(Pure fiction, toutes ressemblances avec des personnes réelles sont futiles et inexistantes) Chapitre 1 – La révélation : découverte et étonnement Je me présente, Kévin, 19 ans, 180cm, yeux noirs, châtain, musclé sans vraiment l’apparition de muscle (je fais du basket, cela me permet de pouvoir déplacer des choses lourdes ou les casser facilement vu mon métier, je travaille dans le BTP). Ma mère, Mathilde, 41 ans, 165cm, brune, yeux marrons, peau mate, elle fait du 90 D et a un cul ni trop plat, ni trop gros, juste ce qu’il faut pour rentrer dans ses jupes et les arrondir comme il faut, elle travaille à Auchan. Mon père, Didier, 45 ans, 185cm, il travaille lui aussi dans le BTP et je travaille dans la même boîte que lui, mais il n’est pas mon patron, lui, travaille sur des chantiers de plus grandes importances et plus loin (à l’étranger, cela arrive des fois, donc plusieurs jours)Mes parents ne se voient plus depuis 1an et demi car ma mère étant de nature extravagante, elle s’amuse à draguer des hommes plus vieux qu’elle et un jour, alors que mon père était parti faire des courses dans la ville qui est à 30km de la maison, elle avait fait venir son amant de la semaine, je ne lui en veux pas, je trouve ça même excitant (un mec de mon âge qui se tape ma mère, hmm !!!!!!), il était revenu car il avait oublié son chéquier, il monta dans le bureau et vit par la fenêtre sa femme (ma mère, donc) de se faire baiser par le jeune dans la piscine familiale. Ni une, ni deux, il attrapa son fusil, dévala les escaliers quatre-à-quatre et arriva au bord de la piscine, attrapa le gars, le sorti de la piscine sans difficulté et le traine sur 5 mètres avant de commencer à lui coller quelques patates sur le visage et lui mettre un coup de crosse derrière la tête. Ma mère intervint avant qu’il ne le tue. Après cela, le gars finit quand même à l’hôpital, et porta plainte et gagna : mon père prit quand même 5 ans de prison pour coups, blessures et menaces avec armes à feu. Dès lors, ma mère baise toujours avec des jeunes mais ils ne restent pas et elle en change quasiment toutes les semaines. Personnellement, je fantasmais sur ma mère, elle est belle, excitante, bandante, et toujours bien habillée, et quand elle est à la maison, et qu’elle n’a pas d’amants, elle se venge sur moi, elle veut toujours, qu’on se baigne et qu’on fasse plein de trucs ensemble, j’accepte car c’est souvent là que je peux le mieux profiter du corps de ma mère, ses seins, son cul, ses cuisses, ses jambes……. J’adore tout chez elle ! Depuis que je suis petit, j’ai l’habitude que le Samedi avec ma mère, on aille au cinéma avec sa sœur et mon cousin : Marie, la sœur de ma mère, a 39 ans, 170cm, yeux verts, châtain clair, elle fait du 95 C, et a un cul des plus beaux que j’ai jamais vu, lors des repas de famille, on voit qu’avec son mari, ce n’est plus la joie ni au lit, ni ailleurs. Mon cousin, Norman, 18 ans, il tient de son père niveau physique, 173cm, veux noirs, blond, il ne fait pas de sport et préfère rester sur sa PS3. Depuis que mon père est en prison, quand on va au cinéma, ma mère s’assoit toujours entre sa sœur et mon cousin, mais bizarrement, la dernière fois qu’on y est allé, j’ai passé la tête pour voir ce qu’ils faisaient (Marie étant toujours captivée par les films ne perçoit rien), je vois qu’ils rient de bon cœur en se tenant la main, et tête contre tête ils murmurent des phrases incompréhensibles de là où je suis. Le lendemain matin, je pars pour le lycée, ma mère arrive dans la cuisine, en nuisette rose à ras le cul, sans soutien-gorge car ses tétons pointent sous le tissu, elle m’embrassa sur la joue en se baissant et mon regard plongea dans son décolleté qui m’offrait ses deux magnifiques seins, mon short fit une bosse si grosse qu’en se relevant, ma mère ne put la rater, et au sourire qu’elle avait en repartant vers le frigo, elle avait surement vu mon état. Je partis vers mon arrêt de bus après avoir quitté ma mère qui pour une fois, avait ne s’était pas changé car elle se disait souffrante et avait appelé son boulot pour leur dire qu’elle ne viendrait pas aujourd’hui. Dans la cour du bahut, je rejoins mes potes et vois qu’il y a mon cousin (on est dans le même lycée) je m’approche de lui et je lui dis bonjour. Lui, en me voyant, tourna la tête comme s’il était gêné, me réponds un timide « bonjour » - Dis-moi cousin, qu’est-ce qui t’arrive ? t’es tout patraque aujourd’hui, t’es malade ? - Non… enfin, oui, j’ai de la fièvre, et je sens que ma tête tourne. - Tiens, c’est étrange, ma mère aussi se sentait pas bien, elle est resté à la maison car elle s’est levée avec des nausées… je suis sûr que c’est le chili que ta mère a fait hier quand on a bouffé chez toi pour fêter ton permis, d’ailleurs, pourquoi tu viens toujours en car ? Tu pourrais venir me chercher à la maison. - J’ai pas les moyens de me payer une voiture, j’économise pour un apart, et ici, une voiture n’est pas trop utile. Et toi, t’as qu’à le passer, tu pourrais prendre celle de ton père ? - C’est pas faux, mais bon, j’ai pas trop le temps, entre le lycée et le boulot. La sonnerie retentit et nous devons entrer. A midi, je le vois partir, je lui demande : - Hé, t’as pas cours cet aprèm ? - Non, mon prof de philo est pas là donc j’ai mon après-midi pour moi. - Et qu’est-ce que tu vas faire là ? - Je sais pas, je vais surement passer voir ma mère à son boulot et rentrer chez moi, faire un FIFA 13 ou un Black Ops 2. - T’as de la moule ! Moi je dois rester ici, jusqu’à 15h. Putain, il aurait pas pu faire péter demain ce connard ! - Ça, tu l’as dis… dit-il un sourire en coin.Le cours de maths finit, je sors et je tombe sur ma tante qui m’attendait, elle me dit qu’elle voulait fêter l’anniversaire de Mathilde un peu plus tôt car elle ne sera pas là les deux semaines prochaines. Je lui dis qu’elle est souffrante et qu’elle n’a pas besoin de s’embêter avec ça et qu’on le fera tous ensemble après son retour. Elle insiste pour quand même pour me ramener, donc je monte dans son 4x4 et revenons chez moi. En arrivant, elle descend aussi de la voiture et m’accompagne pour prendre des nouvelles de sa sœur et l’aider si elle a besoin. Passant le portail, on fait le tour pour atteindre la porte de derrière car celle de devant est fermée :— Ah… Ça, ça veut dire que me mère est avec un mec.— Encore ?!? Mais elle n’arrêtera donc jamais !?! Un jour ça va lui retomber sur le coin de la tête et ça va lui faire bizarre, toujours à ramasser des puceaux de ton âge qui veulent se taper une cougar, elle finira par se retrouver enceinte, je te le dis… Qu’est-ce que vous avez vous les jeunes mecs à toujours vouloir baiser avec des vieilles comme nous, vos copines ne vous suffisent pas ?— Si mais les « vieilles » comme tu dis, ne sont pas moches et dégoûtantes, on les apprécie car elles ont du savoir-faire qui attire les hommes jeunes et écœure les vieux comme mon père… d’ailleurs, tu n’es pas mal non plus ma chère tante, je suis sûr que toi aussi tu pourrais avoir un amant de mon âge, ça te tente pas un jeune à te mettre sous la dent… ou derrière le cul ! dis-je en la taquinant, elle apprécia ma blague, mais pas pour très longtemps.— QUOI ?!? DIS-MOI PAS QUE C’EST PAS VRAI ?!? C’EST UNE BLAGUE ?Arrivé devant la baie vitrée qui donne sur la piscine et la magnifique vue du lac et de la forêt à seulement 500 mètres, on tomba nez-à-nez avec une scène qui restera à jamais gravé dans nos mémoires à ma tante et moi. Ma mère était bien avec un de ses amants, accroupie, au milieu du salon, nue, leurs vêtements éparpillés un peu de partout, et elle le suçait goulûment, comme une petite fille avec une sucette ou un bébé et sa tétine de biberon, mais le plus choquant dans cette scène (et je crois que pour ma tante c’était le drame, voir la syncope), c’était que son mec du jour n’était autre que Norman, mon cousin, son neveu, le fils de sa sœur… enfin… un membre de sa famille. Qui aurait crût que ma mère aille aussi loin dans ses pratiques sexuelles… Leurs explications seront toutes aussi étonnantes que la scène qu’ils nous ont donner (La suite au prochain chapitre…)
