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Une famille aux moeurs libérées

Chapitre 28

Enceinte et en chaleur

Orgie / Partouze
Chapitre 28 : Enceinte et en chaleur (orateur : Santiago)
Manon referma la porte derrière nous. Nathan, en boxer devant moi, affichait un petit sourire désarmant.
— Vas-y ! C’est le moment, Jelena, ils sont là, dit-il en se tournant vers la kitchenette.
Débarqua alors une petite brunette, les cheveux noir profond, une paire de lunettes rectangulaires sur le nez, en nuisette quasi transparente sous laquelle on pouvait voir de jolis petits seins arrogants et un string noir. Elle se mit à chanter, en tenant dans les mains un gâteau sur lequel trônait une dizaine de bougies.
— Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire Santiago, reprirent-ils tous les trois en cœur, joyeux anniversaire !— Mais… qu’est-ce que vous foutez là !, balbutiai-je.— Bon anniversaire, mon chéri !, ajouta Manon, un immense sourire barrant son visage. Ton cadeau te plaît ?
Mon cadeau ? Qu’est-ce que c’était que ce cirque ? J’étais devant un curieux tableau : un mec assez mignon en calbut manifestement en érection me faisait face, une meuf très jolie même, si toute petite, en nuisette et string se pointait avec un gâteau avec des bougies. Au sol, étaient posé trois matelas et, quand je me retournai vers elle, Manon se désapait !
*

Un flash back s’impose. On était le vendredi 19 août. Date particulière pour moi, puisque je fêtais mon anniversaire. J’appréciais toujours passer ce cap avec des amis ou ma famille à boire, danser, déconner, faire la fête. Néanmoins, depuis que j’étais avec Manon, nous avions décidé d’ajouter à ces festivités un peu de temps rien qu’à nous. Demain, ce sera le temps de la fête avec la famille et les potes. J’avais laissé les rênes de la soirée à Manon. Après tout, j’adore les surprises ! J’ignorais tout du programme, et tant mieux.Pas à pas, je découvris donc la soirée. Le repas dans un bon petit resto de quartier s’achevait, ma copine annonça la suite.
— Dépêchons-nous de manger notre dessert, la première partie du concert va bientôt commencer. Ce serait dommage de louper la tête d’affiche ! Un groupe anglais, je crois…— Quoi ? T’as des places pour le concert ?! Non, sérieuse !— Si, si !
J’engloutis ma mousse au chocolat en trois cuillerées et, une fois sorti de l’établissement, je pressai le pas dans la rue. Manon avait du mal à me suivre mon rythme effréné.
*

[SMS,Jelena,Manon]< Salut Manon, tu cherches toujours un mec pour un plan cul ?> Salut Jel, non plus trop> Enfin c’est plutôt qu’on a sauté le cap depuis. Pourquoi ?> Tu vas bien sinon ?

Jelena… Quand Manon l’avait contactée, voici de ça quelques semaines déjà (relisez le chapitre 12), elle n’avait pas reçu de réponse. Elle avait cru s’être lourdement trompé sur le cas de Jelena et son copain, Nathan. Manon était pourtant persuadée qu’ils étaient vraiment très open, libertins, voire pire encore. Dans le sens ouvert du terme, bien sûr. Elle s’en était mordue les doigts, croyant avoir perdu toute crédibilité vis-à-vis de cette bonne copine, jusqu’à ce que finalement Jelena lui réponde par un message anodin et sur totalement autre chose, après au moins une dizaine de jours. Manon en avait été rassérénée et la vie reprit son cours.Jusqu’à ce fameux message. Mais ça, je n’en sus rien du tout. Ou alors bien plus tard.
*

Resto, concert d’un de mes groupes préférés à l’Ancienne Belgique (salle de concert située dans le centre-ville de Bruxelles), j’avais été gâté par ma copine pour mon anniversaire.
— Génial ce concert ! Merci, ma biche !
J’embrassai Manon dans le cou tout en la serrant contre moi.
— On va prendre un verre ou on va danser quelque part ?— T’as pas plutôt envie de rentrer chez nous ? J’ai une furieuse envie de baiser !— Oh ! Proposé ainsi, je te suis, coquine !— D’accord, mais moins vite que pour aller au concert. On a le temps…
Amoureusement, je lui pris la main et nous nous dirigeâmes vers l’arrêt de bus le plus proche. Il devait être 23h30 à peine.La clé tourna dans la serrure, la porte s’ouvrit et je tombai nez-à-nez avec un mec nu, ou presque. Il portait pour tout vêtement un boxer bleu marine et avait visiblement la bite au garde à vous.Après qu’ils eurent chanté « Joyeux anniversaire » et se soient fichus de ma tête, Manon m’expliqua le contexte. Ma copine avait tout manigancé dans mon dos. Elle se révélait en parfaite organisatrice de soirées de débauche.
— Tu te rappelles quand on cherchait un mec pour notre premier trio ?— Oui, oui.— Ben, j’avais envoyé un message à Candice et un autre à Jelena. Mes deux copines les plus… enfin, celles qui me semblaient les plus open. Candice a vite répondu et on a testé « son option ». C’était très cool. Mais Jel ne m’a répondu que dix jours plus tard. J’ai cru qu’elle désapprouvait notre comportement, donc je n’ai pas poussé la conversation plus loin, trop contente de déjà juste conserver notre amitié… Mais si Jelena ne m’avait pas répondu, c’est parce qu’elle était… enfin, elle est toujours enceinte…— Oui, je vois ! Tu es superbe avec ton beau ventre !— Merci, fit l’intéressée dont le ventre hyper gonflé était impressionnant de rondeur.
Désormais débarrassée de sa petite robe d’été, Manon poursuivit ses explications alors que, peu à peu, ses gros seins pointaient au travers de son soutif en dentelle vert émeraude. Cette couleur s’accordait à la perfection avec ses yeux du même vert et ses boucles rousses. Son shorty en tulle et dentelle trahissait une légère humidité au niveau de l’entre-cuisse.
— Il y a trois jours, Jelena m’a renvoyé un message avec une demande particulière, raconta encore Manon en lançant un regard à la fille à lunettes. On a discuté et on s’est mises d’accord entre nous. Hier, Nathan est passé prendre les clés de rechange du kot (petit appartement pour étudiants en Belgique) pendant ta sortie en VTT. Et maintenant : surprise ! À nous les plaisirs !— Oui !, rajouta joyeusement la Belgo-Croate. On passe un peu pour des salopes sur ce coup-là… mais vous avez les copines que vous méritez !— Bien d’accord, opina Nathan tout aussi jovial !— Tu viens souffler tes bougies, Santiago, m’invita Jelena. Ou tu préfères qu’on se rhabille et qu’on vous laisse seuls ?
Je n’hésitai pas la moindre seconde. En trois pas et d’un même souffle, j’éteignis les bougies. Nous partageâmes le gâteau pour nous mettre en appétit. Avec les émotions et le concert, il tombait à pic.
— Hep, hep ! Si tu veux du gâteau, mets-toi à l’aise mon beau !, me taquina Jelena.
Avec mon polo, mon bermuda et mes baskets, j’étais le seul encore habillé décemment. En deux temps, trois mouvements, j’adoptai la même tenue que l’autre mec présent.
— Non, non, Santi, désapprouva Manon, tandis que je m’asseyais. C’est ta grosse bite que Jelena veut voir. Tes abdos, ils sont beaux, mais nous les petites salopes ce qui nous branche, c’est le manche que tu vas nous mettre.— Tout à fait, confirma la brunette d’un clin d’œil, visiblement alléchée.
Je continuai donc mon déshabillage de profil et sous le regard goguenard de Nathan. Manon et Jelena n’en perdaient pas une once. Lorsque, enfin, je me retrouvai nu face à eux, je m’assis sur le canapé à leurs côtés pour déguster ma part de gâteau.
— Nathan, si tu le branlais un peu. Je suis sûre que tu voudras approuver la qualité de sa bite avant de la céder à ta femme.— Avec plaisir !
Sans que j’eusse rien à dire, le blond me palucha. Je le toisais un peu, non seulement parce qu’il devait mesurer quinze centimètres (de taille, pas de bite) de moins que moi, mais aussi parce que j’ignorais s’il s’agissait ou non de sa première expérience avec un homme. Ses gestes assurés, doux et vigoureux à la fois, me rassurèrent en un tour de main. Appliqué, Nathan réussit à me faire durcir en quelques gestes. Ses mains, pas trop grandes, ne suffirent bientôt plus pour entourer ma queue.Pendant ce temps-là, Jelena avait dévoré sa part de gâteau. Elle lança un regard interrogatif vers Manon, laquelle approuva.
— Je vais prendre ton relais, mon chéri, enchaîna-t-elle. Toi aussi tu peux goûter au délicieux brownie de Manon.
Comme déçu, Nathan quitta ma queue pour céder sa place et s’en retourner vers son assiette encore vierge. Toujours sans me demander mon avis, la brunette s’accroupit entre mes jambes en se tenant des deux mains le bas de son ventre rebondi. Elle posa alors ses mains sur chacun de mes genoux et m’écarta plus largement encore les jambes. Droite comme un i, ma queue défiait de toute son épaisseur cette fille de 25 ans à la fois frêle et plantureuse. Jelena dégagea sa poitrine épanouie de sa nuisette. Elle balança le vêtement par-dessus le canapé. Son ventre ne m’en parut que plus tendu. Elle déposa, de ses lèvres sans artifice, un premier bisou sur mon gland, puis sa langue descendit le long de ma hampe, jusqu’à frôler mes couilles glabres. Elle savait y faire.Le gâteau de Manon, certes délicieux, avait une saveur quelconque en comparaison avec la fellation que me livra cette femme enceinte et réellement affamée. Tout y passa ! Au bout de son chef-d’œuvre phénoménal, je ne parvins pas à décoder les secrets d’une si petite femme pour engloutir ma si large bite. J’étais estomaqué.Le plaisir montant trop vite, trop bon, je l’interrompis à contrecœur. À mon tour de la déguster ! Je lui imposai de se mettre à quatre pattes sur le canapé. J’avais sous les yeux deux jambes parfaites, séparées à hauteur de ce petit cul dodu par un string noir. Entre les jambes apparaissait au second plan un ventre rond et insolent. D’un geste, je débarrassai de ma vue ce string si sobre, mais si humide. Deux nouvelles surprises se révélèrent. Une odeur forte s’échappait de la chatte humide et totalement lisse que j’avais sous les yeux. Ces émanations agréables, bien qu’entêtantes, m’exhortèrent encore davantage à lécher passionnément son intimité. Cependant, avant ça, je tirai délicatement sur un fin cordon qui émergeait entre les lèvres de ma partenaire. Une, puis deux boules de Geisha, en jaillissant de ses intimes profondeurs, arrachèrent des petits couinements de satisfaction à cette ravissante femme.
— Si Jelena partage ses petits jouets, je suis certain que Manon appréciera tester ces boules, fis-je à Nathan en lui tendant l’accessoire.— Aucun doute là-dessus, hein Jel ?, fit-il. Et moi aussi, je suis partageur.
Anodine, sa réplique vite tout son sens. Il plaça sa main entre ses fesses, tout ça alors que Manon pompait sa queue de longueur identique à la mienne, bien que d’épaisseur moindre. Il retira de son propre anus un stimulateur prostatique. Nathan attrapa un tube de lubrifiant et déposa un peu de son contenu sur le plug.
— Vas-y, Santi. Montre-nous que tu es un chic type, intervint Manon en mettant temporairement en pause sa fellation.— Tiens !, dit l’autre mâle en me tendant le plug.
Mis au défi, je ne fus pas long à insérer le bout de silicone dans mon cul. Je pus alors et enfin entamer un cunni consciencieux à une Jelena impatiente. Très réactive, elle apprécia aussi mes débordements vers son anus. À ma grande surprise, elle explosa dans un premier orgasme aussi soudain qu’inattendu.
— T’arrête pas Santiago, lèche-moi, lèche-moi encore, oui, encore.
Manon et Nathan étaient quant à eux sur l’énorme lit à se livrer à un 69 animé. Je palpai de temps à autre le ventre et surtout les seins érectiles de Jelena qui semblait apprécier au plus haut point ces attentions mammaires. Un pincement un peu trop appuyé l’envoya à nouveau vers le septième ciel.
— Baise-moi maintenant, prends-moi la chatte !, hurla-t-elle alors que des spasmes la secouaient encore. Je veux ta grosse bite de bûcheron dans ma chatte de mère indigne ! Dégomme-moi !
Ses demandes m’excitèrent comme un dément. Je la pénétrai sans ménagement.À nos côtés, Manon réclama une sodomie sans plus de préliminaire à un Nathan aux anges.L’effet du plug anal dans mon fondement et un troisième orgasme puissant de Jelena vinrent à bout de mon endurance. Je déversai le contenu de mes couilles en elle en émettant de bruyants grognements asociaux. La brunette savoura l’instant en s’effondrant sur le coussin du canapé. Je pris l’excuse de l’embrasser à pleine bouche pour caresser son ventre et, tendrement cette fois, ses seins. Cette brève familiarité sembla l’enflammer à nouveau. Néanmoins, elle se ravisa pour se reposer encore un moment.Cependant, Manon et Nathan performèrent encore plusieurs minutes. Avec Jelena, nous jaugions en connaisseurs les remarquables prouesses de nos alter-egos.Bientôt, Nathan déchargea ses réserves sur les fesses et le bas du dos de ma rouquine et elle-même s’avoua vaincue par un orgasme puissant.Pendant cinq minutes, personne ne dit plus rien. Les yeux hagards, nous savourions.Jelena se leva finalement.
— Manon, tu pourrais te décaler, s’il te plaît. J’ai besoin de pisser.
Le matelas sur lequel comatait ma copine bloquait la porte.
*

Nathan et moi nous connaissions, mais pas autant que nos copines respectives. Pendant que je nous servais un verre, il me raconta l’une ou l’autre chose. Nous approfondissions notre relation respective sans réserve, alors que les filles traînaient dans la salle de douche.
— Ça fait pas si longtemps qu’on a recommencé à faire l’amour, Jel et moi. D’après sa gynéco, ses hormones travaillaient super fort, du coup, elle avait des méga nausées en permanence presque, des fourmis dans les jambes, tout le temps crevée, enfin plein de trucs bizarres. Alors que d’habitude, on a quand même des gros besoins. Avant qu’elle soit enceinte, c’était une fois par jour et beaucoup plus le week-end. Ça nous est arrivé plein de fois de goûter aux plaisirs à plusieurs. Même si un peu moins ces dix-huit derniers mois. C’est pour ça peut-être que Manon nous prend pour des libertins. C’est en partie vrai, mais pas tout à fait. On a même essayé le SM et des trucs trashs. Mais on en est vite revenu.— Eh ben ! Je savais pas tout ça.— Normal, dit-il en avalant une gorgée de pils, on aime le sexe, mais on sait se tenir. Ça fait cinq mois qu’elle fait ceinture. Alors on a pas mal discuté, on s’aime – on attend un bébé quand même – et on veut vivre ensemble. Donc, on a discuté… Y a encore deux semaines, j’avais son autorisation pour rencontrer de temps en temps une fille, passer la nuit avec, ou pour baiser avec un de mes potes homo, tellement elle, elle pouvait rien faire à ce niveau-là.
Il s’arrête soudainement, me regarde, et reprend.
— Oui, j’ai baisé plein de fois pendant ces cinq mois – avec sa bénédiction – et, oui aussi, je baise avec des mecs, j’encule et me fais enculer. Ça te pose un problème ?— Non, pas du tout, t’emballes pas. Pas plus tard que la semaine passée, une trans m’a sodomisé sur ce canapé. C’était ma première, mais je voulais depuis longtemps. Je suis bi ou pansexuel, ou ce que tu veux, mais ça me choque pas du tout… Au contraire en fait…— Désolé, je m’emballe oui, parce qu’un type que je croyais mon pote, s’est barré quand il a appris qu’avec un autre pote on… enfin, bon bref. Donc, du jour au lendemain, Jelena n’a plus eu de nausée. Rien du tout. Elle s’est mise à avoir à nouveau des envies. Des très grosses envies. Alors tous les jours, depuis deux semaines, c’est une à deux fois par jour quand je rentre pas trop crevé du boulot. Je suis éduc dans un centre pour demandeurs d’asile…— Oui, tu m’avais dit ça.— Ah oui, c’est vrai. Donc, elle demande beaucoup et on veut en profiter un max. C’est top ! On sait que quand le bébé sera là, ce sera plus difficile. Mais je suis sur la réserve tellement elle a besoin, donc une soirée comme ce soir, c’est nickel. Tantôt, on est arrivé vers 20h, on a soupé ici. Elle est trop sympa Manon, elle nous avait préparé une lasagne. Y avait plus qu’à la réchauffer. On a fait la vaisselle, puis préparé le lit avec vos matelas et on l’a testé, et on a pris une douche en vous attendant.
Il me lança un grand clin d’œil de connivence.
— Tu veux dire que vous avez déjà baisé avant qu’on arrive ?, j’en étais ahuri.— Non, j’ai gardé mes réserves pour avec vous. Mais Jelena a déjà eu deux orgasmes avant que vous n’arriviez.— Elle est incroyable ta meuf !— Et le plug et les boules, c’est aussi son idée.
Les deux filles, absentes depuis au moins vingt minutes, n’avaient pas dû se contenter d’un petit pipi chacune. Nous tendîmes l’oreille et, de fait, des gémissements nous parvinrent de derrière la porte.J’ouvris lentement la porte sur un spectacle splendide. Dans la douche, Manon léchait une Jelena dos à elle, jambes écartées, un petit vibro de poche enfoncé dans sa rondelle. Son énorme ventre de femme enceinte, sur son petit corps frêle, dégageait d’elle une image de femme épanouie et ultra sexy.Nathan me raconta encore, pendant que nous les admirions se gouiner, que Jelena n’avait jamais eu d’aussi gros seins. Ses tétons, rendus extrêmement sensibles par la grossesse, étaient comme posés sur des seins bien plus gros que de coutumes, mais en rien comparables avec les deux obus de Manon.Imitant ma compagne, je m’agenouillai devant Nathan et lui branlai brièvement le manche. Même épuisé par deux semaines de baises doublement quotidiennes, il ne semblait pas affecté. Je le suçai voracement. Sa bite avait encore un petit goût de sperme, les restes de ce qu’il avait éjaculé dans le dos de Manon, mais je me surpris à apprécier.Les filles se bouffèrent l’une après l’autre, le gros ventre de Jelena les empêchait de se mettre tête-bêche. Nathan et moi par contre entreprîmes un vrai 69. Il me suça lui aussi. Connaissant ses penchants, je n’hésitai pas à lui mettre un, puis deux doigts. Il me rendit la pareille. Mon anus accueillit vaillamment ses doigts.
— C’est mon annif aujourd’hui, tu me la mets ?— Avec plaisir ! Tu veux que je te lâche la dose au fond ?— Demande aux filles si elles ont encore besoin de nos services, sinon tu peux y aller franco.— Eh les filles ! Vous allez vouloir encore un coup de bite après ?
Jelena fut la plus prompte à répondre.
— Moi, oui ! Manon prépare-moi, parce que je veux me faire enculer par la grosse bite de Santiago. Et si t’es encore en forme, se tournant vers Nathan, je rêve d’une double, mon lapin.— Va falloir te satisfaire d’un coup de bite et rien de plus, me dit le lapin en enfonçant son gland dans mon sphincter bien lubrifié.— Aaaah ! C’est déjà très très bien ! OoooOooh le pied… bafouillai-je.
Jelena et Manon nous rejoignirent sur le grand lit improvisé. Elles s’enthousiasmèrent et s’émoustillèrent des pénétrations énergiques que Nathan m’offrait. Pourtant, les relations entre hommes n’avaient rien de nouveau pour elles.Mon plaisir était énorme, et ce fut à regret qu’il quitta mon trou de cul. Il était au maximum de son contrôle de son excitation. Deux ou trois pressions supplémentaires et il aurait craché ses dernières réserves de foutre. Je ressentis un profond manque lorsqu’il se retira. Bite dressée en avant, il s’échappa nonchalamment vers la cuisine, boire un verre d’eau et reprendre ses esprits en paix.Je n’en menais pas bien large non plus, pourtant Jelena m’agrippa par le bras. De son autre main, elle se caressait les lèvres.
— S’il te plaît, viens me la mettre, j’en ai trop besoin.
Comment refuser ?Manon me suça prétendument pour me remettre en forme. Elle me fit me coucher sur le dos au milieu des matelas. Jelena m’enjamba et, face à moi, se pénétra son anneau de chaire de toute mon épaisseur. J’étais fier de lui élargir la pastille. Ses gémissements, toujours plus sauvages, traduisaient son plaisir.Ma copine et toute autre considération que ce fessier phénoménal que j’enculais disparurent de mon champ de vision. Jelena se ramonait copieusement le cul avec ma queue alors que son bide énorme montait et descendait comme un ascenseur devant moi. Cette fille me faisait encore plus d’effet uniquement avec sa féminité rayonnante.Pourtant, ce fut elle qui cria son orgasme la première en se laissant tomber mollement sur le matelas. Je l’accompagnai dans son mouvement pour lui éviter de se faire mal, mais aussi pour ne pas me blesser. Ma queue était encore fichée entre ses deux fesses.Manon ne me laissa pas me reposer puisqu’elle intima à Nathan de se mettre à quatre pattes et à moi-même de présenter mon dard à l’entrée de l’anus du blondinet. Elle l’enduit généreusement de lubrifiant et je me mis à le pénétrer sans remord.Moins à mon ouvrage qu’avec ma partenaire précédente, j’admirai Manon remettre Jelena en état en massant son ventre gonflé et contracté. Quand elle vint à lui huiler l’anus, je sus que le dernier round débutait. Toujours aux commandes, Manon me fit déculer Nathan et me coucher sur le dos. Jelena s’empala à nouveau d’elle-même sur mon manche encore dur en me tournant le dos cette fois. Elle était trop heureuse. Quant à Nathan, il parvint tant bien que mal à imposer une position à sa femme afin que, à son tour, il puisse lui labourer passionnément la chatte. Derrière elle, je la maintenais en place en la retenant par les seins.Comme en transe, Jelena subissait avec délectation nos assauts. Manon joua un instant avec nos couilles et peut-être avec ses doigts dans le cul de Nathan vu sa tête, mais je n’en vis grand-chose.
— C’est trop bonnnnn… réussit à miauler Jelena en s’écroulant sur moi, anéantie par un orgasme ravageur.
Nathan et moi n’en pouvions plus. Agenouillés à côté de la belle brunette, nous nous branlions au-dessus de son gros ventre de femme enceinte. Nos offrandes lui parsemèrent par saccades sa peau tendue, alors que nous émettions des grognements d’ours satisfaits. Amorphe, elle se contenta d’un sourire coquin et satisfait.Sur le canapé, Manon se fit venir à son rythme à l’aide de ses doigts. Ses gros seins lourds s’agitaient au même tempo frénétique que ses trois doigts dans son vagin.Quand elle reprit ses esprits, elle me fit signe de m’approcher. Dès que je fus à sa portée, elle emboucha mon gland et le nettoya avec délectation.
— Joyeux anniversaire, Santiago !
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