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Une famille qui a du chien

Chapitre unique

Zoophilie
J’avais quitté le cocon familial pour emménager dans une minuscule chambrette à l’université. C’était une période difficile. Je devais me débrouiller seule pour les repas, le ménage, la lessive, le repassage, en plus des études. Fini les tendres attentions de maman. J’ai dû travailler dur. La joyeuse ambiance de ma famille me manquait. J’étais pressée de rentrer chez moi le week-end pour déjeuner avec mes parents. Ils se moquaient gentiment de moi lorsque je leur racontais mes difficultés quotidiennes.
— Oh, ma pauvre petite chérie ! ironisait mon père.

Mon professeur principal est tombé malade un jeudi. Je me retrouvais avec un emploi du temps réduit pour le vendredi. J’étais assise sur mon lit quand j’ai pris ma décision. Rentrer sans tarder chez moi, faire craquer les cours du vendredi, et convaincre mes parents de m’inviter à dîner. Je suis arrivée chez moi en fin d’après-midi. J’avais oublié mes clés. La porte d’entrée était verrouillée. J’ai fait le tour de la maison pour tenter ma chance à la porte de la véranda.
En passant devant la fenêtre du salon, j’ai jeté un coup d’œil instinctif. Je me suis arrêtée net. Je restais bouche bée, les yeux écarquillés. Choquée, anéantie, perdue, détruite, jusqu’au plus profond de moi. Papa était vautré nu sur le canapé. Maman était à quatre pattes entre ses jambes écartées, en train de lui sucer la bite. Mais le plus monstrueux, c’était notre Rottweiler, Black, qui chevauchait ma maman par derrière.
Papa me faisait face, mais il avait la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, la bouche grande ouverte, et il ne s’est pas aperçu de ma présence. Je pouvais entendre les gémissements étouffés de maman. Je pouvais voir la croupe du chien s’agiter énergiquement. Il n’était donc pas nécessaire d’être un génie pour saisir ce que le chien faisait à ma maman.
Je me suis enfuie, complètement dégoûtée par ce spectacle horrible. Je suis retournée me réfugier dans ma chambre à l’université. Je suis restée assise là, dans le noir, en essayant d’oublier ce que j’avais vu, mais c’était trop tard. Cette image était définitivement gravée dans mon cerveau. La tête me tournait. Un vertige singulièrement amplifié par ces drôles de frémissements dans mon ventre. Un peu comme si j’avais envie.
Mais une envie de quoi ? Ce gros chien baveux me dégoûtait. Je m’étais plusieurs fois demandé pourquoi nous avions un si gros chien. Maintenant, je savais. Mes parents l’utilisaient pour le sexe. Je ne parvenais pas à le comprendre. Comment pouvaient-ils ? Je ne sais pas combien de temps je suis restée assise là, dans le noir, à réfléchir pour essayer d’admettre ce que j’avais vu. Impossible de dormir. Pour me calmer, je suis allée prendre une douche.
Lorsque le jet a heurté ma chatte, j’ai ressenti un long frisson. Sous le jet d’eau chaude, je me suis caressée, plusieurs fois, sans pouvoir me calmer. Revenue dans mon lit, je ne pouvais pas dormir. J’ai commencé à admettre que ce que j’avais vu m’excitait. Au final, je me suis masturbée en rejouant toute la scène dans ma tête. Mais, dans mon imaginaire, j’étais à la place de ma maman.
Souvent, Black avait poussé son museau sous mes jupes. Je le repoussais en riant. Mais il était dressé pour ça. Me voulait-il pour femelle ? Mon Dieu, voulait-il me baiser ? J’ai fini par me doigter en m’imaginant céder à l’insistance de mon chien. À quatre pattes dans mon petit lit d’étudiante, je me suis fait chienne en cambrant mes reins, et en m’imaginant saillie par la grosse bite du chien.
J’ai téléphoné vendredi soir chez moi, et j’ai expliqué à mon père que j’avais un devoir spécial le samedi. La vérité, c’était que je ne savais pas comment les affronter, maintenant que je savais. Même, juste sa voix au téléphone, et je revoyais son sourire lubrique pendant que ma mère lui faisait une fellation. Le pire, c’était que cette image mentale m’excitait. « Arrête ça tout de suite, c’est ton père ! »
Mais quand j’ai raccroché, je me suis encore masturbée. Après, une fois calmée, j’ai ressenti de la honte. Comment pourrais-je ne pas être honteuse du désir que je ressentais ? Comment pouvais-je arracher ces pensées monstrueuses ? J’ai décidé que je devais faire face à mes problèmes, et affronter mes parents en leur disant ce que j’avais vu. Cela semblait le seul moyen.
Je suis rentrée samedi soir, pour le dîner. J’ai attendu que maman soit seule dans la cuisine : « Maman, j’ai besoin de te parler. Je suis rentrée jeudi soir, à l’improviste, et je vous ai vus, papa, toi, et le chien ! »
Maman a immédiatement deviné ce que je n’avais pas besoin d’expliquer. Elle s’est approchée de moi et m’a prise dans ses bras : « Sabrina, j’aurais préféré que tu ne vois pas cela ! »
— Maman, je l’ai vu, et je suis terriblement choquée depuis ! Comment peux-tu faire une chose pareille ?
Elle me câlinait tendrement et m’a demandé : « Que veux-tu savoir exactement, ma chérie ? »
— Maman, j’ai besoin d’une explication. Comment est-ce arrivé, la première fois ? Pourquoi ? Était-ce un accident ou c’est papa qui t’a... ?
Maman m’a parlé avec douceur : « Ma chérie, je vais essayer de t’expliquer. Une fois, j’étais dans cette position, celle où tu m’as vue avec ton père. C’est une marotte que nous apprécions beaucoup tous les deux. Subrepticement, Black s’est faufilé derrière moi, et m’a chevauchée. Habituellement, nous fermons la porte pour ne pas être dérangés. Cette fois, on avait dû oublier. Ton père ne s’est aperçu de rien, et il me maintenait fermement. C’est complètement accidentel qu’il ait réussi à trouver l’ouverture pour me baiser ».
Elle poursuivait : « Généralement, un chien n’est pas assez adroit pour viser avec sa bite. Il faut le guider. Mais cette fois, il y est arrivé tout seul. J’ai été surprise, et j’ai essayé de me dégager, mais j’étais coincée. Puis, j’ai commencé à l’apprécier. Jusqu’à ce que son nœud se forme en moi. C’était douloureux. J’avais peur d’être estropiée. Puis il a jailli. Longuement, abondamment. J’ai été comblée. Beaucoup plus qu’avec n’importe quel homme. Il m’a possédée pendant une éternité ».
— On en a discuté avec ton père. À partir de ce jour, j’en voulais plus. Beaucoup plus. Il nous a fallu quelques semaines pour le former correctement. Pourquoi j’aime ça ? Son pénis est presque le double de celui d’un homme. Sans compter le nœud. Il est infatigable. Il jouit plus longuement et plus abondamment qu’un homme. Il maintient sa femelle avec son nœud, et la domination qu’il exerce sur moi est fascinante. J’espère que cela répond à tes questions.
Je suis restée abasourdie. J’ai juste secoué la tête. Je ne pouvais pas réaliser que nous avions une discussion sur la manière dont elle aime le sexe avec son chien. Il y a eu un long silence, puis je lui ai demandé si elle avait fait ça souvent.
— Plusieurs fois par semaine, chérie, me répondit-elle tranquillement.— Mon Dieu, et papa accepte cela ?
J’ai demandé, avant de me souvenir qu’elle lui suçait la bite, pendant que Black faisait ce qu’il voulait d’elle.
— Bien sûr, qu’il l’accepte, Sabrina. Il a contribué à sa formation, et je ne lui ai pas beaucoup laissé le choix.
À ce moment-là, papa est entré dans la cuisine. Il nous a trouvées blotties dans les bras l’une de l’autre.
— Quel est le problème ?
Il a demandé.

Maman l’a informé que je les avais surpris avec le chien, dans une position compromettante.
— Oh, je vois ! C’est regrettable ! Ce n’est plus notre petit secret, alors ? Tu lui as tout dit ?
Maman a juste hoché la tête.
— Bien, j’ai faim, mangeons, on verra après.
Le dîner a été silencieux. Mes pensées vagabondaient. D’autres questions me hantaient. Comment pouvait-elle préférer son chien à son mari ? Comment pouvait-il prêter sa femme à son chien ? Mon esprit n’était pas attiré par la nourriture, mais par le sexe. Cette conversation allait être tellement inconfortable. J’ai même pensé à m’enfuir de la maison. Enfin le dîner s’est achevé.
Maman a proposé à papa d’aller se promener seul, pour nous laisser discuter. Il n’a pas hésité, il s’est levé, et il est parti. En précisant qu’il serait absent au moins une heure. Je suppose qu’il était soulagé de ne pas avoir à s’expliquer. Malgré tout, il était mal à l’aise devant sa fille.
Une fois qu’il fut parti, maman se tourna vers moi : « Écoute, chérie, n’en déduis pas que je n’aime pas ton père. C’est juste que l’accouplement avec le chien me comble plus, sexuellement parlant ».
— Oh mon Dieu, maman, c’est un acte contre nature ! C’est tellement répugnant ! — Ma chérie, je pense que tu ne parlerais pas ainsi, si tu l’avais essayé, affirma-t-elle, ses yeux remplis de flammes. « La sensation que me procure cette énorme bite en moi, c’est tout simplement divin ! »

Je restais incrédule, troublée par l’exaltation de sa voix. Je l’avais vue, prise par Black, et je l’avais entendue gémir d’extase. Il ne faisait aucun doute que cela lui plaisait. Maintenant, elle essayait de m’expliquer les sensations qu’elle ressentait, ce qui rendait le coït avec son chien incomparablement divin.
— Tu ne peux pas imaginer ce que je ressens, ma chérie. C’est meilleur qu’avec un homme. C’est unique de ressentir cette énorme bite m’ouvrir au-delà du raisonnable. On croirait subir un accouchement à l’envers. Et ce nœud qui me retient à lui, pendant qu’il jouit. Je deviens sienne. Sa femelle soumise. Je suis excitée, rien qu’en y pensant. Je te souhaite de connaître un pareil bonheur.
Mon Dieu, me suggérait-elle d’essayer ? Mon esprit me criait hors de question, mais en même temps ma chatte frémissait de désir. Toutes ses révélations m’avaient mis les reins en feu.
— Chérie, papa sera absent près d’une heure. Si tu veux qu’il te lèche... Sa langue râpeuse va te retourner le cerveau. Je te promets qu’aucun humain, homme ou femme, ne peut te procurer quelque chose d’aussi agréable. Je vais le faire rentrer. Si tu veux, tu peux ôter ta culotte, et t’installer sur le divan.
Maman se dirigea vers la porte du jardin, et laissa rentrer Black. Il s’est précipité vers moi, et je l’ai caressé. Il avait posé sa tête sur mes genoux. Je tremblais d’impatience. Il n’y avait aucun doute qu’entendre maman parler si lyriquement du plaisir qu’elle ressentait, avait un effet sur moi. Mon odeur stimulait le chien. Il voulait glisser son museau entre mes jambes croisées. Je pourrais essayer de justifier ce qui s’est passé ensuite, en disant que j’avais besoin de comprendre ce que maman m’expliquait.
J’ai repoussé le chien pour enlever ma culotte, puis Black s’est engouffré entre mes cuisses écartées. Quand sa langue m’a touchée, j’ai crié. C’était musclé, rugueux et agile. Il essayait de pousser sa langue en moi. Mes cris se sont vite transformés en gémissements. Dieu, que j’aimais ça. Quel genre de salope faisait-il de moi ? J’ai juste écarté mes jambes plus largement, en les repliant légèrement, afin que sa langue atteigne mes endroits les plus secrets.
J’ai fermé les yeux. Je ne pouvais plus regarder maman, assise près de moi, avec ce sourire complice sur son visage. J’ai senti mon orgasme gronder. J’ai joui. Tellement fort. J’ai gémi et j’ai crié pendant que la vague me submergeait et m’emportait.
— Sympa, n’est-ce pas ? m’a dit maman. J’ai juste hoché la tête, pantelante, en repoussant le chien qui voulait laper mes jus.— Pourquoi ne pas aller jusqu’au bout, chérie ? m’a demandé maman tandis que je reprenais mes esprits. Je me suis tournée pour m’agenouiller devant le canapé. Black m’a vue en position. J’ai remonté ma jupe pour l’encourager, mais il n’en avait pas besoin. Il s’est mis en position pour me monter. Maman l’a aidé en le guidant vers ma chatte en attente.

Il a trouvé sa cible et m’a forée d’une seule poussée. J’ai crié. C’était trop gros. J’ai essayé de lui échapper. Peine perdue. Il était déjà au fond, et trop lourd sur mon dos. Et ses pattes avant enserraient mes hanches, me gardant sous sa coupe, pour abuser de moi.
— Non maman, j’ai changé d’avis, ai-je crié, mais Black s’en fichait. Maman ne m’a pas aidé. Elle attendait que je me soumette. Le chien me baisait énergiquement, en heurtant le fond de ma vulve de toute sa puissance. Il était intraitable et tyrannique pendant qu’il me baisait. J’ai gémi, j’ai crié, puis j’ai feulé pendant qu’il faisait tout ce qu’il voulait de moi.

Même si je connaissais l’existence de son nœud, je n’étais pas prête à subir cela. C’était comme s’il m’ouvrait en deux. J’ai crié pendant qu’il m’étirait. Et tout à coup, j’étais attachée à lui. Domptée, conquise, il se vautrait sur sa femelle pantelante. Il remplissait sa femelle de son sperme abondant. Je gémissais continuellement, car son sperme gonflait mes muqueuses martyrisées. Je pouvais sentir ses contractions pulser au fond de moi.
Satisfait, il a essayé de se retirer, mais le nœud le retenait. Je voulais qu’il arrête de tirer sur ma chatte. Je voulais qu’il reste en moi. Franchement, j’étais tellement pleine de son énorme bite que je voulais juste le garder en moi le plus longtemps possible.
— Oh merde, maman, il est si gros, c’est si bon, soupirais-je. Elle n’a rien dit. Elle savait ce que je ressentais. Elle n’avait pas besoin de parler. Il a fallu plusieurs minutes avant qu’il ne se retire. Ma chatte ruisselait de sperme. Black m’a léchée. Quand il a cessé, je me suis effondrée sur le sol, repue.

Je suis restée allongée sur le sol pendant plusieurs minutes. Je me réconciliais lentement avec ce qui venait de se passer. Quand je me suis finalement redressée, j’ai regardé Black qui léchait la chatte de maman. Elle avait les yeux fermés, et elle gémissait doucement. Puis il a cherché à la monter. Elle ne se laissait pas faire, et il gémissait et jappait, comme s’il voulait la convaincre de se laisser séduire. Je devais apprendre que les chiens ont d’étonnants pouvoirs de récupération. C’est le cartilage à l’intérieur de leur pénis qui leur permet d’être très vite en état de satisfaire encore leur femelle.
— Il m’aura plus tard, m’a dit maman. Tu en veux encore ?
Je les regardais, ma mère et le chien. « Allez, garçon, prends-la, elle est à toi. Va couvrir ta femelle ! »

Black est revenu lécher ma chatte. Rapidement, je me suis remise en position, à demi allongée sur l’assise du canapé, les genoux au sol. J’ai glissé ma main entre mes cuisses pour le guider. Je l’ai tenu afin qu’il ne me pénètre pas avec brutalité, comme la première fois. Son liquide pré-éjaculatoire coulait déjà. J’en avais plein la main. Je ne l’ai pas lâché, et j’ai massé ses énormes bourses pendant qu’il me baisait.
Maman riait : « Tu apprends vite, tu as compris ce qui est bon ! »
Je peux jurer que la deuxième fois était encore meilleure que la première. J’ai senti son nœud se gonfler pour me maintenir prisonnière. J’ai senti ses bourses se contracter quand il a éjaculé. J’ai senti les pulsations de son sperme traverser son pénis. J’ai senti sa semence jaillir au fond de moi. J’ai joui tout le temps, et j’ai hurlé ma jouissance.
Quand il s’est retiré, je suis restée dans la même position, épuisée par cet accouplement bestial. Il a recommencé à me lécher pour nettoyer ma chatte ruisselante de sperme. Comme ses coups de langue remontaient haut dans la raie de mes fesses, j’ai posé mes mains sur mes fesses pour les écarter. Si je n’avais pas été aussi exténuée, je me serais laissée tenter par cette expérience. Une autre fois...
Il m’a délaissée pour retourner vers maman. Au prix d’un immense effort, je me suis tournée pour le regarder œuvrer. Papa était rentré tôt. Il était assis dans son fauteuil, le pantalon sur les chevilles. Maman était accroupie entre ses jambes écartées, elle suçait sa bite. Lorsque Black est venu lui heurter les fesses avec son museau, elle a réagi immédiatement pour se mettre en position, reins cambrés, prête à accueillir le mâle alpha.
Papa me regardait en souriant, et il m’a adressé un clin d’œil. Que pouvais-je faire d’autre que lui répondre par un sourire et un clin d’œil ? Mais je me demandais depuis quand était-il là ? M’avait-il vue subissant le joug de son chien ? M’avait-il entendue crier de joie pendant l’orgasme ? J’ai réuni mes affaires, puis j’ai titubé jusqu’à la salle de bain pour me nettoyer. Ma chatte était si béante et si sensible. Dans le bain, je réfléchissais aux évènements de la soirée.
Après avoir été révoltée par la sexualité de mes parents, j’avais maintenant une bienveillante complicité envers leurs passions. Je me suis remémoré mon attitude sous les assauts de Black. De son intrusion initiale à mes cris de jouissance. Ma sexualité ne sera plus jamais la même. Je suis allée me coucher, l’âme en paix, en pensant que le jour où j’aurai un copain, il devra aimer les chiens.
Maintenant, mes visites du week-end sont autant motivées par l’affection de mes parents, que par mon désir de fornication avec Black. Cela a pris quelques semaines, mais je ne suis plus gênée par le regard de papa quand Black me possède. J’avais dit à maman que je ne pourrais jamais sucer la bite de papa, ou le laisser me baiser. Mais le chien est versatile. Parfois, il me désire, et il est agaçant d’insistance. Parfois, il joue l’indifférence, et il ignore mes invitations.
Ce jour-là, j’étais seule à la maison avec papa. Pour convaincre Black de s’occuper de moi, je me suis accroupie entre les jambes écartées de papa. Avec maman, ça marche à chaque coup. Black se précipite pour la monter. Avec moi aussi. Mais papa n’a pas compris mon stratagème, et il a sorti sa bite. Je ne pouvais pas le décevoir, alors je l’ai sucé pendant que son chien me baisait. Depuis, quand maman est absente, je dois soulager papa. Sinon, il ne me laisse pas jouer avec son chien.
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