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Une famille aux moeurs libérées

Chapitre 26

Trio en fête avec une belle trans

Avec plusieurs femmes
Chapitre 26 : Trio en fête avec une belle trans (orateur : Santiago)
À la veille du 15 août, nous aurions pu nous rendre dans le centre de Liège et participer aux festivités. Cependant, ni Manon ni moi n’étions Liégeois, donc ce fut avec plaisir que nous répondîmes favorablement à une invitation d’amis bruxellois. Hugo, Thomas et Daphné vivaient en colocation dans une petite maison du côté de la station de métro Tomberg, sur la commune de Woluwe-Saint-Lambert. Ce sont de bons potes sans embrouilles et avec qui nous faisions régulièrement la fête.Une bouteille de vin rouge à la main, Manon sonna à la porte. De l’extérieur, on pouvait entendre la musique et les conversations. Trois ou quatre marches en retrait derrière Manon, je ne me retenais pas d’admirer son joli fessier mit en valeur par son pantalon en cuir noir. Sa petite veste en jeans cachait son haut, mais dans le métro, j’avais repéré ses bretelles de soutif noires sous son débardeur moulant.Thomas, une bière à la main, nous ouvrit le sourire aux lèvres.
— Salut Manon, ça va ? Tchu ! T’es jolie habillée comme ça !— Salut, beau parleur !— Salut Thom-Thom ! Voilà notre contribution, fis-je en lui offrant un bon fromage de chèvre frais et une baguette.— Merci San-Trago !
Il s’écarta pour nous laisser nous faufiler dans le couloir, entre des vélos et des casiers de bière empilés. Je le soupçonnai de nous avoir cédé la priorité pour mater tranquillement le fessier de ma copine. Comment lui en vouloir ?L’ambiance était bien présente. Nous fîmes le tour des convives pour les saluer. Entre bises et checks hérités des gestes anti-covid, chacun se distinguait. Rapidement, Thomas nous servit une bière ou une sangria et nous nous noyâmes dans la cohue.La soirée suivi son cours jusqu’à ce que je tombe nez à nez avec Sarah. Elle venait d’arriver, car j’étais persuadé qu’elle n’était pas présente à notre arrivée.
— Tiens, qui voilà ? Tu vas bien ?— Sarah ? Si je m’attendais à te voir ici !— Et pourquoi pas ? Daphné et moi sommes amies depuis l’école primaire. On a partagé quelques nuits aussi.— Toujours aussi cash !— Toujours ! Et toi, t’es là par qui ?— Je connais Hugo, Daphné et Thom-Thom depuis notre première à l’unif.— T’es venu seul ?— Non, ma copine traîne par là.— Dommage ! Mais t’en profiteras pour me la présenter.
Pour rappel, c’était entre autres à Sarah que j’avais demandé des conseils pour trouver un homme pour un premier trio (lisez ou relisez le chapitre 12). J’entamai une conversation avec elle, avec tous les sous-entendus que ce genre de fille impliquait. Cette jeune femme pulpeuse, pour ne pas dire potelée, m’avait toujours attiré sexuellement. Paradoxalement, elle me déstabilisait par sa franchise et son absence de tact, volontaire ou non.
— Dis-moi, vous avez trouvé un bon candidat pour votre trio ? Je n’ai pas eu de suite à ton message.
Manon se rapprocha de nous, plus ou moins entre le moment où Sarah m’interrogea sur notre première expérience en trio (lisez ou relisez le chapitre 19) et où je lui racontai notre deuxième trio, cette fois avec un serveur après un resto (lisez ou relisez le chapitre 23). Le visage de ma rouquine se décomposa légèrement lorsqu’elle m’entendit détailler nos exploits avec un autre homme. Je la pris par la main dès qu’elle fut à ma portée. Je finis toutefois mon explication à Sarah, avant de m’adresser à elle.
— Tu tombes bien Manon, voici Sarah. Tu sais, je t’en avais déjà parlé.— Salut, fit-elle, sans savoir comment se comporter face à cette fille : amie ou concurrente ?— Salut Manon, contente de te connaître. Santiago me racontait justement vos dernières expériences.— Ça te dérange pas ?, interrogeai-je Manon.— Euh… C’est un peu intime quand même.— J’avais envoyé un message à Sarah quand on cherchait, tu te rappelles ?— Oui, oui. Alors c’est moins gênant, enfin, presque…— Je lui racontais comment Ghislain nous a rejoints le lendemain de notre sortie au resto à Boitsfort, et comment tu nous as sucé.— N’oublie pas de lui dire que t’as aussi sucé ta première bite ce jour-là !, m’envoya une Manon revancharde.— Ah, tu as sauté le pas ! Super !, bluffa Sarah.
Soit elles arrivaient à s’entendre, soit ces deux pouliches allaient s’entre-déchirer. Pour calmer le jeu, je dépeignis notre matinée en mettant l’accent sur mes découvertes homosexuelles, plutôt que sur la part de Manon. Je lui laissai le beau rôle, celui de la femme tout en maîtrise et en domination. D’un regard, je sentis qu’elle me remerciait.
— Je savais que t’étais un mec bien et ouvert, Santiago. Tu m’as complètement émoustillée avec ton récit. Ta copine est très très chanceuse de t’avoir !, déclara-t-elle en lançant un clin d’œil à Manon.
Son ton était très sincère, pas condescendant comme ça pouvait lui arriver. Je racontai encore à Sarah, avec l’approbation de Manon, pourquoi nous en étions venus à la contacter, elle et quelques autres amis. Elles rirent toutes les deux à l’une ou l’autre caricature des candidatures loufoques des sites de rencontre que je décrivais.Plutôt méfiante de prime abord, Manon regarda la brunette avec un autre œil dès qu’elle la vit rire joyeusement. Les belles et opulentes courbes de Sarah tressautaient régulièrement dans son décolleté ouvert sur ses gros seins. Un bonnet C, peut-être D, mais un peu plus modeste que ceux de Manon.Je ne sus pourquoi la discussion revint à cela mais, avant qu’elle ne s’éloigne, Sarah avança plusieurs compliments à ma copine. De manière déconnectée du reste de notre discussion, comme ça lui arrivait parfois.
— Manon, j’ai envie de te dire que tu es magnifique. J’adore tes cheveux et ton style. Si un jour ça te prend, j’apprécierai te goûter plus en profondeur. Si vous êtes d’accords bien sûr, puisque vous fonctionnez ainsi, et si tu es bi évidemment.— Je… euh… Merci ! C’est tout nouveau pour moi, répliqua Manon, comme s’il était normal de se présenter en affichant son orientation sexuelle, mais je suis pas contre une baise entre filles.
Elle appuya sa déclaration d’un sourire spontané. Le rose lui monta au nez presque aussitôt. Une sonnerie annonçant un message retentit pendant un blanc entre deux pistes mal gérées par le DJ improvisé. Sarah dégaina son smartphone et se précipita pour en lire le contenu.
— Pour vos plans cul, j’ai une excellente transition à vous proposer vers un trio avec une femme, reprit-elle avec aplomb. J’ai une amie, Raphaëlle, qui devrait plus trop tarder, que je pourrais vous présenter. On se retrouve tantôt, si ça vous dit.
La belle brunette décocha à nouveau un clin d’œil et tourna les talons tranquillement, nous laissant admirer son joli cul. Imposant, mais bien rond. Elle s’en alla rejoindre Raphaëlle qui venait justement d’arriver, mais ça nous ne l’apprîmes que bien après.
*

Nous reprîmes le cours de notre soirée en discutant avec Hugo et d’autres convives, la plupart étant des amis communs. Hugo était visiblement fan de Sarah, sans pour autant la connaître personnellement. Il vantait les atouts physiques de cette « chouette copine » de Daphné.Avec Manon, nous nous concertâmes dès que, concours de circonstances, nous fûmes seuls à la cuisine.
— Elle a voulu dire quoi à propos de son amie ? J’ai pas compris, me questionna Manon.— À propos de Raphaëlle, tu veux dire ?— Oui. Elle est mystérieuse, ta pote.— Pas tant que ça, lui dis-je. Attends, je vais te montrer, je cherche son message.
Sur mon smartphone, je retrouvai notre conversation qui commençait à dater.
[SMS,Sarah,]< Je peux te brancher sur une pote très sympa. Tout dépend de votre degré d’ouverture, mais te connaissant ça devrait pas poser de problème. Elle s’appelle Raphaëlle. Elle a un beau corps, une belle poitrine et une belle bite. Je t’envoie son numéro. Dis-lui que tu me connais. Et si jamais vous cherchez une fille, à l’occasion, n’hésite pas à me contacter. ;)
— Ah ouais !, s’exclama Manon dont les yeux s’écarquillèrent.— C’est moi, ou tu viens de me sortir un de tes sourires coquins ?— J’avoue : je viens de mouiller mon string en trois secondes !— Mais, je t’en avais déjà parlé de cette transsexuelle, fis-je vraiment étonné.— Peut-être, je me souviens pas, mais je viens de connecter mon cerveau et mes fantasmes.
De mes mains, je l’attirai à moi le temps que Gilles et Hugo se servent dans le frigo. Je palpai sans vergogne son petit cul habillé de cuir. Dans mon cou, elle déposa de petits bisous. Puis, elle me souffla à l’oreille une drôle de demande, alors que les deux gus s’effaçaient.
— Je serai réglée demain ou lundi. On se ferait pas un petit extra ce soir ? Tout bien pesé, je trouve que Sarah a eut une excellente idée…— Tu veux proposer un trio à Sarah ?— Non, t’es con ! À Raphaëlle.— Tu la connais même pas.— Sarah va nous la présenter.— Et Sarah, tu la trouves comment ?— Sarah après. J’adore ses formes pulpeuses et son côté franc-tireur, mais une autre fois. Raphaëlle d’abord. L’idée d’une trans me fait mouiller grave. D’accord, mon petit pervers préféré ?— Dans ces conditions, comment te refuser quoi que ce soit ?, m’enthousiasmai-je.— Fais-toi à l’idée que tu vas prendre une bite dans le cul ce soir, mon chéri, claironna-t-elle, fière de son coup et quittant la cuisine à la hâte.— Ah !, fut la seule chose qui sortit de ma bouche.
*

Quand je ressortis à mon tour de la cuisine, Manon avait déjà rejoint Sarah à l’autre bout du salon. Je me frayai un chemin entre nos potes. Je vis, dans la même bulle que formaient Manon et Sarah, une troisième jeune femme. Elle devait être aussi grande que la brune et cinq centimètres de plus que ma belle rousse, peut-être 170 cm ou légèrement plus. À vue de nez, je lui mettais 27-28 ans, ou juste un peu plus. Sans précipitation, je fis un crochet par le buffet où les bouteilles de vin ouvertes attendaient ma venue. Je remplis mon verre de rouge et remplis le dernier verre à pied propre de blanc pour Manon.— Tiens, revoilà aussi Santiago, me lança Sarah.— Re, fis-je en tendant le verre de blanc à ma copine. Bonjour ! Raphaëlle, je suppose !— Vous tombez bien, je parlais de vous deux à Raphaëlle. Donc Raphaëlle, voilà Manon et Santiago.— Oui, je me suis doutée. Ils correspondent à ta description : une rouquine avec un joli minois et un gros pare-chocs, et un grand brun athlétique très mignon. Vous faites un beau couple tous les deux. Enchantée !— Oh, comme t’y vas !, rigola Manon.— Je ne m’attendais pas à ce que vous reveniez si vite. Seriez-vous plus coquins que vous n’en avez l’air ?— Nous ? Des coquins ? Des libertins ? Jamais !, répondis-je d’emblée.
Ma vanne improvisée déclencha l’hilarité des trois jeunes filles. L’alcool devait certainement aider à cette réaction exagérée. Sarah et Raphaëlle précisèrent avoir déjà pourquoi nous étions là. La brunette potelée, au moyen d’une dernière pirouette, s’éclipsa en blaguant au sujet de sa culotte mouillée et son besoin de chasser du gibier pour sa nuit, faute de prétendants pour le moment. Elle prétexta attendre son billet pour un plan à quatre un autre jour, quand notre agenda sera ouvert à cette perspective.Avec Manon, nous nous retrouvâmes un peu bêtes devant Raphaëlle. Cependant, ce fut elle qui prit l’initiative. Et comment !
— Bon, les deux tourtereaux, avant de distribuer le bien, j’ai plutôt envie de danser un peu. Pas vous ? On s’occupera des propositions de Sarah plus tard.
Nous nous retrouvèrent à nous trémousser sur la musique, pas toujours à la hauteur, que nous offrait un ami DJ de Thomas. Mine de rien, Raphaëlle nous chauffait. Une main par-ci, une caresse par là. Au bout de trois ou quatre morceaux, elle avait palpé tout ce qui était palpable. J’avais de plus en plus de mal à cacher mon érection. D’un regard, Manon me confirma qu’elle aussi subissait cette agréable sensation d’être électrisée. Ses tétons tout durs déformaient son soutien-gorge et son débardeur moulant.La fête était à son comble. Nous passions relativement inaperçus entre tous les convives éméchés, mais nous n’étions pas non plus hyper à l’aise. Inopinément, Raphaëlle nous proposa d’aller prendre l’air. Un petit détour par la cuisine et nous sortions, une bière à la main.
— Pfff, vous m’avez donné vous deux !— Pourtant, c’est toi qui nous chauffe depuis tout à l’heure, rétorqua Manon.— T’avais pas envie ?— Très ! … D’ailleurs, poursuivit-elle après un bref instant de réflexion, Santi et moi, on voulait te proposer une partie de jambes à nous trois. T’en dis quoi ?
Elle avait lâché cette demande sans préambule, ni concertation avec moi. Mais, je fus très heureux qu’elle ait pris l’initiative. Je commençais à trouver la musique particulièrement nulle.Elle rit.
— Pour moi, ça allait de soi !— Ah ! … je croyais qu’il fallait te convaincre…— Mais non ! interjeta la jolie trans. Une biche comme toi et un beau gosse comme ton mec, ça se refuse pas. Par contre, ma culotte n’est pas mouillée, mais je commence à avoir du mal à cacher mon érection à force de te reluquer. Alors, pour faire vite, vous préférez plutôt quel menu ?— Euh… bugua Manon.— Fais pas ta timide, sortit encore Raphaëlle, fixe tes limites et pour le reste, on verra au feeling.
Elle prit ma copine par les hanches et l’embrassa à pleine bouche. Manon, d’abord surprise, succomba. Leurs langues voguèrent d’une bouche à l’autre.En parallèle, Raphaëlle posa sa main dans mon dos et m’encouragea à me rapprocher. Quand ses lèvres abandonnèrent celles de Manon, elles s’exilèrent vers les miennes. Mon torse était collé aux épaules de chacune des filles et la main d’invitation de la trans avait glissé vers mon cul. Notre baiser avec Raphaëlle fut tout aussi fougueux, mais lorsqu’il cessa, ce fut Manon qui m’embrassa à son tour. Cet échange tripartite m’avait tout l’air d’une signature de contrat avec un je-ne-sais-quoi de sensuel, presque romantique.
— Ma limite ? C’est… s’aventura Manon. J’ai envie de deux bites… j’ai envie d’une double pénétration, mais Santiago en a une très grosse donc… enfin, faudra voir quoi…— Oh, très intéressant ça !, fit la brune en déplaçant sa main de mes fesses vers la fermeture éclair de mon jeans.
Elle décocha un clin d’œil à l’intention de Manon avant de reprendre.
— Donc, tu veux du trash, du bondage et du bien crade. On va bien s’amuser avec tes grosses loches, y a de quoi faire, tu vas voir !
Je ne pus m’empêcher de rire en décelant le second degré instillé par Raphaëlle dans cette remarque. Manon ravala sa salive et ouvrit grand les yeux.
— Non, non, pas du tout. J’ai pas du tout envie de SM, ni de crade, je suis trop couillonne pour ça !— Ne t’en fais pas, j’aime pas ça non plus, pouffa la trans. Et toi, Santiago ? On ne t’entend plus.— Oh, moi ? Selon le feeling, ça me va.— Il est mûr pour, lui aussi, se prendre une bite si t’en as pas une trop grosse, intervint Manon qui a son tour décocha un clin d’œil lourd de sous-entendus.— Ça, c’est moins sûr.
Hugo et Daphné sortirent de la maisonnette à cet instant. En apparence, ils voulaient fumer une clope. Nous en profitâmes pour les saluer, puis reprendre nos affaires et ficher le camp discrètement. Dans le métro en direction de notre appartement, Raphaëlle nous expliqua rapidement sa vie, ou plutôt son ancienne vie.
*

Ainsi, Manon et moi apprîmes qu’avant elle s’appelait Fabio. Là, soudainement, la mémoire me revint. J’avais déjà rencontré Raphaëlle lors d’un job d’étudiants pour la fac. Une prof m’avait, en effet, chargé de rencontré des transsexuels de la communauté bruxelloise et de réaliser des entretiens selon un canevas bien précis. Hasard des rencontres, Raphaëlle avait répondu à mes questions pendant plus de deux heures. Elle se souvenait de moi, moi pas. Mais elle ne m’en voulut pas car, depuis lors, elle avait continué sa transformation.D’un corps d’homme, certes un bel homme, fin, affable et bien monté malgré sa petite taille (pour un homme), Fabio avait migré vers un corps aux courbes exagérément féminines. Fabio mourut le jour où, à dix-huit ans, il admit sa première bite dans son anus et où son partenaire du moment, un mec très doux six ans plus âgé, l’a traité de « petite salope ». Dès cet instant, il comprit. Il avait adoré cette expérience homo. Néanmoins, il s’était senti femme dans un corps d’homme. Un bel homme, mais une vraie femme. Une femme bisexuelle qui voulait s’habiller comme une femme féminine, branchée, sexy. Et être considérée comme telle. Raphaëlle adorait depuis lors se trémousser dans les soirées, chauffer des mecs ou des femmes, user et abuser de ses nouvelles courbes (95D) et de son principal atout de son ancienne vie, sa longue queue (20 cm tout de même !). Son identité, elle la définissait comme intermédiaire : ni totalement homme, ni totalement femme, juste totalement trans. À maintenant trente ans, elle n’envisageait pas de se séparer de son signe extérieur de richesse, comme elle l’avait défini dans son entretien avec Santiago, par contre, elle avait subi plusieurs opérations (seins, bouche, pomme d’Adam, pommettes, etc.) en plus de prendre des hormones.Personnellement, je la trouvais très belle.
*

Arrivés chez nous, tout s’enchaîna très rapidement. Manon, dont les mamelons érigés sous son débardeur trahissaient l’excitation, embrassa puis baissa le jean clair et moulant de Raphaëlle. Agenouillée devant elle, elle retira le tanga serré qui dissimulait une longue bite. Sans plus attendre, elle suça brièvement Raphaëlle pour le mettre en forme. À mon tour, j’embrassai et caressai Rapha. N’en pouvant plus, j’envoyai valser mon froc et mon boxer pour soulager mon érection douloureuse.Assise sur le bord du canapé-lit, Manon se retrouva avec une deuxième queue sous les yeux. Elle engloutit du mieux qu’elle put ma grosse pine. Elle ne tarda pas à m’humidifier le cul. Depuis la déclaration d’intention de ma copine, je m’étais préparé à cette idée. Très réactif, mon sphincter aurait déjà pu prendre un, voire deux de ses doigts fins. Raphaëlle, qui entre temps avait baissé son jean et son tanga et se caressait délicatement, me plaça à genou devant elle. Nullement intimidé, je me mis à sucer le long atout de la jolie transsexuelle.Manon ne perdit pas de temps non plus. Elle fila chercher du lubrifiant et revint, tout aussi vite, me procurer un anulingus baveux. Tout à mon affaire, je sentis ses doigts, un à un, me pénétrer. À cet instant, je pris le taureau par les cornes et décidai d’aller jusqu’au bout. Estimant que j’étais prêt, Manon s’écarta pour se débarrasser de son pantalon de cuir ultra moulant et de son débardeur tout aussi moulant. Sa grosse paire s’en trouva libérée. Seul son petit string noir trempé tentait désespérément de couvrir un peu de sa peau blanche.
— Il est fin prêt, si tu veux venir.— Et comment !, réagit Raphaëlle en dégageant sa tige de ma bouche.— Je lui en ai mis trois sans forcer.
Je me mis à réfléchir à toute allure. Néanmoins, au lieu de me cabrer, je me détendis totalement. J’étais comme apathique, et à la fois favorablement consentant.Manon tendit une capote à Raphaëlle. Équipée et lubrifiée, sa belle et fine bite se nicha dans mon sillon fessier. De ses mains douces, Raphaëlle me cajola les fesses et le bas du dos. Puis, brusquement, une main claqua violemment sur mon cul.
— Eh ! Ça, je suis pas fan !, criai-je.— Et ma bite qui t’encule, t’es fan ?— Oh ! P…
Profitant de ma surprise, Raphaëlle m’avait profondément enfoncé sa queue.
— Mmhh, c’est bon… !
Très bien préparé, son gland n’avait eut aucun besoin de forcer mon sphincter. Je me sentais chaque centimètre de son long manche bien dur m’emplir. La sensation était délicieuse.Je ressentis un mélange de fierté et de plénitude physique et mentale. Ce fut à peine si, à l’inverse, je sentis Manon me branler sur un rythme identique aux mouvements de bassin de Raphaëlle. Les yeux verts de ma copine brillaient d’excitation. Elle me masturbait amoureusement.
— T’es beau, Santi ! J’adore te voir avec une bite dans le cul !— Il est étroit ton mec, mais ça coulisse bien.
Après un temps ni court, ni long, juste indéfini, Raphaëlle vida tout son influx dans la capote figée au plus profond de mon anus. Cette nouvelle sensation interne fut celle qui déclencha mon propre plaisir. Je me répandis sur la serviette que Manon avait eut la prévenance de disposer sur le canapé.
— Je t’aime, mon petit enculé chéri, déclara Manon en léchant un peu de mon sperme collé à ses doigts.
En se redressant, elle déposa un baiser sur mes lèvres. Puis, lentement, dans des gestes calculés, elle se planta devant moi, roula son string sur ses cuisses et me fourra sa chatte dégoulinante en bouche. Encore dans les vapes, je lapai autant que je pus cette délicate offrande.Cependant, ça ne dura pas. Manon parvint à s’extirper de mes coups de langue désordonnés. Plus excitée que jamais, elle avait décidé d’y couper court.
— Vous voulez boire un truc ?— Riche idée, t’as quoi ?— Bière, tequila, vodka, jus multifruit, jus de tomate… fit Manon en s’éloignant vers la kitchenette.— Un jus de fruits, ce sera super, répondit la trans en lui emboîtant le pas.
Affalé sur le canapé, j’émergeai seulement. La queue pendante et l’impression d’avoir l’anus béant, je me pointai à mon tour dans la kitchenette. Les filles discutaillaient en sirotant leur jus de fruits. Tranquillement, je me roulai un joint.
— Mets-toi à l’aise, Rapha, m’immisçai-je à contre-courant de leur dialogue, sauf si tu veux déjà repartir.
Raphaëlle était la seule à encore porter des vêtements. Elle retira, le plus naturellement du monde, son tanga, son chemisier beige et soutien-gorge. Son 95D arrogant de fermeté siliconée parut narguer le 85E de Manon. Elles n’en poursuivirent pas moins leur conversation.Le joint circula entre nous. Une fois qu’il fut parti en cendres, j’affichai une érection monumentale. Sans honte, je palpai le service trois pièces de notre invitée. Ses couilles rikiki contrastaient avec sa longue bite à nouveau tendue. Imperturbables, les filles parlaient encore, se gondolant de temps à autre.
— Bon, si tu t’occupais de nous, qu’on te rende la pareille, ma grande, suggérai-je à Manon.— Tu veux un deuxième tour ?, rétorqua-t-elle un brin espiègle.— Je veux surtout te voir jouir, comme une belle salope.— Humm ! Je suis restée sur ma faim.— Viens, suce nous alors !, renchérit Raphaëlle.
Échaudée, Manon s’approcha pour sucer goulûment nos deux bites simultanément. Nous remettre état ne fut pas bien long. Elle réclama bien vite sa petite sodomie. Je pris donc quelques minutes pour la préparer à grand renfort de doigts et de gel lubrifiant.Raphaëlle, la queue droite comme un « i », s’assit au milieu du canapé. Manon en profita un instant pour insérer sa langue dans son anus. Lequel réagit au quart de seconde. Toutefois, l’adorable trans rectifia la trajectoire et attira Manon à elle.Avec ma bénédiction, ma rouquine préférée se positionna de part et d’autre de Raphaëlle. Elle lui enfila une capote, tandis que son propre petit cul semblait vibrer à l’idée d’être embroché. Elle tint elle-même la longue bite à l’orée de sa pastille. Tout doucement, dos à Raphaëlle, elle descendit graduellement. Son conduit anal s’élargit pour engloutir aisément le double décimètre de chaire vive. Elle n’émit un grognement de plaisir qu’une fois arrivée au bout.Alors que Raphaëlle lui pelotait les fesses sans vergogne, Manon joua deux ou trois fois au ressort avant de m’appeler à la rescousse.
— Viens, démonte-moi !
Elle se coucha de dos sur Raphaëlle avec, toujours, sa longue queue fichée en elle. Sur le point d’accomplir le fantasme de ma copine, je lui caressai d’abord le clito, déclenchant de nouveaux geignements explicites. Enfin, je m’engageai dans sa petite chatte imberbe. Mon gland la transperça délicatement d’abord, se reculant plusieurs fois, sans aucune brusquerie.À l’étage inférieur, Raphaëlle demeurait immobile. La queue entièrement dans le cul de la rouquine, elle en profita néanmoins pour lui tripoter sa grosse poitrine.
— Allez-y ! plus fort ! Je veux me sentir chienne !
En cœur, nous nous mîmes tous deux à labourer ses orifices. Nos coups de boutoir, au début aléatoires, s’harmonisèrent progressivement. J’empoignai les cuisses de Manon et les relevai, ce qui pour eut pour effet d’accentuer la profondeur de la pénétration. Je l’embrassai, manquant de me faire mordre tant elle serrait les dents de plaisir.
— P… c’est trop bon ! P… Oui ! Hummmpfff… Oui, p…
Elle partit soudainement dans un charabia inintelligible où ne pûmes saisir que le plaisir extrême qu’elle ressentait.Bientôt, elle rugit d’un premier orgasme.Ayant cessé un moment nos déhanchés, nous recommençâmes de plus belle. À sa demande. Elle s’emporta à nouveau, chaque fois que Raphaëlle ou moi lui pincions un téton ou jouions avec son clito. Vaincue par les orgasmes puissants ou leurs répliques, Manon s’effondra, électrisée jusqu’au bout des oreilles.Assis l’un à côté de l’autre, Raphaëlle et moi branlâmes chacun l’autre. Pourtant, ce fut Manon qui, prenant conscience de notre état, accourut pour nous masturber énergiquement.
— Je vous veux dans ma bouche !
Raphaëlle explosa la première directement dans la gorge de ma copine. Sa suceuse dût en recracher un peu, mais capta l’essentiel pour l’avaler. Quand se fut à mon tour d’éjaculer, Manon ne se comporta pas différemment. Elle pompa tout ce qu’elle put, mais n’avala rien. Elle se présenta au-dessus du visage de Raphaëlle et régurgita ma semence dans sa bouche. Notre amie, à notre grand étonnement, n’avala, ni ne recracha l’offrande. Elle se dirigea vers moi et suivit le même scénario que Manon.Médusé, j’ouvris la bouche, mécaniquement, pour recevoir mon propre sperme directement de la bouche de Raphaëlle. Manon vint parfaire cette communion en m’embrassant à pleine bouche. Nos langues passèrent d’une bouche à l’autre. Mon sperme se mélangea avec nos salives et se dilua peu à peu. Je sentais ses seins s’écraser sur mon torse et ses tétons poindre contre ma peau.
— Waaww ! Bordel ! Je regrette pas d’avoir suivi les conseils de Sarah. Vous excellez dans le vice vous deux !
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