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Une famille aux moeurs libérées

Chapitre 9

Un fantasme avoué et un exploit par la porte arrière

Hétéro
Les personnages : Santiago = le fils de Victor et CitlaliManon = sa copine*
Chapitre 9 : Un fantasme avoué et un exploit par la porte arrière (orateur : Santiago)
Je m’effondrai aux côtés de Manon alors que, de sa position à quatre pattes, elle s’effondra, tétanisée de sa jouissance. Mon sperme zébrait son dos, de ses belles fesses rondes jusqu’à sa nuque. Je m’étais tant retenu la veille que j’avais de grosses réserves à évacuer ce matin.Nous étions samedi matin et nous avions tout notre avenir devant nous. En attendant la proclamation de mes résultats académiques, j’étais en vacances. Manon ne reprendrait son stage que le lendemain après-midi.
— Tu m’as encore baisé comme un dieu !— C’est ta faute, t’es trop bonne !— J’en veux toujours plus des réveils comme ça.— Quand tu veux, mon amour.

Nous étions là, à récupérer, ma main étalait distraitement mon sperme sur ses fesses, quand j’eus envie de la titiller à nouveau sur un de nos gros fantasmes.

— On s’organise un petit trio pour fêter les vacances ?— Oui, cool, ça serait sympa.

Je restai ébahi. Il me fallut quelques secondes pour enchaîner.

— Manon, presque sérieusement : tu crois qu’on pourrait sauter le pas et vraiment oser un trio ?— Mmh…— C’est-à-dire ?

Ce fut son tour de prendre un temps indéfini pour me répondre.

— Ben, je peux pas nier que ça me travaille. J’en ai parlé avec une amie pas plus tard qu’hier. Je crois que je fantasme à fond sur une double pénétration.

Elle se tut, puis reprit.

— Je serai tentée de te dire oui.— Tu fantasmes ou tu veux ? Sérieux, tu te vois sucer une autre queue que la mienne ou lécher une chatte pendant que je te fais l’amour ?— Et toi ?

Calmement, presque lentement, je répliquai.

— Oui, je t’aime et je sais que je t’aimerai même si un autre mec te baise devant moi.— Tu baiserais une autre fille ? Ou un mec ?— Baiser une autre fille, sans doute. Lui faire l’amour, non. Ça t’est réservé. Baiser avec un mec, là j’avoue que le fantasme n’est pas encore mûr.— Beau parleur, va ! Mais je te taquine. Moi aussi, je t’aime. Et moi aussi, je suis assez à l’aise pour te laisser culbuter une autre femme que moi.

Sur ces paroles, je l’étreignis de mes grands bras et nous nous embrassâmes. Ma main pleine de mon sperme empoigna fermement sa fesse droite et un doigt partait agacer sa pastille.

— On prend quoi ?— Là, tout de suite, je viens de prendre mon pied, merci. Tu peux retirer ton doigt de mon cul.

Je retirai immédiatement mon doigt et, pourtant, son sphincter semblait réactif.

— Oups, pardon, mais je veux dire si on posait nos critères sur la table et qu’on cherchait vraiment ?— D’ac. Vas-y.— Euh… Alors, homme ou femme ? Une nympho comme toi, ça m’irait bien.— Tout de suite ! Le mâle en rut est aux aguets. Attention, mesdames, Santiago de Néandertal est en chasse !

Nous en étions là à discuter en nous levant enfin de ce lit.D’un commun accord, le choix d’une première expérience avec un deuxième homme fut arrêté. Un peu par facilité, car il était plus facile de trouver un homme, croyait-on, mais aussi parce que je voulais combler Manon. Néanmoins, très vite, je me fis la réflexion que les critères de ma copine, bien qu’assez larges tout en étant clairs dans les lignes qu’elle fixait, allaient tous dans un même sens. Manon ne cherchait pas un bellâtre. Tant qu’il n’était pas rebutant, ça lui irait. Elle voulait trouver un mec expérimenté et performant. Un bon coup comme moi, tentait-elle maladroitement de dire, presque pour m’amadouer avec un beau message. Un homme plus âgé était pour elle l’évidence.En rédigeant notre annonce sur le wall du site où nous diffusions nos vidéos, ses exigences physiques arrivèrent. Manon ne les érigeait pas comme des prérequis, mais plutôt comme des indicateurs pour trier les candidatures. Et c’est vrai que nous en avons eu !En gros, elle voulait un homme bien bâti, sportif, grand, propre sur lui, si poilu, au moins entretenu surtout au niveau du pubis, si possible avec de l’humour, attentif aux autres, et mûr. Par mûr, elle souhaitait un minimum de 45 ans. Quand j’en vins à évoquer ce que nous, hommes, mettions toujours en avant, elle rigola.

— Mais ! je m’en fous moi des dimensions de sa queue.— Pourtant, si tu veux un deuxième mec, c’est pour avoir une vraie queue à ta disposition, fis-je. Sinon ton gode suffit.— Oui, évidemment. Mais t’as une belle grosse bite qui me rend heureuse. Elle est déjà assez longue pour moi comme ça. Je n’ai pas besoin d’un long machin tout mou, même s’il fait trente centimètres !— Trente, ça me semble impossible. Tu pourrais vouloir une taille minimum. Je sais pas moi : vingt centimètres. Non, c’est très gros quand même. Minimum quinze, ou même dix-sept centimètres comme moi.— Vingt centimètres, c’est long, mais pas nécessairement gros. Toi t’en as une grosse bien dure et c’est ça qui me plaît chez toi. Et tout le reste bien sûr !, s’empressa-t-elle de compléter.

Je constatai que Manon voulait un mec avec la même corpulence que moi. Elle convoitait une bite à la longueur normale comme moi. Elle se fichait du physique, elle réclamait du tout comme moi ou sans précision. En fait, je me fis à ce moment précis la réflexion que ma copine fantasmait sur… mon père. Plus tard, je sus que ce n’était pas juste un petit fantasme.

— Elle a fait combien de vues la dernière vidéo que t’as posté ?— Laquelle ?— Celle où tu m’as filmé en train de me goder après que j’ai appris que ta mère te branle à l’occasion.— Alors… 113.622 vues. Pas mal, mais t’as déjà attiré plus de vues que ça.— En combien de temps ?— Cinq jours. Ah, ouais en fait. En seulement cinq jours, c’est pas mal du tout ! Tu deviens une starlette du porno, ma petite infirmière.— Ta petite infirmière, elle va prendre une douche parce que le sperme que tu lui a étalé dans le dos, il me démange.— Vas-y je te rejoins peut-être dans quelques minutes.

J’ai finalisé notre annonce sur internet puis ajouté deux photos d’exhibe prises la veille dans la voiture en rentrant de l’hosto où Manon est en stage. C’est assez soft : sa robe remontée sur son ventre, on voit sa culotte noire transparente sur sa chatte lisse. La deuxième laisse deviner un camel toe sympa.C’était finement excité que je ralliai la douche. Nu comme un ver, je ne fus pas long à empaumer les fesses de ma belle rousse. Manon m’avait devancé d’un doigt. Enfourné dans son vagin, ce doigt lui faisait déjà perdre toute retenue. Je tétais ses belles et grosses mamelles en explorant sa raie culière. Prévoyante, Manon m’indiqua le tube de lubrifiant qu’elle n’avait pas dû déposer là par hasard. J’avais ainsi son accord pour m’aventurer dans ses profondeurs. Un premier doigt, très vite accompagné d’un deuxième, ouvrit la voie. Manon était vierge ou presque par derrière. Accroupi dans le bac de douche, mes doigts allaient et venaient entre ses fesses. Ma langue alternait entre maltraitance et douces caresses sur ses lèvres vaginales. Mes doigts fourrageaient sa rosette dans un ballet chaotique, mais volontaire, lui arrachant des cris de plaisir. Le petit anneau s’assouplissait inexorablement. Son excitation était telle, qu’elle broncha vaguement, ou si peu, lorsque mon annulaire s’associa à ses comparses, les dénommés majeur et index. Pourtant, je ne crois pas mentir en affirmant que mes mains sont à l’image de mon corps de bûcheron.Ultra excitée, Manon se laissait doigter le cul bien plus que d’habitude. Pour la première fois, elle prenait mes trois doigts simultanément. Et facilement qui plus était ! J’en profitai pour la taquiner.

— Alors comme ça, tu fantasmes sur une double pénétration ?— MmmMMmh, réussit-elle tout juste à gémir.— Une double père-fils, c’est ça ? Hein !— Gnnh, son grognement fut plus affirmé cette fois.— En gros, tu veux te faire mon père.— Oh ! …

L’orgasme était proche pour elle.

— Avoue !— …— Avoue sinon j’arrête !— C’est un fantasme… je peux pas… te cacher…

Mes doigts accéléraient leurs mouvements.

— C’est un fantasme de te faire mon père ou un mec comme lui ?— Mmmh…

Un gigantesque orgasme l’accabla de plaisir. Elle rugissait, ses jambes tremblotaient. De ma main libre, je la retins de tomber. Mais je n’avais toujours pas de réponse. Je la rudoyai.

— Allez, coquine ! Accouche !— Lui… parce qu’il est… est pas mal… et parce que… c’est ton père…— T’es comme ça, toi !

Elle s’arrêta, reprenant son aplomb, bien que rouge de honte :

— Oui, je suis une coquine. Je te rassure tout de suite, c’est toi que j’aime.— Mouais… fis-je, le sourire de celui arrivé à ses fins aux lèvres.

Je me redressai pour la positionner dos à moi, les mains contre la paroi. Elle stoppa l’eau de la douche pendant que je prenais une grosse dose de lubrifiant pour badigeonner mon gros manche. J’orientai mon dard vers son petit trou et, sans hésitation, poussait mon gland à la porte d’entrée. Assoupli, le sphincter ne résista pas. Toutefois, j’y allais très lentement, très tendrement. Manon était totalement relâchée. Elle ne broncha pas.Il ne me fallut que quatre ou cinq entrées et sorties par la porte des artistes à attendre qu’elle se fasse à l’introduction pour déclarer Manon apte à la sodomie. Visiblement, elle prenait un pied terrible. Fameusement excitée, elle jouit une fois encore en hurlant avant que moi-même, je n’éjacule entre ses fesses. Je sentais mon sperme se déverser dans son tube étroit.

— Merci, t’as été trop bon Santi.— Je n’ai aucun mérite, t’étais surexcitée…— Tout de même. T’as été doux, attentif… Je n’ai presque pas eu mal quand tu es rentré et puis j’ai ressenti un plaisir de fou à chaque pénétration.— C’était pas ta première fois ?— Si. Enfin, première fois avec toi. J’ai essayé avec mon ex, tu sais Stéphane, mais sa bite est toute fine en comparaison avec toi. Je suis sûre qu’il est pas plus gros qu’un seul doigt de tes doigts.— Ah ouais, je t’en ai mis trois avant de t’enculer tout de même.— Donc première vraie défonce, me fit-elle avec un clin d’œil suivi d’un baiser chaleureux. On va manger puis je te mets le gode dans le cul ? J’ai envie. Allez, c’est samedi, on a le temps. On va continuer nos explorations autour du cul. Je me sens vraiment libertine aujourd’hui. Presque salope.

Nouveau clin d’œil coquin de sa part.Ce fut comme ça que je me retrouvais avec un bon morceau de plastique (« Un très modeste 16 cm pour 3 cm de diamètre ! » selon ma copine) planté dans le fion. Écrire que je n’aimais pas ça, reviendrait à mentir. J’appris à aimer. En réalité, j’en raffolais. Quant à Manon, j’ai déversé le peu de réserve de sperme qu’il me restait directement dans son gosier pour son plus grand plaisir.
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