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Une famille aux moeurs libérées

Chapitre 20

Des tatouages en guise d’invitation

Avec plusieurs femmes
Chapitre 20 : Des tatouages en guise d’invitation (oratrice : Maëlys)
Sur le bar de la cuisine, je dessinai sur mon ordinateur en deux temps trois mouvements les pièces de la maison se trouvant devant moi. Dans mon dos, Caridad et Josué se penchaient pour contempler leur cuisine, leur salon et leur garage apparaître sur l’écran.

— Combien dis-tu que mesure la terrasse ?, interrogeai-je Josué.— Du coin du garage à l’angle de la cuisine il y a 9,4 mètres plus ou moins, estima le beau Josué.— Plus ou moins ou exactement ?— Euh ben…

Bizarrement, lorsqu’il s’agissait d’un domaine qu’il ne maîtrisait pas, Josué paraissait moins sûr de lui. Il lâchait moins de blague aussi.

— Tu peux aller mesurer avec ça ?, lui enjoignis-je en lui tendant un multimètre.

Caridad et Josué souhaitaient agrandir leur maison avec une véranda qui ouvrirait leur salon et leur cuisine. À partir des informations qu’ils m’avaient fournies en parcourant la maison et le jardin, je dessinai un premier plan très simple d’une véranda pour le couple. La Colombienne et le Chilien, amis de longue date de mes parents, m’avaient demandé si je pouvais venir les conseiller en tant qu’architecte. J’avais cœur à leur faire plaisir. Je crois même que mamá était contente que je les laisse tranquille après trois samedis que je passai chez elle et papa.

Après notre match de hockey, Capucine avait filé à la microbrasserie tandis que je me rendais chez eux. Nous avons donc passé une partie de l’après-midi à échanger sur leurs envies, sur les possibilités qu’offraient leur maison, sur les matériaux et plein d’autres choses. Vu l’heure, ils me proposèrent de rester manger et ce fut ensemble que nous préparâmes une spécialité colombienne. Nos discussions dévièrent sur d’autres sujets et, une fois le plat au four, nous passâmes sur la terrasse pour prendre l’apéritif.

Habillé d’un marcel et d’un bermuda beige, Josué avait quelque chose d’iconoclaste avec sa longue chevelure iroquoise noire et ses tongs. Il avait vite retrouvé sa verve dès que le sujet de la conversation entre nous s’était éloigné de l’architecture. Avec ses biceps musclés et tatoués, il me dépassait à peine d’un, peut-être deux, centimètre. Cependant, il avait ce petit plus qui rendait ce rebelle hyper séduisant. Je n’avais pas de mal à l’imaginer taper dans l’œil de ma mère, si vorace de beaux hommes.

À ses côtés, Caridad paraissait immense. Un corps fin, des courbes somptueuses, sa volumineuse crinière bleue avait un côté féerique. Plus que tout le reste, ce qui m’avait toujours attiré chez elle lorsque j’étais ado, c’était ses piercings et ses tatouages. Quoique. Son augmentation mammaire, il y a trois, avait également grandement accru ma curiosité pour cette femme magnifique.

Elle exhibait dorénavant une (très) opulente poitrine refaite qui cadrait parfaitement avec son caractère extravagant. Pour être franche, sa poitrine contrastait fortement avec la finesse de son corps. Ce jour-là, son débardeur noir, au nom d’un groupe punk, cachait malaisément ses deux énormes seins pourtant bien emballés dans un soutien-gorge gorge bleu marine. En dessous, elle portait une jupette qu’on aurait dit piquée à une écolière. Le double renflement sur sa poitrine trahissait très exactement la position de ses tétons percés. Toutes ses extrémités, ou presque, étaient percées d’anneaux sobres.

Quant à moi, après le match de hockey j’avais enfilé une petite robe d’été au motif floral dont le décolleté dévoilait ma poitrine naturelle. Naturelle, mais grosse.

— Capucine travaille tous les week-ends ?— Oh, elle travaille presque tout le temps. C’est un peu le problème des indépendants qui lancent leur affaire. Avec ses deux associés, elle assure toutes les fonctions de la production au marketing en passant par la distribution, les livraisons et le contact avec les fournisseurs.— C’est jamais évident de débuter.— Vous avez quand même l’occasion de passer du temps ensemble ?— Oui, heureusement ça oui.— Et au lit, elle est comment ?

La discussion suit son cours, mais j’eus clairement l’impression qu’ils cherchaient le moyen de faire monter la température. Cette dernière question me fit rougir. Je tardai un peu à répondre.

— C’est souvent très chaud… elle… elle est… fougueuse…— Et toi, tu n’es jamais fermée à la découverte, me provoqua Caridad.— Hum… C’est pas faux.— Tu sais, poursuivit-elle, ta mère et moi étions comme vous quand on s’est connues. Elle était fougueuse, j’étais toujours ouverte aux nouvelles expériences. Malgré notre différence d’âge, elle avait 36 ans je crois et moi 23, on s’est trouvées très proches et très complices. Surtout sexuellement, mais pas uniquement. C’est grâce à elle que Josué m’a offert ma première sodomie. Maintenant, j’y suis accro.Mamá m’a pourtant dit que la fougueuse, c’était toi !— Elle a pas tort, rigola Josué.— Moui, peut-être. Je sais pas.— J’avoue que j’ai bien dragué ton père aussi, les premières semaines qu’on se connaissait. Tu sais, j’étais paumée dans un nouveau pays pour moi, et Josué bossait comme un dingue. Mais Victor est fidèle. Et moi, ce mini échec m’a permis de me rendre compte que je pouvais avoir du sexe avec d’autres personnes sans quitter mon amour de toujours.

Avec cette révélation, je ne sus comment réagir. L’anecdote parut tout ce qu’il y avait de plus normal à Josué. Pourtant, Cari n’en avait pas fini.

— Je ne me lasse pas de la queue de ton père. C’est chaque fois extraordinaire de le sentir en moi. Citlali m’a raconté que tu y as goûté aussi, fit-elle avec un clin d’œil et un immense sourire de connivence.

Je n’osai répondre. Mes joues rosies durent parler pour moi.

À table, nous étions passablement échauffés. Le poulet à la sauce colombienne fut un délice, néanmoins il ne retint pas durablement mon attention. À notre retour au salon, Josué nous proposa un digestif pour se mettre à l’aise. Pendant, qu’il nous servait une célèbre boisson alcoolisée à la saveur d’amande amère et à lui un whisky, la discussion en était venue à leur goût immodéré des tatouages. Caridad, emballée par le sujet, remontait sa jupette au fur et à mesure qu’elle dévoilait et expliquait le pourquoi et le comment de chacun de ses tatouages.

— Celui du poulpe et du bateau, il évoque quoi pour toi ?, osai-je.— Sur ma cuisse, ici ?— Oui.— Alors, c’est un hommage à mes deux grands-pères. Ils étaient marins tous les deux. L’un dans la marine marchande et l’autre était pêcheur. Mais, le poulpe est aussi l’animal qui est capable de se reconstruire dans l’adversité, en plus d’être un présent dans la mythologie marine sous la forme du kraken. Tu vois le genre de monstre qui détruit un bateau, du style la caravelle de Colomb, avec ses tentacules. Moi, j’y vois aussi mes fantasmes. Josué se moque de moi quand je dis ça, parce que lui il voit les hentai seiyoku, les perversions sexuelles de la culture japonaise, dans les mangas et dessins animés. Les monstres bizarres qui violent les jeunes filles.— Je vois ce que sont les hentai, enfin… les dessins pornos japonais, mais je comprends pas ce fantasme des pieuvres ? C’est glauque, non ?— Pas si, comme Cari, tu fantasmes sur plusieurs bites qui te pénètrent simultanément…, précisa Josué.— Josué me suffit amplement, mais parfois… j’ai un gros appétit… comme Citlali…

Je dus rougir une fois de plus. Décidément, ce couple sans tabou était hors normes sur bien des aspects.

Caridad continua à me montrer et à décrire ses tatouages. Pour plus de commodité, sa jupette tomba à ses pieds. Sa culotte bleue marine aurait pu paraître très sage si elle n’avait été transparente, devant comme derrière. Je ne pouvais manquer d’apercevoir son coquillage tout lisse, à l’exception d’un petit triangle de poils noirs courts. À force de passer et repasser mon regard par là, que ce soit pour me montrer un détail ou une nuance sur l’un ou l’autre dessin, je remarquai un anneau fiché dans son clitoris.

Puis, ce fut son débardeur qui vola à la figure d’un Josué en plein rire bien gras après une de ses nombreuses vannes. De même couleur que sa culotte, son monumental soutien-gorge était fabriqué à partir du même tissu transparent. Ce fut ainsi que je confirmai, plus que je découvris, au travers du soutif un piercing sur chacun de ses tétons. L’un semblait être un simple anneau métallique, quand le second comportait un anneau entourant le mamelon duquel partaient plusieurs picots.

Innocemment, je mis le feu aux poudres.

— Oh, tu me montres tes piercings aux tétons !?

Me ravisant, un peu tard, qu’en pleine discussion enflammée sur ses tatouages, je la branchais sur ses seins, je me mordis la lèvre inférieure.

— Tu veux voir de plus près ?

Caridad afficha un sourire gourmand.

— Euh… si ça te dérange pas, pourquoi pas.— OK, mais alors on se met à égalité. Montre-moi tes jolis seins, ma belle. Et ne me dis pas que tu es pudique. Ce serait mentir à tes années de naturisme.

Sans même réfléchir (il ne faut pas dans pareille situation), je dégrafai, bouton après bouton, ma petite robe légère en commençant par… le bas. Pourquoi par le bas ? Aucune idée. Mon mouvement fut spontané. Néanmoins, avant même d’avoir enlevé le troisième, je me maudissais déjà de porter une lingerie si austère. Comme les trois quarts de mes pièces de lingerie d’ailleurs. Au quatrième bouton, ma très chaste culotte en coton apparut. Le visage de mes hôtes s’illumina de leur sourire.

Douze boutons, l’un après l’autre, jusqu’à arriver au dernier à hauteur de mon soutif. Un horrible balconnet blanc en coton, absolument pas sexy, recouvrait ma poitrine ronde. Concentrée sur les boutons de ma robe et absorbée par la pensée sur la mocheté de ma lingerie, j’avais perdu Caridad des yeux. Elle réapparut dans mon champ de vision en m’embrassant à pleine bouche. La surprise n’enleva rien à mon plaisir de me sentir enlacée par cette beauté sauvage.De taille quasi identique, nous fourbissions nos soutifs l’un contre l’autre. Comme si l’étoffe bleue marine du sien avait pu déteindre sur le mien. Notre baiser devint plus passionné, plus fougueux. Une nuée de papillons s’envolait dans mon bas ventre. Je pris subitement conscience que je mouillais depuis le début du dîner.

Les mains de Caridad s’emparèrent de mes fesses, les palpant outrancièrement en dépit de mon hideuse culotte. Elles glissèrent par-dessous le coton. Ses doigts frôlèrent les poils de mon ticket de métro.

Son initiative me remémora les paroles de ma mère quant à l’avidité sexuelle mélangée à la pédagogie du couple latino. Mes mains s’animèrent. Plutôt que d’aller peloter le joli postérieur de Caridad, elles s’attaquèrent à la fermeture de son soutien-gorge dans son dos. Je ne fus pas longue à dégrafer l’attache. Je stoppai nos jeux de langue pour admirer ses gros seins siliconés de plus près. Bien qu’avertie, je fus surprise de leur fermeté. Ils tenaient droit, pointés vers moi, subtilement mis en valeur par un tatouage underboobs coloré. Ses deux mamelons percés s’érigeaient comme autant de piques.
— P… ils sont trop fermes ! Je suis jalouse !— Y a pas de jalousie à avoir. Les tiens sont sublimes et, surtout, totalement naturels !— C’est clair ! Ils sont trop beaux tous les quatre. Chacun à sa façon, renchérit Josué que nous avions oublié sur son fauteuil. Laquelle a le plus gros pare-chocs ?, lança-t-il sur le ton de la plaisanterie.— Tu prendras les mesures toi-même avec ton appareillage, muchacho, mais plus tard ! (muchacho = terme pour désigner un jeune homme en espagnol), répliqua Caridad, cinglante, tandis qu’elle se rapprochait de moi pour attirer ma bouche vers un de ses tétons. Goûte-le ! J’adore qu’on me les tète.

Elle défit à son tour mon soutif, pendant que je lui suçotais le téton. Mes seins s’éboulèrent comme une avalanche en plein hiver.— Ils sont pleins de vie tes beaux nibards, ma chérie, me consola Caridad d’une voix douce.
Alors que je passai d’un sein à l’autre, nos culottes découvrirent la gravité sous ses charmantes attentions. Elle me pressa délicatement vers le grand sofa en cuir et reprit ses baisers sur mes lèvres. Sa bouche s’échappa bientôt vers ma gorge. Elle s’éparpilla en bisous sur mes seins aplatis. De mes mains, je lui cajolai les cuisses, les hanches, les côtes, le ventre… tout ce qui était à ma portée. Caridad glissait sur moi. Son touché était doux et adroit. Sans prévenir, toujours en distribuant ses lèvres sur mon corps, ses doigts s’engagèrent à l’intérieur de mes cuisses. Subrepticement, ils coulèrent de haut en bas, des genoux vers mes grandes lèvres, et inversement. Elle agaça un temps mon nombril et mon ventre avant de plonger, décidée, entre mes cuisses qu’elle releva au bout de plusieurs secondes. De sa langue agile, Caridad titilla mes lèvres. Les petites, les grandes, mon clito… tout passa sous sa langue habile. Je ruisselais.
Un mouvement de tête désaxé, victime des prouesses de Caridad, me permit de voir Josué. Le Chilien avait son bermuda et son boxer à ses pieds. Sa queue brune émergeait entre ses jambes tatouées. De sa main gauche, il tenait distraitement son verre de whisky. De la droite, il entretenait sa vigueur de ses gestes réguliers. Son membre m’apparut d’une longueur et d’un diamètre respectables. Je lui souris, sûrement d’un air benêt.

Bien qu’affairée au niveau de mon intimité, Caridad perçut mon trouble.— Maëlys, tu es catégoriquement lesbienne ou Josué peut nous rejoindre ?— Surtout qu’il nous rejoigne !— Il peut te faire du bien, alors ?— Oui, oh oui !, fis-je d’une voix rauque, comme embuée par ses coups de langue appuyés.— Viens t’occuper de son chaton, Josué. Je suis certaine que sa liqueur va te plaire.

Josué envahit la place laissée vacante par Caridad entre mes cuisses. Elle, elle grimpa sur le sofa et positionna sa fente bien lisse sur mon visage. Rien ne pouvait me faire plus plaisir à ce moment précis que de pouvoir lui rendre la pareille. Je m’attelai à lui faire du bien. J’empaumai ses magnifiques fesses, tout aussi fermes et haut placées que ses seins arrogants.

Subitement, notre petit arrangement à moi et Capucine me revint à la tête. Renonçant brièvement aux délices de Caridad, je m’emparai de mon téléphone resté sur l’accoudoir du canapé.
— Eeeeh !, protesta la Colombienne.— Je peux faire une photo ?— Hein ! Une photo ? Une photo de quoi ?— De moi en train de te lécher pour envoyer à Capucine.— Oh, vous êtes comme ça !, pouffa Cari.— Vas-y, accéda Josué.— Oui, fais-toi plaisir, renchérit Caridad.

Je pris un selfie de mon activité entre ses cuisses tatouées et l’adressai à Capucine avec un smiley souriant. Je me remis sans tarder à l’ouvrage.

Mais visiblement, il manquait un chouia de quelque chose au bonheur de Caridad. Elle nous proposa de bouger un bras, une jambe, un glissement sur le côté pour se retrouver avec la trépidante bite de son mari en bouche, alors que lui et moi continuions notre ouvrage. En triangle, nous recevions et donnions un maximum de plaisir à nos partenaires. Non content de m’arracher mes premiers gémissements, Josué effleura mon petit trou de sa langue. Il dut s’y reprendre à plusieurs fois, et rapidement ce fut son doigt qui grattouilla par là. Ma faible réaction, ou devrais-je dire mon consentement silencieux, l’invita à davantage d’intrépidité. Il ne s’écoula qu’un rien de temps entre sa langue humide et son doigt bien enfoncé dans mon fondement.

— Oh ! Un doigt, pas plus Josué, je suis vierge du cul, intimai-je après plusieurs minutes.— Tu viens pourtant de prendre un deuxième, ma belle !— Te moques pas de moi !— Je t’assure !

La fièvre dut me monter au cerveau, néanmoins je reproduisis, par mimétisme, les mêmes attouchements et gestes entre les deux globes fessiers de Caridad. À la différence notable que son anus s’ouvrit nettement plus vite que le mien. Il aspira, en moins de temps qu’il le faut pour l’écrire, trois de mes doigts. Avec plus d’audace de ma part, un quatrième doigt s’y glisserait probablement sans plus de préparation.
J’étais mûre et ils le savaient. Caridad et Josué abandonnèrent leurs positions.
— Place-toi sur le bord de la table, Maëlys. Non, sur le ventre. Oui, comme ça. Couche-toi dessus, bouge la carafe si elle te gêne.
Je m’étalai de tout mon corps sur la table de chêne massif. Les fesses en l’air, les jambes écartées, les seins écrasés, ma chatte criait famine. Mon anus ressentait un vide depuis que les doigts de Josué les avaient désertés.
Je n’attendis pas longtemps avant qu’il m’insère son membre bien rigide dans mon sexe. Je le devinai progresser en moi. Plus large que la queue de mon père, il me distendait les chaires. Par contre, ses cuisses vinrent frapper mes fesses plus tôt dans la pénétration. Sa bite, plus courte, mais plus trapue que celle de mon père, il…
— Oh, tu me fais du bieeeennnn !!, aboyai-je.— T’aimes ça, petite chienne !

Josué me lima la chatte de toute sa longueur à une cadence délicieuse. Pour sa part, Caridad, collée au dos de son mari, lui caressait les fesses, le torse, les bourses en lui embrassant la nuque. Elle écrasait ses seins imposants dans son dos. Arrivée à saturation, elle sortit de son chapeau du lubrifiant et un plug anal qu’elle s’implanta entre les fesses. Ensuite, elle tira une chaise et se hissa sur la table pour se positionner, jambes écartées, devant mon visage.
— Lèche-moi, ma chérie.
Avec une délectation non feinte, je me penchai sur elle pour laper son jus. De temps à autre, je remuai le plug en acier et sa breloque fleurie en plastique rose pour augmenter les sensations de Cari. Dans le même temps, Josué jouait de son doigt autour de ma rondelle. Réceptive, il n’eut pas à insister. Au rythme des pénétrations vaginales de mon baiseur, mes seins ballottaient joyeusement d’avant en arrière. À l’aide d’un peu de lubrifiant, il introduisit à nouveau son doigt, tandis qu’il continuait à me ravager au niveau inférieur.
— Débloque-le, m’ordonna soudainement Cari en me tendant mon smartphone.— Hein ?— Vas-y, je vais nous prendre en photo.

Je m’exécutai. Elle s’empara de l’appareil et allongea son bras pour capter une vue d’ensemble. Trop occupés, Josué et moi ne lui prêtâmes pas plus d’attention que cela. Cari textait que je n’en eus pas conscience. Mon smartphone se posa à mes côtés, sur la table, après quelques instants.

Le concert de gémissements et de lamentations dura un temps. Cependant, j’arrivai bien vite au bout de ma résistance. Mon plaisir allait croissant. J’éprouvais les pires difficultés à maintenir ma bouche à portée des petites lèvres de Caridad.

— Je vais venir…— Laisse-toi aller, petite !— Ouiiii…. Mouiii…

Un premier orgasme me saisit. Brutal, intense. Je m’écroulai sur la cuisse de Caridad comme Josué extrayait sa queue de ma chatte palpitante.

Elle déposa une tendre bise sur ma joue, et une autre sur mes fesses, avant de se précipiter sur le sofa. À quatre pattes, Caridad n’attendit pas longtemps Josué. Il s’avança vers son postérieur, la caressa brièvement et s’enfonça en elle. Un rien sauvage, l’assaut restait passionné. Il variait la cadence. Soudain, il se retourna et attrapa le lubrifiant resté à proximité.

Une main appuyée sur la hanche tatouée d’une caravelle harcelée par une pieuvre géante, il remua le plug, le sortit, le rentra et le ressortit de nouveau. De son autre main, il versa une noisette de gel lubrifiant sur la rosette de la belle Colombienne. Josué introduisit aisément trois doigts, un à un et sans cesser ses mouvements de bassin entre les cuisses de sa douce. Elle couinait sous l’impact de ses pénétrations.

Je restai admirative face à ce qui me parut une communion sublime.

— Viens, mets-la moi, maintenant, lui ordonna-t-elle.
Il n’en fallu pas plus pour que Josué se retira de l’accueillant fourreau qu’il ramonait depuis un temps indéterminé. Il se redressa de toute sa hauteur et appuya son gland sur la pastille convoitée. Lentement, l’anus engloutit cette bite luisante. Centimètre par centimètre. Elle poussa un petit gémissement de satisfaction.
Arrivé au plus loin qu’il put, Josué plaça ses mains de part et d’autre des épaules de Caridad. Après seulement, il entama une sarabande cadencée. Il allait crescendo. Sa bite ne ressortait jamais complètement, quand bien même ses cuisses rencontraient violemment les fesses de Caridad.
— J’aimeeuh… quand tuuu… m’encuuules !, crut bon d’ajouter Caridad alors qu’aucun doute ne pouvait m’ébranler en voyant leur jouissance mûrir.
Un orgasme la pétrifia une première fois, sa tête s’appuya alors sur le dossier du canapé. Un second orgasme l’envoya un peu plus encore se perdre dans les vapes deux minutes plus tard à peine. Un troisième était en progression lorsqu’il accéléra de nouveau.
— Oh ! je vais venir, finit par avertir Josué.
Tululutt…
Caridad ne répondit pas à son homme. Elle n’aurait pas pu, car un nouvel orgasme la secouait de ses spasmes frénétiques.
Tululutt…
— Allô, Capu ?Josué retira sa queue du conduit étroit pour exploser. Une première giclée atterrit sur l’épaule et les côtes de Caridad. Plusieurs décharges supplémentaires se répandirent sur ses fesses et le bas de son dos. Ses tatouages affichaient désormais des ratures blanches. En sueur, ils s’embrassèrent tendrement. D’une main distraite, Caridad jouait avec son clitoris encore très sensible.
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