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Une famille aux moeurs libérées

Chapitre 25

Le jacuzzi du dimanche après-midi

Orgie / Partouze
Chapitre 25 : Le jacuzzi du dimanche après-midi (orateur : Victor)
Comme souvent le dimanche en fin d’après-midi, nous étions fourrés chez Caridad et Josué. Dans le salon avec Josué, je regardais, une bière à la main et un bol de cacahuètes posés sur la table basse, un match de tennis à sens unique entre une joueuse belge et une espagnole. Le tournoi américain n’intéressait que peu nos deux femmes, Citlali et Caridad.En sourdine, nous les entendions discuter de choses et d’autres, attablées au bar de la cuisine. En cette chaude après-midi, la plantureuse Colombienne avait préparé un cocktail à base de rhum et de menthe fraîche pour elle et ma femme. Tout en dégustant la boisson bien corsée, elles évoquaient les nouvelles récentes.
— Ben, cette amie de Maëlys, puisque tu vois bien qui c’est, elle envisage de se faire refaire les pare-chocs.— Dans mes souvenirs, elle est plutôt mignonne.— Oui, Doan est le genre de fille toute fine et fragile en apparence. Mais, avec ses petites formes, je t’assure que c’est une belle affamée. J’y ai goûté, c’est une perle, confirma Citlali.— Un peu comme toi, en fait.— Si tu veux, mais comme je te disais, elle voudrait s’offrir une vitrine comme la tienne.— À t’entendre, on dirait que ce serait du gâchis ?— Je dis pas que ce serait du gâchis, je me demande ce qui est le mieux : une grosse paire et attirer tous les mecs ou une paire naturelle qui attire les mâles réellement intéressés ?— D’accord, je te comprends mieux. Même si pour moi, c’était un peu différent puisque je faisais un cadeau à Josué, confia la jolie Colombienne tatouée de partout. Accessoirement, j’ai mis fin à ma petite frustration d’avoir un cul trop gros par rapport à mes minis seins. J’ai rééquilibré le tout en somme.— Tu déconnes ?— Tu connais les petits complexes des femmes…— T’as pas attendu de te faire refaire la façade avant d’accueillir du beau monde par la petite porte arrière pourtant !— Non, c’est vrai ! Et heureusement d’ailleurs !
Josué et moi entendîmes nos deux femmes rires à gorge déployée.
— Je devrais la rencontrer pour lui donner mon avis et répondre à ses questions. Perso, j’aurais aimé en discuter avec une femme passée par là avant de passer à l’action, ajoute très sérieusement Caridad.— Ça me semble une excellente idée. Je lui en touche un mot tout de suite.
Citlali s’empara de son smartphone et envoya plusieurs messages à Doan. Avec Caridad, elles convinrent à trois d’un rendez-vous durant la semaine.Dans le salon, le match s’achevait. Quand un dernier coup droit raté de son adversaire finit sa course dans le filet, la brunette leva les bras en signe de victoire. Josué et moi n’écoutions pas plus attentivement que ça les commentateurs sportifs.

— Tu veux une autre ?, me demanda-t-il.— Avec plaisir.
Nous rejoignîmes nos deux femmes encore à la planification de leur rencontre. Tandis que Josué ressortait une bouteille de 75 cl de bière blanche de la porte du frigo, je me pris à les questionner sur leurs projets de travaux.
— Où en êtes-vous dans vos projets de travaux ? Maëlys vous a bien aiguillé ?— Ta fille nous a fait des plans et nous a aussi bien conseillé. On voit que malgré son jeune âge, elle sait déjà gérer l’aspect client de son métier, me répondit Josué en débouchant la bouteille.
Il me décocha un grand clin d’œil explicite par la même occasion.
— J’ai apprécié ses conseils, compléta pour sa part Caridad. Elle disait de plutôt percer le mur ici pour mettre une porte vitrée, plutôt que d’ouvrir une porte dans le salon.
Si leurs projets nous concernaient vu l’implication de notre fille en tant qu’architecte, il brûlait leurs lèvres de nous conter la suite de leur soirée avec Maëlys. Si bien qu’ils en vinrent vite à nous décrire leurs turpitudes et particulièrement celles de notre brunette.
— Elle léchait Cari quand elle lui a demandé pour prendre un selfie, s’étonna le Chilien.— Franchement, je m’attendais pas à ça, fit la Colombienne aux cheveux bleus.— Elle a fait pareil avec toi, hein Victor, précisa ma femme.— Oui, je venais de jouir sur son visage, elle en avait partout, et elle s’est prise en photo. Elle l’a tout de suite envoyé à Capucine. J’étais sur le cul !— Eh ben, elle a fait exactement pareil avec nous. Elle a envoyé les photos à sa copine. Et plusieurs puisque Cari en a pris d’autre avec le téléphone de Maëlys. C’est pour ça qu’elle nous a rejoints, expliqua Josué.— Oui, du coup, Capucine nous a rejoints plus tard, clarifia Caridad.— Ne t’arrête pas en si bon chemin, Cari, dis nous tout, supplia Citlali, tu nous chauffes là.— On était au jacuzzi et… Oh ! Ça vous dirait d’y aller ?, demanda-t-elle en s’interrompant déjà dans son récit.— Oui, excellente idée, lui répondit ma femme.
Nous nous dirigeâmes donc tous vers la terrasse avec verres et bouteilles. Venus chez nos amis sans amener nos maillots, le couple ne se formalisa pas lorsque Citlali et moi nous déshabillâmes entièrement. Caridad et Josué firent d’ailleurs pareil. Nous n’avions plus de secret l’un pour l’autre depuis longtemps. C’était d’ailleurs toujours un plaisir de voir la belle Colombienne tatouée et percée de partout se dévêtir. Pour ma part, j’appréciais aussi le corps de son mari, Josué, qui était tout aussi tatoué et rebelle avec sa crête à l’iroquoise. Entre nous quatre, nous avions accumulé autant d’heures de sexe qu’un avion de ligne a d’heures de vol. Être tous les quatre bisexuels jouait bien évidemment un grand rôle dans cette capitalisation.Bien installés dans les bouillonnements, Caridad reprit où elle avait laissé son récit.
— Je disais donc que même si on avait déjà bien coquiné avec Maëlys, et pas qu’un peu !, quand Capucine est arrivée, c’est reparti pour un tour. Josué a bien joué le coup en s’éclipsant un peu histoire que votre belle-fille se mette à l’aise. Puis, je vous épargne les détails, mais on a toutes les trois eu droit à une bonne sodo. La première fois pour Maëlys apparemment.— Oh mon salaud, t’es le premier à avoir eu droit à la petite porte avec Maëlys, m’exclamai-je, mi-vexé, mi-fier, mi-papa-poule.— Oui, et je peux te dire que si elle est étroite, elle est surtout très réceptive.— Comment a réagi Capucine en voyant Maëlys sodomisée ?, interrogea encore Citlali, le sourire aux lèvres, la main baladeuse.
Les seins des deux femmes se situaient juste à la limite entre l’air et l’eau. On aurait dit que les bouillons cherchaient à concurrencer les énormes seins lourds de Caridad.
— C’est à son initiative que Maëlys est passée à l’acte. Josué et moi lui avions déjà doigté le cul, mais c’est Capucine qui l’a incité à tester l’anal avec Josué.— Elle était bien préparée et surtout très excitée, c’est passé comme une lettre à la poste.— Je suis trop contente pour ma fille.
Au travers de l’eau, entre les bulles, je vis Citlali caresser les cuisses de son amie. La discussion m’avait profondément excité et il m’était désormais impossible de cacher mon érection. Le Chilien ne devait pas être dans un autre état.
— Eh bien moi, je serai heureux d’y faire un petit aller-retour, blaguai-je.— J’ai vanté les bienfaits de ta belle verge auprès des jeunes deux filles, renchérit Caridad. — D’ailleurs, si tu voulais lui donner un petit coup en profondeur, Cari serait comblée, rigola Josué.— Tu veux ?, lui demandai-je.— Mhmmm ! Attends que je réfléchisse… oui, avec plaisir !, fit moelleusement la Colombienne.
Sans attendre, je la rejoignis et me mis à l’embrasser tout en massant son dos, ses fesses, ses cuisses. Ma verge dressée cognait contre son ventre et le bas de ses gros nichons. Elle se retourna pour sortir son sublime popotin hors de l’eau. À genoux sur le banc du spa, elle m’observait d’un regard de défi rehaussé d’un petit sourire coquin. Je m’accroupis à mon tour pour positionner ma bouche à hauteur de sa rondelle. D’une main souple, je lui caressai les fesses. Mon doigt effleura son sphincter, lequel manifesta toute sa décontraction. Plus bas, le sexe de Caridad fondait déjà. Sa mouille affluait entre ses cuisses et l’eau du spa n’y était pour rien.Mes mains écartèrent ses généreux globes fessiers. Lentement, comme pour exacerber son envie, je déposai plusieurs fois mes lèvres de façon aléatoire sur son derrière. Pourtant, ce fut moi qui, n’y résistant plus, m’engouffrai dans sa raie. Ma langue lui polit délibérément l’orifice. Je lapai de temps à autre sa mouille s’écoulant directement de sa petite chatte.À nos côtés, Josué avait abandonné ses mauvaises vannes et toute velléité envers nous. Il embrassait ma femme et Citlali le branlait de ses deux mains. À moins qu’elle n’ait un ou deux doigts enfoncés dans le cul du Chilien.Plongé entre les fesses aux multiples tatouages, je ne vis pas Josué me mettre une claque monumentale sur le cul.
— Allez ! Vas-y ! Tu vois bien qu’elle attend que ça !, fit-il en explosant de rire.— C’est pas bientôt fini là !, explosai-je.— Calmez-vous les mecs, occupez-vous plutôt de nous, intervint Citlali en pouffant de rire.— Oui Victor, viens me la mettre. Je connais assez ta queue, pas besoin de me préparer plus longtemps.
Du haut de toute son expérience, Caridad était prête. Je me relevai un peu pataud de cette eau bien trop chaude. Mon membre tout congestionné s’introduisit crûment dans le magnifique cul qu’elle me présentait. Mon gland traîna bien ci et là aux abords de la rosette fripée. Mais ces attentions humides eurent tôt fait de détendre franchement le sphincter de la pulpeuse colombienne. Trois petites poussées suffirent pour y introduire mon champignon. Pour son plus grand bonheur, j’entamai gaillardement mon ramonage. Caridad appréciait grandement mes assauts au point qu’elle anticipait chacun de mes mouvements de pénétration. Elle couinait de temps à autre.Suite à l’injonction de ma femme, Josué avait pour sa part commencé à bisouter le corps de celle-ci. Il passa sa bouche sur chacun des tétons bruns foncés de sa modeste poitrine (eh oui ! Un mignon petit 85A dont je raffole). Tendrement, il glissa vers son ventre musclé qui, malgré ses 48 ans et ses deux grossesses, gardait une texture ferme. Le Chilien, qui affichait dix ans de moins au compteur, se délectait des formes somptueuses de ma femme, tandis que moi-même je ne me gênais pas pour tringler tant et plus la sienne. Il s’attaqua finalement à son petit triangle de poils noirs bien entretenu et à sa fente imberbe surplombée d’un clito ultra réactif.
— Viens Josué, sortons du jacuzzi, j’ai envie de te sucer, invita Citlali.
Visiblement, les attentions de Josué plaisaient à Citlali, mais elle ne pouvait rester sans s’occuper. Ils se déplacèrent donc jusqu’à un fauteuil de jardin et ma femme entreprit de le sucer. J’appris par après qu’il la lécha en 69 mais que, bien vite, il la posséda dans des positions toutes plus acrobatiques que les autres tout en lui doigtant le cul. Elle adorait ça. Ce ne fut que lorsqu’elle hurla son premier orgasme que je pris la peine de les admirer en plein coït.Ils firent une pause et se resservirent un verre et nous en proposèrent également un. Tout à mon affaire, je continuai à copieusement travailler l’anus de mon amante. Dès lors, seule Caridad but un verre de vin, ou du moins tenta, tout en recevant mes coups de butoir. Mais elle fut bien vite interrompue par un premier orgasme violent. Elle s’effondra sur le rebord du bain à bulle.L’occasion était belle de sortir de l’eau, ce que nous fîmes, mais elle refusa de faire une pause. Au contraire. Caridad réclama encore ma grosse queue avec tout de même un peu de lubrifiant. Citlali accourut et apposa sa propre cyprine pour lui lubrifier la rosette. De mon côté, j’entretenais sans précipitation mon érection. Avec Josué, nous observions nos deux femmes, si différentes l’une et l’autre, se rendre mutuellement service. J’espérais siroter un petit verre de blanc, mais bien vite, je fus rappelé à l’ordre.
— Victor, elle est à nouveau prête. Viens donc t’occuper de ma meilleure amie !, exigea mon épouse.— Avec plaisir !
Citlali m’incita à me coucher de dos sur un transat et la jeunette – elle avait tout de même quinze ans de moins que moi – vint s’empaler sans façon sur ma longue bite. Ainsi, elle maîtrisait mieux ses sensations et se ramona longuement. De mon point de vue, j’en profitai pour admirer et palper ses courbes. Je me délectai de ses énormes seins percés, ses cuisses, ses hanches, son ventre plat. Ses tatouages et sa chevelure bleue, qui régulièrement frôlait mon torse, contribuaient autant à mon excitation que son fourreau étroit.Derrière nous, Citlali et Josué devaient avoir repris leur corps à corps. De temps à autre, Josué émettait un grognement et Citlali d’indécents bruits de succion.
— Continue, Citlali, suce-moi !— Vas-y ma cochonne, pompe mon mec !, intervint Caridad.— J’y compte bien, répondit Citlali entre deux assauts sur la verge de Josué.— Oh p…, mollo avec mes couilles ! N’en fais pas de la purée non plus !, hurla Josué.— Viens me la mettre et arrête de te plaindre, mon salaud !, ordonna encore ma femme. Je suis une salope pire que ta femme ce soir.— C’est ce qu’on va voir !
Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, Cari finit par s’abandonner en un orgasme puissant qui lui fit contracter tout ses muscles.
— Ohooohooh ! Je jouiiiiis… pleura mon amante.
Je parvins à me retenir encore une fois. Mais avec ses déhanchés verticaux, les cuisses de la belle colombienne avaient pris cher. Elle se positionna alors en cuillère. Je pus poursuivre indifféremment sa sodomie en palpant ses seins et son formidable cul. D’une main, je titillais ses piercings afin d’en agacer les tétons érigés en les tirant légèrement. A se fier aux couinements qu’elle produisait à nouveau, Caridad retirait un plaisir au moins aussi important que de sa sodomisation.
— Hu ! Huu ! Oh… Huu !, glapissait-elle.— Oui ! Oui !, déblatérait crescendo ma femme. Donne tout ce que tu peux !
Nos deux belles pouliches atteignaient un summum en termes de plaisirs sexuels. C’est à l’unisson qu’elles jouirent d’être pourfendues par nos bites. Elles s’embrassèrent goulûment, alors que Josué et moi éjaculions chacun sur les seins de sa propre femme. Elles conclurent la séance en lapant chacune le sperme du mari de l’autre sur le corps de leur vis-à-vis.
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