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Une famille aux moeurs libérées

Chapitre 10

La nuit porte conseil

Hétéro
Chapitre 10 : La nuit porte conseil (oratrice : Maëlys)
— Oh putain ! La frustration !— Un problème, Doan ?, m’enquis-je auprès d’elle alors que je refermais la porte de la chambre derrière moi.— Un problème ? Tu me demandes s’il y a un problème ?— Ben oui, t’en tires une tête !, osai-je, plus trop sûre de moi.— Il y a que… Imagine : t’es sur un bon coup, un super coup, un mec canon qui te liquéfie la chatte à chacun de ses regards. Hasard ou miracle divin, ce mec est assis à côté de toi et, après une soirée tranquille mais, sympa, il se fait tactile au point de te caresser la cuisse et même l’entrecuisse. Toi, t’en as tellement envie, tu mouilles comme une borne incendie, que t’ouvres les cuisses à 180°. Tu te dis que sa lance incendie suffira tout juste à t’éteindre. Et puis là – au moment où tu vas le foutre à poil et emboucher sa lance –, ben juste là, y a ta meilleure pote qui dit : « Bon, il se fait tard, je vais aller me coucher. Tu viens, Doan ? »— Mais ! C’est toi qui as un problème ! C’est mon père, tu te rends compte de ça ?— Oui, j’ai remarqué. Mais t’as écouté de quoi on a discuté ce soir ? T’as recollé les morceaux avec ce que tu m’as raconté ces deux-trois dernières semaines ? T’as vu ses regards vers ta mère, vers moi, vers toi, et ceux de ta mère pareils ?— Ben… oui.— T’as senti que ta mère te doigtait la moule ou c’était pas toi assise en face de moi sur le canapé ?— Euh… oui, murmurai-je.— Retombe sur terre, Maëlys ! Arrête ta comédie de la vierge pure. Laisse le rôle de sainte-nitouche à Clotilde-la-coincée et son mari l’aristo, le Charles-Gonzague de la bite molle. Ça te va pas du tout !— Mais…— T’es la première d’entre nous à t’encanailler, à te la jouer et à oser, quitte à passer pour la plus belle des salopes, mais là, là t’es devenue bigleuse. Reviens sur Terre ! Éclate-toi ! On a qu’une vie et quand on est tous consentants, baiser fait du bien.

J’étais sur le cul tant par les quatre vérités que m’assénait ma meilleure amie, que par la virulence de ses propos. Elle allait vraiment loin. J’en revenais pas… Pourtant, le message percolait.
— Sur ce, bonne nuit.

Doan éteignit la lampe de chevet, me laissant pétrifiée toujours devant la porte. Je me déshabillai et me glissai aussi nue qu’elle sous la couette du lit double.Il ne fallut pas cinq minutes pour que j’entendisse les flotchs flotchs caractéristiques. Doan se caressait. Mon corps réagit au quart de tour, je mouillais. J’allais lui proposer mon aide quand un cri me coupa dans mon élan.
— Mmmh oui ! Oui… vas-y lèche, lèche-moi le cul aussi !— T’arrête pas de me pomper, reprends ma bite !

Doan et moi, même si l’obscurité ne permettait que de deviner plus que de réellement voir, nous sourîmes. L’instant qui suivit, je l’embrassai à pleines lèvres. Elle me répondit tout aussi fougueusement. Ma langue tournait rageusement dans sa bouche. De sa main libre, elle s’empara de mon sein droit et tritura mon téton presque brutalement. J’empaumai son petit cul ferme et lui rendis la pareille. De l’autre, je ralliai son autre main toujours active entre ses cuisses, et tyrannisai son clito et sa moule.
Bien vite, ces attaques bestiales ne nous suffirent plus. Je ne sais plus si ce fut elle ou moi qui prit l’initiative de basculer en 69. Je frottai mes gros nichons contre son ventre tout en lui prodiguant une alternance de léchouilles et de succions sur son entre-jambe. Je n’en menais pas large sous ses palpations et ses coups de langue. Dans la chambre à côté, mes parents s’en donnaient à cœur joie.
— Arrête, j’ai besoin de ta queue maintenant…— … — Oui, comme ça… mmmh ! Oui…

Doan m’introduisit un doigt dans la rosette. Sans avertissement.

— Eeeeh ! Demande-moi mon avis avant !— T’es majeure et je viens de te vacciner, mais il t’en faudra une bien plus grosse pour prendre ton pied !

Au même moment, on entendit ma mère.

— Mets-la moi dans le cul, j’en crève d’envie. Raaaah ! Oui ! T’es trop booooonnn !

À croire qu’ils nous avaient entendus. Doan continuait de me perforer le fion. Je pris la liberté de lui en mettre un préalablement humidifié de sa liqueur. Mon index rentra sans un iota de réaction de sa part. À mon grand étonnement.

— Mets-moi un deuxième, réclama-t-elle assez vite.

Le deuxième aussi rentra sans réelle difficulté. Mon orgasme ne traînait pas trop loin. À côté, mes parents ruaient comme des lions en cage. De temps à autre, un bruit ou un cri indiquait un potentiel changement de position.

Soudainement, Doan retira son doigt de mon cul, se releva et quitta le lit.

— Mais tu fais quoi ? Reviens ! Tu vas pas me laisser comme ça ?— Ta gueule !

Elle farfouilla quelques secondes dans son sac et revint vers le lit. Elle me tendit un objet ressemblant à un bâton long souple de 40 cm avant de sortir de la chambre. Elle réapparut 30 secondes plus tard avec un tube de lubrifiant.

— T’attends quoi ? Fous-le-toi dans le chatte… ou dans le cul si t’oses !— Mais c’est quoi ?— Un double dong ! Un gode quoi. Tu connais pas ? Tu rendras Capucine heureuse avec ça !

De l’incompréhension, je passais à la joie et à l’excitation. Je lui pris le lubrifiant des mains et en enduisis l’une des extrémités du sextoy. Je l’enfonçais alors délicatement en moi. Il me faisait du bien. Doan s’est mise face à moi et, après s’être beurrée la moule, s’introduisit l’autre extrémité. Elle bougea le dildo d’avant en arrière, nous stimulant simultanément. C’était le pied ! Libérée de toute autre tâche, je commençai à lui palper les seins, à lui titiller les tétons.

Les rugissements de ma mère nous signalèrent son premier orgasme, ou le deuxième, ou… enfin, elle eut un orgasme puissant. Moins de cinq minutes plus tard, on put entendre distinctement la voix de mon père.

— Retire-moi le plug, j’ai envie de plus gros.— Tu veux que je t’encule, mon chéri ?— Sors pas tout l’attirail, ton gode suffira.

Ces quelques informations sur les étapes franchies par le couple suffirent à nous mener loin. À l’initiative de Doan, nous étions toutes les deux à quatre pattes et nos mouvements étaient plus amples. Le dildo allait surtout plus profondément dans ma chatte. Je me caressais rageusement le clito tout en tentant désespérément de garder mon équilibre sous les coups de boutoir que nous nous infligions. Doan pareil. Un énorme orgasme nous cueillit chacune à quelques secondes d’intervalle. Nos gémissements n’avaient plus rien de féminin.

Est-ce à cause de nous ? Mon père mugit bruyamment tout son plaisir.

Éreintées, nous nous réfugiâmes sous la couette sans prendre le temps d’écarter le lubrifiant et le gode, encore recouverts de nos sécrétions, ou de remettre les oreillers tombés lors de nos ébats. Je ne pus m’empêcher d’échanger des regards de connivence avec ma partenaire. Sa main jouait négligemment avec mon sein.Je fus la première à rompre le silence en lui chuchotant à l’oreille : — OK, j’admets, j’ai loupé des trucs et pu passer pour une coincée contrairement à d’habitude.— Ah ! Dis-en plus ! Tu ne me convaincs encore qu’à moitié.— J’aime ta chatte, lui dis-je en rigolant.— C’est pas ce que j’attendais.— Belle découverte ce double dong !— T’arrête de te foutre de ma tronche !— Vu ce que j’ai vu aujourd’hui et ce que je t’ai raconté ces dernières semaines, j’admets que tu pourrais être une jolie souris pour mon père…— Aaaah ! T’ouvres enfin les yeux.— Voire pour ma mère en fait. Surtout si elle est aussi lesbienne qu’on le suppose.J’ajoutai même : — Je… je crois même que je…. je fantasme sur eux. Sur les deux…— J’adore quand tu es raisonnable, ma petite salope !On tenta bien de se rallumer en se frottant mutuellement les seins et en s’embrassant tendrement, mais nos corps épuisés retombèrent mollement dans les draps torturés.
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