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Une famille peu ordinaire

Chapitre 1

Inceste
Les personnages :Moi Antony (le narrateur) ma sœur Annie et Hervé notre père.Marjorie, la copine de mon père et ses enfants Franck et Hélène.Ludovic et Sabrina des amis invités.Amanda et Caroline... des invitées surprise.

Aussi loin que remontent mes souvenirs d’adolescent, force est de constater que ma famille est de plus en plus libre. Avec ma sœur jumelle Annie, nous étions déjà de grands adolescents lorsque mon père a divorcé car avec notre mère, ils ne s’entendaient plus, et ce n’était pas à cause d’une incompatibilité de caractère. Nous avions découvert qu’à l’époque, il baisait une femme divorcée du quartier et que ma mère s’envoyait en l’air régulièrement avec des mecs de son boulot. L’un comme l’autre découchait régulièrement, souvent la même nuit et ils ne repassaient à la maison le matin pour une toilette rapide et se changer pour aller bosser. Ces nuits, nous avions pris pour habitude de les passer dans le même lit pour oublier et nous réconforter mais rien ne se passait entre nous.
Puis, nous devions avoir 18 ans, un soir qui n’était pas fait comme les autres, le moral en berne de voir que notre mère nous ignorait depuis plusieurs mois en nous laissant à la garde d’Hervé notre père, nous avons goûté à plusieurs boissons alcoolisées du bar familial. Annie, peu habituée à l’alcool et moi, juste un peu plus, nous avons été gagnés par une euphorie certaine et lorsque nous nous sommes couchés avec un mal de tête carabiné, ma sœur s’est faite tendrement envahissante : elle me chevauchait en frottant son pubis contre le mien, cherchait mes lèvres pour m’embrasser comme jamais nous ne l’avions fait, se mettant même nue en m’offrant la vision de ses petits seins en forme de demi citron qui dardaient sur sa poitrine. Tout cela ne me laissait pas indifférent et je ne tardai pas à bander ferme dans mon boxer.
Certes, elle n’était pas la première fille qui s’offrait ainsi et j’avais perdu mon pucelage depuis l’été passé avec une des monitrices du camp de vacances, mais faire l’amour à ma sœur jumelle c’était tentant et j’ai cédé. Je l’ai renversée et après m’être prestement couvert, je me suis enfoncé lentement et précautionneusement dans son sexe qui m’a accueilli en s’ouvrant : elle n’était plus vierge elle aussi !!!
— Oh oui, baise moi. Tu seras le premier !— Mais qui t’a déflorée ??? Tu as déjà baisé ???— Non, j’ai fait sauter mon pucelage avec ma bombe de laque il y a quelques semaines.— Tu m’en diras tant !!!— Vas-y, je t’attends. Ne me fait pas languir !!!
Et j’ai commencé à aller et venir dans la chatte de ma sœur qui, pour mieux me sentir et me retenir en elle, a noué ses jambes sur mon dos. D’un côté, je pensais que cela ne se faisait pas de baiser sa sœur et de l’autre, sa chatte était tellement chaude et bonne que je ne pouvais plus m’arrêter !!! Après quelque temps, je me vidai au fond du préservatif et ma sœur m’a incité à continuer de la baiser car son plaisir n’allait pas tarder à éclater !!! Quand elle a joui, elle s’est mise à ruer comme une cavale rétive en criant :
— OUI. OUI. Emplis-moi bien...
Chose que bien évidemment je ne pouvais pas faire, je ne pouvais qu’aller et venir dans son sexe alors que le mien était encore bandé malgré ma jouissance. Elle me suppliait :
— Encore...— Reste en moi...— C’est bon...— Je te sens bien...— Baise-moi encore...— Antony, je t’aime !
L’un et l’autre nous avions assouvi notre envie sexuelle, sans l’aide de l’alcool, nous n’aurions certainement rien fait mais c’était si bon que nous avons recommencé la même nuit et les autres nuits quand nous étions seuls à la maison. C’est au cours d’une de ces nuits que ma sœur m’a dit :
— J’ai envie de te sentir gicler dans ma chatte. Une copine m’a indiqué un toubib pas regardant sur l’âge de ses patientes qui m’a prescrit la pilule, lors de mon prochain cycle, tu pourras te répandre au fond de ma chatte. En attendant, tu vas me sodomiser, ce sera une première et j’ai envie ! J’ai ce qu’il faut avec moi !
Nous étions nus tous les deux dans mon lit et après pas mal de caresses pour rendre ma sœur très réceptive. Elle s’est mise en levrette et j’ai enduit son sphincter du gel dont elle m’avait passé le tube muni d’un embout destiné à entrer dans le conduit. Ensuite, j’ai branlé son anneau avec un puis deux doigts avant d’y faire entrer mon sexe ! C’était étroit et chaud !

Mais ce que nous ignorions, c’est que pendant tout ce temps, mon père avait rencontré une femme de son âge avec deux enfants, grands adolescents comme ma sœur et moi. Un samedi après midi, ils sont arrivés ensemble à la maison et nous avons fait connaissance de Marjorie la mère, d’Hélène et Frank ses enfants. Nous avons tout de suite été séduits par cette femme, très belle et élégante qui n’avait rien à voir avec notre mère qui portait toujours des tenues aguichantes (combien de fois avions nous entendu mon père lui dire qu’elle s’habillait come une pute !!!). Grande blonde, elle a avait une jolie silhouette avec des formes menues, un visage à l’ovale parfait éclairé par de grands yeux verts, un né que certains qualifieraient de ‘’mutin’’, juste un peu retroussé avec des narines très mobiles et une bouche aux lèvres ourlées fardées de mauve. Ce jour-là, elle portait une robe assez ajustée qui mettait en relief sa poitrine menue et enserrait ses hanches.
Ses enfants étaient habillés comme sont les jeunes actuels : jean, basket et Sweat-shirt. Hélène (l’ainée) ressemblait beaucoup à sa mère avec des formes encore plus menues et Franck était un grand jeune homme (il me dépassait d’une demi-tête...) à l’allure sportive. Après avoir bavardé une quinzaine de minutes avec nos parents respectifs, nous sommes allés dans ma chambre où nous serions mieux entre jeunes pour continuer à faire connaissance. D’emblée, les deux filles se sont installées sur mon lit pendant Franck et moi on s’asseyait sur la moquette pour leur faire face. Annie et moi, nous étions curieux de tout savoir sur leur vie, c’est ainsi que nous avons appris qu’ils avaient été élevés par les parents de Marjorie jusqu’à une date récente. Leur père avait été tué dans un accident de chasse quand ils avaient 5 et 4 ans. Restée seule très longtemps Marjorie avait récupéré ses enfants pour vivre avec eux maintenant qu’elle avait un bon poste dans la société où elle travaillait.
Elle leur avait dit qu’à leur âge, ils étaient assez grands pour vivre avec elle en toute autonomie.
Notre père et Marjorie sont venus nous trouver dans ma chambre et ont dit que puisque nous semblions bien nous entendre, ils allaient commander des pizzas pour dîner tous ensemble, qu’il serait temps le lendemain de voir comment occuper la journée. Après le repas pris dans une ambiance très décontractée, nous avons gagné ma chambre où nous nous sommes réinstallés comme l’après midi. Hélène qui avait regardé les titres des cassettes qui étaient sur une étagère s’est tournée vers moi pour me demander si je n’avais rien d’autre à regarder que des cassettes de kung-fu...
— Et qu’est-ce que tu aimerais voir ???— Tu n’as rien de plus hard, de plus sexe ??? Chez les grands parents on n’avait droit qu’à des films à l’eau de rose et ça ne nous branchait pas vraiment !!!— Si, j’ai des films un peu osés si c’est ce que tu veux dire mais on peut aussi en chercher sur le Net !!!— Génial ! Cherche un film avec une partouze... ça me plairait de voir des couples se mélanger !
Elle s’est tournée vers ma sœur en lui demandant si elle était partante. Connaissant Annie, c’est certain qu’elle serait partante. C’est plus d’une fois que nous avions regardé ensemble des films pour adultes sur mon ordinateur. Quelques minutes plus tard, je lance un film récent au titre prometteur : ‘’ Echangistes ou plan à quatre’’ et dont le synopsis promet des belles scènes...
— OK, je pense que celui la va plaire à tout le monde ! Mais le titre en dit assez. Pas la peine de faire un dessin !
C’est un classique du genre, deux couples baisent sur une plage et changent de partenaire. Soudain, j’entends ses soupirs et en me retournant je vois Annie et Hélène enlacées et s’embrassant à bouche que veux tu ! Quelle surprise ! Annie s’écarte quelques instants pour nous dire :
— Ça fait assez longtemps que tu me baises et me sodomise, j’ai envie de savoir ce que ça fait de faire l’amour à une autre femme !— Mais tu es libre. Je n’ai pas de contrat d’exclusivité !
Là-dessus Franck fait part de son étonnement :
— Je croyais être le seul à baiser ma sœur. Laissons les se gougnotter ensuite je pense qu’elles ne seront pas contre un changement de partenaire !— Je ne pense pas non plus ! Laissons-les et regardons-les !
Les deux filles se déshabillent mutuellement et dès qu’elles sont nues, Hélène se met en 69 sur ma sœur qui en quelque sorte, subit ses assauts. Là, je découvre au creux des reins d’Hélène un magnifique tatouage représentant un soleil flamboyant : Je ne suis pas habitué aux tatouages mais je dois reconnaitre que ce dernier est bien réussi !
— Oui, ainsi quand on baise ma sœur en levrette, on a le soleil et la lune en même temps !— Tu n’es pas le seul à baiser ta sœur ?— Oh non, j’y laisserais ma santé. Il ne faut pas lui en promettre. Pour ses 17 ans elle a partouzé avec six mecs bien membrés qu’elle avait choisis exprès. En plus, elle a toute une collection de godes...— Waouh. Elle promet !!!
Notre attention est entièrement tournée vers les deux filles qui se caressent les seins, le ventre, font entrer plusieurs doigts dans le sexe de l’autre qui pousse des gémissements de plaisir. Elles roulent l’une sur l’autre, tantôt c’est Annie qui a le dessus, tantôt c’est Hélène qui domine la situation. Ce que nous voyons est tellement torride qu’Antony et moi, nous avons ôté nos pantalon et nos sexes font une bosse très prononcée dans notre boxer ! Soudain, elles poussent une sorte de rugissement : elles ont joui presque simultanément !!! Franck s’est tourné vers moi en disant :
— Tu baises ma sœur et moi je baise la tienne ? Tu es OK ???— Oui. Pas de problème. Avec ma sœur, pas besoin de te couvrir, elle prend la pilule et son plaisir est encore accru quand on se vide dans sa chatte !— Ma sœur est pareille ! Heureusement d’ailleurs...— Alors on est à égalité !— Il faut que je te dise un secret. Ton père a rencontré notre mère dans un club coquin du quartier du Marais et depuis six mois, ils baisent à la maison et je peux te dire qu’ils ne se privent pas !— Waouh. Bon sang ne saurait mentir !— Et tu ne les as jamais surpris ???— Hélas non, nous ne les entendons qu’au travers de la porte !!! Ce soir, nous pouvons faire ce que nous voulons, je suis sûr que ton père et ma mère sont en train de baiser !!!
Pendant ce temps là, les filles ont récupéré de leur orgasme et nous attendent, l’œil lubrique. Annie se met à genoux sur l’assise de mon fauteuil de bureau et l’écran de l’ordinateur sous ses yeux continue de dévider le film qui ne doit pas être loin de la fin. J’ai compris ce qu’elle veut dans cette position mais elle me surprend en disant à Antony :
— Ta queue est plus grosse que celle de mon frère. Si t’es pas contre, je voudrais la sentir dans mon cul !— Ce que femme veut. T’as du gel ?— Bien sur, en plus, j’ai le cul déjà rodé !
Mais Hélène adopte une pose plus classique, sur le dos, les cuisses entre-ouvertes, elle m’attend !
— Viens. Baise-moi ! On est dans l’ambiance. Mon frère sodomise ta sœur, je suis certaine que ton père est en train de sauter notre mère, alors, ne nous privons pas !!!— T’as raison !!!
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