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Une famille aux moeurs libérées

Chapitre 24

Soirée (belles-)sœurs pour mon frère

Avec plusieurs femmes
Chapitre 24 : Soirée (belles-)sœurs pour mon frère (oratrice : Maëlys)
Capucine arrivait en cette fin d’après-midi d’été à l’appartement bruxellois de sa compagne. Elle avait passé une grosse partie de sa journée à laver la cuve de la microbrasserie avec un de ses collègues. Plutôt que d’enchaîner avec le retard administratif, elle quitta son poste pour rentrer à une heure décente pour tenir sa promesse. Comme je le lui avais demandé, ce samedi soir, nous recevions mon frère et ma belle-sœur à souper (pas besoin de traduire du belge vers le français).
— Comment s’est passée ta journée ?— Épuisante, je n’ai pas arrêté. Avec Bernard, on a bien avancé. D’ailleurs, si tu ne m’avais pas fait promettre d’être ici à 18h30, je serais encore dans la paperasse.— Tu peux y retourner si tu veux, mais je te tire la gueule alors. Et n’espère pas un câlin de tout le week-end.— Non, non. Ça fait du bien de se mettre en pause et de penser à autre chose.— Va prendre une douche pour bien passer à autre chose !, fis-je. T’empeste la bière.— Oui, cheffe !, répliqua Capucine. Heureusement que tu es là, ma petite femme.
Elle imprima une claque sonore sur ma robe d’été, à hauteur de mes fesses rebondies, et sortit de la cuisine en rigolant.
— C’est pas parce que tu traînes avec des mecs toute la journée dans un job de machos, que tu dois te comporter comme eux !, hurlai-je.
Capucine rit de plus belle.
— Je reviens dans cinq minutes pour préparer la salade avec toi, ma petite femme au foyer !, surenchérit-elle.
Je pestais et riais en même temps.
*

Manon et Santiago arrivèrent approximativement une demi-heure plus tard. Notre invitation visait à présenter officiellement ma nouvelle compagne à mon frère. En réalité, Santiago connaissait très bien Capucine, et ce, depuis plusieurs années déjà. Il aidait, à l’occasion et bénévolement, les trois fondateurs de la microbrasserie qu’étaient Capu, Bernard et Jean-Yves. Ils faisaient tous les quatre parties du même groupe d’amis. Moi, je connaissais Capucine via le club de hockey depuis des années également. Elle avait vite fait le lien avec Santiago, bien avant de nous mettre en couple.Depuis que mon frère était en couple avec Manon, j’étais très heureuse pour lui, néanmoins j’avais l’impression que notre relation était plus distante. Manon apparaissait dans ma sphère plus comme « la fille que je côtoie parce que c’est la copine de mon frère » que comme « ma sympathique belle-sœur ». Cette soirée en commun, sans amis ni parents dans les pattes, pouvait donc être une opportunité pour resserrer nos liens. Cependant, aucune pression ni attente particulière ne pesait sur nous. Tous les quatre, nous nous étions déjà croisés depuis que j’étais en couple, mais sans réellement prendre le temps, ni être tranquilles pour rompre la glace. Je n’avais pas de plan derrière la tête, juste envie de passer une bonne soirée avec mon frère, ma copine et la sienne.

— Un doigt de Porto, s’il te plaît, me répondit Manon.— Tu ne préfères pas un doigt de Santiago, plaisanta Capucine, quasi du tac au tac.
Nous explosâmes tous les quatre de rire à la blague de la blondinette.
— Si, mais un peu plus tard. Quand j’aurai goûté la liqueur de Maëlys, par exemple.
La bonne humeur grivoise qui nous caractérisait était là. Tout le monde était détendu dès l’apéro. Très vite, la discussion pencha beaucoup sur la microbrasserie dans laquelle Santiago s’investissait régulièrement. Manon et Capucine se découvrirent un peu plus. Ma copine ne dévisageait plus la rouquine plantureuse comme une rivale, mais davantage comme une belle-sœur et une amie potentielle.Au cours du repas, les discussions convergèrent progressivement vers les relations homosexuelles et sexuelles tout simplement. Capucine et moi étions bien évidemment un bon cas d’étude pour un Santiago qui explorait les théories sociologiques sur les identités sexuelles, les relations sexuelles, en plus d’avoir mené une étude de cas dans le milieu transgenre bruxellois.
— Perso, je suis admirative devant les couples homos qui osent leur coming out, balança Manon un peu gauchement. Enfin, je veux dire qui se mettent en couple ouvertement devant leur famille, leurs amis.— T’es mignonne, ma chérie. Mais fais attention à ce que tu dis, ça peut paraître cucul, angélique, voire vexant selon à qui tu t’adresses.— Mais je le pense vraiment !— Tu pourrais te mettre à leur place ?, demande Capucine.— Oui, clairement ! Écoute, je me sens hétéro. Mais, comme beaucoup d’ado, j’ai eu des jeux homos avec des copines. OK, j’ai jamais dragué, ni eu de relation suivie, même pas d’une semaine. Pourtant, avec une cousine, on a dormi chez ma grand-mère parce que nos parents étaient partis pour en week-end. J’ai eu mes premiers attouchements et caresses sexuelles avec elle. On dormait dans un lit double. La première nuit en pyjama. La deuxième, on s’est foutues à poil et on s’est caressé en parallèle. Ça n’a pas été plus loin, même si j’en avais envie. C’est resté très soft. J’avais juste 15 ans et elle 14. Une autre fois, pendant un week-end de répètes, avec Fatoumata, une copine de l’orchestre où je jouais de la clarinette, j’ai eu mes premiers baisers. On s’est aussi masturbé en parallèle. On devait avoir, ch’ais pas, 17 ans. C’était une bombinette métisse, rhooô ! Vous l’auriez vu à poil ! Alors pour moi, oui, un passage à l’acte lesbien aujourd’hui, c’est une possibilité évidente. Et je suis admirative des lesbiennes et des gays qui se dévoilent. C’est pas évident, quoi.— Tu m’as jamais raconté tout ça, s’étonna Santiago.— Non, c’est vrai. T’es fâché ?— Oh, pas du tout. Je te savais ouverte d’esprit, souvent coquine pour ne pas dire cochonne, voire bien salope, et avec des penchants bi, donc ça me surprend pas. Je sais que t’es demandeuse même si, comme tu m’as dit, tu feras pas nécessairement le premier pas.
Surprenant le regard concupiscent de ma compagne, je pensai à cet instant que Manon se révélait alors bien plus intéressée et intéressante qu’attendue pour Capucine et moi. À la suite de ces confidences, Capucine se fit bien plus enjouée et plus compatissante envers Manon.Au détour d’un changement de plats, alors que nous étions seules à la cuisine, Capu me confia être en extase devant sa plastique.
— T’as zyeuté son cul de ouf ! OK son sarouel cache un peu le meilleur, mais avec des hanches larges comme ça, ton frère doit adorer la levrette. Oh, et ses gros seins bien pleins… Ado, je rêvais d’avoir des gros bonnets comme ça.— Dis, t’arrêtes où je vais être jalouse ! Et je te signale que j’ai presque les mêmes obus qu’elle.— Oups… oui, pardon.— Tente de te rattraper, va !— La différence, c’est que les tiens, je les pelote quand je veux, conclut-elle en empaumant mes gros nichons par-dessus ma robe tout en m’embrassant dans le cou.
Dans la continuité de nos discussions, Santiago et Manon avouèrent leurs deux premières expériences de trio avec un autre homme. Mon frère sembla d’abord gêné vis-à-vis de moi. Puis, plus tellement dès que sa compagne vanta son savoir-faire. Il s’applaudit même d’avoir envie de tester un trio avec une transsexuelle renseignée par une de ses amies. Manon ne se dévoila pas opposée, voire de plus en plus alléchée.
— Surtout que Santiago se montre de plus en plus souple au niveau de l’anus, abonda-t-elle sans crainte de révéler des secrets.— Ça, c’est de famille, émis-je avant même que le rose ne pointe sur les joues du seul mâle présent. Je sais que papa se prend des gros calibres et aime ça. Sans parler de maman.— Santi est encore vierge d’une vraie bite, mais j’aimerais qu’il y goûte très bientôt, gloussa Manon. C’est un juste retour des choses après avoir encaissé son beau membre, non ?, — C’est gentil de faire ma promo, fit Santiago mal à l’aise à Manon, mais toi ?, me demanda-t-il, retrouvant son aplomb.— Quoi, moi ?— Souple ou pas souple ?— Elle y travaille beaucoup ces derniers jours, répondit Capucine pour moi. Donc assez souple, si tu l’as pas trop grosse, et très étroite si tu l’as grosse.— Alors ce sera étroite, ricana mon frère.— Si tu gardes ce ton, tu ne verras plus aucun cul de ta vie, Santiago de Neandertal, me défendit ma belle-sœur.
Sur cette dernière prophétie, nous regagnâmes le salon où nous partageâmes le dessert. Devant le déballage de nos hôtes, Capucine et moi mouillions follement. Alors, j’osai les grandes annonces.
— Pour être franches, Capu et moi sommes dans le même processus et on a commencé par un plan entre couples. Pas plus tard qu’il y a six jours. Et oui, j’ai pris ma première sodo avec une bite correcte dans le cul, pour te répondre Santi, et j’ai joui comme une folle. Capucine aussi, fis-je sans concession en regardant ma compagne. Pour tout vous avouer, on a envie de plus.— Je confirme, renchérit la blondinette.
Manon et Santiago étaient tout ouïe.
— On forme un couple libre, donc elle comme moi, on est libre d’aller voir ailleurs, femme ou homme. La seule condition qu’on s’est imposée, c’est d’en informer l’autre.— Wouaww !, fit Manon
Santiago ouvrait grands les yeux et souriait benoîtement.Un peu comme un coup de poker, je relatai brièvement notre rencontre avec Caridad et Josué. Mon frère n’en revenait pas. Néanmoins, coupant court à toutes ses questions, je racontai également mon week-end avec mon amie Doan, que Santiago connaissait bien, et mes parents à Onhaye (cf. chapitres 11 et 13). L’un comme l’autre furent surpris.
— Je me doutais de quelque chose, convint Santiago, mais je ne me l’imaginais pas à ainsi, avoua-t-il.— Je suis abasourdie, lâcha Manon. T’étais chaque fois mise au courant toi ?, demanda-t-elle à Capucine.— Avec leurs parents, Maëlys me l’a raconté, mais ça s’est passé avant qu’on soit officiellement en couple. J’ai accepté et en même temps, c’est de moi que vient l’exigence d’être un couple libre. Donc, même si c’est incestueux, elle exprime ses envies sexuelles. Et pour Doan, on a déjà fait des sorties à nous trois. On peut dire qu’on a des points en commun, ironisa-t-elle en enfournant une bouchée du gâteau au chocolat.— Je sais pas vous, mais moi, je mouille comme une folle, confia Manon.— Nous aussi, reconnut-on.— Ben, j’avoue, Manon et moi ne sommes pas non plus tout blancs, fit Santiago dont les efforts pour cacher son érection étaient désormais vains tant son bermuda était bombé.
Du coup, il nous raconta rapidement leur récente après-midi au bord de la piscine avec mes parents. Manon, en effervescence depuis que nous dévoilions des pans entiers de notre sexualité de jeunes adultes, appuyait les déclarations de son copain à l’aide de détails ou en décrivant ses sensations. Elle se tut seulement pour écouter attentivement le récit romancé de son beau-père lui donnant l’assaut.
— Il est comment notre beau-père ?, demanda sans prévenir Capucine à Manon.— Il est grand et beau comme son fils, mais plus mature, répondit Manon.— Oui, ça je sais. Je l’ai déjà vu en vrai. Je veux dire, c’est un bon coup ?— Oh, ça oui !, répliqua-t-elle alors sans se soucier une seconde de l’incongruité de ses révélations ?— Je confirme !, surenchéris-je.
Je n’étais moi-même plus à ça près après mes confessions. Ma belle-sœur avança même un pas plus loin.
— Moi, je peux même te dire qu’il a une très longue queue. Franchement, il te sort une lance à incendie. Mais elle est fine comparée à Santi. C’est vrai, non ? La tienne est plus dans la moyenne en longueur, mais tu m’élargis chaque fois qu’on baise tellement t’es gros.
À ce moment de la soirée, nous avions fini la deuxième bouteille de vin et j’avais sorti les digestifs. Nous n’en étions plus vraiment au stade de la confidence banale. En exagérant un rien, on aurait pu dire que la tension sexuelle était à son paroxysme.Capucine, avec spontanéité coutumière, nous surprit à nouveau.
— Pour en revenir à tes envies féminines, Manon, ça te plairait de goûter à ta belle-sœur ?
La première concernée mit un peu de temps à comprendre ce qu’on lui voulait. Ses réactions épidermiques présageaient déjà de sa réponse tant ses tétons déformaient son débardeur rayé.
— Euh… je dirais pas non, minauda Manon en osant à peine regarder Capucine.— Est-ce que, pendant ce temps-là, je peux jouer avec Santiago ?, se renseigna l’impertinente blondinette.
Manon, Santiago et moi n’en croyions tous trois pas nos oreilles d’une telle audace. Capucine ne tentait pas de s’offrir à Manon, mais au contraire, elle négociait sec de façon à s’arroger Santiago pour elle seule. Pourtant, s’il y avait une certaine logique, ce fut l’absence de tact qui nous surprit. Si nous excluions les rapports incestueux, seules deux options étaient possibles. La petite rousse tarda cette fois encore à répondre. Son cerveau, excité par nos discussions, devait surchauffer.
— D’ac. Mais ça vous dérange si on fait ça en séparé ? J’ai envie de garder une part de mes fantasmes lesbiens pour moi, finit-elle par confier en plongeant ses yeux verts dans ceux de mon frère.— Bien sûr ! De toute façon, après avoir goûté la liqueur de Maëlys, il doit te mettre un doigt, rappela Capucine sur le ton de la plaisanterie.
Sa remarque eut le don de tous nous faire rire et de détendre l’atmosphère.
— Et moi, râla Santiago pour la forme, on me demande pas mon avis ?— Toi ? T’oserai dire que t’es pas d’accord ?
Ce fut alors mon tour de prendre l’initiative. Je me levai et embrassai Manon à pleine bouche. Elle répondit goulûment à mes lèvres. L’une derrière l’autre, nous nous dirigeâmes vers la chambre. À peine la porte ouverte, je la pris par les hanches et recommençai à l’embrasser. Laborieusement, je dus m’y reprendre à trois fois pour refermer cette porte sur l’autre couple resté au salon.Manon s’emportait un peu dans ses caresses. Elle me pelotait les fesses, les cheveux, les seins, le ventre, la chatte… sans tendresse, comme un puceau découvrirait pour la première fois le corps d’une femme. Si j’étais excitée également, je désirais prendre du plaisir plus que d’avoir du sexe pour du sexe ou revivre un dépucelage. Si bien que, délicatement, avec des gestes mesurés, je frôlais ses zones érogènes au travers de ses vêtements et commençai à la déshabiller.
— Calme-toi, oublie ta nervosité. On a tout le temps. Laisse-toi faire au début, et quand tu te sens à l’aise, prends l’initiative. Mais tu n’as aucune dette envers moi. C’est que pour le plaisir.
Sexy dans son débardeur rayé, je lui baissai son petit sarouel sexy. Ses sandales de cuir restèrent au sol sous la pièce de lin. Elle apparut dans un tanga qui sublimait son postérieur rebondi. D’une main, je lui palpai doucement une fesse, puis remontai ce débardeur qui cachait d’autres merveilles. De ma main libre, je laissais flotter mes doigts le long de sa colonne vertébrale. Son débardeur finit par rejoindre le sarouel et, uniquement vêtue de son tanga et de son soutien-gorge provocant, elle tenta à son tour de me dévêtir.
— Tu es resplendissante dans ce petit ensemble, la félicitai-je.
Je devais reconnaître que ma belle-sœur portait systématiquement de la lingerie sexy et de bon goût. Ni moi, ni Capucine, n’accordions la même importance aux sous-vêtements.
— Et ton corps est arrondi partout où il faut !, fis-je encore avec un clin d’œil coquin.
Manon déboutonna ma robe longue aux motifs fleuris. Un à un, les boutons cédèrent sous ses doigts. Elle repoussa, délicatement cette fois, les épaulettes de ma robe. Involontairement, sa peau frôla mon cou, ma gorge ou encore le tissu de mon soutif juste au niveau de mes mamelons. Je tressaillis. Ma robe dégringola jusqu’au parquet. J’apparus avec culotte en coton blanche toute sage et mon soutien-gorge noir aux bretelles en plastique transparente. Je faisais négligée face à une Manon en dessous ultra sexy.
— Peut mieux faire, chère belle-sœur ! Je suis sûre qu’avec ton corps de bombasse, une petite lingerie sexy sur toi provoquerait des attaques cardiaques… Mais pas avec cette culotte de gamine.
Sa perspicacité nous fit rire.
— Tu vas voir ce qu’elle cache ma culotte Petit Canot !
Je la poussai sur le lit tandis qu’elle riait. Enlevant culotte et soutif à mon tour, je la rejoignis en m’étendant de tout mon long sur elle pour l’embrasser. Sans perdre de temps, je lui retirai son protège nibards. Ainsi, je pouvais frotter ma grosse poitrine (90D) sur sa très grosse poitrine (85E). S’ils s’affaissaient très légèrement avec la gravité naturelle, ses seins n’en étaient pas moins somptueux. Mon frère devait apprécier leur volume et leur texture autant que je le fis.Je quittai sa bouche pour descendre délicatement, toujours en frottant mes tétons sur son ventre, en bisoutant chaque centimètre de sa peau blanche. Je m’attardai plus que de raison autour de ses gros globes laiteux, décidément trop beaux. J’aspirai un à un ses excroissances rosées jusqu’à les faire durcir. Manon appréciait ce petit jeu sur ses mamelons. Plus bas, ma main droite avait atteint son tanga. Il était trempé de sa mouille. D’un geste, je l’écartai et cajolai subtilement tout ce qu’il révélait.Si pour l’instant, elle restait passive, j’avais besoin d’attention au niveau de mon entrecuisse. Je déplaçai alors mes jambes de manière à venir frotter ma chatte baveuse sur son genou. La sensation, loin d’être orgasmique, eut le mérite de me permettre de patienter. Je redoublai d’attention sur les magnifiques seins de Manon le temps de quelques aller-retour de ma fente sur sa cuisse.Mon visage accéda enfin à son intimité. Elle dégoulinait de cyprine chaude. De la pointe de ma langue, je lapai son jus aux abords de ses lèvres. Elles s’ouvraient telle une huître révélant sa perle rose. Je dégustai ses chaires, délaissant de temps à autre son entrecuisse, dans un ballet aléatoire, pour déposer un bisou ou une léchouille sur une cuisse, une fesse ou sa rosette. Cette dernière ne sembla pas insensible aux attentions répétées que je lui prodiguais.Manon avait abandonné son attitude apathique pour prendre mon relai en triturant elle-même ses gros nichons. Manifestement, ses caresses additionnées de mes sollicitations imprévisibles accentuaient son degré d’excitation. De petits sons incohérents s’échappèrent rapidement de sa bouche.N’en pouvant plus, je renonçai à persévérer entre ses jambes. J’en voulais ma part.
— Redresse-toi, et viens mettre ta jambe au-dessus de la mienne.
Tandis qu’elle s’exécutait, je me positionnai face à elle. Nos chattes se retrouvèrent collées l’une à l’autre. D’abord pédagogue, j’expliquai et exécutai la position pour démontrer son intérêt auprès de ma nouvelle conquête. J’imprimai alors un rythme régulier que Manon ne tarda pas à adopter. Progressivement, nos mains libres partirent explorer d’autres contrées. Je profitai de la position pour palper à nouveau ses seins qui ballottaient sous mes yeux.Manon tirait sur la corde. Elle explosa moins de cinq minutes après notre repositionnement. Son orgasme, accompagné de cris de jouissance expressifs, fut communicatif. Je succombai moi-même à une petite déflagration, plus qu’à un orgasme complet. Je restai un chouia insatisfaite.À tel point que, pendant que Manon se remettait de ses émotions, je me saisis d’un petit vibro qui traînait, vaguement dissimulé sous deux romans policiers, sur la table de chevet.
— Tu préfères pas mon doigt ?, me demanda la rouquine voyant ce que je m’apprêtais à faire.— Si ! Plusieurs même ! Et ta langue aussi !, clamai-je.
Manon se retrouva très vite avec trois doigts dans mon vagin, deux dans mon anus et la langue à agacer mon clito qui n’en demandait pas moins. Ses doigts coulissaient vaillamment en moi. En 69, dès que ses attentions diminuaient, je m’activais énergiquement sur sa fente toute lisse. Elle suintait à nouveau abondamment. Le vibro toujours en main, je le déclenchai sur son anus que je venais de lubrifier de sa mouille. Son petit moteur vibra intensément.Ma belle belle-sœur se tortilla autant que je le faisais sous elle avec ses doigts en moi. Les vibrations lui devinrent vite insupportables. Cependant, un orgasme violent me gagna avant qu’elle-même, tous les muscles tendus, ne partent dans une nouvelle explosion de plaisirs.
*

Ce furent les cris de jouissance de Capucine qui me ramenèrent à la réalité. De ce que je pouvais en juger en tendant l’oreille, Santiago lui assénait des coups de boutoir désordonnés. Nous distinguions le claquement de leurs cuisses s’entrechoquer.
— Je vais venir, déclara mon frère.— Retiens-toi, je veux goûter ton jus !
Je me levai alors, vacillante sur mes jambes lourdes, et m’approchai de la porte. Derrière celle-ci, Santiago, debout, la tête en arrière et les yeux clos, nus comme un ver et la queue dressée, se masturba encore d’un ou deux mouvements de sa main avant de se répandre dans la bouche grande ouverte de Capucine. La blonde, nue également et agenouillée sur le canapé, plongea sur la grosse queue de mon frère et en emboucha le gland. Je reconnus la voracité sexuelle de ma compagne.Chaque fois que nous partions en vacances avec nos parents, nous passions une grande partie de notre temps nus sur les plages ou dans les campings, que ce soit en France, aux Pays-Bas, en Espagne ou même au Mexique. Donc, je connaissais le sexe de mon frère pour l’avoir vu se développer durant toute notre adolescence. Lui voyait bien mes seins gagner en volume, me direz-vous. D’année en année, j’avais vu son sexe s’allonger, mais plus encore s’épaissir. Plusieurs fois, je l’avais surpris en érection et j’en gardais l’image d’une verge assez moyenne en longueur, mais par contre d’un diamètre largement supérieur à la moyenne. J’avais plusieurs point de comparaison avec les innombrables vacanciers nus, dont mon père, qui déambulaient sur ces plages. Cette fantastique image de ma compagne suçant mon frère rafraîchit plaisamment mes souvenirs.Une partie du sperme qui se déversa dans la bouche de Capucine s’échappa par le coin de ses lèvres. Sans une once de réflexion sur la moralité de mes actes, je m’approchai d’elle et, dès qu’elle se détourna de la queue palpitante, je m’empressai de récolter de ma langue cette semence. Nous nous embrassâmes longuement. Mélangé à nos langues et nos salives, le sperme de Santiago passa plusieurs fois d’une bouche à l’autre. Ce ne fut qu’après que je me rendis compte qu’il s’agissait de celui de mon frère et non d’un quelconque amant. Trop tard. J’étais une belle salope incestueuse et j’assumais.
— Merci, me susurra discrètement Capu à l’oreille en déposant un petit bisou sur ma joue.
Ma copine venait en effet de réaliser l’un de ses fantasmes, à savoir faire l’amour avec ce beau mec (relisez le chapitre 6 pour mieux comprendre le fantasme de Capucine).Manon se présenta dans le salon à son tour.
— C’était bon, mon chéri ?— Trop bon ! Capucine est vraiment douée en plus d’avoir un superbe corps, toutes les trois en fait.— Tu te rattrapes bien, Santi, fit-elle en lui décochant un clin d’œil. Tu me mets un doigt maintenant, steuplait ! C’était le deal, je crois.— Avec plaisir !
Manon s’assit sur ses genoux, jambes légèrement écartées, face à lui. Aussitôt, Santiago introduisit son majeur en elle. Quant à Manon, à la place de s’agripper aux épaules du jeune homme, elle attrapa sa queue désormais mollassonne.Discrètement, je me penchai à l’oreille de Capucine.
— Deuxième tour ?— Mouih…— Tu t’occupes de Manon ?
Vivement, elle recula sa tête pour me regarder. Ses yeux, grands ouverts, pétillaient.
— Sûre ?— Je crois, oui.
Alors, Capucine se leva d’un bond, posa un bisou sur mes lèvres et se cala dans le dos de Manon. Les pointes de ses petits seins taquinaient les omoplates de la rouquine. Elle lui caressa les cheveux, puis descendit vers ses fesses bien fermes avant de remonter vers ses gros seins qu’elle empauma à pleine main. Leurs petits jeux à trois durèrent une trentaine de secondes, tout au plus.
— Laisse-moi ta copine, Santiago. J’ai bien envie de parfaire son éducation homosexuelle.
Santiago cessa son doigtage conventionnel, et Manon tirée en arrière par Capucine fut bien obligée de céder. Elle ne sembla néanmoins pas le moins du monde opposée à ces charmantes attentions. L’une et l’autre battirent en retraite vers la chambre et le lit aux draps déjà défaits.Santiago, certes sourire aux lèvres en observant ces deux belles jeunes filles s’éloigner, demeura un instant pétrifié. Comme un niais. Sa queue, qui reprenait de la vigueur sous l’impulsion de Manon, resta malgré tout bien droite et bien dure devant lui. À mon tour, je me levai. J’aurais très bien pu me diriger vers la douche, vers la chambre ou même débarrasser les reliefs de vaisselle et de dessert éparpillés sur la table basse du salon. Pourtant, mes trois pas furent en direction de mon frère. Je m’accroupis devant lui, entre ses jambes. Les jambes écartées moi aussi, je me saisis de sa grosse bite. D’un geste assuré, je le branlai deux ou trois fois puis, sans le lâcher, je me mis à le lécher. Je lapai cette friandise comme j’aurais lapé une boule de glace. J’en faisais le tour à coups de langue répétés.Enfin, je relevai ma tête et le regardai. Dans les yeux. Santiago était tétanisé. Comme un défi, je tapotai mes joues de sa queue. Elle était dure.Des gémissements anonymes nous parvinrent de la chambre dont la porte était restée ouverte.Cette fois, je pris sa bite en bouche. Je fis quelques allées et venues pour me rendre compte de son épaisseur. J’essayai une gorge-profonde en sachant pertinemment que ça m’était impossible. Mais pour le principe et, plus que tout, pour le rendre fou, je tentai de l’avaler.Je n’allai pourtant pas plus loin.
— Attends-moi, j’arrive tout de suite.
Je me mis debout et, rapidement, entrai dans la chambre où les deux filles se gouinaient allègrement. Je ressortis tout aussi vite en brandissant le tube de lubrifiant. Je me plaçai à quatre pattes sur le canapé en dandinant du popotin.
— Viens, viens me baiser, petit frère !— T’es sûre ?— Oui, viens me la mettre !
Il n’en fallut pas plus pour qu’il se ressaisisse totalement. Derrière moi, il pointa son gland vers ma petite chatte avide. Ses mains se calèrent sur mes hanches, au sommet de mes cuisses. Il poussa délicatement. Santiago était doux. Il était conscient d’avoir un manche beaucoup plus large que la moyenne, et donc de l’étroitesse de toutes les chattes qu’il pourrait pénétrer. Sa pénétration m’élargissait les chaires. Je sentais sa progression, centimètre par centimètre, dans mon conduit qui pourtant en avait vu d’autres. De temps à autre, il s’arrêtait et reculait de plusieurs centimètres. Cette sensation était décuplée par l’émotion d’une sœur se faisant entuber par son propre frère. Je me sentais mouiller comme une folle.
— P… c’est bon ! Continue, dégomme-moi la chatte, Santi !
Il prit son temps. Rien ne put l’influencer. Ce ne fut qu’arrivé au fond qu’il prit une pause. La pause dura trop longtemps à mon goût. Je réclamai.
— Patience, ce sera encore meilleur après.
Lorsqu’il reprit ses mouvements, j’étais au comble de l’excitation. Il entama un va-et-vient puissant en moi. Littéralement, il me pistonnait. Je perdais connaissance sous l’impact du plaisir qui me gagnait. Ce fut à peine si je perçus Capucine me prendre le tube de lubrifiant encore dans ma main.Il me fallut un temps indéfini pour prendre conscience qu’un doigt s’enfonçait dans mon cul. Santiago me défonçait toujours le vagin. Par intermittence, je discernai d’autres sensations venues de mon anus. Mon attention était pleinement focalisée sur la chevauchée que me régalait mon frère.Deux mains me palpèrent les seins. Deux autres étaient toujours sur mes hanches. Un doigt, peut-être deux, peut-être même plus, me limait la rondelle. La grosse bite de mon frère me ravageait la chatte.
— Elle prend mes quatre doigts alors que tu la pilonnes. Ça devrait le faire.
Qui avait parlé ? Rien à cirer, c’était trop bon.
— Eeeeeh, criai-je quand un vide sidéral se fit dans mon antre. Non, baise-moi ! Baise-moi encore, salaud ! Je veux ta grosse queue !!!— Calme-toi, cria à son tour Capucine. Détends-toi ! Il va te la mettre, mais détends-toi, m’ordonna-t-elle encore.
Effectivement, Santiago appuya à nouveau sa queue entre mes deux globes fessiers. Mais un rien au-dessus. À moitié inconsciente, saoulée par les hormones sexuelles, je ne me rendis tout d’abord compte de rien. Lorsqu’il appuya son gros gland lubrifié sur mon sphincter, il résista une première fois. Au deuxième essai, toute résistance s’évanouit. Ma petite rondelle s’ouvrit d’elle-même. Je refoulai un soupir.Des mains me caressaient les seins, une autre jouait avec mon clito, une langue pénétra ma bouche. Je capitulai mentalement et m’abandonnai au plaisir, avec pour conséquence un relâchement total. Pourtant, je ressentis une légère douleur. Elle s’estompa rapidement. Alors seulement, je compris : Santi m’enculait. C’était dément. Sa bite était entièrement en moi. Déjà. Ses cuisses tapaient mes fesses. Ses couilles imberbes cognaient contre ma chatte et la main de Manon me caressait le clito.Il me laboura tendrement. Je partis en un orgasme violent. Santiago ne s’arrêta pas pour autant. Il accéléra même graduellement la cadence de ses pénétrations. Il m’enculait encore. Je hurlais de plaisir. Je dégoulinais de ma jouissance. D’autres orgasmes succédèrent au premier. Repue, au bout de moi-même, je m’effondrai.Tendu à l’extrême, Santiago se retira de mon anus distendu. Il éjacula plusieurs longs traits de sperme sur mes fesses, mon dos et jusqu’à mes cheveux.Tout de suite, Capucine et Manon léchèrent ces offrandes et vinrent chacune m’embrasser pour les partager avec moi.
— Je me sens déjà bien dans ma belle famille, déclara Capucine. Je sens que je vais aussi me plaire avec mes beaux-parents.
La soirée était parfaite.
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