Les scientifiques étaient unanimes : cet été allait être particulièrement chaud. Le mois de juillet avait déjà battu des records. Le mercure affichait une température de 37.6 degrés bien que le soleil ne soit pas encore à son zénith. C’est la raison pour laquelle Noémie avait opté pour un haut rose et un short blanc. Il était de coutume que la famille se réunisse autour d’un repas, le même jour que les festivités locales. Noémie avait aidé son père à dresser la table dans la grande cour, après avoir installé les tonnelles. Elle se réjouissait à l’idée de revoir ses cousins et ses cousines, notamment Sarah et Nathan qu’elle ne voyait que trop rarement. Noémie avait fêté ses dix-neuf ans il y a moins d’une semaine. Elle avait les cheveux roux et le teint très clair. Les garçons du village lui trouvaient beaucoup de charme. La température grimpa un peu plus au fil de la journée. La chaleur devint très vite insoutenable, obligeant les invités à rester à l’ombre. Noémie quitta la table alors qu’une bataille d’eau faisait rage, ayant déjà été mouillée à de nombreuses reprises. Elle courut vers la grange pour échapper à ses poursuivants, réussissant enfin à les semer. Elle était sur le point de partir quand un bruit étrange retint son attention. Il semblait provenir de l’intérieur du bâtiment. Noémie poussa la porte de la grange, jeta un coup d’œil derrière son épaule et alla se cacher dans l’ombre d’une motte de foin, prenant soin de marcher sur la pointe des pieds. – Aaaah…Noémie ne fut pas longue à les repérer. La grange n’était pas suffisamment grande pour dissimuler un couple en pleine action. Tout d’abord, elle aperçut la femme. Cheveux bruns. Taille légèrement au-dessus de la moyenne. Un corps de rêve. Elle portait une robe blanche. Très fine. Noémie pouvait voir au travers. – J’adore quand tu me fais ça avec tes mains… Hoooo !Le mystérieux amant était toujours invisible. Noémie bougea légèrement sur le côté mais la jolie brune lui masquait la vue, prenant ainsi le risque d’être découverte. Heureusement, les deux tourtereaux étaient trop occupés pour la remarquer. Noémie les regarda s’embrasser et échanger des caresses, provoquant en elle une excitation incroyable. Elle finit malgré tout par les reconnaître. Il s’agissait de sa tante, Mélanie. Il y a avait aussi son cousin, Nathan. Noémie n’en croyait pas ses yeux. Elle ouvrit la bouche mais se ravisa aussitôt, ne sachant pas trop quelle attitude adopter. Elle vit Nathan chuchoter quelque chose à l’oreille de sa mère puis l’embrasser dans le cou, la couvrant de caresses affectueuses. – Nathan… Déshabille-moi.Le jeune homme se glissa dans le dos de sa mère, focalisa son attention sur la cordelette retenant la partie supérieure de la robe et défit le nœud en deux temps et trois mouvements. De son côté, Noémie imagina sans mal les mains de son cousin sur les seins de Mélanie, les tétons écrasés entre le pouce et l’index. A vrai dire, elle avait déjà lu des récits incestueux sur Xstory. Elle en gardait même des souvenirs très plaisants, songeant aux nombreux orgasmes qu’elle avait eus en les lisant. Mais les deux êtres qui se trémoussaient dans la grange n’avaient rien de fictifs. Ils étaient fait de chair et de sang. Des membres de sa famille. Une mère et son fils qui se donnaient du plaisir. Noémie les envia presque de partager un lien si fort. Les gémissements de sa tante la ramenèrent soudain à la réalité. – Oh ! Mon chéri… C’est si bon !Nathan était en train de lécher les seins de sa mère, les mordillant à l’occasion. Il continua un moment puis descendit un peu plus bas… La grange était devenue une véritable fournaise. Noémie changea de position pour garantir un meilleur confort, ses vêtements étant complètement trempés. Il y avait aussi autre chose… Une sensation étrange qui ne relevait pas uniquement de la température en hausse constante. Noémie regarda sa poitrine bouger au rythme de sa respiration, les tétons tendus comme jamais. Et puis, il y avait cette démangeaison entre ses cuisses… Elle dirigea à nouveau son regard vers les deux amants, le cœur battant la chamade. – J’ai envie de ta bite.Nathan regarda sa mère enlever ses vêtements et faire jaillir son bâton de chair hors de sa prison, le rattrapant en plein vol. Elle le caressa un moment, puis lécha l’extrémité en donnant des petits coups de langue, croisant parfois le regard de son fils. Elle ouvrit la bouche et avala le sexe dans sa totalité, à la grande satisfaction de Nathan. La scène était surréaliste. Noémie vit son cousin saisir la tête de sa mère et faire des va-et-vient à l’intérieur de sa bouche, tâchant de gagner en profondeur. Elle ne fit même pas attention à sa main droite qui descendait lentement vers son entrejambe, cédant à ses pulsions les plus primaires. Noémie était en train de perdre le contrôle. Elle tira sur le bord du short et glissa sa main à l’intérieur, retenant un gémissement au moment où ses doigts entrèrent en contact avec sa chatte. Mélanie était maintenant adossée contre une poutrelle, débarrassée de ses habits. Elle laissa échapper un petit gémissement lorsque son fils se positionna à genoux et lui écarta les jambes. Il s’accorda un moment pour admirer sa petite chatte entièrement lisse, approcha son visage et donna des petits coups de langue sur son clitoris. Mélanie avait l’air de prendre son pied. Elle respirait de plus en plus fort. Les râles qui sortaient de sa gorge se répercutaient aux quatre coins de la grange. – Prends-moi ! cria-t-elle entre deux murmures.
Nathan la fit mettre à quatre pattes, pressa son sexe contre le sien et la pénétra par derrière, lui susurrant des mots crus à l’oreille. Il exécuta quelques va-et-vient à l’intérieur de son vagin, puis se retira en douceur. Mélanie était sur le point de parler quand son fils la saisit par les hanches et la tira violemment en arrière, la prenant complètement au dépourvu. – Nathan ! Je… Aaaah !Nathan cria à son tour, donnant des grands coups dans la chatte de sa mère. La tension était palpable. Noémie écarta un peu plus les cuisses et insinua un doigt à l’intérieur de son vagin, faisant son possible pour ne pas gémir trop fort. Elle glissa son autre main sous le tee-shirt, monta lentement en direction de sa poitrine et la fit bondir hors de son soutien-gorge. Entre-temps, elle avait introduit un autre doigt dans sa chatte. Et encore un autre. Elle augmenta la cadence lorsque sa tante laissa exploser son bonheur. – Oui ! Oui ! Défonce-moi ! Défonce ta mère !Noémie regarda les deux amants atteindre le point de non retour. Elle-même finit par jouir, probablement encouragée par leurs cris. De son côté, Nathan en profita pour quitter les entrailles de sa mère et libérer une grande quantité de sperme sur ses fesses. – Merci, déclara Mélanie avant de goûter à la semence de son fils. C’est délicieux. Nathan approcha son visage du sien et l’embrassa une dernière fois, la complimentant aussi. Puis il entreprit de remettre ses vêtements. – Ne trainons pas, dit-il à sa mère. Notre absence va finir par être remarquée. – Tu as raison. Je sors la première.Nathan hocha la tête. Il regarda sa mère ajuster sa robe, lui adresser un clin d’œil et disparaître derrière un tas de foin. Il suivit le même chemin quelques secondes plus tard. Noémie poussa un long soupir lorsque son cousin claqua la porte derrière lui. Elle pouvait enfin sortir de sa cachette sans prendre le risque d’être découverte, prenant un moment pour étirer ses membres douloureux. Elle en profita aussi pour soigner sa tenue. Finalement, elle se dirigea vers la sortie. Elle était sur le point de fermer la porte quand le bruit d’une toux la fit sursauter. – Je ne voulais pas te faire peur… déclara Nathan qui attendait non loin de là, adossé au mur.Noémie pouvait sentir son cœur battre la chamade. Elle posa une main sur sa poitrine, puis essaya de reprendre son souffle. – Tu m’as fichu une de ces trouilles. Et d’abord, qu’est-ce que tu fais ici ? – Quelle drôle de question, lança Nathan d’une voix amusée. C’est pourtant toi qui nous épiais. Et tu avais l’air de prendre ton pied car à la fin tes gémissements couvraient presque les nôtres. Noémie rougit aussitôt alors que son cousin riait aux éclats. Apparemment, elle avait manqué de discrétion. Cela la mettait terriblement mal à l’aise. – Je… Ce n’est pas drôle, finit-elle par dire. Je ne sais pas ce qui m’a prise. C’était plus fort que moi. Toi et ta mère. C’est votre faute. – Et puis quoi encore… Tu n’étais pas forcée de regarder. Encore moins de prendre du plaisir. Mais je suis tout disposé à glisser mon engin entre tes cuisses si jamais tu en ressens le désir. – Tu es sérieux ? répondit Noémie, troublée par la suggestion de Nathan. Je suis quand même ta cousine. Il faut être sacrément dérangé pour proposer un truc pareil.Nathan haussa les épaules et fit mine de partir. – Comme tu veux. Je voulais juste te rendre service. Ça devait être frustrant de nous regarder sans pouvoir te lâcher complètement. Et cette chaleur… – C’est bon, soupira Noémie. Tu vas me rendre cinglée. Et ça me démange de plus en plus… Faisons-le. Tout de suite.Nathan était ravi. Il adressa un sourire à sa cousine, la saisit par la taille avant de faire sauter le bouton de son short et glissa une main à l’intérieur. – Oh ! Tu es vraiment une grosse salope. Tu mouilles en abondance.Noémie poussa un petit gémissement au moment où les doigts de Nathan vinrent titiller son clitoris, la faisant légèrement vaciller. Il la plaqua contre la grange, enfonça un doigt dans sa grotte et la branla avec une douceur étonnante. Par ailleurs, il introduisit son autre main sous le tee-shirt de sa cousine, puis caressa sa poitrine aux formes généreuses. Noémie leva les bras et retira son haut qu’elle jeta négligemment au sol. Nathan enleva les agrafes du soutien-gorge et laissa échapper un sifflement plein d’admiration en voyant la taille de ses seins. – J’ai envie que tu me prennes, lâcha Noémie entre deux soupirs. Là. Maintenant.Nathan la souleva sans le moindre effort, ouvrant la porte de la grange avec son pied. Il ne s’embêta pas à la refermer. Il faisait toujours aussi chaud dans la grange. Noémie s’était jetée sur un petit lit de paille une fois ses vêtements défaits. Elle leva les jambes à la verticale, puis les écarta en grand pour que Nathan ait une vue parfaite de sa chatte dégoulinante de mouille. Ce dernier découvrit un sexe imberbe, un ticket de métro au niveau du pubis et des lèvres appétissantes. Il regarda sa cousine se masturber et lui adresser des clins d’œil aguicheurs, lui faisant signe de s’approcher. – Viens par ici. Que je suis brûlante…Nathan n’avait pas besoin d’une invitation pour passer à l’acte. Il glissa aussitôt sa langue dans la fente de sa cousine. Elle laissa échapper un long râle de plaisir lorsqu’il introduisit quatre doigts à l’intérieur de sa chatte. Et ce n’était que le début. Nathan continua ses caresses durant un moment, réussissant à faire jouir Noémie à deux reprises. A son tour, il retira ses habits. Il posa les jambes de sa cousine sur ses épaules, présenta sa verge à l’entrée de sa grotte et la pénétra de toute sa longueur. – Mmmmmh ! Oui ! Oui !Nathan se pencha en avant pour embrasser l’intérieur des cuisses de Noémie, puis plaqua ses deux mains sur sa poitrine opulente. Il n’arriva même pas à couvrir toute la surface. Cela le rendit complètement fou. Il accéléra encore la cadence. Surprise par l’enchainement, Noémie ne put se maîtriser et cria à chaque coup de reins de Nathan, les yeux complètement révulsés. – Voilà pour toi ma salope ! s’écria Nathan, déchainé comme jamais. – Oh ! Espèce de salaud, tu me fais encore jouir ! Je ne sais pas ce qui me prend… Aaaaah ! Oui ! Oui ! Je l’aime ta bite !Elle gémit encore plus fort quand un doigt vint titiller son petit trou, bien incapable de résister à tant de plaisir. Nathan continua de faire des allées et venues dans la grotte de Noémie, introduisant un second doigt à l’intérieur de son fondement. Mais il finit par comprendre que sa cousine ne serait pas apaisée à moins de vraiment la satisfaire. Le jeune homme fit alors abattre sa carte maîtresse... Noémie était maintenant à quatre pattes. Elle poussait des petits cris lorsque la langue de son cousin venait lécher son petit trou, remuant un peu plus les fesses pout mieux la sentir. Par la suite, Nathan plaça son pouce devant son anus et poussa lentement. C’était presque trop facile. Noémie commença à lui résister quand il introduisit un troisième doigt dans son fondement. Et malgré ça, il réussit à en glisser un quatrième. – Je vais te défoncer la rondelle, lança Nathan.Noémie haussa encore le ton lorsque son cousin la pénétra d’un seul coup et entama un mouvement de va-et-vient dans son petit trou. – Aaaaah ! Nathan la saisit par la taille et augmenta la cadence, faisant virevolter ses seins. Il sentit les signes de la fatigue au bout de quelques minutes. Il vit sa cousine avoir un nouvel orgasme et remuer son bassin avec frénésie. C’était trop pour lui. Il délaissa les entrailles chaudes de Noémie, agita son membre au-dessus de ses fesses et libéra une quantité impressionnante de sperme. De son côté, Noémie ouvrit la bouche et lâcha un long râle, apparemment satisfaite. La semence de son cousin lui recouvrait le postérieur et le bas du dos. Elle en avait même dans les cheveux. – Incroyable, fit Nathan alors qu’il nettoyait sa verge entre les fesses de Noémie. Jamais je n’aurais cru ça de toi.Noémie rampa jusqu’à lui et fit disparaître son sexe à l’intérieur de sa bouche, le fixant droit dans les yeux. Puis elle libéra la hampe de son cousin pour lui lécher le gland, le titillant avec le bout de sa langue. – Je suis capable de tout.Elle avait prononcé ses mots sans la moindre fausse note. – Je suis heureux de l’entendre, répondit Nathan. J’espère te mettre à l’épreuve très bientôt.Noémie adressa un dernier coup de langue sur la bite de Nathan, impatiente de remettre ça avec lui. Elle lui rendit son sourire. Les deux amants remirent en ordre leurs affaires et quittèrent la grange pour rejoindre le reste de la famille, faisant comme si rien ne s’était passé. Toutefois, il ne s’agissait là que de leur toute première aventure…
