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Une famille dépravée

Chapitre 3

Inceste
Tout d’abord, merci pour vos messages. Julia qui partage cette histoire avec moi, a été très touchée par vos mots de sympathie et d’encouragements.
Voilà donc un an que tout à commencé et depuis beaucoup de choses se sont passées, vous l’imaginez. Ces derniers mois ont été fertiles en aventures, mais cela fera partie d’une autre suite. Restons dans la chronologie de l’histoire.
Après la soirée masquée, il ne s’est pas passé grand-chose. Julia et moi ne savions pas trop comment amorcer le prochain tournant avec les parents. Savoir qu’ils baisaient à qui mieux mieux avec tout le monde, que l’on avait profité d’eux comme nous l’avions espéré, cela reste du domaine du gérable tant que l’anonymat était préservé, mais de là à leur avouer notre manège, faire tomber les masques… Même si Julia était souvent débordante d’idées, je voyais bien que là, elle coinçait.
Nat’ était devenu un élément indispensable de cet été là. Depuis cette fameuse soirée, elle passait de plus en plus de temps avec nous à la maison. Comme elle avait été le catalyseur de cette aventure, nous ne lui cachions plus rien et elle non plus ! Comme nos parents étaient absents la plupart du temps dans la journée, nous avions vite formé un trio de jeunes adultes en chaleur. Je ne crois pas qu’il se soit passé une seule journée sans que nous « baisions » tous les 3. Julia et Nat’ s’ébattaient allègrement devant moi qui bandais comme un âne à les voir se donner du plaisir. Très vite évidemment, je suis rentré dans ce jeu et participais à ces ébats souvent torrides. Je leur faisais l’amour à toutes les deux, sans retenue mais j’avoue que c’est avec Julia que je prenais mon pied le plus total. Nat’ était ébahie de nous voir, frère et sœur, baiser, cela l’excitait au plus haut point.
Et nous discutions tous les trois de la meilleure façon de nous dévoiler aux parents, leur faire accepter ce qui s’était passé sans déclencher leur foudre. Mais même trois jeunes pas trop idiots, n’arrivaient à trouver le bon scénario pour y parvenir.
Un soir fin août, fin de saison propice aux orages d’été, Julia et moi dormions dans nos lits respectifs (pour une fois). Un orage d’une rare violence s’est alors déclenché, le tonnerre roulant déchaîné dans la nuit noire. Julia réveillée sorti de sa chambre pour aller regarder le spectacle des éclairs fendant le ciel obscur depuis la terrasse du jardin. Maman vint alors la rejoindre.— c’est beau, n’est-ce pas ?— oui, mais quelle violence. Je ne vais pas arriver à me rendormir je le crains.— Allez, essaye de te recoucher… bonne nuit ma chérie. A demain
Un peu plus tard, Julia est allée frapper à la porte de la chambre des parents.— maman ? ma-maaaaan ?— oui mon cœur ?— je n’arrive pas à trouver mon sommeil. Je peux venir comme quand j’étais enfant à côté de toi ?— mais non ! Retourne dans ta chambre ma chérie et tu verras, tu vas rejoindre Morphée dans quelques minutes— bon… tu ne veux pas venir m’aider à me rendormir s’il te plaît ?— ok… mais c’est la dernière fois que tu joues aux bébés apeurés !
Julia retourna dans sa chambre, quand quelques minutes plus tard, maman vint la retrouver pour la câliner comme un petit bébé. Elle vint s’allonger derrière elle, en chien de fusil, les « petites cuillères »… Maman prit Julia dans ses bras et lui murmura des mots doux, à voix à peine audible pour la calmer et l’aider à retrouver son sommeil. Son bras gauche coincé sous la tête Julia, faisait un oreiller presque parfait, la main remontait délicatement sur le sein de Julia. Son autre main caressait doucement le flan de Julia par-dessus sa nuisette en satin. Julia m’avoua plus tard que c’est à cet instant qu’elle a compris qu’elle nous n’avions pas de plan à bâtir, que tout s’organisait tout seul.
Les caresses de maman firent de l’effet à Julia qui commençait à onduler son bassin au fur et à mesure. De petits feulements aussi, de chatte qui ronronne.— tu aimes cela ma chérie on dirait.— tu es si douce maman. C’est délicieux.— aussi doux que quand ton frère te caresse ?
A ces mots, Julia bondit sur le lit.— allez ! Ne joue pas à l’idiote avec moi. Tu ne crois pas que j’ai remarqué votre petit manège à tous les deux ?— quel manège ?— celui que vous jouez depuis quelques semaines. Tu sais, je suis peut-être sotte à tes yeux, mais j’ai l’expérience d’une femme qui sait déceler quand deux personnes sont attirées l’une pour l’autre et qui ont déjà consommé.— Mais…— Et de plus, j’ai à de maintes reprises retrouvé tes draps ou les siens plus que prouvant que deux personnes avaient fait l’amour ensemble dedans.— Pardon maman… dit Julia sur le point de feindre de s’effondrer— Tu n’as pas à me demander pardon mon trésor. Sache que j’ai connu cela aussi étant jeune avec un membre de la famille. Et comme je n’ai pas de frère…— Qui ?— Cà, je le garde pour moi… pour le moment.Julia me racontât plus tard qu’elle n’avait pas trouvé à mot à dire pendant un moment qui lui parut interminable. C’est maman qui a rompu le silence…
— Tu sais ma chérie, depuis que tu deviens une femme, tu deviens vraiment d’une beauté qui attire nombre de regard… et le mien en particulier. Je suis fière d’être ta mère pour ce que tu es, tes idées et ton caractère, mais aussi de cette belle jeune fille qui va rendre bien des hommes et des femmes malheureux— pourquoi dis-tu cela ?— car moi, si j’avais été de ton âge, je crois bien que je me serais laissé tentée cette jolie femme que tu es aujourd’hui
Maman regardait Julia droit dans les yeux et ce que ma sœur a pu y lire à cet instant précis, seule elle le sait, et comme elle faisait face à maman, elle a approché doucement son visage vers le sien pour déposer sur ses lèvres un baiser chaste. Droit dans les yeux maman s’est laissé faire et a répondu presque le plus naturellement du monde, à ce baiser mère-fille.
Alors, plus du tout effrayée ni par l’orage ni par la réticence, Julia a pris maman dans ses bras, leur corps se sont emmêlés et le tonnerre de leur fougue s’est mêlé à celui qui roulait dehors.
Au point de vous décevoir amis lecteur, cela est resté soft, comme deux personnes qui éprouvent de l’amour, rien de bestial ni de mots crus… Une passion charnelle ou les corps entrelacés s’épousent, les mains découvrent un corps si souvent observé mais jamais possédé. Des baisers partout, des doigts qui courent, des langues qui parcourent l’intimité. Maman avait révélé un secret, en avait découvert un autre et en créait un nouveau. Elle devenait ainsi celle qui maîtrisait à présent le jeu même si Julia ne s’en rendait pas compte.
Après bien des caresses et des baisers, maman a regagné son lit – comme si de rien n’avait été. Julia s’endormait alors ivre de plaisir, surprise mais heureuse à la fois, se demandant comment elle allait me raconter tout cela.
Le lendemain, journée des plus banales… Nat’ avait fait son apparition et nous avions encore et encore profité les uns des autres sans autre forme de procès. Maman était une fois de plus partie faire « ses trucs en ville » et papa lui, était parti sur les routes du nord, pour une dizaine de jours, à visiter ses clients. Nat’ ne m’avait toujours rien dit.
Le samedi suivant, j’avais décidé d’aller faire un tour en ville pour m’acheter de nouvelles fringues. Nat’ n’avait pas réapparu depuis la veille et nous avait fait savoir qu’elle devrait passer tout le week-end en famille. Après le petit déjeuner tous les trois sur la terrasse, j’a donc laissé maman et Julia seule à la maison en insistant bien de ne pas m’attendre à déjeuner, que j’allais trouver un truc à grignoter dans un café et qu’on se reverrait en fin de journée pour l’apéro.
En rentrant, je me suis directement dirigé vers la piscine pour prendre un bain, afin de me rafraîchir de cette journée à courir de droite et de gauche, à suer et tout cà pour un simple jean et 2 polos…
Maman et Julia étaient allongées en monokini sur les transats quand j’ai fait mon apparition. Un bref salut, je me change – pudiquement – derrière ma serviette et…. Plouffff ! Quand je sors de l’eau, je vais les embrasser toutes les deux et m’enquérir de leur journée.— rien de spécial, me dit Julia— une journée entre femmes, fait écho maman— et bien moi… journée pourrie à cavaler pour ne rien trouver. On se fait un apéro ? Allez ! je m’y colle. Que voulez-vous boire ?— Rien de spécial mon chéri… vas ouvrir une bouteille de rosé et rapporte quelques en-cas.Direction le réfrigérateur, je mets tout cela sur un plateau et direct sur la table de la terrasse. Je hurle : « c’est prêt les filles » et pas même 1 minute plus tard, les voilà toutes 2 vêtues d’un paréo au niveau de la poitrine, qui arrivent en courant.Nous prenons un verre et puis deux, passons à la seconde bouteille et l’apéro tourne en apéritif dinatoire ou chacun va piocher dans la cuisine se qui lui plaît pour se rassasier.
Alors que maman débarrasse la table, Julia se penche vers moi et me dit à mi-voix— j’ai envie de toi ce soir— mais avec maman dans les parages, tu crois que c’est raisonnable ?— non, mais on peut se retrouver plus tard au bord de la piscine, là où tout a commencé. Qu’en dis-tu ?— du moment que l’on s’assure que maman ne nous chope pas. Ce n’est pas parcequ’on l’a bernée à la fête masquée, qu’il faut tenter le diable…— d’accord avec toi…— tu as pensé à une façon de nous dévoiler— pas encore, mais j’y travaille… ne t’inquiète pas
Et ces interminables soirées en famille… bla-bla-bla… tu fais quoi ? tes projets ? Enfin l’heure ou quelqu’un se décide d’aller au lit. Maman est la première.— je me sens crevée. J’y vais— OK maman. Bonne nuit— Ne faites pas de bêtises les enfants et pensez à bien éteindre après vous— T’inquitèèèèète 
Julia et moi guettons la lumière dans la chambre de maman. Voilà ! Elle y est… la salle de bain ! parfait. OK, salle de bain éteinte. La chambre… Pari ? elle lit ses SMS 5 minutes et dodo OK. Pari perdu… 10 minutes. Enfin ! la nuit pour nous.
Julia me prend par la main et m’emmène au bord de la piscine. Nus, nous plongeons dans l’eau tiède et sous l’eau, commençons nos jeux érotiques. Et presque comme au premier jour je prends Julia sur le transat, en levrette, dans toutes les positions. Elle se mord les lèvres de ne pas hurler, je fais de même.
Tout à coup !
Je sens dans mon dos une main. Non ! Ce n’est pas possible… Je tente de tourner la tête, mais une autre main ferme m’en empêche. Je lutte. Rien à faire. Pas un mot. Je ne comprends rien. Je suis sûr que Nat et Julia m’ont préparé un plan dans le genre. Cela serait bien de leur fait. Je ne résiste pas, je joue le jeu. Alors que continue à prendre Julia qui ne retient plus ses petits cris, je sens entre mes fesses, une langue qui vient explorer mon anus, mes bourses… cette langue, je le sens bien, s’attarde aussi sur les lèvres intimes de Julia qui va hurler son orgasme dans 2 secondes si cela continue. Je sens alors que l’on essaye de me mettre un bandeau sur les yeux. Qui ? Qui peut à la fois m’explorer par derrière et me tenter de me nouer un bandeau sur mes yeux, qui de toute façon de voient plus rien à cause de la nuit ?
Je ne pense à rien et me laisse faire. Julia se retire et m’allonge sur le transat. Je sens qu’une chatte humide vient s’empaler sur moi tandis qu’une autre à califourchon, vient me présenter la sienne devant le visage. Je m’empresse de la lécher, soutirer toute sa liqueur vaginale. Les mouvements sur mon sexe se sont interrompus. Je sens les contractions vaginales me pomper et me pomper encore. Je vais jouir. Soudain, ma bouche est libre et alors que je vais éjaculer, je sens bien que deux bouches ont remplacé ce merveilleux vagin. Je jouis. Deux langues parcourent mon chibre de haut en bas, recueillant tout mon sperme.— Bon anniversaire mon amour de frère !— Vous êtes vraiment deux perverses toi et Nat’— Oh ? oui ?
Le bandeau m’est enlevé, j’ouvre les yeux, les acclimate à la pénombre et réalise que j’ai devant moi, nues, belles avec un sourire aux lèvres… Julia, maman et Janna.
C’est quoi ce délire ?
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