Âgée de trente neuf ans, le teint hâlé, des cheveux bruns attachés en queue-de-cheval, Mélanie portait une jupe noire qui descendait jusqu’à ses genoux et un chemisier blanc mettant en valeur sa jolie poitrine. Un peu de maquillage. Quelques bijoux. Une démarche élégante. Mélanie était une femme resplendissante. Elle en avait conscience. Et les hommes pouvaient difficilement échapper à son charme. Elle en faisait d’ailleurs bon usage, usant de son pouvoir auprès de sa clientèle masculine. Mélanie travaillait pour une assurance. Les dirigeants du cabinet avaient très vite remarqué les qualités de cette employée aux talents multiples. A présent, elle bénéficiait de son propre bureau. Et une assistante personnelle était là pour l’aider dans son travail. Mélanie en avait fini avec son dernier client. Elle ferma la porte de son bureau, puis se dirigea vers sa secrétaire pour lui transmettre les dossiers en cours. – Vous avez reçu des cadeaux de vos admirateurs, déclara la jeune assistante. Mélanie aperçut un bouquet de fleurs sur le comptoir. Il y avait aussi un petit paquet avec à l’intérieur un collier qui devait valoir une petite fortune. – Gardez-les, dit-elle en retour. Vous faites un travail admirable, Audrey. – Oh ! Merci madame ! – Ce n’est vraiment pas nécessaire. Les clients vous aiment beaucoup, vous savez. J’en deviendrais presque jalouse.Audrey adressa un sourire complice à sa supérieure. Le compliment lui alla droit au cœur. – C’est très gentille de votre part, madame. – Je rentre chez moi. Je vous souhaite une bonne fin de journée.La secrétaire la salua à son tour. Mélanie saisit sa veste accrochée au portemanteau, puis s’en alla vers le petit parking qui se trouvait derrière les locaux de la compagnie. La direction lui avait offerte un véhicule de fonction. Elle monta dans sa voiture, chercha ses lunettes de soleil dans la boîte à gants et quitta la place de stationnement pour rejoindre la route principale. Mélanie ne fut pas longue à rejoindre la maison. Elle descendit de sa voiture, fit un signe de la main à la voisine et emprunta le petit sentier qui menait jusqu’à la porte d’entrée. Eric était déjà rentré. Elle avait préparé la soirée avec soin. Et cela promettait d’être chaud. Elle était loin de se douter que des évènements récents allaient contrecarrer ses plans. Eric, Nathan et Sarah patientaient dans le salon. – Bonjour, ma chérie, fit Eric après avoir rejoint sa femme. Nous devons parler de quelque chose…Mélanie écouta les propos de son mari, regarda par moment ses deux enfants et réfléchit à toute vitesse pour trouver une solution. – Je vois… dit-elle avant de fixer plus longuement son fils. – Eric a insinué que tu étais au courant pour lui et Sarah, intervint Nathan. Je veux connaître la vérité. – C’est entendu, ajouta Mélanie, qui en profita pour enlever sa veste. Mais il nous faut remonter au tout début… J’aime le sexe. Et je ne vous l’ai jamais caché. Cela va bientôt faire deux ans… Nous avions l’habitude d’organiser des soirées libertines les week-ends où vous étiez absents. Ils nous arrivaient même de baiser jusqu’au petit matin…J’adorais me faire prendre par plusieurs hommes à la fois. Nathan se sentit mal à l’aise quand sa mère relata sa vie sexuelle. Il la savait portée sur la chose mais de là à tout lui expliquer en détails… Et malgré ses efforts, il ne pouvait s’empêcher de bander. Il en perdit même le fil de la discussion. – J’étais prise entre Eric et notre voisin quand ta sœur a débarquée. Elle était un peu surprise au début, tu penses… A vrai dire, je n’ai remarqué sa présence que beaucoup plus tard. J’étais en train de me faire sodomiser par Eric quand je l’ai vue… Elle se faisait sauter par deux hommes ! – Mais ils ont tous finit par me rejoindre, ajouta Sarah avant de faire un clin d’œil à sa mère. Prise en gang bang par six hommes. Tu aurais du voir ça… Maman et ses amies étaient vertes de jalousie. Ah ! Ah !
Nathan regarda sa sœur éclater de rire, ne sachant plus trop où se mettre. – Et depuis ce jour, elle participe à nos petites réunions du soir, expliqua Eric. Et parfois plus… – On dirait que le récit de maman fait son petit effet… continua Sarah, ne lâchant pas du regard l’entrejambe de son frère. Peut-être voudra-t-elle te soulager… – T’es malade ou quoi ?! C’est notre mère ! – Et moi ta sœur, dit-elle d’une voix amusée. C’est pas ça qui t’as retenu. – Je…Nathan manqua de faire un bond quand il sentit les doigts de sa mère se faufiler à l’intérieur de son pantalon, puis caresser son sexe déjà bien durci par l’excitation. Mélanie avait profité de l’inattention de son fils pour plonger une main dans son boxer et en extraire le contenu. Nathan essaya de s’écarter mais sa sœur l’en empêcha, allant jusqu’à s’enrouler autour de lui afin de restreindre ses mouvements. Il vit sa mère approcher de sa bite, puis donner des petits coups de langue sur son gland. – Elle est bien grosse… Et tu comptais la garder uniquement pour ta sœur ? Nathan ne dit rien. Il commença même à éprouver du plaisir, ayant beaucoup de mal à ne pas croiser le regard de sa mère. Elle leva les yeux vers lui, brûlants de désir, et lécha son bâton sur toute la longueur, comme une friandise. – Ah ! Maman…Mélanie ne tarda pas à gober le sexe dans sa totalité, prêtant une oreille attentive aux gémissements de Nathan. Elle le sentit exercer une pression derrière la tête, puis effectuer un mouvement de va-et-vient dans sa bouche. Nathan finit par augmenter la cadence. – Je vais tout lâché, dit-il entre deux grognements. Mélanie sentit alors la queue de son fils se raidir et libérer une grosse quantité de sperme dans sa bouche. Elle avala tout, souhaitant ne rien perdre tellement c’était bon. – Déshabille-moi, demanda-t-elle lorsque Nathan eut repris ses esprits. Il lui enleva ses vêtements en deux temps trois mouvements, ne lui laissant rien d’autre que son string noir. Par la suite, il commença à lui caresser sa poitrine aux contours impeccables. – Je n’en peux plus d’attendre. Viens baiser ta petite maman.Nathan fut prompt à réagir. Il saisit sa mère par les hanches, la débarrassa de son string, puis la positionna sur le bord du canapé. Non loin de là, Sarah taillait une pipe à Eric. Cette vision le revigora. Il écarta les jambes de sa mère et les posa sur ses épaules, la pénétrant d’un seul coup. Elle mouillait tellement qu’il avait aucun mal à glisser dans son minou. – Hmmmmm ! J’aime ta grosse queue, fit Mélanie, laissant échapper des petits soupirs. Défonce-moi la chatte !Nathan la pénétra encore plus fort, stimulé par les cris de sa mère. Il se retira au bout de quelques minutes, agitant son sexe au-dessus de sa chatte. C’est alors qu’il proposa à sa mère de la sodomiser. – Tout ce que tu veux, mon chéri.Mélanie écarta les fesses pour que son fils ait une meilleure vue. Nathan en profita pour passer sa langue sur son petit trou, prenant beaucoup de plaisir à fouiller son intimité. Il pouvait entendre sa mère gémir sous les caresses de sa langue, ce qui le poussa à étendre encore plus ses recherches. En fin de compte, il la plaqua contre la table basse, dos à lui, appuyée sur les coudes. Nathan récupéra un peu de mouille pour faciliter la lubrification, puis glissa un doigt dans le fondement de sa mère. La pénétration se révéla moins aisée mais la patience de Nathan finit par être récompensée. Il introduisit un deuxième doigt à l’intérieur. Puis un troisième. Mélanie nageait dans le bonheur, encourageant son fils à plus de perversité. – Je la veux ! Je la veux ! Nathan répondit finalement aux attentes de sa mère. Il positionna son membre tout près de son anus, en dessina le contour, puis poussa légèrement pour se frayer un passage. Il entama un va-et-vient très doux pour qu’elle puisse s’habituer à sa présence. Le fils et la mère furent très vite imités par le beau-père et la sœur. Sarah était installée en face de sa mère, la bouche grande ouverte, criant son plaisir à qui voulait l’entendre. Eric la tenait par la taille et donnait des coups de reins très violents. Il n’avait pas l’air de vouloir la ménager. – Oh ! Ouiiiiii ! Nathan accéléra alors le mouvement, excité par les cris de sa sœur. Il saisit sa mère par les hanches et la pénétra encore plus fort, la faisant presque décoller de la table. Eric augmenta encore la cadence, aussitôt rejoint par Nathan. Mais aucun ne pouvait tenir ce rythme bien longtemps. Nathan quitta brusquement le fondement de sa mère et éjacula sur son dos, lâchant des râles satisfaits. Eric fit de même avec Sarah, faisant couler son sperme sur les fesses de cette dernière De son côté, Mélanie frissonnait toujours de plaisir. Elle tendit le cou pour approcher sa fille, puis posa ses lèvres sur les siennes et lui adressa un baiser chaud bouillant. Nathan frappa la main que son beau-père lui tendait, le visage rayonnant. Il était à bout de souffle. Il n’avait plus qu’une seule idée en tête : prendre sa douche et filer au lit pour dormir. Mais il savait que plus rien ne serait comme avant. Que lui réservait donc l’avenir ?
