ma verge. Jamais depuis qu’on était ensemble elle ne s’était enfoncé ma queue aussi profondément dans la gorge. C’était dément !
— C’est le pied, tu veux dire ! Maman a une expérience de dingue, elle me masturbe souvent et moi, je lui lèche sa petite chatte en retour. Tu veux une preuve ? Elle a un petit triangle noir un peu plus naturel maintenant, plus un ticket de métro comme la dernière fois qu’on est allé dans Landes, dans le camping naturiste. T’as plus qu’à vérifier ça. Et j’ai déjà eu droit à sa spéciale : elle m’a amené à l’orgasme rien qu’en jouant avec mes couilles !— Tu me dégoûtes ! Et Maëlys raccrocha.
Manon me contraignit à me lever. Immédiatement, elle reprit sa succion, toujours agenouillée, face à moi, en position de soumise. Son majeur retrouva mon anus qu’il avait déserté le temps de me mettre debout. Il recommença à gigoter dans mon étroit conduit. Je gémissais de plus en plus fort. De sa main gauche, elle me branla en mouvements rapides. Mes mains se posèrent sur ses cheveux roux. C’en était trop ! Je jouis. Mes premières giclées de sperme strièrent son joli visage. Les dernières se déversèrent dans sa bouche. Mon orgasme passé, elle retira son doigt de mon fondement et, accompagné d’un regard coquin, elle ouvrit la bouche pour dévoiler sa langue blanche, recouverte de mon sperme.
Tandis qu’elle déglutissait, je vis ma copine ouvrir le tiroir de la table de chevet. Elle en sortit un gode de bonne dimension, quoique moins épais que ma queue en débandade. Ma fierté masculine fut sauve !
Assise sur le canapé, alors que j’étais toujours debout au milieu de la pièce, elle s’enfonça la relique dans sa chatte dégoulinante sans sommation. Dans un réflexe purement 21e siècle, je me mis à la filmer avec mon GSM. Intégralement épilée, Manon se ramonait vigoureusement. Ses plantureuses mamelles, un splendide 85E, tressautaient par-dehors son soutien-gorge en dentelle noire où elles étaient opprimées encore deux secondes plus tôt. Ses tétons roses, érigés sur de larges aréoles, paraissaient animés d’une vie propre. Ses cinq doigts libres tergiversèrent une seconde : maltraiter ce clito rougi ou cette rondelle à demi ouverte ? Ils zappèrent d’un plaisir à l’autre, par-dessus un string chastement décoratif, encore une demi-douzaine de minutes. Un violent orgasme la surprit deux doigts loin dans son cul, les yeux dans le vide.
Inassouvie, Manon sollicita son clitoris tout en calquant ses mouvements sur les va-et-vient du gode. Elle s’offrit plusieurs répliques chaque fois plus douces. J’arrêtai de filmer pour l’embrasser tendrement. Sa langue avait le léger goût âcre de mon sperme.
— On est attendu pour quelle heure chez tes parents ?— 19 h. Si on part dans 30 min, on y sera.— Le temps de prendre une douche.
Pendant que Manon se rafraîchissait sous la douche, je transférai la vidéo sur mon ordi. En quelques clics, elle fut dépouillée des rushes inutiles et des visages trop identifiables. Je prélevai les passages les plus hots, créai un semblant de trame et donnai un rythme avec deux ou trois effets de ralenti en plus de notre générique habituel.
Manon sortit de la douche quand ce fut grossièrement prêt, même s’il fallait encore fignoler. Je lui mis le résultat sous le nez en filant à mon tour me doucher. Elle n’eut plus qu’à appuyer sur le triangle pour lancer la vidéo. Je savais qu’elle la regarderait en s’habillant. Elle se regardait se goder en fait. Je la rejoignis peu après. Elle était craquante dans sa minijupe plissée bordeaux. Son débardeur suggérait beaucoup, sans pour autant rien montrer de sa magnifique paire de nichons. Pour ma part, j’avais enfilé un polo bleu qui combinait bien avec mes yeux de la même couleur et un bermuda assorti.
— T’en penses quoi ?— De ton polo ? T’en as des plus beaux.— Non, de la vidéo.— J’ai toujours la même appréhension quand je me vois. J’ai du mal à croire que ce sont mes seins et mon minou qu’on voit, vu qu’y a pas ma tête. Mais elle m’a émoustillée. On aurait le temps...— On n’a plus le temps, dommage.
J’attrapai mes clés et nous sortîmes.
— Je peux mettre en ligne quand on rentre alors ?— Oui mon salaud...
Nous montâmes dans la voiture de Manon et filâmes vers la maison de mes parents. Tous les deux, nous étions détendus après cet après-midi plutôt fou. Le trajet fut court, mais ma copine eut tout de même le temps de me questionner.
— Dis Santiag’, c’est vrai que ta mère t’a déjà branlé ?— Ça te scandalise ?— Oui et non. D’un côté, ça me choque, d’un autre ça m’excite à fond. Mais réponds à ma question, s’il te plaît.— Oui, elle m’a souvent branlé, et même sucé une fois. Et moi, je la lèche en retour. Je veux pas te décevoir, mais on n’a pas arrêté depuis que toi et moi, on sort ensemble. Les occasions sont par contre beaucoup plus rares. Je veux pas te perdre pour ça. Si tu me dis que tu veux que j’arrête avec ma mère, j’arrête illico. Promis ! Je tiens trop à toi.— En fait si, ça me choque. Tu m’attristes un peu de n’avoir rien dit. Mais je comprends aussi que tu n’aies rien dit. Avec sa mère, c’est pas hyper-habituel. Mais, donc, je te pardonne. Et ça m’excite vraiment à fond. On en rediscute après, parce que là, on arrive.
Manon gara la voiture dans l’allée, derrière le break de mon père. Elle s’apprêtait à sortir, son sac à la main, quand je l’attrapai par le poignet.
— T’es toujours excitée ?— Oui, mais on va pas baiser ici quand même ! Tous les voisins peuvent nous voir, fit-elle en devenant cramoisie.— Non, c’est sûr, mais enfile ça.
Je lui tendis alors deux boules roses, toutes douces, reliées par un cordon et complétées d’un cordon sur l’extrémité. Son regard pétillant contrastait avec le calme de sa voix.
— T’es terrible !
Elle se saisit des boules de Geisha, souleva sa jupette et écarta ce que je devinais être un nouveau tanga noir transparent. Décidément, Manon n’était plus à un craquage lingerie près. D’un geste résolu, elle porta la première boule à sa bouche et l’humidifia de sa salive. Ensuite, elle la frotta à l’orée de ses petites lèvres. Vite, celle-ci disparut dans les profondeurs de son intimité. À la place, elles sécrétèrent une fine pellicule humide. La deuxième boule subit le même sort plus rapidement encore. D’un même mouvement, elle réajusta soigneusement son tanga et camoufla ainsi toute trace de délit, y compris de la boucle censée permettre le retrait du sex-toy.
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